COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Saison I (2/3)
Avoir voulu, avoir reculé...
C’est ce que je pense lorsque Laurence me rejoint dans la chambre qu’elle m’a prêté le temps que je vois par moi-même ce qu’est le fait de se prostituer pour une jeune femme.
Avoir voulu, mais j’ai juste réussi à sucer cet homme nettement plus vieux que moi.
Ce client aurait été plus jeune, j’aurais peut-être été jusqu’au bout.
La seule chose que je peux dire, c’est que toucher, 5 billets de 100 €, même si je lui ai rendu avant qu’il parte, ça m’a fait mouiller.
J’allais dire bander bien que la main de Laurence me chatouillant le clito, il bande.
Je vais être obligée de trouver un autre sujet de thèse, parler du simple transfert d’argent sera un peu court.
• Regarde ce que j’ai dans ma main Clarisse, un billet de 500 €, la même somme que tu as refusée pour te faire baiser !
• Mais, ce qui s’est passé entre nous, c’est hors de la prostitution, même si tu voulais m’apporter des éléments pour ma thèse.
• Tu te trompes, on me paye pour baiser, je t’offre cet argent pour que la vie soit plus cool pour toi.
Je suis comme toi, hors de question de considérer notre nuit comme un moment de relation tarifée.
Comme je te le dis, on peut encore rattraper le coup, le client que tu as éconduit, je sais qu’il est encore à Paris ce soir !
Si je l’appelle et que je lui propose de nous rejoindre, nous pourrons monter un plan à trois, je suis sûr que d’avoir deux salopes dans son lit, le dédommagera de sa désillusion d’hier.
C’est Laurence qui ouvre la porte à Cyprien qui dès qu’il est dans la pièce, semble plus vieux qu’hier.
Mais ma nouvelle amie est là et je dois tout faire pour qu’elle soit fière de moi.
Une nouvelle fois, les billets sont dans ma main, je contrôle me brulant les doigts.
1 000 €, Cyprien a bien pris mon refus.
C’est l’une l’autre de chaque côté de la verge que nos lèvres le mettent en état.
Lorsque c’est fait, Laurence m’entraîne sur le lit.
Nous avons défait nos peignoirs, nous avons la même corpulence et elle m’a prêté un soutien-gorge pigeonnant relevant mes seins.
Dans un premier temps, je suis tête-bêche avec elle, mais dessous.
Elle nous retourne présentant ma chatte pour que Cyprien me prenne.
Je sens sa bite frotter mon vagin, c’est incroyable, je sens que je mouille.
Je pense qu’il va me pénétrer, je suis prête à l’accepter.
Son gland récupère de ma cyprine et avant que j’aie le temps de réagir, un tisonnier m’enflamme l’anus.
Notre client vient de m’enculer, je hurle tellement j’ai mal, mais aussi de surprise.
• Ce que vous venez de faire, est ignoble, quelle manière de vous venger de mon refus de vous appartenir hier.
• Mademoiselle Clarisse, combien ai-je payé ?
• 1 000 € !
• Il vous faut apprendre les tarifs, Laurence dit à ton élève combien coute une simple passe et combien avec sodomie ?
Pendant cette conversation à la limite de la colère, Cyprien continue à me limer, la douleur s’estompe sans pour autant m’apporter du plaisir.
• 500 sans 1 000 avec sodomie Clarisse, qu’aurais-tu faite si je t’avais dit que ton client pratiquait ce que certains présentent comme une déviance.
80 % de nos clients pratiquent la sodomie, que leurs femmes leur refusent.
Je pensais arrêter après cette première fois, 1 000 € en une journée, ça laisse à réfléchir, sans oublier les 500 que m’a donnés Laurence.
Au bout de trois mois, l’argent est une grande partie de mes motivations à continuer, mais aussi savoir satisfaire un client pour qu’il ait envie de revenir me voir.
C’est le cas de deux clients, je devrais dire des clients mixte.
Un homme la trentaine, ayant un handicap faisant de moi une mère Thérésa, même s’il me paye comme les autres.
