COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (14/16)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (14/16)
C’est avec étonnement qu’après bien des péripéties, nous arrivons habiller en bonne sœur devant la grosse maison où la mère supérieure m’a dit pouvoir me cacher, sa sœur y habitant.
Elle m’avait bien caché que sa jumelle était une maquerelle qui faisait travailler des filles contre remise d’assignat monnaie-papier mise en place dans le pays.
Nous venons de voir Isabelle none elle aussi au couvent monter avec un client par l’œilleton qu’Arlette nous a ouvert dans une pièce permettant de surveiller sans être vues les filles et les clients.
Isabelle semble être tombée sous la coupe du maquereau Émile qui l’a amenée là pour vivre de ses charmes.
J’en ai assez vu alors qu’Églantine la soubrette nous conduit vers nos chambres, après quelques ablutions, je propose à Agnès de rejoindre la grande salle et de commencer à nous occuper de clients alors que la patronne nous a proposé de nous reposer et de commencer demain.
Recouverts d’un peignoir, nous sortons de nos chambres.
• Blanche, Agnès que faîte vous là ?
Mon gros loup descend et fait moi préparer une bouteille, je dois parler à mes copines.
Nous voyons le client qui était avec elle prendre le couloir et descendre le grand escalier.
• Nous avons fui le couvent après que les barbares l’aient ravagé.
• Où étiez-vous cachées ?
J’hésite à lui dire où nous étions et pourquoi nous avons échappé à la curée, mais j’ai horreur de mentir, reste de mon éducation par mère.
• Nous étions dans le clocher.
• J’ai essayé d’ouvrir la porte, personne n’a ouvert.
• Nous l’avions bloqué avec la cloche qui avait été changée et il nous était impossible de l’enlever pour que tu entres, excuse-nous.
• Inutile, si j’étais entré et qu’ils se soient occupés de vous, Émile serait peut-être tombé amoureux de l’une de vous, il me serait impossible de travailler, ici afin qu’il ait une vie heureuse, comme celle que je lui donne.
• Le vois-tu souvent depuis qu'il t'a fait entrer dans cette maison ?
• Il passe tous les mois pour récupérer ce que j’ai gagné et les mettre de côté, quand nous aurons assez gagné, il m’emmènera de l’autre côté de l’Atlantique découvrir le Nouveau Monde.
Venez, je vais vous présenter les copines.
Il me semble qu’il y a quelque chose de louche dans tout cela, mais je descends pour la première fois le grand escalier et je vois le regard que les hommes nous portent ce qui m’émoustille.
• Vous voilà mesdames, vous venez prendre l’atmosphère et connaître vos collègues pour demain soir, je vois que vous avez retrouvé votre amie, elle est en forme ce soir, elle a déjà monté quatre fois l’escalier.
• Non, nous sommes en forme et nous tenons à commencer de monter des clients dès ce soir, regarder le regard de cet homme, je pense que vous allez encaisser nos premiers assignats.
En parlant à Arlette, je fais sortir ma jambe effilée terminée par une mule bleue de la même couleur que mon peignoir.
• Madame, vous avez émerveillé mes yeux, je vous offre une coupe !
• Je suis descendue pour cela, j’ai énormément soif.
Il me prend la main l’avance vers sa bouche, je sens son souffle chaud sans qu’il me touche la peau.
Nous buvons notre coupe, je comprends que j’ai affaire à un notable de la ville qui me propose d’aller visiter l’étage.
J’aime beaucoup la prestance de ces hommes qui viennent voir des putes et qui les traitent comme mère était traitée par nos visiteurs ou nos invités, la révolution a clairsemé les personnes de notre classe, mais ils en restent encore quelques-uns.
• Je vois que vous avez fait le bon choix maître Lucas, madame Blanche va s’occuper de vous, je suis certaine que vous serez entièrement satisfaite de sa prestation.
Je fais la fière devant la maquerelle, mais j’ai les jambes flageolantes en arrivant en haut des marches après que l’homme est sorti de grosses coupures de son portefeuille semblant bien rempli en parlant avec la patronne.
Dès que nous entrons, l’homme défait son pantalon pendant que je défais mon peignoir.
