Con-voisinage

Récit érotique écrit par Pessac [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Con-voisinage
Il est des images fugitives qui s’imprègnent durablement dans votre esprit pour ressurgir de loin en loin, dans vos rêves ou cauchemars notamment. Instantanés liés à des événements heureux ou tristes.
Images simples parfois aussi, qui dégagent, bien qu’elles soient parfaitement anodines, un érotisme envoûtant. Clichés qui resurgissent régulièrement dans votre dernier rêve du matin, juste avant le réveil.
Je dois plusieurs de ces images à ma charmante voisine.
La première est celle qu’elle m’a offerte un matin en ouvrant ses volets battants. Simplement vêtue d’un t-shirt jaune (vu l’allège de la fenêtre, je n’en voyais pas plus), le tissu léger s’était tendu puisqu’elle était en extension vers l’extérieur. Ses seins libres pointaient allègrement et marquaient nettement l’étoffe. Lorsqu’elle me vit, elle parut vouloir cacher ses marqueurs gênants d’une excitation dont les origines m’étaient inconnues, elle entama même un geste de protection mais se ravisa aussitôt. Elle me sourit, me salua et disparut en refermant sa fenêtre. Peut-on imaginer image plus candide que celle-là ? D’autant que la donzelle n’est pas pourvue d’une poitrine phénoménale, loin, très loin s’en faut.
Sur le moment, j’avais souri, à peine émoustillé. Simplement amusé. Et j’oubliais l’apparition.
Pourtant, c’est bien cette image qui s’imprima dans mon esprit et ressurgit quelques semaines plus tard, à l’instant du réveil. Était-elle vraiment responsable de mon érection matinale ? J’en ai un peu douté.
Quelques semaines plus tard, un soir, au début de l’été, je jetais un œil à travers la fenêtre de ma chambre au troisième niveau de ma maison quand je la vis en bas, appuyée sur le montant de sa porte cochère. Son mari (?) se tenait au trois-quarts derrière elle. "Lucie" (je ne connaissais pas son prénom à l’époque) portait un crop-top sans manches ni bretelles, un simple bandeau moulant en fait qui laissait voir son petit ventre plat. Visiblement, elle ne portait aucun soutien-gorge, comme sa poitrine, très menue, l’y autorisait. Mais tout aussi visiblement, il me sauta aux yeux que la jeune femme dardait deux pointes affolantes !
"Lucie" portait en outre et surtout une mini-jupe bariolée, extrêmement courte. Ras la figoulette pour tout dire !
Dans notre impasse déserte, "Lucie" fumait négligemment une cigarette, l’air faussement indifférent. Son gars, l’air de rien lui aussi, regardait... nulle part, les yeux dans le vague. Son bras gauche m’était invisible, masqué par le corps de sa compagne.
Était-ce mon imagination ou la réalité, mais il me sembla que sa main gauche était plaquée sur, voire sous, les fesses de la jeune femme. Laquelle me paraissait s’être arquée vers l’arrière et vu ses cuisses passablement écartées, j’imaginais que son bonhomme avait troussé sa jupe pour lui glisser quelques phalanges dans la boutique. La branlait-il réellement, explorait-il vraiment son petit couffin ?
Entre deux bouffées de cibiche, Lucie quémanda les lèvres de son compagnon, elle se dévissa le cou et le couple, sans changer aucunement de position, s’embrassa langoureusement pendant que les fesses de la jeune femme s’ancraient résolument sur la main de l’homme. C’était du moins l’impression que j’avais eu.
Vérité ou fantasme, le saurais-je jamais ?
La séquence m’avait en tous cas fait bander spontanément et son souvenir quelques matins plus loin justifia cette fois parfaitement ma très convaincante érection matutinale.
J’étais célibataire depuis quelques mois, ma dernière compagne étant partie voguer vers d’autres cieux. Un autre pieu en l’occurrence... et on donnera au mot le double sens qu’il convient !
Plutôt bien fait de ma personne, je n’avais aucun mal à soulever l’un ou l’autre petit cul aimable en allant traîner en boîte, quand le besoin s’en faisait sentir.