Et une des deux femmes, toutes deux, cheffe d’entreprise dont l’une vient chaque quinzaine pour que je la transporte sur les rives des plaisirs lesbiens.
Il va sans dire, qu’habitant avec Laurence, c’est elle qui m’apprend tout ce que je sais à ce jour des plaisirs féminin.
Il est 17 heures lorsque l’on sonne à notre porte, Laurence est absente, elle est partie en extérieur s’occuper d’un client de passage.
J’ouvre la porte et je suis surpris.
• Christophe, que fais-tu là, j’ai peu de temps, j’attends quelqu’un !
• Ce quelqu’un c’est moi, ces derniers temps tu négliges la fac, je suis allé sur les blogs et j’ai vu une jeune femme te ressemblant.
J’ai vite compris que tu avais franchi le pas et que Laurence t’aidait à te prostituer.
J’en ai eu la confirmation lorsque je suis allé voir ta logeuse, ta chambre était à louer, tu avais déménagé.
Je vois où tu as atterri.
• C’est juste pour ma thèse, je travaille mon thème de l’intérieur.
• Tu te fous de ma gueule, tu as basculé, je suis sûr que tu auras du mal à te passer du fric que ça te rapporte.
Si je comprends bien, c’est moi qui t’ai aidé à trouver ta voie, tu vas me faire une petite ristourne ?
• Tu peux toujours te brosser, 300 la demi-heure, 1 000 avec sodomie et 1 000 de plus si tu passes la nuit.
La sodomie, comme Laurence me l’a dit, presque tous les hommes payent ce supplément et je me fais régulièrement enculer arrivant de temps en temps à une forme de plaisir.
• Dis, aimerais-tu gagner bien plus d’argent, je connais un groupe de personnes qui serait prêt à te donner 5 000 € pour des soirées les samedis dans un manoir de la région parisienne.
Attention il y a quelques contraintes.
La première, c’est de divulguer à quiconque ce que tu verras dans ces soirées, les personnes qui y participent aime la discrétion avant tout.
• Comment connais-tu ce milieu, pour Laurence et les autres filles que j’ai contactées et qui ont refusé de m’aider dans ma thèse, je comprends que tu t’en payes une de temps en temps !
Les études doivent te prendre du temps et une pute, c’est plus simple, inutile de draguer.
• En te parlant de discrétion, ça a déjà commencé, inutile que tu cherches à en savoir plus.
Je te téléphonerais demain, tu me confirmeras ce que je sais déjà, tu seras partante et je te fournirais quelques éléments nécessaires à leurs soirées.
Allons baiser, voilà ton pognon.
Je l’ai pris sans regarder, peux m’importe qu’il veille m’enculer, on me paye et mon corps est à eux.
Je sens qu’au fond de moi, Christophe lorsqu’il me prend en levrette à compris que j’aime le sexe pour le fric, mais aussi pour le plaisir de m’avilir.
Si j’ai choisi philo, mais surtout ce genre de thème, c’était certainement que j’étais déjà pute dans l’âme.
Christophe est parti quand Laurence revient.
Je connais ses habitudes et je la rejoins dans son bain moussant.
Je sais qu’étant lesbienne, elle aime à se laver des souillures que ces mâles laissent en elle malgré la douche prise avec son ou ses clients.
• Je comprends ce que tu me dis Clarisse, je connais un peu ce monde, si tu acceptes, tu enrichiras ta thèse avec des gens de pouvoir dans toutes ces formes possible et de l’argent roi.
• Tu as participé à des soirées de ce genre, peux-tu m’en dire plus ?
• Non, j’aurais bien aimé me faire autant de fric que tu vas pouvoir t’en faire, mais, hélas, ils payent pour des filles fraiches comme toi.
Il leur faut simplement qu’elles soient juste une assez belle salope pour aimer leurs jeux.
C’est deux jours plus tard qu’ayant dit oui à Christophe appelant le numéro qu’il m’avait laissé qu’un coursier me dépose un paquet avec dessus une lettre et un écrin.
« Bonjour Clarisse, j’ai appris que tu as accepté de te joindre à nous samedi soir prochain à la petite fête que j’organise avec quelques amis.
