COLLECTION ZONE ROUGE. « Laura Sexe » star du porno. (2/4) - histoire érotique

C’est dans l’avion qui nous conduit vers la Guadeloupe plus spécialement à
Marie-Galante tournée un film porno que j’apprends ce qu’il risque de m’arriver.
Badou, figurante comme moi, alors qu’elle rêve d’être une vedette de ce milieu, me dévoile bien des choses sur ce métier.
J’ai signé mon contrat sans me poser plus de question voyant simplement que je mets un pied dans le milieu du cinéma, même si c’est érotique.
Badou m’apprend que les figurantes, font les bouts en train, comme pour les saillies de chevaux.
Nous ce sont les sexes des acteurs que nous devons sucer, sans aller plus loin, s’ils ont des pannes pour pouvoir honorer les actrices vedettes.
Ma bouche est vierge de toute fellation, tout le monde dormant dans l’avion, un homme passe dans l’allée en me faisant un clin d’œil.
Je le suis, je sais maintenant que je suis capable d’aller figurer dans ce film porno.

Je me lève reboutonnant mon chemisier et je suis l’homme.
Il entre dans les toilettes, petite commission cela reste court, je vois le loquet l’isolant tourner sur le vert.
Un dernier regard vers les passagers, Badou me regarde, je frappe trois coups à la porte, j’espère qu’il va comprendre.
Il comprend, il ouvre, j’entre.
Il s’assoit sur la cuvette dans ce réduit, sa queue en main, je me penche et la fais entrer dans la bouche.
Coup de chance, il a de l’hygiène, elle sent le propre, il a dû la passer sous l’eau du petit lavabo.
Je le suce sans aucun problème, il décharge dans ma bouche, j’aval le sperme.
Il me passe un mouchoir, je m’essuie la bouche, il en fait de même avec sa queue.
Je sors.

• Tu es gonflé, tu l’as sucé !
• Maintenant, je suis d’attaque pour faire le boute-en-train.

Arrivé à Pointe-à-Pite, l’avion se pose.
C’était la première fois que je montais dans l’un d’eux.
Je dois reconnaître que ce baptême a été très agréable, je me lèche les babines comme j’ai léché ma première bite.

Nous descendons de l’avion par une passerelle, les classes supérieures où étaient les acteurs et actrices vedettes, descendent par une autre, à son pied, il y a un attroupement.
Une tête blonde, des lunettes de soleil au sol, c’est Brigitte de France qui semble être tombée, en pleure, hurlant, se tenant le mollet.

• Écartez-vous, laissez-la respirer, son pied est à 90°, merde, c’est une fracture.

C’est John le réalisateur qui vient de jurer !
Est-ce pour l’actrice qui souffre ou le problème pour son film qui vient de perdre sa vedette.
Je vois mal la belle blonde se faire baiser avec un plâtre, fini le romantisme des paysages.
Un temps d’attente, l’ambulance arrive.

• Beau Serge, tu réunis tout le monde, vous faite les opérations d’arriver, le mini bus, vous attends.
Le bateau vous conduira à Marie-Galante, je vous rejoins par avion sur l’île.

Nous nous installons dans une maison typique de la région, nous avons traversé un village couleur local avant de monter jusqu’à elle.
C’est magnifique, à vol d’oiseau la mer d’un bleu turquoise est à moins d’un kilomètre de la terrasse, c’est un paysage de rêve.
On m’installe dans une chambre sous les toits, elle est surchauffée.
Je dois la partager avec Badou.
La maison a assez de chambres pour une partie des personnes.
Les techniciens couchent dans des tentes sur l’arrière.
À l’étage principal, les vedettes sont allées s’installer sans que nous voyions, comment elles sont.
On nous fait voir que nous sommes des figurantes comme dans la chambre voisine, maquilleuses et coiffeuses sont logées à la même enseigne.
Il y a aussi Boris le cuistot qui se sert de la cuisine de la maison pour nous préparer les repas.
Ils sont arrivés, il y a deux jours pour tout mettre en place.
Nous passons la soirée assise sur la terrasse, autour de nous, il y a des champs de canne à sucre.

• Allons au lit, je me demande ce qu’il va arriver, j’ai bien peur que le film soit mort-né.
• Tu crois.
• Comment remplacer la vedette, il y a déjà une journée de retard ?
Josy, la maquilleuse m’a dit que nous devions tourner dès aujourd’hui.
Impossible demain, vu la fracture, je vois mal une actrice porno faire des galipettes un plâtre au pied.
Ils ont pensé, faire venir une remplaçante de Paris.
Le temps de la trouver, surtout une blonde avec une touffe fournie cela va relever de la gageure, même être impossible, alors on va être ramené dans la capitale.

Elle me dit cela en se mettant nue, il est vrai que ses seins sont tombants, mais sa silhouette est tout de même agréable.

