COLLECTION ZONE ROUGE. Retrouvailles (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Retrouvailles (1/1)
- Va connard, baise ma femme au milieu de ces invités pendant que tu y es !
- Ta femme, regarde, elle manque de sexe, elle quémande ma queue pauvre naze !
Cette altercation entre Susy, Fred et moi, elle se passe dans le salon de nos amis Alain et Michelle.
Je suis un garçon calme et gentil, mais là ce bellâtre mérite mon poing que je lui envoie dans la gueule, prenant Susy rudement par le poignet et la faisant sortir pour retrouver notre voiture.
Je la tire avec rudesse courroucée comme jamais par la prunelle de mes yeux.
Cinq ans que nous sommes mariés et que je la respecte.
Dans notre voiture, ma colère est telle que conduisant d’une main, j’ouvre ma braguette et je sors ma queue.
Je lui prends les cheveux et je la force à me faire une fellation.
C’est la première fois que je lui fais sucer ma queue et est-ce l’alcool qu’elle a bu, elle me pompe sans rechigner.
Rapidement nous sommes devant le pavillon que nous venons de faire construire et dans lequel nous avons emménagé il y a quinze jours.
Cette soirée à six couples plus Fred, dont j’ignorais le retour, c’était notre première sortie et je voulais qu’elle soit cool.
Je saute de notre voiture, la contourne, ouvre la portière de Susy, la reprends par le bras la queue toujours hors de mon pantalon.
Le tenant d’une main, j’arrive devant la porte, récupère ma clef me retrouvant le pantalon au bas des pieds.
Qu’importe ma colère est toujours à son sommet et je la pousse vers le salon, manquant de me casser la figure.
J’arrive à défaire, mon pantalon avec mes chaussures tout en la tenant et lorsque c’est fait je lui arrache sa robe ainsi que son string rose que je lui ai offert pour son anniversaire.
Je la force à se mettre à quatre pattes et avant qu’elle ait le temps de me dire quoi que ce soit, je lui fourre ma bite dans la chatte jusqu’à exploser dans une gerbe de plaisir.
La salope, je pense que mon courroux serait retombé, mais l’orgasme qui la traverse est tel, que ma colère redouble.
Je la reprends par ses cheveux, je la traine jusqu’à la porte restée ouverte et je la fiche dehors entièrement nue.
- Va rejoindre l’autre connard sale pute.
La porte refermée, je vais dans notre chambre et encore avec ma chemise, je m’écroule sur notre lit où je m’endors en une fraction de seconde.
Lorsque je finis par entendre la sonnette, j’ai du mal à émerger.
Mon bras cherche Susy et en même temps que ce qui s’est passé me revient, je vois qu’elle est toujours absente.
J’enfile mon peignoir et je rejoins la porte qui est simplement repoussée.
- Violaine, capitaine de gendarmerie, madame Susy, c’est bien votre femme !
- Oui, où est-elle, je pensais qu’elle allait rentrer ?
- Elle a été agressée sur l’espace pour enfants et elle est à l’hôpital !
- Mon dieu, ma femme est morte à cause de moi.
- Qui vous dit qu’elle est morte, elle a été violée par sodomisation et nous avons trouvé des traces sur ses poignets et autour de son cou.
Son agresseur l’a laissée pour morte, mais elle a survécu et est dans le coma à l’hôpital.
- Je dois reconnaitre que je l’ai un peu rudoyée hier dans notre voiture et ici dans notre salon avant de la mettre dehors entièrement nue, mais c’est tout.
Je me suis endormi d’une masse et c’est vos coups de sonnette qui m’ont réveillé.
- Sergent, arrêtez monsieur Florentin, passez-lui les menottes et emmenez-le à la gendarmerie, présentez-lui ses droits.
- Je peux passer mon pantalon, il est dans le salon.
- Suivez le sergent et emmenez-le, je vous attends.
Deux gendarmes m’entourent et c’est sous les yeux des voisins médusés de voir leur nouveau partir menotté que je me retrouve au poste.
- Donnez-moi votre version de votre soirée, mais avant voulez-vous faire appel à un avocat.