Je me présente, tous me connaissent sous le nom de monsieur X.
Si tu es méritante, peut-être qu’un jour lors d’une de mes soirées, tu seras celle que je choisirais pour me rejoindre dans mes appartements pour te faire passer une soirée inoubliable, encore mieux rémunéré.
En attendant dans ce paquet, ta tenue et tes premiers 5 000 €.
Sache que si tu sais satisfaire mes amis, tu trouveras peut-être au bout de notre soirée quelques billets supplémentaires à l’intérieur du petit baise-en-ville qui se trouve dans le paquet.
Je te rappelle, très grande discrétion.
Monsieur X. »
Il est l’heure, j’ai revêtu la cape en soie rose, entièrement nue.
Même ma chatte blonde a disparu, qu’une jeune femme de l’institut que fréquente Laurence m’a rasé avant de m’épiler à la cire.
Nous le faisons chaque semaine depuis que je me prostitue, Laurence dit que c’est plus hygiénique.
Des talons hauts que je porte depuis qu’ils m’ont été fournis, car sans qu’ils soient plats, les miens sont nettement moins hauts.
Seulement un accessoire, un loup rose que je dois porter, me promettant un certain incognito.
Laurence ouvre l’écrin, un collier de cuir rose lui aussi avec « clarisse » marquée en lettre d’or.
5 000 € en billets de 100 et 200 €, lorsque je les ai sorties du petit sac rose, la sensation est décuplée lorsque je les ai jetées sur mon lit me roulant dedans.
J’embrase Laurence qui m’a aidé à me maquiller, lorsque l’on sonne.
Deux jeunes hommes en costume, cravate, l’un d’eux, a dans ses mains un foulard rose qu’il me pose sur les yeux, m’empêchant de voir ou l’on me conduit.
Monsieur X semble aimer la discrétion sur ses soirées.
Que vais-je découvrir de nouveau dans la quête aux renseignements utiles pour ma thèse qu’avec ces nouveaux éléments, j’ai décidé de poursuivre ?...
C’est ce que je pense lorsque Laurence me rejoint dans la chambre qu’elle m’a prêté le temps que je vois par moi-même ce qu’est le fait de se prostituer pour une jeune femme.
Avoir voulu, mais j’ai juste réussi à sucer cet homme nettement plus vieux que moi.
Ce client aurait été plus jeune, j’aurais peut-être été jusqu’au bout.
La seule chose que je peux dire, c’est que toucher, 5 billets de 100 €, même si je lui ai rendu avant qu’il parte, ça m’a fait mouiller.
J’allais dire bander bien que la main de Laurence me chatouillant le clito, il bande.
Je vais être obligée de trouver un autre sujet de thèse, parler du simple transfert d’argent sera un peu court.
• Regarde ce que j’ai dans ma main Clarisse, un billet de 500 €, la même somme que tu as refusée pour te faire baiser !
• Mais, ce qui s’est passé entre nous, c’est hors de la prostitution, même si tu voulais m’apporter des éléments pour ma thèse.
• Tu te trompes, on me paye pour baiser, je t’offre cet argent pour que la vie soit plus cool pour toi.
Je suis comme toi, hors de question de considérer notre nuit comme un moment de relation tarifée.
Comme je te le dis, on peut encore rattraper le coup, le client que tu as éconduit, je sais qu’il est encore à Paris ce soir !
Si je l’appelle et que je lui propose de nous rejoindre, nous pourrons monter un plan à trois, je suis sûr que d’avoir deux salopes dans son lit, le dédommagera de sa désillusion d’hier.
C’est Laurence qui ouvre la porte à Cyprien qui dès qu’il est dans la pièce, semble plus vieux qu’hier.
Mais ma nouvelle amie est là et je dois tout faire pour qu’elle soit fière de moi.
Une nouvelle fois, les billets sont dans ma main, je contrôle me brulant les doigts.
1 000 €, Cyprien a bien pris mon refus.
C’est l’une l’autre de chaque côté de la verge que nos lèvres le mettent en état.
