COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison V (14/15)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison V (14/15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(14.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison V (14/15)
Nous venons de dépasser la ville de Chagny, nous sommes passés devant un restaurant me rappelant des souvenirs de vacances, il y a quatre ans.
« Labellois» restaurant a trois étoiles.
Que de chemins parcourus, certes, en kilomètres, une partie à pied, mais surtout dans ma connaissance de la vie.
Cette année-là, j’étais encore une jeune fille de bonne famille trouvant normal que trois ou quatre serveurs tournent autour de nous pour nous servir.
De quel droit, mes parents leur donnaient-ils des ordres trouvant tel ou tel plat, trop chaud, trop froid alors que cette cuisine était divine.
Manger les légumes cultivés par soi-même comme le fait Anna, quel plaisir simple.
Jusqu’à découvrir sur un parking, là encore, un simple cassoulet réchauffé sur un petit réchaud suffit à un homme pour se sustenter .
Cet homme, c’est le chauffeur d’un gros camion auquel Rocco demande de nous emmener vers Avignon dans le sud de la France.
Un instant, j’ai l’impression qu’il me dévisage au point de me sentir nue devant lui.

• Ton chien, il est imposant avec sa grosse mâchoire.
• Rien à craindre, il restera à nos pieds, il m'obéira, soyez sans crainte.
Brutus, couché.

Le chien se couche à nos pieds.

• Je vous emmène jusqu’à Villefranche, je vais décharger là-bas.
Ça fait quinze jours que je suis parti de chez-moi et je dois dire que j’ai les couilles bien chargées.
Je vais derrière ces buissons derrière mon camion, ta copine me fait une petite fellation et je vous emmène jusqu’aux portes de Lyon.
• Tu me prends pour une pute, connard, va te faire enculer, Brutus.

Le chien se relève menaçant.

• Coucher Brutus, suis-moi, j’ai à te parler.

Nous nous déplaçons à l’avant du camion, le chauffeur finissant son cassoulet.

• Prudence, sur la route, il faut saisir toutes les opportunités, tu voulais savoir ce que j’ai fait depuis que je t’ai quitté !
Je me suis rendu vers l’Abbaye de Cîteaux chez un vieux routard qui s’est rangé, mais il continue à se faire approvisionner par un vieux couple qui se promène en camping-car.
Ils étaient en retard, la frontière, même si elle est libre entre la France et la Belgique était très surveillée.
Ils ont attendu que ça se calme, dans un camping, la mule péchant en attendant.

Je comprends que la mule, ce sont ces gens qui ont ramené la résine de cannabis.

• J’ai dû les attendre et sucer Sergio, me faisant enculer avant de récupérer le paquet qui est dans ton sac avec les 200 grammes que j’ai partagés avec Anna.
Ce chauffeur veut bien nous faire faire plus de 100 kilomètres avec son camion et toi tu rechignes à lui sucer la bite.
• Excuse Rocco prend mon sac, je vais aller dans les buissons, s’il veut toujours nous emmener.

Je suis estomaqué, Rocco mon homme si viril et bien monté en suçant la bite de Sergio et s’est fait sodomiser pour moins d’un kilo d’herbe pour que nous puissions fumer.
Je devrais prendre mes jambes à mon cou, mais l’amour rend aveugle, j’ai lu ça dans un des nombreux livres que je lisais alors que j’étais une petite fille sage.

• Je veux bien aller dans le buisson derrière votre camion, monsieur.

Le chauffeur vient de ranger son pliant et son réchaud dans un petit coffre sous son camion, se lève et le contourne par l’arrière, il jette sa boîte vide et la jette dans une poubelle.
Il passe les arbres, s’appuie sur l’un d’eux, enlève ses bretelles, ouvre sa braguette.
Rocco en a une grosse, la sienne est bien plus petite.
Elle a de grosses veines saillantes comme les varices, d’un de mes grands-pères que j’ai très peu connus, j’avais 9 ans quand il est mort.
Je m’agenouille, et je la prends dans ma main, approchant mes lèvres.
Sucer Rocco homme que l’on aime, même si nous étant lavé dans un étang, l’odeur peut être dérangeante.
Faire bander un homme pour faire des kilomètres plus rapidement, c’est à la limite d’avoir envie de dégueuler.
L’image de Rocco à quatre pattes se faisant enculer m’aide à aller jusqu’au bout et de le pomper.
Rapidement, sa bite se développe et je la masturbe plus fortement.
De son côté le chauffeur m’attrape par mes oreilles à les décoller et rythme l’entrée et la sortie de sa bouche.

• Tu vois que comme toutes les femmes, tu es une pute, mais je reconnais que tu es la reine des suceuses.
Tient.

Se « tient » précède la première giclée de sperme que je reçois dans ma bouche.
Il a parlé de 15 jours de route, je le constate manquant de m’étouffer tellement il se déverse dans ma gorge.
Par chance, les traits de sperme se tarissent et je peux lâcher cette bite qui pour autant reste bien rigide.

• Viens petite salope, baisse ton pantalon et mets toi à quatre pattes, je vais t’enculer, mes couilles sont loin d’être vides.
• Brutus !

Je tourne la tête, Rocco est derrière un arbre, regardant ou surveillant que le chauffeur avait un comportement normal avec moi.
Il est marrant de parler de comportement normal lorsque l’on vient de faire une pipe à un mec qu’il y a à peine une demi-heure, on ignorait son existence.