• Viens sucer ma bite salope, je vais te la remplir avant que je te baise, j’aime ta toison et tes seins.
Gentleman devant les autres et soudard dans ma chambre, il m’appuie sur les épaules pour que je m’agenouille plus vite et à peine ai-je ouvert ma bouche, qu’il me plante son dard au fond de la gorge.
Il souhaite dans un premier temps décharger autre part que dans ma cavité buccale et comme il a une grosse envie de mon sexe, c’est sur le tapis servant de descente de lit qu’il me fait tomber avant de venir me couvrir et de me prendre la chatte me plantant par des grands mouvements qui rapidement me font partir.
L’amour rude, c’est la première fois que je pratique alors qu’Isabelle derrière la porte du clocher au couvent semble avoir subi ce genre d’attaque l’ayant même tellement marqué pour une première fois qu’elle semble accro au plus gros des sexes qui l’ont défoncé et qui devaient appartenir à Émile.
Maître Lucas semble arrivé au bout de son plaisir et sa verge me remplit de son sperme chaud que je reçois avec plaisir.
Quand il se relève et part sans un regard pour moi me laissant les jambes écartées et la chatte offerte, du sperme sortant et tombant sur le tapis, je comprends ce qu’être une pute veut dire comparé à ma première fois avec le Duc dans la grange où nous sommes tombés un long moment dans les bras l’un l’autre.
Je me lève passe à la table de toilette ou avec l’éponge naturelle qui est à notre disposition avec du savon aseptisant, je me lave, me sèche les poils, je remets mon peignoir et mes mules avant de redescendre l’escalier.
Avant, j’écoute à la porte de communication avec la chambre d’Agnès, j’entends qu’elle aussi prend du plaisir avec la queue qui la prend, elle me le dira peut-être plus tard, ce qui est certain, c’est que la bonne sœur qu’elle était, vient de changer de monde sans trop se poser de questions.
Mon client m’attend, me paye à boire, mais je le quitte au profit d'un petit homme binoclard ayant une barbichette fort bien entretenue, il est vrai.
• Monsieur Julien, comment va votre salon de coiffure, vous avez décidé de passer un moment avec notre petite Blanche une nouvelle fois vous avez fait le meilleur choix que je puisse vous offrir ce soir.
Blanche prend bien soin de monsieur Julien, il est l’un de nos plus vieux clients.
Les trois autres fois où je monte, madame Arlette fera un compliment à mon client qu’elle semble bien connaître et chaque fois, ce client a fait le meilleur choix ce qu’elle doit dire pour les six filles qui étaient là ce soir.
C’est épuisé que madame ferme la maison, nous pouvons rejoindre nos chambres, suivant en cela Isabelle qui a pris Agnès par la taille et qui semble vouloir l’adopter pour le restant de la nuit.
Quelle heure est-il quand Églantine ayant déjà pris son service vient me demander de la suivre afin de venir déjeuner avec madame Arlette dans son bureau, je vois simplement qu’il fait grand jour.
Je prends le temps de faire ma toilette avant de la sonner pour qu’elle me conduise devant une porte où elle frappe avant de s’éclipser.
• Entrez Blanche, je suis dans la pièce à droite du petit vestibule.
J’avance, madame Arlette est couchée langoureusement sur son lit, simplement recouverte d’un drap de soie les seins fort plantureux, ma foi, à peine couverts.
• Allonge-toi près de moi, Églantine va nous apporter un plateau, tu sais Blanche, ici, j’ai l’habitude de me lever après 16 heures, il fait chaud fait comme moi, tu sais, je vois souvent des femmes nues.
La porte s’ouvre alors que je viens de m’allonger ôtant mon peignoir, nous nous partageons un plateau, Églantine ayant mis deux tasses, accompagnées de pain noir pour deux.
Arlette dans un premier temps tient de moins en moins son drap, sa généreuse poitrine m’apparaît.
• Merci pour hier, c’est incroyable que vous soyez descendues, vous m’avez étonné avec Agnès, vous avez fait presque autant de clients qu’Isabelle qui elle aussi a été extraordinaire, dommage qu’elle se fasse exploiter par ce fainéant d’Émile, elle pourrait faire rapidement fortune dans ce métier.