Lorsque c’est fait, Laurence m’entraîne sur le lit.
Nous avons défait nos peignoirs, nous avons la même corpulence et elle m’a prêté un soutien-gorge pigeonnant relevant mes seins.
Dans un premier temps, je suis tête-bêche avec elle, mais dessous.
Elle nous retourne présentant ma chatte pour que Cyprien me prenne.
Je sens sa bite frotter mon vagin, c’est incroyable, je sens que je mouille.
Je pense qu’il va me pénétrer, je suis prête à l’accepter.
Son gland récupère de ma cyprine et avant que j’aie le temps de réagir, un tisonnier m’enflamme l’anus.
Notre client vient de m’enculer, je hurle tellement j’ai mal, mais aussi de surprise.
• Ce que vous venez de faire, est ignoble, quelle manière de vous venger de mon refus de vous appartenir hier.
• Mademoiselle Clarisse, combien ai-je payé ?
• 1 000 € !
• Il vous faut apprendre les tarifs, Laurence dit à ton élève combien coute une simple passe et combien avec sodomie ?
Pendant cette conversation à la limite de la colère, Cyprien continue à me limer, la douleur s’estompe sans pour autant m’apporter du plaisir.
• 500 sans 1 000 avec sodomie Clarisse, qu’aurais-tu faite si je t’avais dit que ton client pratiquait ce que certains présentent comme une déviance.
80 % de nos clients pratiquent la sodomie, que leurs femmes leur refusent.
Je pensais arrêter après cette première fois, 1 000 € en une journée, ça laisse à réfléchir, sans oublier les 500 que m’a donnés Laurence.
Au bout de trois mois, l’argent est une grande partie de mes motivations à continuer, mais aussi savoir satisfaire un client pour qu’il ait envie de revenir me voir.
C’est le cas de deux clients, je devrais dire des clients mixte.
Un homme la trentaine, ayant un handicap faisant de moi une mère Thérésa, même s’il me paye comme les autres.
Et une des deux femmes, toutes deux, cheffe d’entreprise dont l’une vient chaque quinzaine pour que je la transporte sur les rives des plaisirs lesbiens.
Il va sans dire, qu’habitant avec Laurence, c’est elle qui m’apprend tout ce que je sais à ce jour des plaisirs féminin.
Il est 17 heures lorsque l’on sonne à notre porte, Laurence est absente, elle est partie en extérieur s’occuper d’un client de passage.
J’ouvre la porte et je suis surpris.
• Christophe, que fais-tu là, j’ai peu de temps, j’attends quelqu’un !
• Ce quelqu’un c’est moi, ces derniers temps tu négliges la fac, je suis allé sur les blogs et j’ai vu une jeune femme te ressemblant.
J’ai vite compris que tu avais franchi le pas et que Laurence t’aidait à te prostituer.
J’en ai eu la confirmation lorsque je suis allé voir ta logeuse, ta chambre était à louer, tu avais déménagé.
Je vois où tu as atterri.
• C’est juste pour ma thèse, je travaille mon thème de l’intérieur.
• Tu te fous de ma gueule, tu as basculé, je suis sûr que tu auras du mal à te passer du fric que ça te rapporte.
Si je comprends bien, c’est moi qui t’ai aidé à trouver ta voie, tu vas me faire une petite ristourne ?
• Tu peux toujours te brosser, 300 la demi-heure, 1 000 avec sodomie et 1 000 de plus si tu passes la nuit.
La sodomie, comme Laurence me l’a dit, presque tous les hommes payent ce supplément et je me fais régulièrement enculer arrivant de temps en temps à une forme de plaisir.
• Dis, aimerais-tu gagner bien plus d’argent, je connais un groupe de personnes qui serait prêt à te donner 5 000 € pour des soirées les samedis dans un manoir de la région parisienne.
Attention il y a quelques contraintes.
La première, c’est de divulguer à quiconque ce que tu verras dans ces soirées, les personnes qui y participent aime la discrétion avant tout.