• Je rigolais, c’est bon, on va y aller, sinon je risque de me mettre en retard.
• Brutus coucher.

Je rejoins Rocco suivi du chauffeur, Rocco ouvre la porte de la cabine certainement pour éviter de voir le chauffeur monter et démarrer, nous laissant en plan.
Il me donne un mouchoir, j’ai du sperme au coin de mes lèvres.
Il lance les sacs à dos sur la couchette derrière les sièges et aide Brutus pour qu’il grimpe.
Il pète un coup comme à sa mauvaise habitude, heureusement le fumet se dissipe à l’extérieur de la cabine du camion.
Je le suis et par chance Rocco me met la main aux fesses ce qui me fait du bien.

Sur le tableau de bord derrière le pare-brise, je vois une plaque comme celle des voitures, à l’envers.
RANAN, Le R étant à l’envers NANAR, le mec que je viens de sucer et ai avalé son sperme, a le surnom de Nanar.
Je me garde bien de lui demander s’il s’appelle Bernard, si j’étais un homme, je m’en battrais la queue.

Nous arrivons à Chalon nord où nous prenons l’autoroute.
Je vois Tournus, Mâcon, puis Villefranche-sur-Saône
• C’est là que je vais vous laisser, je vous aurais bien emmené plus loin, mais je risque de me mettre en retard.

Je reconnais l’endroit, le péage de Villefranche, lors de nos départs en vacances, nous sommes souvent passés par là.
Je sais que Lyon est tout proche et qu’il nous sera difficile de traverser la ville.
Je regarde Rocco me souvenant de ce qu’il a dit concernant les opportunités à saisir.
Je mets ma main sur la cuisse de notre chauffeur remontant jusqu’à sa verge.

• Nanar, tu nous fais traverser Lyon, tu t’arrêtes sur le parking après les raffineries, nous allons dans ta couchette et tu me baises.
Banco ?

Là encore je me souviens des odeurs de ces raffineries à la sortie de Lyon.
Nanar se gratte la tête, Rocco est hilare.

• Banco, je vous conduis après Feyzin.

Nous traversons Lyon, j’ai laissé ma main sur le pantalon de Nanar, je me demande si ma proposition est très correcte pour une jeune fille de bonne famille.
Nanar bande de nouveau.
Nous venons de traverser Le Rhône, le trafic est important, est-ce ma main sur sa verge qui le déconcentre, ça pile, nous rentrons dans les fesses de celui de devant et je sens que derrière ça nous percute aussi.
Nanar jure et descend, il se dirige vers l’avant puis part vers l’arrière.
Un bouchon se forme rapidement.

• Viens, suis-moi Prudence.

Il saute du camion suivi de Brutus, je lui jette les sacs à dos et nous nous faufilons jusqu’à une station-service où certainement Nanar se serait arrêté pour me sauter.
Pas un regard pour Nanar qui doit se retrouver dans la merde.
Mais nous en foutons, Lyon est passé et dès que nous trouvons un coin pénard, nous montons la tente.
Rocco sort de quoi nous faire un joint et alors que j’ai enlevé mon pantalon, il le roule avant de me faire tirer une taffe.

J’ai sucé le chauffeur pour éviter de marcher à la demande de Rocco, mais je suis heureuse d’avoir évité de baiser avec lui.
Le joint commence à me faire de l’effet et c’est avec un grand plaisir de la retrouver que je me mets à sucer sa verge.
C’est sur le tapis de sol de la tente retrouvant la vie à la dure que j’écarte mes cuisses et que je reçois son sexe qui m’a tellement manqué.
Mon dos me fait un peu encore mal, mais je supporte la douleur après la peur que j’ai eu qu’il m’ait quittée et abandonnée, même si j’étais bien chez Anna avec qui j’ai appris les plaisirs lesbiens.

Que dire des quelques jours suivants, rien sinon que nous marchons d’un bon pas le long de la nationale que nous avons recommencé à suivre ?

C’est là que nous arrivons à Montélimar.
Nous passons devant un supermarché, j’ai besoin de tampon, j’ai presque épuisé ceux que j’avais récupérés dans le squat parisien.
Chaque fois dans ces lieux de débauche à la consommation, je me sens obligée de chouraver quelques petits trucs.
Dans ce temple de l’opulence que j’ai fui en quittant mes parents et le bien-être que leur fric m’apportait, je glisse dans la poche de ma veste trois barres de nougats du pays.
Une pour mon homme, une pour moi et une pour Brutus, il adore les sucreries.
Je passe à la caisse, je pose les tampons boîte de 16 à 4,90, je donne un billet de 5 et la jeune femme me rend mes 10 centimes.

Je passe les barrières de sécurité, un grand noir m’arrête et me demande d’ouvrir mes poches.
Je me mets à détaller et je profite de ce qu’une vieille femme entre avec un caddy pour passer et lui échapper.
On aurait dit que Brutus avait senti que j’avais besoin d’aide, car il a quitté Rocco qui m’attend avec nos sacs assis sur des caddys assez loin de l’entrée.

• Mademoiselle, arrêtez-vous, police.

Je vois Brutus, attaquer le policier le plus proche alors que l’autre me ceinture.
Dans la fraction de seconde, j’entends le bruit d’une détonation...

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