• Dis-moi, as-tu un problème si je dors nue, je vois que tu as une nuisette.
• J'avais peur de te gêner, j’ignorais où je coucherais, moi aussi depuis que j’ai quitté mon collège de bonnes sœurs, je couche nue.

Il fait nuit, j’ai du mal à dormir tellement il fait chaud.
Badou dans son sommeil a repoussé le drap me montrant son intimité grâce à la pleine lune.
Elle émet de petits ronflements.
Elle a de la chance de pouvoir récupérer, c’est vrai que les cinq heures de décalage horaire doivent y être pour quelque chose.
À un moment, elle se tourne de mon côté et sa main vient se poser de mon ventre, se déplaçant jusqu’à mes seins.
En plus de la chaleur, j’ai l’impression que ce bras me brûle.
Je le soulève pour le reposer sur le lit, elle grogne, j’arrête mon geste.
À quoi sert-il d’être deux à rester éveillés, au moins Badou demain aura la tête des bons jours comparés à celle que je vais arborer.
Sa main revient en travers de mon corps passant encore, ses doigts jouent avec mon téton comme elle l’a fait avec sa bouche dans l’avion, est-ce normal.
Surtout qu’il réagit et que la clarté blafarde me montre qu’il aime, car il est bandé à son maximum.
Incroyable, on dirait qu’elle roule sur elle-même, c’est carrément sa jambe qui passe par-dessus les miennes m’emprisonnant.
Au pensionnat où je couchais, j’étais à côté d’une jeune fille de bonne famille d’un côté et une fille plus délurée de l’autre.
Nous avions chacune un lit, tout se passait bien, hormis les filles qui disparaissaient pour mieux revenir au matin.
J’ai parlé de sœur Odile, c’est tout ce que je connais des amours féminins.
Là dans ce lit où nous sommes deux, les choses se précisent, mon corps collé au corps de cette fille noire réagit.
Ma chatte se met à couler, j’y porte la main et je me caresse doucement, avec juste un doigt sur mon clitoris.
Je finis par partir et émettre à mon tour un gémissement de plaisir.

• Tu as aimé, tu veux que je te caresse.

C’est dans un murmure qu’elle me parle, ses yeux plongeant dans les miens.
Au dortoir, dans une telle situation, nous faisions attention aux rondes que les surveillantes faisaient.
Dans cette maison à Marie Galante, nous pouvons donner libre cours à nos instincts et quand elle monte jusqu’à moi, nos bouches se collent dans un baiser qui me laisse pantoise.
Elle a des lèvres plus épaisses que les miennes.
Tiens et si en venant ici, faisait-elle un retour aux sources !
Mais c’est loin d’être le moment d’avoir de telles pensées, car sa bouche me quitte pour mieux se retrouver sur ma chatte.
J’aurais déjà pu connaître des amours lesbiens avec sœur Odile.
C’est très bon et très doux alors au lieu de lui donner une baffe comme à la pauvre sœur, je me laisse faire et rapidement j’ai un orgasme bien plus fort qu’avec les garçons du squat.
J’ai eu mon plaisir, mais elle veut le sien, elle vient, au-dessus de moi, reprendre ses grands coups de langue et j'en fais de même quand sa chatte vient se poser sur mes lèvres.
J’arrive facilement à faire ce 69, chiffre que j’ai lu dans un de ces livres.
J’ai un deuxième orgasme en même temps qu’elle.
Elle se tourne, vient dans mes bras, son corps contre le mien bizarrement est moins brûlant comme avant nos ébats.
Je trouve rapidement le sommeil, ce petit exercice aura été fort utile pour trouver la paix malgré la chaleur.

Au petit déjeuner, Agnès, petite brune toujours en mouvement qui était là quand nous sommes arrivés, assistante du metteur en scène prend la parole.

• J’ai eu John au téléphone tout à l’heure, en appelant l’hôpital.
Il est en chemin et sera là dans une demi-heure.
Mauvaise nouvelle, inutile de monter les projecteurs, Brigitte est retournée en France par avion spécial de l’assureur pour être opéré par un ponte.

Comme elle l’a dit, John arrive, la mine défaite.

• Vous connaissez la situation, je vais m’occuper de changer les billets pour votre retour.
• Nous serons payés !
• Armant, tu es payé à la scène, pas de scène, pas de paye.
• C’est inadmissible, dès que je rentre, je vous mets aux prud’hommes, on verra qui a raison.
• J’ai eu le producteur, il serait prêt à faire un effort, si nous trouvons une idée en commun.
• La belle Fantasme peut reprendre le rôle principal.
• Une brune, la chatte rasée, le rôle permettait de comparer le blanc et le noir.
Le rôle est fait pour une blonde avec une touffe sur la chatte comme celle de Brigitte de France.
Allez me chercher une blonde qui sache faire du cinéma porno.

Armant, tourne la tête son regard tombe sur moi.

• Dis, petite, tu es blonde naturelle avec une touffe.
• Oui, pourquoi...