COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Fin de la saison I (3/3) - histoire érotique

Même si mon éducation religieuse s’arrête à ce que l’on en dit à la télé, mon dieu que l’évolution de ma vie a pu s’accélérer depuis quelque temps.
Invoqué Dieu, cela pourrait être risible, si en ce moment deux hommes, m’ayant mis une écharpe rose sur mon loup rose serait en train de me faire descendre dans le parking de l’appartement de Laurence.
Laurence, c’est elle qui m’a suggéré de me prostituer pour mieux comprendre les méandres menant de jeunes femmes à se vendre pour de l’argent afin de mieux réussir ma thèse de philo.
Depuis qu’elle m’a aidé à accepter les bites de parfaits inconnus, j’ai déjà bien des choses à écrire dans la thèse que je dois présenter à un jury.
Psy, j’hésitais entre avocate et prof de psychologie, j’ai choisi cette voix même si mon cul que je vends m’empêche bien souvent d’aller à la fac suivre les cours.
Je dois honnête de dire que je me vois mal toute ma vie enseigner cette matière à des jeunes boutonneux !
Des boutonneux, j’en ai eu quelques à qui j’ai offert mes fesses contre rétribution afin qu’ils apprennent à satisfaire les femmes.
L’argent, les transactions de la main à la main, je dois le reconnaître sont les moments les plus jouissifs depuis presque trois mois que j’ai accepté de me vendre.
C’est là que pour la deuxième fois Christophe entre en jeu !
Je l’ai dit, c’est moi qui ai déclenché le processus en lui demandant s’il connaissait des putes afin de les interroger sur leurs motivations.
Il m’a orienté me faisant voir au passage que les putes il les pratique puisque les trois noms qu’il m’a donnés je les ai trouvées sur des blogs me donnant bien des renseignements.
Surtout ceux pour les joindre sur des portables.
J’ai, moi aussi un portable me permettant des appels de mes clients.
Il y a quelques jours, c’est Christophe qui s’est présenté comme un client.
5 000 € plus que j’ai l’habitude de toucher pour me faire enculer, c’est la proposition qu’il m’a faite.
J’en ai touché deux mots à Laurence m’expliquant que cette proposition me ferait entrer dans la prostitution de luxe, me propulsant dans un autre monde de la vente des femmes.
Laurence m’a mis mon collier qui d’une autre couleur aurait pu être celui d’un gentil toutou ?
Voilà pourquoi je me retrouve assise dans une voiture aux vitres teintées quand je relève un peu mon foulard pour voir ou l’on voit.

• Mademoiselle Clarisse, vous venez de franchir l’étape qui pourrait vous valoir bien des déboires en soulevant votre foulard.
Vous venez d’entrer dans un monde où chacun de vos gestes sera contrôlé même dans ce véhicule.
Nous sommes au milieu de nulle part et nous avons ordre de vous laisser en vous ôtant votre cape sur le bord de cette route si vous transgressez cette règle, sans jamais savoir où vous serez.
Monsieur X est très strict sur la discipline de ses filles !

Nous nous arrêtons, j’entends un portail qui semble assez lourd s’ouvrir avant que la voiture remonte une allée en gravier à ce que mes oreilles perçoivent.
Je descends, ces hommes sont très bien éduqués, pouvant profiter de la situation où je me trouve pour caresser mon corps sans défense.
C’est me tenant chacun d’eux par la main qu’ils me font monter des marches avant de me faire marcher sur une surface plane.
Je sens qu’il m’enlève mon écharpe me le plaçant autour de mon poignet.
Il faut que l’on voie mon collier de chien.
Je suis dans une grande salle à manger, du genre de celles que l’on voit dans des films souvent de cape et d’épée.
Des gens, certains recouverts de capes noires avec des masques en tout genre tous plus beaux les uns que les autres.
Il y a aussi une vingtaine de filles comme moi recouverte de cape de couleurs différentes.
Nous avons tous de simple loup de même couleurs que nos capes et nos chaussures.
Un couple vêtu de noir, la femme ayant un masque en pierres précieuses et perles lui cachant la moitié du visage.
Si les perles sont de culture et les diamants de vraies pierres, il y en a pour des milliers d’euros voire des millions.
Pour faire pendant à ce masque, elle porte une boucle d’oreille sur la moitié visible de son visage visible.
Un collier dépassant l’entendement montre ce que dans ce milieu ils peuvent avoir comme fric.
L’homme doit être son mari, car lorsqu’il approche, il a au doigt une chevalière qui en poids d’or doit valoir, elle aussi une fortune.
Il porte un masque fait de plume de corbeau.

• Bonjours jeune fille, vous êtes nouvelle ici, j’aurai déjà repéré votre très belle ligne de corps.
Je vois que sur votre collier vous vous nommez Clarisse, joli nom, sachez qu’ici, comme il vous a été dit nous resterons anonymes.

En prononçant ces mots, la femme me caresse la joue, j’ai le temps de voir à son doigt une bague de fiançailles avec un diamant comme j’aimerais qu’un des quelques garçons présents dans cette pièce m’offre.
Et que dire de l’alliance entourée de diamants, à elle seule, car les autres femmes vêtues de noir ont le même genre de bijou, cette femme porte sur elle plus qu’une vie de Smic.
J’ai bien fait de devenir pute et d’accepter de venir dans ce monde de fric, à moi de savoir chasser l’oiseau rare.