J’ai la chance de travailler chez moi : je suis dessinateur-illustrateur de livres et BD, travaille pour plusieurs maison d’édition, et ai produit en solo deux albums d’histoires (érotiques !) qui se vendent particulièrement bien, m’assurant, au-delà des contrats ponctuels, des revenus confortables. Je vivais donc tranquille comme Basile, tel Alexandre le Bienheureux, sans attache et surtout sans contrainte. Peinard.
La séquence « Porche lascif » étaient revenue plusieurs fois hanter mes petits matins. Curieux comme une concierge, je m’étais mis à observer plus que de raison ce qui pouvait bien se passer dans la maison d’en face. En fait, pas grand-chose d’intéressant, rien qui puisse enflammer mon imaginaire. Le « mari » partait tôt chaque matin, revenait au logis peu après dix-sept heures. Depuis mon bureau, j’apercevais « Lucie » sortant presque chaque jour avec sa petite fille de quelques mois dans une poussette. Je la trouvais toujours très sexy, qu’elle soit en jean qui moulait son petit cul adorable ou en mini qui dévoilait haut ses longues jambes. Même vêtue d’une longue saharienne, elle m’apparaissait très désirable, tant la grâce de ses mouvements était envoûtante. Je me surpris à utiliser ses traits et sa silhouette gracile pour l'héroïne d’une BD d’aventures dont j’avais le contrat.
Le temps était passé sans qu’aucun événement marquant vienne nourrir mes fantasmes.
L’été s’étirait dans l’indolence de sa chaleur pesante. Une après-midi, je finalisais une planche d’une BD (érotique) à paraître. J’avais terminé le fond-décor de la dernière case à l’aérographe et presque fini l’aquarellage. Encore trois planches et je pourrais livrer mon travail à l’éditeur : j’étais certain que l’autrice de l’ouvrage serait pleinement satisfaite de mon travail et je fantasmais sur la façon qu’elle aurait de me récompenser comme il se doit pour la précision anatomique de mes dessins. Bon, d’accord, je fantasmais... n’ayant par ailleurs aucune idée ni de l’âge, ni du physique de l’autrice en question. Ni de ses éventuelles disponibilités et ouvertures... d’esprit. Mais vu son écriture, on pouvait imaginer le pire. Ou le meilleur en l’occurrence...
Il faisait donc un temps magnifique ce jour-là, grand ciel bleu et chaleur écrasante. Étouffante pour tout dire, anesthésiante : quarante et un degrés indiquait mon thermomètre digital pour l’extérieur, à peine trois degrés de moins derrière mes épais murs. Anéanti par cette pesante atmosphère, je mettais défait de mon t-shirt, une inexplicable pudeur m’avait fait conserver juste mon slip boxer noir.
Le ciel s’était obscurci tout à coup, à tel point que j’avais failli allumer ma lampe de bureau. Mais je préférais abandonner mon travail pour profiter de l’illusoire impression de fraîcheur de la pénombre.
Un éclair déchira les cieux et des trombes d’eau s’abattirent brutalement sur la ville. En quelques instants, mon impasse ne fut plus qu’un torrent bouillonnant. Surtout de mon côté, la rue étant légèrement inclinée.
Observant le rideau d’eau derrière ma fenêtre, je distinguais, mal, tant l’averse était dense, l’ouverture de la double porte cochère de ma voisine et une forme indistincte refoulant avec un balai les vagues d’eau qui avait envahi son entrée. La maison d’en face, je le savais, disposait derrière ses portes d’une petite cour mais l’eau y tombait depuis trois toits différents et noyait l’entrée. Moi, je n’avais rien à craindre, le niveau de mon garage étant bien plus haut que la rue.
Je bondis hors de mon bureau, attrapais une large raclette et m’apprêtais à traverser la rue quand je réalisais ma tenue.
"Oh baste, me dis-je, avec cette épouvantable chaleur, ma tenue se justifiait. Et mon boxer noir n’était pas loin de passer pour un slip de bain."
Le temps de traverser les trois mètres soixante de la ruelle, j’arrivais trempé comme une soupe de l’autre côté et me mis immédiatement à l’œuvre à côté de ma voisine qui faisait ce qu’elle pouvait avec un pauvre balai. Pendant de longues minutes, nous avons bataillé contre les flots furieux qui dégringolaient des toits, les évacuant vers la ruelle.
