Comme un besoin!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Comme un besoin! Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comme un besoin!
Contre toute attente, je revois Bernadette, la voisine du haut. Avec son un mètre soixante, avec une taille encore plus forte. Ses cuisses larges, ses fesses lourdes, très arrondies, qui titillent parfois mon imagination. Sans parler de sa forte poitrine ! Ses cheveux grisonnants frisés.
Je suis sensible aux vibrations qu'elle émet. Toujours en jupes, et pour cause.
Comme aujourd’hui, en l'observant du haut de la fenêtre de ma chambre, alors qu’elle sort de sa Simca. Il ne m’en faut pas plus pour me donner de sales idées.
Je descends quatre à quatre les marches d’escalier, arrivant au même instant qu’elle dans le hall. Sans trop insister, je parviens à la convaincre de me suivre jusqu’à ma garçonnière.
Comme à son habitude, elle est vêtue de sa blouse, inférieure à sa taille. Sans doute pour faire exploser ses formes. Ses mules à très hauts talons qui font ressortir les muscles ses jambes gainées. Agréablement fortes comme deux fuseaux de chair. Que j’ai eu à maintes fois, le privilège de les toucher.
Elle s’approche du sommier, qu’elle connaît bien, puisqu'il lui appartenait jadis. Je me fais une fête de verrouiller la porte d’entrée.
- Déshabille-toi ! Et assied-toi sur le sommier. Me lance-t-elle.
Oh… Que j’aime qu’on me parle comme ça… Autoritaire !
Je me débarrasse illico de mes fringues. Restant en position debout, elle glisse sa main entre mes cuisses poilues et tâte le bout de ma queue érigé. Je sens sur mes couilles l’étoffe de la blouse qui recouvre son avant-bras.
- Qu’est-ce que tu me fais là ? Me réprimande-t-elle ?
Je viens de passer une main sous la blouse. Je passe un doigt sur le nylon que je pince avec le pouce pour la tirer vers le bas.
- Mais… petit vilain… Tu me déculottes ? Je n'y crois pas !
Cela me fait sourire. Je goûte avec les doigts la douceur moite de sa peau à l'intérieur des cuisses gainées de nylon couleur chair, qu'elle écarte. La chaleur de sa fourche n'a d'égale que son excitation ! Je pousse ma main derrière le cul de la rombière pour prendre le collant à la ceinture et le faire descendre très lentement sur la courbure des fesses. Je la fais glisser tout le long de sa pleine lune. Que je souligne de mon doigt fureteur à l'intérieur du sillon inter-fessier.
- Tu me fais quoi, petit cochon ?
- Devine ?
Je constate un suintement très révélateur de son état. Mais veut-elle se soustraire à ma caresse en obstruant le passage à la main présomptueuse qui tente de lui titiller sa chatte ?
- Aller, Bernadette… Écarte-les…
Cette femme réveille en moi un instinct de domination, le même que j’éprouvais avec mes partenaires plus jeunes. Mais voilà que pour mon plus grand plaisir, elle écarte, enfin les cuisses afin de laisser libre à ma main de fourrager dans les pétales de sa corolle.
- Mais… dis-moi, tu as pissé dans ton collant ?
- Je n’ai pas fait pipi…
- C’est quoi ça ?
Je sortis de sous sa blouse ma main que je colle sous son nez.
- Sens-moi ça…
- Non mais ça ne va pas… Hurle-t-elle.
Impatient, je remets ma main dans son panier. Au parfum de crevette. Elle se laisse comme toujours, tripoter le minou. Écartant au maximum ses cuisses sous la pression de mes doigts qui la rendent toujours plus poisseuse. Je sens les chairs clapoter sous les attouchements. Un bruit de succion qui rappelle celui d'un bébé tétant son pouce !
Je m'applique à évaser le trou du vagin. Attaquant les muqueuses salement lubrifiées par les sécrétions visqueuses. Mes doigts s'enfoncent dans le terrain marécageux. Putain quel pied, que cela me fait du bien de toucher cette femme.
- Tu vois ma fille ? Me lance-t-elle.
- Muriel ? Oui de temps à autre.
- Tu la touches ?
- Quand elle me le demande, oui !
Ses mains comme à son habitude, ne restent pas inactives. Elles s’attardent sur mon entrejambe. Elle me flatte de quelques tapes sur les couilles comme si elle cherche à me punir de ce qu’elle venait d’entendre.
Elle serre ses cuisses sur mon poignet, pour m’empêcher sans doute de partir, cette fois ! Ses jambes sont ficelées par le collant roulé au ras des fesses. Le poil lisse par la mouille n’est pas moins soyeux qu'un foin d’artichaut. Je fais du défrichement avec mon index malicieux et l’agace. Je provoque ainsi l’érection du bouton, qui durcit sous la caresse comme le fait, la pointe de son sein droit.
Je tire sur son clitoris. Sachant très bien qu’elle aime cela. Bernadette se cambre et se déhanche en un mouvement simultané avant de se redresser dans ma main. Celle-là même qui la fait juter de plus belle.
Elle m’échappe un instant pour se placer à l'extrémité du sommier. Après s’être séparé de son collant. Elle s'accroupit pour récupérer une de mes couilles dans sa bouche. Elle fait comme si elle dénoyautait des olives et enfin saliver ma verge longue et fine. Ce qu'elle fait avec application. Je la regarde faire ...