« Bonsoir, mes amis heureux de vous voir ici réunis dans cette salle pour l’une de nos soirées qui je le pense sauront vous satisfaire une nouvelle fois.
J’ai réuni quelques jolies jeunes femmes autour de vous qui ont reçu leurs rétributions pour vous appartenir jusqu’à l’aube.
Mademoiselle Ludivine, voulez-vous vous approcher du grand escalier, c’est vous que j’ai choisi ce soir pour être ma partenaire dans mes appartements, mettez-lui sa cape. »
Je me souviens de ce qu’il m’a été dit dans la voiture sur le fait que monsieur X voyait tous, La voix venue d’outre-tombe provient certainement d’une sonorisation parfaitement étudiée de cette grande pièce et de son escalier menant vers les appartements du chef de notre soirée.
La voix me dit vaguement quelque chose, je l’ai déjà entendue, mais où et quand, je suis dans l’incapacité de le dire.

« Messieurs, faites monter Ludivine jusqu’à moi, quant à vous mes amis que la fête commence. »
Quand Ludivine monte les marches, sous les applaudissements des convives, je sens que toutes les filles voudraient être à sa place.
Pour ma part, je suis novice dans ces soirées, mais je me dis en moi-même que je vais tout faire pour qu’un jour prochain, ce soit moi qui soit à la place de Ludivine.
Des servantes lui ont mis une cape d’or et montant l’escalier elle disparaît vers son destin.

• Mademoiselle Clarisse, pouvons-nous vous offrir du champagne, moi j’en raffole, ça me met dans un état d’excitation inimaginable.
Mon cher et tendre, Clarisse me plait, allons-nous dès maintenant dans notre chambre ou souhaitez-vous faire plus ample connaissance avec notre amie.

Nouveau mouvement de sa main et elle la passe sous ma cape, me flattant le sein droit.
Au moment où je suis loin d’être sur mes gardes, cette femme le prend et le tord à me faire hurler.
L’instinct me fait me taire, la plupart des autres putes se font caresser dont l’une d’elles en cape et loup bleu, par deux hommes dont l’un est plaqué à elle par-derrière, la fille tournant la tête et l’embrassant à pleine bouche.
La jeune brune doit sentir la verge de l’homme contre elle, car elle s’agenouille et se saisissant des deux verges leur fait une fellation me montrant l’experte qu’elle est.
Des couples prennent le couloir sortant de la salle vers la droite ou la gauche ou je pense que se trouvent les chambres des participants à cette orgie géante.
Un jeune garçon, certainement du personnel, s’approche de nous, lui aussi est masqué d’un loup noir.
Sa silhouette me dit quelque chose, mais là encore le masque sur son visage m’empêche de dire si je l’ai déjà rencontré.

• Madame, monsieur votre chambre a été préparée à votre convenance.

Celle qui semble m’avoir pris à la bonne, saisi mon foulard et m’entraine vers la porte de gauche.
Ce que je supposais s’avère exact des chambres de chaque côté d’un couloir.
Ils me font entrer dans l’une d’elles, la chambre à un lit à barreaux et la pièce est remplie de bougies allumées.
Je suis conduit vers le lit, la femme détache ma cape me dénudant.
Je comprends pourquoi on a attaché mon foulard à mon poigner et en moins de temps qu’il en faut je suis immobilisée le bras vers le haut aux barreaux du lit.

• Qu’allez-vous me faire, s’il vous plait ?
• C’est ton premier jour parmi nous, tu seras pardonnée d’ouvrir ta bouche.
Nous décidons sans que vous ayez votre mot à dire, vous êtes payés pour nous satisfaire.
Tu as été grassement payé et monsieur X regardera ton comportement pour voir si tu es digne de revenir, voire de partager ses appartements.

J’ai compris, c’est la dernière fois que je vais poser une question, j’ignorais qu’il existait des femmes soumises à d’autres.
Dans ma thèse, je mentionnerais le moment où je prends conscience de ce fait.

• Je vois que notre jeune soumise est intact du côté de ses seins et de son nombril !
Mon cher, pouvez-vous aller chercher le toubib avec ses aiguilles, je vais lui poser des piercings.
Vous savez que j’aime ce genre de petit accessoire, ça embellit ces jeunes salopes.

Lorsque son mari quitte la chambre, je suis à deux doigts de lui dire qu’elle pourrait me demander mon avis, mais je comprends que tout est prévu pour mettre en valeur mes seins.
Pendant que j’attends, j’ignore, comment je dois dire, ma cliente puisqu’on me paye, je décide d’une forme de jeu, elle va s’appeler Marie-Chantal avec son air vieille France .
Quant à lui, ce sera Victor qui revient avec un homme qui semble âgé, mais vêtu comme le jeune homme venu nous prévenir que la chambre est prête.
Marie-Chantal lorsqu’il entre vient de se saisir d’une bougie et me verse de la cire liquide sur le sein gauche.
Je hurle de douleur lorsque la cire atteint ma fraise.

• Hurle jolie petite salope, ça tu peux, monsieur X adore vous entendre hurler.
• Chère amie, je vous reconnais bien là, brûler pour anesthésier avant de percer !
Je pense que mes aiguilles, c’est vous qui allez les mettre dans ses seins et sur son nombril.
Vous êtes la seule à qui je permets de percer nos petites protégées.

Marie-Chantal malgré son masque me regarde de manière vicieuse, je vois qu’elle prend un malin plaisir à me torturer.
Jusqu’à ou va-t-elle aller dans sa perversion ?
Je comprends mieux pourquoi on me paye si cher, mais jusqu’à ou peuvent-ils aller, qui à part Christophe qui m’a fait livrer ma cape et Laurence ma logeuse, savent que je suis ici ?...


Voilà une saison de terminé, jusqu’à ou Clémence va-t-elle accepter d’aller pour réussir sa thèse ?
Vous le saurez dans quelques jours.