Incroyable, pour elle écartée ses cuisses et sucée des bites comme nous l’avons fait hier, c’est un métier, alors je prends conscience que je suis moi aussi entré dans le métier moi qui il y a peu ignorais jusqu’au mot bite et chatte.
J’avais été élevé, comme nos paysans le faisaient avec leurs poulets qui finissaient tous les dimanches en poule au pot pour devenir moi-même poule pondeuse pour garder notre caste de privilégiée.
• Est-il possible de faire quelque chose pour elle ?
• Par les temps qui courent, il y a bien une solution pas bien jolie mais très efficace.
• Laquelle ?
• La dénonciation de personnage hostile à leur révolution ?
• Émile s’en est pris à notre couvent, il y a eu assez de témoins pour le disculper.
• J’ai bien une solution, le responsable de la police vient souvent regarder mes registres et empocher une petite enveloppe personnelle sur les gains de mes filles.
Chaque fois, discrètement, il s’isole avec l’une d’elles dans un petit boudoir attenant à mon bureau et ma chambre, il serait facile à Églantine qui m’est beaucoup dévouée de glisser dans la poche de son pantalon qu’il plie consciencieusement sur la chaise près de la porte une lettre qu’il trouvera quand il sera reparti sans savoir de qui elle émane.
• Et, il vient quand ?
• Il est venu hier et reviendra le mois prochain le premier lundi du mois, il évite de revenir souvent même si vos sexes le font baver.
• Impeccables, nous aurons le temps de préparer la lettre.
• Blanche, j’ai compris à ce qu’en m’a dit Isabelle que dans le couvent dirigé par ma sœur, elles avaient en général toute une amie, Agnès est la tienne.
Semblant gêné, elle se lève, me tournant le dos pour enlever le plateau et se recoucher près de moi me montrant sa toison brune, je manque de rire à la pensée que la mère supérieure devait avoir cette même toison qui lui remonte presque jusqu’à son nombril.
Elle avance sa main et me caresse le sein.
• Je te demande cela, tu comprends que tu me plais, nous pourrions faire beaucoup de choses ensemble…
Elle m’avait bien caché que sa jumelle était une maquerelle qui faisait travailler des filles contre remise d’assignat monnaie-papier mise en place dans le pays.
Nous venons de voir Isabelle none elle aussi au couvent monter avec un client par l’œilleton qu’Arlette nous a ouvert dans une pièce permettant de surveiller sans être vues les filles et les clients.
Isabelle semble être tombée sous la coupe du maquereau Émile qui l’a amenée là pour vivre de ses charmes.
J’en ai assez vu alors qu’Églantine la soubrette nous conduit vers nos chambres, après quelques ablutions, je propose à Agnès de rejoindre la grande salle et de commencer à nous occuper de clients alors que la patronne nous a proposé de nous reposer et de commencer demain.
Recouverts d’un peignoir, nous sortons de nos chambres.
• Blanche, Agnès que faîte vous là ?
Mon gros loup descend et fait moi préparer une bouteille, je dois parler à mes copines.
Nous voyons le client qui était avec elle prendre le couloir et descendre le grand escalier.
• Nous avons fui le couvent après que les barbares l’aient ravagé.
• Où étiez-vous cachées ?
J’hésite à lui dire où nous étions et pourquoi nous avons échappé à la curée, mais j’ai horreur de mentir, reste de mon éducation par mère.
• Nous étions dans le clocher.
• J’ai essayé d’ouvrir la porte, personne n’a ouvert.
• Nous l’avions bloqué avec la cloche qui avait été changée et il nous était impossible de l’enlever pour que tu entres, excuse-nous.
• Inutile, si j’étais entré et qu’ils se soient occupés de vous, Émile serait peut-être tombé amoureux de l’une de vous, il me serait impossible de travailler, ici afin qu’il ait une vie heureuse, comme celle que je lui donne.
• Le vois-tu souvent depuis qu'il t'a fait entrer dans cette maison ?