- A part des rapports un peu tumultueux avec ma femme et le fait de l’avoir mis dehors, je suis étranger à ce qui semble lui être arrivé.
Je pensais qu’elle allait rentrer.
- Notez sergent, monsieur Florentin dit se passer d’avocat.
Je raconte l’altercation avec Fred et le retour à la maison.
- Dite-nous qu’une fois dehors vous avez poursuivi votre femme, vous l’avez rattrapée dans l’espace de jeux et qu’en la strangulant vous l’avez sodomisée sur la pelouse.
- Je l’ai baisée dans sa chatte dans notre salon, pour son anus, ce doit être son étrangleur.
Je voudrais voir ma femme capitaine !
- Pour que vous alliez l’achever !
Des prélèvements de spermes ont été faits, nous verrons bien si ce que vous dites est vrai.
Ils me prennent mes empreintes, récupèrent des cellules dans ma bouche pour un test ADN et me photographient pour le dossier.
Je me retrouve dans une cage, prenant conscience que je suis dans la merde.
- Florentin, la capitaine vient d’être appelée à l’hôpital, Susy s’est réveillée.
Le gendarme qui me parle, c’est Adrien un copain d’enfance qui est entré dans la gendarmerie.
C’est un peu plus tard que je suis libéré.
- Adrien, conduisez monsieur Florentin vers sa femme.
J’échappe à toute poursuite malgré ce que j’ai fait.
- Chéri, excuse de mon comportement lors de la soirée, je vais tout t’expliquer.
C’est la déposition qu’elle a faite à Violaine la gendarmette qu’elle me fait presque au mot près.
- Lorsque nous nous sommes mariés, tu savais que j’avais déjà eu des rapports avec un homme.
Un seul et cet homme s’était Fred.
J’étais à quelques jours de mes 17 ans quand je l’ai rencontré au bal du 14 Juillet.
Nous avons sympathisé et il m’a proposé de me raccompagner dans sa voiture.
Devant chez mes parents, il m’a aidé à descendre et a voulu m’embrasser.
J’ai accepté pensant qu’un baiser lui suffirait.
Il en voulait plus et a essayé de passer sa main sous ma jupe.
Je l’ai repoussé et il est devenu comme fou.
Il m’a couchée sur le capot de la voiture et en me retournant il a soulevé ma jupe, a arraché ma culotte et est entré en moi.
Mon chéri il m’a violée, mais sa queue, bien plus grosse que la tienne m’a fait éclater de plaisir après une légère douleur.
Lorsqu’il s’est libéré et qu’il m’a libérée, je suis rentrée me réfugier dans ma chambre.
Pendant plusieurs semaines, j’ai eu peur qu’il m’ait fait un enfant.
Par chance, j’y ai échappé jusqu’à ce que je te rencontre et que tu me demandes en mariage et que tu me rends heureuse.
C’était mon secret, au début de notre rencontre plusieurs fois j’ai essayé de partager ce secret, mais chaque fois j’ai reculé.
- Je le connaissais et j’ai su qu’il avait quitté notre village, c’est à la suite de ça !
Tu aurais dû avoir le courage de me le dire, je comprends qu’il soit parti.
- Oui, il a eu peur que je le dénonce et il est parti dans la légion jusqu’à son retour à la soirée d’Alain et Michelle ou j’ai été étonnée qu’il soit là.
Je l’ai évité toute la soirée, buvant plus que de raison.
Mais ils se sont mis à danser jusqu’au slow ou sans le vouloir, je me suis retrouvée près de lui.
Avant que je réagisse il s’est collé à moi me faisant sentir sa queue qui m’avait dépucelé et fait jouir.
C’est à ce moment où tu es intervenu et que j’ai fini nue devant notre porte.
- Je pensais que tu allais rentrer, je suis allé dans notre chambre et c’est lorsque la police m’a réveillé que j’ai pris conscience de ce que j’avais fait mon cœur.
- Je me suis avancée vers le centre-ville et d’un coup j’ai vu les phares d’une voiture, j’étais près des jeux pour enfants.