• Comment connais-tu ce milieu, pour Laurence et les autres filles que j’ai contactées et qui ont refusé de m’aider dans ma thèse, je comprends que tu t’en payes une de temps en temps !
Les études doivent te prendre du temps et une pute, c’est plus simple, inutile de draguer.
• En te parlant de discrétion, ça a déjà commencé, inutile que tu cherches à en savoir plus.
Je te téléphonerais demain, tu me confirmeras ce que je sais déjà, tu seras partante et je te fournirais quelques éléments nécessaires à leurs soirées.
Allons baiser, voilà ton pognon.
Je l’ai pris sans regarder, peux m’importe qu’il veille m’enculer, on me paye et mon corps est à eux.
Je sens qu’au fond de moi, Christophe lorsqu’il me prend en levrette à compris que j’aime le sexe pour le fric, mais aussi pour le plaisir de m’avilir.
Si j’ai choisi philo, mais surtout ce genre de thème, c’était certainement que j’étais déjà pute dans l’âme.
Christophe est parti quand Laurence revient.
Je connais ses habitudes et je la rejoins dans son bain moussant.
Je sais qu’étant lesbienne, elle aime à se laver des souillures que ces mâles laissent en elle malgré la douche prise avec son ou ses clients.
• Je comprends ce que tu me dis Clarisse, je connais un peu ce monde, si tu acceptes, tu enrichiras ta thèse avec des gens de pouvoir dans toutes ces formes possible et de l’argent roi.
• Tu as participé à des soirées de ce genre, peux-tu m’en dire plus ?
• Non, j’aurais bien aimé me faire autant de fric que tu vas pouvoir t’en faire, mais, hélas, ils payent pour des filles fraiches comme toi.
Il leur faut simplement qu’elles soient juste une assez belle salope pour aimer leurs jeux.
C’est deux jours plus tard qu’ayant dit oui à Christophe appelant le numéro qu’il m’avait laissé qu’un coursier me dépose un paquet avec dessus une lettre et un écrin.
« Bonjour Clarisse, j’ai appris que tu as accepté de te joindre à nous samedi soir prochain à la petite fête que j’organise avec quelques amis.
Je me présente, tous me connaissent sous le nom de monsieur X.
Si tu es méritante, peut-être qu’un jour lors d’une de mes soirées, tu seras celle que je choisirais pour me rejoindre dans mes appartements pour te faire passer une soirée inoubliable, encore mieux rémunéré.
En attendant dans ce paquet, ta tenue et tes premiers 5 000 €.
Sache que si tu sais satisfaire mes amis, tu trouveras peut-être au bout de notre soirée quelques billets supplémentaires à l’intérieur du petit baise-en-ville qui se trouve dans le paquet.
Je te rappelle, très grande discrétion.
Monsieur X. »
Il est l’heure, j’ai revêtu la cape en soie rose, entièrement nue.
Même ma chatte blonde a disparu, qu’une jeune femme de l’institut que fréquente Laurence m’a rasé avant de m’épiler à la cire.
Nous le faisons chaque semaine depuis que je me prostitue, Laurence dit que c’est plus hygiénique.
Des talons hauts que je porte depuis qu’ils m’ont été fournis, car sans qu’ils soient plats, les miens sont nettement moins hauts.
Seulement un accessoire, un loup rose que je dois porter, me promettant un certain incognito.
Laurence ouvre l’écrin, un collier de cuir rose lui aussi avec « clarisse » marquée en lettre d’or.
5 000 € en billets de 100 et 200 €, lorsque je les ai sorties du petit sac rose, la sensation est décuplée lorsque je les ai jetées sur mon lit me roulant dedans.
J’embrase Laurence qui m’a aidé à me maquiller, lorsque l’on sonne.
Deux jeunes hommes en costume, cravate, l’un d’eux, a dans ses mains un foulard rose qu’il me pose sur les yeux, m’empêchant de voir ou l’on me conduit.
Monsieur X semble aimer la discrétion sur ses soirées.
Que vais-je découvrir de nouveau dans la quête aux renseignements utiles pour ma thèse qu’avec ces nouveaux éléments, j’ai décidé de poursuivre ?...
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