COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison V et fin de l’histoire (15/15)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison V et fin de l’histoire (15/15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Prudence, l’iroquoise. Saison V et fin de l’histoire (15/15)
• Mademoiselle, arrêtez-vous police.

C’est ce que me cria un homme se mettant sur mon chemin, bien sûr, je continue ma fuite, mais le coup de feu m’a sonnée comme si j’avais reçu un coup poing.
Je sens qu’une main m’attrape je donne un coup de pied, qui arrive dans les couilles de l’homme qui voulait m’arrêter.
Dans le mouvement, c’est là que je vois Brutus au sol, cette fraction de seconde m’est fatale.
On m’attrape, mais dans un dernier instinct de liberté comme une furie je mords le gras d’un bras, la personne hurle.
C’est à ce moment que l’agent de sécurité qui voulait voir mes poches arrive à la rescousse et je me retrouve plaqué au sol, mon visage à dix centimètres de la dépouille de Brutus, nul doute qu’il a cessé de vivre pour me défendre.

• Menottez là et emmenez là au poste.

Les policiers me relèvent et me font monter dans la voiture de police.
Près de son garage à caddys, je vois Rocco, prendre les deux sacs et passer derrière des voitures, sans qu’on le voie.
Je sais qu’il y a des chances qu’en partant, il me protège, car c’est dans mon sac qu’il y a la drogue.
Si la police m’attrape avec, le vol de barre de nougat se transformera en trafic de drogue.

Au poste où je suis interrogé, ils veulent savoir qui je suis.
Par chance, ma carte d’identité était dans mon sac à dos et je me contente de fermer ma gueule.
Je dois pouvoir m’en sortir avec un rappel à la loi, même si je suis fautive de larcins.
C’est à ce moment que mon regard se pose sur une feuille d’un avis de recherche.
C’est bien moi et par malchance, avant, l’un des policiers doit le voir aussi et se pose des questions, car il me regarde et regarde l’affiche.

• Chef, Prudence la jeune fille qu’il recherche à Paris, elle est derrière vous.

Le chef se retourne, prend l’affiche et la met près de mon visage.

• Gardez-la-moi au chaud, nous avons reçu des ordres d’appeler le ministère à Paris, si nous retrouvions cette jeune Prudence.
Êtes-vous bien mademoiselle Prudence ?

Comment nier l’évidence, je me trouve transférée à Paris, je retrouve tous ceux que j’avais voulu fuir en suivant Rocco et Brutus ?

Ça fait trois ans que je suis revenue à Paris et surtout chez mes parents dans les premiers jours.
Mon père a fait jouer ses contacts pour me ramener si l'on me retrouvait.
La première chose que j’ai subie, c’est le rasage de mon crâne pour m’enlever ma crête, l’iroquoise redevenant Prudence.
Je suis mineur et je suis placée en internat dans une école privée afin que cette année je réussisse mon bac.
C’est fait avec mention très bien.
Dans cette école, je retrouve Ludivine, la petite-fille de Tatie Danielle.
Contrairement à moi, c’est d’elle-même qu’elle est revenue dans sa famille.
Je devais être chez Anna lorsque l’information a été donnée de son retour et je l’ignorais.
Elle a voulu m’imiter, mais a pris peur et est sagement rentrée chez elle, mais ses parents l’ont envoyée ici.
Mais ça nous a rapprochés, j’ai appris à aimer les femmes dans mon périple avec Rocco et Brutus que je pleure.
C’est tout naturellement qu’un jour, je la rejoins dans sa couche et que j’ai le plaisir de retrouver les plaisirs saphiques.
Les jeunes filles de bonnes familles placées là sont admiratives de mon histoire et aussi de mon crâne rasé, je deviens rapidement celle qui les domine.
Dès que la surveillante passe voir si nous sommes sagement couchées, je rejoins Ludivine pour quelques minutes et nous nous donnons du plaisir.

Le bac en poche nous décidons de passer en fac ensemble et faire du droit.
Avec l’appui de nos parents, qui ignorent notre liaison, nous nous inscrivons à la Sorbonne pour faire du droit.
Pour moi, il est hors de question que je retourne auprès de ce couple de dégénérés, mais je passe deux jours tout de même chez eux.
J’ai récupéré un portable ou j’arrive à photographier chacun de mes parents avec Alice, la petite bonne en situation très explicite.
Sur Internet, j’ai en vue un petit deux-pièces sur le boulevard Saint-Michel.
La conversation avec ma mère a été la suivante.

• Maman, je voudrais que vous me louiez l’appartement que j’ai vu et mis une option près de la Sorbonne.
• Va demander à ton père, il est hors de question que je décide seule après ce que tu nous as fait, même si tu as ton bac, je te rappelle que pendant quelques mois encore tu es mineure.
• Regarde cette photo et la liste des dames qui t’aident dans tes œuvres de charité.
Que diraient-elles si elles savaient que tu te gouines avec ta bonne ?
• Tu m’auras tout fait, je vais voir ce que je peux faire.

Le même jour, j’entre dans la banque avec un paquet de photocopies et je vais voir mon père qui me reçoit dans son bureau.

• Papa, je voudrais que vous me louiez l’appartement que j’ai vu et mis une option près de la Sorbonne.
• Il est hors de question que je cède à ta demande après ce que tu nous as fait, si tu veux t’émanciper, tu te trouves du travail comme moi, j’ai fait lorsque j’étais jeune.
Il va sans dire, qu’à partir de ce moment, tu te démerdes dans la vie, tu nous as ridiculisés devant tous nos amis et tu persistes en te promenant la tête rasée.