• Il passe tous les mois pour récupérer ce que j’ai gagné et les mettre de côté, quand nous aurons assez gagné, il m’emmènera de l’autre côté de l’Atlantique découvrir le Nouveau Monde.
Venez, je vais vous présenter les copines.
Il me semble qu’il y a quelque chose de louche dans tout cela, mais je descends pour la première fois le grand escalier et je vois le regard que les hommes nous portent ce qui m’émoustille.
• Vous voilà mesdames, vous venez prendre l’atmosphère et connaître vos collègues pour demain soir, je vois que vous avez retrouvé votre amie, elle est en forme ce soir, elle a déjà monté quatre fois l’escalier.
• Non, nous sommes en forme et nous tenons à commencer de monter des clients dès ce soir, regarder le regard de cet homme, je pense que vous allez encaisser nos premiers assignats.
En parlant à Arlette, je fais sortir ma jambe effilée terminée par une mule bleue de la même couleur que mon peignoir.
• Madame, vous avez émerveillé mes yeux, je vous offre une coupe !
• Je suis descendue pour cela, j’ai énormément soif.
Il me prend la main l’avance vers sa bouche, je sens son souffle chaud sans qu’il me touche la peau.
Nous buvons notre coupe, je comprends que j’ai affaire à un notable de la ville qui me propose d’aller visiter l’étage.
J’aime beaucoup la prestance de ces hommes qui viennent voir des putes et qui les traitent comme mère était traitée par nos visiteurs ou nos invités, la révolution a clairsemé les personnes de notre classe, mais ils en restent encore quelques-uns.
• Je vois que vous avez fait le bon choix maître Lucas, madame Blanche va s’occuper de vous, je suis certaine que vous serez entièrement satisfaite de sa prestation.
Je fais la fière devant la maquerelle, mais j’ai les jambes flageolantes en arrivant en haut des marches après que l’homme est sorti de grosses coupures de son portefeuille semblant bien rempli en parlant avec la patronne.
Dès que nous entrons, l’homme défait son pantalon pendant que je défais mon peignoir.
• Viens sucer ma bite salope, je vais te la remplir avant que je te baise, j’aime ta toison et tes seins.
Gentleman devant les autres et soudard dans ma chambre, il m’appuie sur les épaules pour que je m’agenouille plus vite et à peine ai-je ouvert ma bouche, qu’il me plante son dard au fond de la gorge.
Il souhaite dans un premier temps décharger autre part que dans ma cavité buccale et comme il a une grosse envie de mon sexe, c’est sur le tapis servant de descente de lit qu’il me fait tomber avant de venir me couvrir et de me prendre la chatte me plantant par des grands mouvements qui rapidement me font partir.
L’amour rude, c’est la première fois que je pratique alors qu’Isabelle derrière la porte du clocher au couvent semble avoir subi ce genre d’attaque l’ayant même tellement marqué pour une première fois qu’elle semble accro au plus gros des sexes qui l’ont défoncé et qui devaient appartenir à Émile.
Maître Lucas semble arrivé au bout de son plaisir et sa verge me remplit de son sperme chaud que je reçois avec plaisir.
Quand il se relève et part sans un regard pour moi me laissant les jambes écartées et la chatte offerte, du sperme sortant et tombant sur le tapis, je comprends ce qu’être une pute veut dire comparé à ma première fois avec le Duc dans la grange où nous sommes tombés un long moment dans les bras l’un l’autre.
Je me lève passe à la table de toilette ou avec l’éponge naturelle qui est à notre disposition avec du savon aseptisant, je me lave, me sèche les poils, je remets mon peignoir et mes mules avant de redescendre l’escalier.
Avant, j’écoute à la porte de communication avec la chambre d’Agnès, j’entends qu’elle aussi prend du plaisir avec la queue qui la prend, elle me le dira peut-être plus tard, ce qui est certain, c’est que la bonne sœur qu’elle était, vient de changer de monde sans trop se poser de questions.
Mon client m’attend, me paye à boire, mais je le quitte au profit d'un petit homme binoclard ayant une barbichette fort bien entretenue, il est vrai.
• Monsieur Julien, comment va votre salon de coiffure, vous avez décidé de passer un moment avec notre petite Blanche une nouvelle fois vous avez fait le meilleur choix que je puisse vous offrir ce soir.