La voiture s’est arrêtée et Fred en est descendu, avant que j’aie eu le temps de réagir il était sur moi.
Il m’a poussé vers la pelouse, marmonnant qu’il venait chez nous se venger du coup de poing que tu lui avais asséné.
Je me suis retrouvée par terre à quatre pattes.
J’ai senti qu’il se dégrafait et il m’a dit qu’il m’avait déjà dépucelé la chatte et qu’il allait m’avoir des deux côtés en m’enculant.
Sur le capot de la voiture, il m’avait pris sans ménagement et là encore il est directement entré en moi me perforant l’anus.
C’est à ce moment qu’il s’est mis à me serrer le cou pour m’étrangler.
Avant de perdre connaissance, je l’ai senti aller, venir en moi et j’ai vaguement le souvenir d’un liquide chaud qui m’a inondé.
Je me suis réveillé dans cette chambre.
Ils ont fait des prélèvements d’ADN, ils ont trouvé les deux vôtres et il recherche Fred.
J’ai aidé Susy à sortir de l’hôpital.
Nous avons décidé de nous pardonner nos comportements.
- Susy, es-tu certaine que Fred t’a simplement pilonné l’anus, ta chatte est restée vierge ce coup-ci ?
- C’est parce que je viens de te faire voir le test positif de grossesse que tu me poses la question !
- Élever un bâtard de ce salopard qui a dû retourner se cacher dans le sud de la France dans la légion.
Adrien mon copain gendarme vient de me dire qu’ils avaient des images d’une caméra de surveillance le montrant dans le train en partant vers Nice.
Aubagne étant le siège de la légion, ils pensent qu’il est parti là-bas.
Mon fils est né, je me demande lorsque j’ai pris Susy à quatre pattes dans le salon la rudoyant si ça avait déclenché la grossesse de ma femme.
Ce soir, comme tous les soirs, j’attends Susy pour faire mon devoir conjugal.
Nous voudrions rapidement notre fille, mais il m’arrive souvent de sodomiser ma chérie qui en redemande.
J’ai compris que l’amour pépère comme avant très peu pour elle et qu’un peu de rudesse était loin de lui déplaire.
Nous sommes ce que je peux appeler un couple heureux un peu grâce à Fred.
- Ta femme, regarde, elle manque de sexe, elle quémande ma queue pauvre naze !
Cette altercation entre Susy, Fred et moi, elle se passe dans le salon de nos amis Alain et Michelle.
Je suis un garçon calme et gentil, mais là ce bellâtre mérite mon poing que je lui envoie dans la gueule, prenant Susy rudement par le poignet et la faisant sortir pour retrouver notre voiture.
Je la tire avec rudesse courroucée comme jamais par la prunelle de mes yeux.
Cinq ans que nous sommes mariés et que je la respecte.
Dans notre voiture, ma colère est telle que conduisant d’une main, j’ouvre ma braguette et je sors ma queue.
Je lui prends les cheveux et je la force à me faire une fellation.
C’est la première fois que je lui fais sucer ma queue et est-ce l’alcool qu’elle a bu, elle me pompe sans rechigner.
Rapidement nous sommes devant le pavillon que nous venons de faire construire et dans lequel nous avons emménagé il y a quinze jours.
Cette soirée à six couples plus Fred, dont j’ignorais le retour, c’était notre première sortie et je voulais qu’elle soit cool.
Je saute de notre voiture, la contourne, ouvre la portière de Susy, la reprends par le bras la queue toujours hors de mon pantalon.
Le tenant d’une main, j’arrive devant la porte, récupère ma clef me retrouvant le pantalon au bas des pieds.
Qu’importe ma colère est toujours à son sommet et je la pousse vers le salon, manquant de me casser la figure.
J’arrive à défaire, mon pantalon avec mes chaussures tout en la tenant et lorsque c’est fait je lui arrache sa robe ainsi que son string rose que je lui ai offert pour son anniversaire.
Je la force à se mettre à quatre pattes et avant qu’elle ait le temps de me dire quoi que ce soit, je lui fourre ma bite dans la chatte jusqu’à exploser dans une gerbe de plaisir.