Elle est comme une chienne qui joue avec son os et ne le lâche pas d’un pouce ! La gardant jalousement, elle le lape bruyamment. Elle la lèche et le re-lèche après l'avoir sorti de sa bouche. Entrainant avec elle des filaments de bave qu'elle récupère d'un balayage savant sur ses pommettes rougissantes avant de l'engloutir à nouveau jusqu'à la glotte. Le pommeau de ma queue lui déforme sa joue. Comme le ferait une boule de sucette sur les joues d'une petite fille. Elle suce et re-suce tout en lançant des œillades dans ma direction. Bernadette a vraiment le coup pour me mettre dans un état de jouissance extrême !
Elle bloque sa fellation, pour me lancer.
- Viens t’occuper de moi, veux-tu ? Tu m’as mis dans un tel état !
Je me demande à cet instant, pourquoi toutes mes maîtresses ont tendance à toutes désirer que je les lèche ! Je ne porte pourtant pas sur ma figure une inscription sur mon goût de lécher la chatte ou l’anus des dames.
Cependant, Bernadette me réserve une surprise. Elle m’attrape à la taille en se servant de ses jambes comme des tentacules et m’attire sur elle.
- Caresse-moi mes seins et tète-moi ensuite, comme tu fis si bien !
Bernadette, a de quoi remplir mes mains. Et ses tétines sont les plus grosses que je n’ai jamais tenues. Longues, épaisses et bistres, elles ressemblent à des doigts. Je les pince, les étire, les tords, la faisant gémir.
- Suce-les ! M’ordonne-t-elle.
Je pense que des mamelons pareils font penser à des bites de garçonnets. C’est avec plaisir que j’en prends un en bouche. La peau au goût salé se granule sous ma langue pendant qu’elle s’agrippe à moi des pieds et des mains. Elle frotte sa chatte trempée sur ma queue. A-t-elle l’intention de me faire jouir de cette manière ? Me privant de l’accès de sa grotte.
Mais Bernadette, bien que très excitée, cesse son manège à plusieurs reprises. Juste au moment où j’allais conclure. Elle me rend à moitié fou de désir inassouvi.
Je suce et mordille les mamelons. Elle bredouille un :
- Sale gosse, tu veux me faire perdre la tête, hein ?
Malgré son surpoids, avec une souplesse étonnante, elle place ses jambes contre sa poitrine. M’exposant ainsi une fente béante et rose entourée de boucles noires.
- Qu’est-ce que tu attends pour faire ton travail ? Me coupant net dans ma contemplation.
Je plonge, tête en avant sur son sexe. Bernadette emprisonne ma tête entre ses cuisses. Avec mon nez premier, je masse le clitoris, tout en léchant les bords du vagin de la pointe de ma langue. La voisine pousse un cri d’extase.
- Ah, que j’aime ce cochon !
Elle gigote comme une folle. Faisant grincer le vieux sommier. En amant raffiné, je profite de ses contorsions pour lui glisser une main sous ses fesses et lui enfoncer un doigt dans le cul. Elle se fige, la bouche ouverte avant de dire d’une voix rauque.
- Ne bouge plus ! Reste comme tu es !
Je m’exécute et attends. Contre mon nez, je sens palpiter la chair chaude de la vulve. Dont les sécrétions envahissent ma bouche. Bernadette coule comme une fontaine et sa mouille a un goût âpre.
Elle desserre l’étau de ses cuisses sur mes joues. Elle m’ordonne de m’accroupir au pied du sommier. Ensuite, elle se retourne pour se mettre à genoux sur le sommier, les reins cambrés, la croupe tendue dans une invite éloquente.
- Je suis certaine que tu as l’intention encore de m'enculer, vicieux gamin comme tu es !
Je la saisis à la taille. Mon gland glisse dans l’entrejambe avant d'atteindre l'entrée du vagin, dans lequel je m’enfonce avec lenteur. Je touche le fond avec l'impression d'avoir mis ma queue dans une machine à traire. Bernadette joue parfaitement avec des parois de son vagin comme une masseuse des doigts.
- Salaud. Oh oui, une bite dans ma chatte, enfin ! Vas-y, chéri, défonce-moi !
Ses fesses heurtent avec une cadence effrénée, mon ventre. Bernadette se met à onduler des fesses et des hanches pour faciliter le mouvement de va-et-vient à l’intérieur de son con. Poisseux, brûlant, le vagin se referme et se dilate par contractions successives sur mon membre pour m'aspirer et le repousser.
Elle n’a pas reçu de bite dans la chatte depuis longtemps. (ses dires). Elle a rapidement un orgasme qui la cisaille, l'amène au bord de l’évanouissement. Je fais ce que je peux pour la soutenir, éviter qu'elle s'effondre, tout en continuant à la limer au petit trot.
De la chatte, coule une mouille visqueuse, qui couvre mes couilles et le haut de mes cuisses.
J’ai de plus en plus de mal à pouvoir me retenir. Je sens la sève qui monte inexorablement. Je me laisse partir. Mon plaisir explose au centre du corps de la voisine, et se propage jusqu’au bout de mes orteils et de mes doigts.
Incapable de me contenir, je hurle ma jouissance, ma libération. Mes muscles se tendent une dernière fois avant de se relâcher complètement. Je m’écroule sur ma partenaire qui ne me repousse pas. Encore en elle, je sens des contractions régulières sur mon membre. C’est plus que je peux supporter. Après ma jouissance, mon sexe me semble trop sensible. C’est la dernière chose que Bernadette veut me montrer. Le plaisir après le plaisir. Jusqu’à ce que ma verge soit complètement dégonflée. Elle joue à m’enserrer fortement de ses muscles intimes, autant pour me donner du plaisir que pour profiter de ces derniers moments.

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