Blanche prend bien soin de monsieur Julien, il est l’un de nos plus vieux clients.
Les trois autres fois où je monte, madame Arlette fera un compliment à mon client qu’elle semble bien connaître et chaque fois, ce client a fait le meilleur choix ce qu’elle doit dire pour les six filles qui étaient là ce soir.
C’est épuisé que madame ferme la maison, nous pouvons rejoindre nos chambres, suivant en cela Isabelle qui a pris Agnès par la taille et qui semble vouloir l’adopter pour le restant de la nuit.
Quelle heure est-il quand Églantine ayant déjà pris son service vient me demander de la suivre afin de venir déjeuner avec madame Arlette dans son bureau, je vois simplement qu’il fait grand jour.
Je prends le temps de faire ma toilette avant de la sonner pour qu’elle me conduise devant une porte où elle frappe avant de s’éclipser.
• Entrez Blanche, je suis dans la pièce à droite du petit vestibule.
J’avance, madame Arlette est couchée langoureusement sur son lit, simplement recouverte d’un drap de soie les seins fort plantureux, ma foi, à peine couverts.
• Allonge-toi près de moi, Églantine va nous apporter un plateau, tu sais Blanche, ici, j’ai l’habitude de me lever après 16 heures, il fait chaud fait comme moi, tu sais, je vois souvent des femmes nues.
La porte s’ouvre alors que je viens de m’allonger ôtant mon peignoir, nous nous partageons un plateau, Églantine ayant mis deux tasses, accompagnées de pain noir pour deux.
Arlette dans un premier temps tient de moins en moins son drap, sa généreuse poitrine m’apparaît.
• Merci pour hier, c’est incroyable que vous soyez descendues, vous m’avez étonné avec Agnès, vous avez fait presque autant de clients qu’Isabelle qui elle aussi a été extraordinaire, dommage qu’elle se fasse exploiter par ce fainéant d’Émile, elle pourrait faire rapidement fortune dans ce métier.
Incroyable, pour elle écartée ses cuisses et sucée des bites comme nous l’avons fait hier, c’est un métier, alors je prends conscience que je suis moi aussi entré dans le métier moi qui il y a peu ignorais jusqu’au mot bite et chatte.
J’avais été élevé, comme nos paysans le faisaient avec leurs poulets qui finissaient tous les dimanches en poule au pot pour devenir moi-même poule pondeuse pour garder notre caste de privilégiée.
• Est-il possible de faire quelque chose pour elle ?
• Par les temps qui courent, il y a bien une solution pas bien jolie mais très efficace.
• Laquelle ?
• La dénonciation de personnage hostile à leur révolution ?
• Émile s’en est pris à notre couvent, il y a eu assez de témoins pour le disculper.
• J’ai bien une solution, le responsable de la police vient souvent regarder mes registres et empocher une petite enveloppe personnelle sur les gains de mes filles.
Chaque fois, discrètement, il s’isole avec l’une d’elles dans un petit boudoir attenant à mon bureau et ma chambre, il serait facile à Églantine qui m’est beaucoup dévouée de glisser dans la poche de son pantalon qu’il plie consciencieusement sur la chaise près de la porte une lettre qu’il trouvera quand il sera reparti sans savoir de qui elle émane.
• Et, il vient quand ?
• Il est venu hier et reviendra le mois prochain le premier lundi du mois, il évite de revenir souvent même si vos sexes le font baver.
• Impeccables, nous aurons le temps de préparer la lettre.
• Blanche, j’ai compris à ce qu’en m’a dit Isabelle que dans le couvent dirigé par ma sœur, elles avaient en général toute une amie, Agnès est la tienne.
Semblant gêné, elle se lève, me tournant le dos pour enlever le plateau et se recoucher près de moi me montrant sa toison brune, je manque de rire à la pensée que la mère supérieure devait avoir cette même toison qui lui remonte presque jusqu’à son nombril.
Elle avance sa main et me caresse le sein.
• Je te demande cela, tu comprends que tu me plais, nous pourrions faire beaucoup de choses ensemble…
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