La salope, je pense que mon courroux serait retombé, mais l’orgasme qui la traverse est tel, que ma colère redouble.
Je la reprends par ses cheveux, je la traine jusqu’à la porte restée ouverte et je la fiche dehors entièrement nue.
- Va rejoindre l’autre connard sale pute.
La porte refermée, je vais dans notre chambre et encore avec ma chemise, je m’écroule sur notre lit où je m’endors en une fraction de seconde.
Lorsque je finis par entendre la sonnette, j’ai du mal à émerger.
Mon bras cherche Susy et en même temps que ce qui s’est passé me revient, je vois qu’elle est toujours absente.
J’enfile mon peignoir et je rejoins la porte qui est simplement repoussée.
- Violaine, capitaine de gendarmerie, madame Susy, c’est bien votre femme !
- Oui, où est-elle, je pensais qu’elle allait rentrer ?
- Elle a été agressée sur l’espace pour enfants et elle est à l’hôpital !
- Mon dieu, ma femme est morte à cause de moi.
- Qui vous dit qu’elle est morte, elle a été violée par sodomisation et nous avons trouvé des traces sur ses poignets et autour de son cou.
Son agresseur l’a laissée pour morte, mais elle a survécu et est dans le coma à l’hôpital.
- Je dois reconnaitre que je l’ai un peu rudoyée hier dans notre voiture et ici dans notre salon avant de la mettre dehors entièrement nue, mais c’est tout.
Je me suis endormi d’une masse et c’est vos coups de sonnette qui m’ont réveillé.
- Sergent, arrêtez monsieur Florentin, passez-lui les menottes et emmenez-le à la gendarmerie, présentez-lui ses droits.
- Je peux passer mon pantalon, il est dans le salon.
- Suivez le sergent et emmenez-le, je vous attends.
Deux gendarmes m’entourent et c’est sous les yeux des voisins médusés de voir leur nouveau partir menotté que je me retrouve au poste.
- Donnez-moi votre version de votre soirée, mais avant voulez-vous faire appel à un avocat.
- A part des rapports un peu tumultueux avec ma femme et le fait de l’avoir mis dehors, je suis étranger à ce qui semble lui être arrivé.
Je pensais qu’elle allait rentrer.
- Notez sergent, monsieur Florentin dit se passer d’avocat.
Je raconte l’altercation avec Fred et le retour à la maison.
- Dite-nous qu’une fois dehors vous avez poursuivi votre femme, vous l’avez rattrapée dans l’espace de jeux et qu’en la strangulant vous l’avez sodomisée sur la pelouse.
- Je l’ai baisée dans sa chatte dans notre salon, pour son anus, ce doit être son étrangleur.
Je voudrais voir ma femme capitaine !
- Pour que vous alliez l’achever !
Des prélèvements de spermes ont été faits, nous verrons bien si ce que vous dites est vrai.
Ils me prennent mes empreintes, récupèrent des cellules dans ma bouche pour un test ADN et me photographient pour le dossier.
Je me retrouve dans une cage, prenant conscience que je suis dans la merde.
- Florentin, la capitaine vient d’être appelée à l’hôpital, Susy s’est réveillée.
Le gendarme qui me parle, c’est Adrien un copain d’enfance qui est entré dans la gendarmerie.
C’est un peu plus tard que je suis libéré.
- Adrien, conduisez monsieur Florentin vers sa femme.
J’échappe à toute poursuite malgré ce que j’ai fait.
- Chéri, excuse de mon comportement lors de la soirée, je vais tout t’expliquer.
C’est la déposition qu’elle a faite à Violaine la gendarmette qu’elle me fait presque au mot près.
- Lorsque nous nous sommes mariés, tu savais que j’avais déjà eu des rapports avec un homme.
Un seul et cet homme s’était Fred.
J’étais à quelques jours de mes 17 ans quand je l’ai rencontré au bal du 14 Juillet.
Nous avons sympathisé et il m’a proposé de me raccompagner dans sa voiture.
Devant chez mes parents, il m’a aidé à descendre et a voulu m’embrasser.
J’ai accepté pensant qu’un baiser lui suffirait.