J’ai pris quelques photocopies et me levant, je les ai balancées en l'air, certaines retombant sur son bureau.

• Très bien papa, je vais descendre jusque dans le hall et jeter ces jolies photos montrant mon père se faisant sucer par notre jeune bonne Alice alors que tu es confortablement assis dans ton fauteuil.
Je pense qu’ils seront ravis de voir que le père la rigueur qui les dirige se fait sucer par une jeune fille.

Deux jours plus tard, j’emménageais boulevard Saint-Michel, avec un pécule mensuel de 2 000 €.
Restait à ce que Ludivine vienne me rejoindre.
Elle a demandé à ses parents qui ont dû prendre peur, car ils refusent.
C’est là que j’ai eu l’idée d’aller voir Tatie Danielle en Côte d’or.
Elle a été enchantée de me recevoir de nouveau, mais cette fois dans son canapé.
De retour à Paris j’ignore, comment elle a fait, mais la semaine suivante, Ludivine emménageait avec moi pour le plus grand plaisir de nos corps et de nos finances, ses parents lui allouant 1 200 € pour vivre.

Nous avons vécu de travail et d’amour dès la rentrée de septembre.
Un dimanche de temps en temps, nous allons chez ses parents, jamais chez les miens.
Je m’en fiche, ils payent.
Le seul problème, les hommes, la bite de Rocco me manquait et j’ignorais ce qu’il était devenu.
J’avais arrêté de snifer, mais j’avais initié Ludivine aux joints de hache.
À la Sorbonne, j’ai vite repéré le manège d’un jeune qui à partir de ce moment nous fournissait de quoi fumer et délirer ensemble.
Je vais chez lui quand j’ai besoin de produit, il me baise, j’y prends mon pied et il me fait un gros rabais.
Un seul souci, Ludivine, elle est toujours vierge et voudrait tâter de la bite.
J’ai bien une autre liaison avec un des profs d’un lycée voisin de la Sorbonne venu voir sa femme professeure elle aussi, mais tromper sa femme lui pose déjà un problème, mon dealer hors de question.

C’est là qu’un soir on a sonné à notre porte alors que nous regardions « la grande vadrouille, » blottis dans les bras l’une de l’autre, éclatant de rire à chaque facétie des acteurs.
Je suis allée voir, c’était un jeune homme qui au premier abord m’était inconnu.
Musculeux comme mon chauffeur de camion sur mon parking après Chagny que j’avais sucé pour la première fois sous les yeux de Rocco.

• Benoit, tu as bien changé, tu es méconnaissable.
• La dernière fois où nous nous sommes vus chez mes parents, j’ai pris conscience du garçon que j’étais et que c’était pour cela que je me prenais des râteaux auprès des filles.
Je suis allée dans une salle de sport soulever de la fonte et j’ai perdu mes boutons grâce à ma tante qui m’a appris à devenir un homme.
• Entre, je te présente Ludivine,mon amie nous habitons ensemble.
• Je sais, Aurélie ma tante a été à un repas ou tes parents se trouvaient et c’est elle qui m’a dit où vous résidiez.
• Aurélie, celle qui était au dernier repas que nous avons fait ensemble.
• Ça te choque !
• Après la vie que j’ai vécue, comment être choquée, car tu te tapes la sœur de ton père.
• Tapait Prudence, elle a rencontré un Américain et est partie avec lui à Dallas.

Ces retrouvailles, c’était il y a six mois, six mois de vie à trois avec entre temps mes 18 ans, mais un virement continuant à arriver sur mon compte.
Le contrat, un peu forcé avec mes parents, courant jusqu’à ce que je sois majeure.
Dès ce premier soir, nous avons fait ménage à trois.
Dès le premier soir, Benoit nous a baisées comme des reines, dépucelant Ludivine.
Dès le premier soir, tout a été clair entre nous, à vie je resterai célibataire.
À vie, Ludivine aura des enfants avec lui, mais moi non.

En ce moment, nous roulons vers chez Tatie Danielle, alors que je suis au volant d'une Audi offerte par mes parents pour ma majorité.
Ils ont compris que je serais toujours rebelle et qu’ils auraient beau tout faire, mon expérience avec Rocco m’aura marqué définitivement.

Après trois jours chez la grand-mère de Ludivine, j’ai pris rendez-vous avec Anna qui m’a confirmé que Rocco avait disparu de la circulation.
J’ai rendez-vous avec mes amis à la boutique où elle a accepté ainsi qu’eux que je me fasse tatouer malgré ses réticences, assez petit Brutus sur un sein et Rocco sur l’autre.
Pour Brutus, ce sera en souvenir de celui qui m’avait donné tant d’affection jusqu’à m’offrir sa vie.
Nous avons prévu d’aller jusqu’à Montélimar pour déposer une rose à l’endroit où il est tombé.
Ludivine et Benoit voulaient que nous poursuivions jusqu’à Avignon, le festival commençant dans cette période.
Je suis heureuse au sein de notre trio et j’aurais peur de ce que je ferais si je le rencontrais.
Nous passerons Avignon, nous avons réservé un hôtel à Agde où je vais pouvoir montrer à tous mon dos et mes seins ma fierté d’avoir un jour pris la décision de changer ma vie.

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