Il en voulait plus et a essayé de passer sa main sous ma jupe.
Je l’ai repoussé et il est devenu comme fou.
Il m’a couchée sur le capot de la voiture et en me retournant il a soulevé ma jupe, a arraché ma culotte et est entré en moi.
Mon chéri il m’a violée, mais sa queue, bien plus grosse que la tienne m’a fait éclater de plaisir après une légère douleur.
Lorsqu’il s’est libéré et qu’il m’a libérée, je suis rentrée me réfugier dans ma chambre.
Pendant plusieurs semaines, j’ai eu peur qu’il m’ait fait un enfant.
Par chance, j’y ai échappé jusqu’à ce que je te rencontre et que tu me demandes en mariage et que tu me rends heureuse.
C’était mon secret, au début de notre rencontre plusieurs fois j’ai essayé de partager ce secret, mais chaque fois j’ai reculé.
- Je le connaissais et j’ai su qu’il avait quitté notre village, c’est à la suite de ça !
Tu aurais dû avoir le courage de me le dire, je comprends qu’il soit parti.
- Oui, il a eu peur que je le dénonce et il est parti dans la légion jusqu’à son retour à la soirée d’Alain et Michelle ou j’ai été étonnée qu’il soit là.
Je l’ai évité toute la soirée, buvant plus que de raison.
Mais ils se sont mis à danser jusqu’au slow ou sans le vouloir, je me suis retrouvée près de lui.
Avant que je réagisse il s’est collé à moi me faisant sentir sa queue qui m’avait dépucelé et fait jouir.
C’est à ce moment où tu es intervenu et que j’ai fini nue devant notre porte.
- Je pensais que tu allais rentrer, je suis allé dans notre chambre et c’est lorsque la police m’a réveillé que j’ai pris conscience de ce que j’avais fait mon cœur.
- Je me suis avancée vers le centre-ville et d’un coup j’ai vu les phares d’une voiture, j’étais près des jeux pour enfants.
La voiture s’est arrêtée et Fred en est descendu, avant que j’aie eu le temps de réagir il était sur moi.
Il m’a poussé vers la pelouse, marmonnant qu’il venait chez nous se venger du coup de poing que tu lui avais asséné.
Je me suis retrouvée par terre à quatre pattes.
J’ai senti qu’il se dégrafait et il m’a dit qu’il m’avait déjà dépucelé la chatte et qu’il allait m’avoir des deux côtés en m’enculant.
Sur le capot de la voiture, il m’avait pris sans ménagement et là encore il est directement entré en moi me perforant l’anus.
C’est à ce moment qu’il s’est mis à me serrer le cou pour m’étrangler.
Avant de perdre connaissance, je l’ai senti aller, venir en moi et j’ai vaguement le souvenir d’un liquide chaud qui m’a inondé.
Je me suis réveillé dans cette chambre.
Ils ont fait des prélèvements d’ADN, ils ont trouvé les deux vôtres et il recherche Fred.
J’ai aidé Susy à sortir de l’hôpital.
Nous avons décidé de nous pardonner nos comportements.
- Susy, es-tu certaine que Fred t’a simplement pilonné l’anus, ta chatte est restée vierge ce coup-ci ?
- C’est parce que je viens de te faire voir le test positif de grossesse que tu me poses la question !
- Élever un bâtard de ce salopard qui a dû retourner se cacher dans le sud de la France dans la légion.
Adrien mon copain gendarme vient de me dire qu’ils avaient des images d’une caméra de surveillance le montrant dans le train en partant vers Nice.
Aubagne étant le siège de la légion, ils pensent qu’il est parti là-bas.
Mon fils est né, je me demande lorsque j’ai pris Susy à quatre pattes dans le salon la rudoyant si ça avait déclenché la grossesse de ma femme.
Ce soir, comme tous les soirs, j’attends Susy pour faire mon devoir conjugal.
Nous voudrions rapidement notre fille, mais il m’arrive souvent de sodomiser ma chérie qui en redemande.
J’ai compris que l’amour pépère comme avant très peu pour elle et qu’un peu de rudesse était loin de lui déplaire.
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