Puis, par enchantement, la pluie cessa d’un seul coup d’un seul. Le soleil réapparut aussitôt, chassant les derniers nuages. C’est alors que nous nous étions regardé ma voisine et moi. Aussi trempés l’un que l’autre, moi en boxer, elle, portant un tee-shirt dépenaillé, très ample mais qui trempé par la pluie lui collait à la peau. Dessous, un slip blanc, en mailles passablement lâches.
— Mille mercis... Monsieur... ?
Je me présentais :
— Gaël.
— Lucie, me répondit-elle.
Ben voilà, cette fois, je savais !
Nous avons continué à faire disparaitre les traces humides vers la rue. Je ne pouvais m’empêcher de lorgner la donzelle. Son tee-shirt dessinait parfaitement deux petits seins croquignolets dont les tétons érigés, sombres, transparaissaient sous le tissu rendu diaphane par la pluie. Quant à son slip, mouillé ou pas, les mailles de son filet étaient bien assez larges pour ne pas cacher grand-chose ni de son sombre buisson, ni de la géographie de son sexe.
Lucie remarqua mes regards, se détourna quelque peu en rougissant.
— Je n’imaginais pas que quiconque viendrait à mon secours et ça été si soudain que je n’ai pas eu temps de m’habiller décemment. Avec cette chaleur...
— Moi de même, répondis-je, me détournant à mon tour, gêné.
Mon boxer, trempé, ne laissait rien voir de mon anatomie mais l’érection qui pointait m’obligeait à me dissimuler.
— Je ne sais pas comment vous remercier. Vous voulez boire quelque chose.
— Euh... Non merci, répondis-je. Je ne veux rien voir... euh pardon...boire !
J’avais vu tout ce qu’il y avait à voir et mon lapsus nous fit rougir l’un et l’autre.
— Je vous laisse, et comme dirais Brassens, rendez-vous au prochain orage...
Elle devait connaître la chanson, car elle rougit à nouveau.
Elle s’approcha de moi et me colla une bise sonore sur la joue.
"Elle avait quelque chose d'un ange"... comme chantait Georges dans une autre rengaine et le démon qui sommeillait en moi faillit me faire faire des bêtises !
Plusieurs mois s’écoulèrent ensuite, presqu’un an en fait. La poupette de Lucie marchait désormais. J’avais remarqué depuis mars que le « mari » ne quittait plus la maison chaque matin, ne revenait plus chaque soir. Mais parfois le week-end, il arrêtait sa voiture moteur tournant devant le numéro six, récupérait la gamine et repartait aussitôt. Pas besoin de sortir de St-Cyr pour comprendre que le couple s’était séparé. J’avais ressenti une joie, malsaine je le reconnais, en faisant ce constat. C’est que les images de ma jolie voisine, tétons dressés sous un t-shirt, lascive contre son compagnon affairé et bien sûr, trempée et moitié nue sous l’orage ne me quittaient pas.
Coup de sonnette un dimanche matin.
— Excusez-moi Gaël (bingo, elle avait retenu mon prénom !), j’ai un souci avec mon lave-linge. J’ai de l’eau partout dans ma buanderie. Vous pourriez jeter un coup d’œil ?
Encore une histoire d’eau ! Décidemment !
...
Quatre bons centimètres d’eau savonneuse se sont effectivement répandus dans la buanderie, quatre centimètres correspondant à la différence de niveau entre la pièce et le couloir. Dans nos vieilles maisons du XVIIIème siècle du centre-ville, chaque pièce est à hauteur différente des autres !
J’enlève mes chaussures, mes chaussettes et tente de remonter les jambes de mon pantalon. Mais ces saloperies de jean’s slim ne permettent pas de retrousser bien haut. Je décide donc de m’en défaire :
— C’est pas comme si tu ne m’avais jamais vu en boxer !
Elle rit ! Visiblement satisfaite aussi qu’on en arrive au tutoiement.
— Y a pire comme spectacle tu sais ! lâche-t-elle avec une petit sourire malin.
J’entre dans la buanderie, patauge dans l’eau somme toute malodorante et dégage un tout petit peu la machine du mur. Je repère immédiatement la cause du problème : le tuyau d’évacuation est fendu aux trois quarts dans le coude juste après la sortie. Trop plaqué contre le mur en crépi rugueux, le tuyau doit au long des cycles de lavages et d’essorages frotter fort contre le mur, ce qui explique l’usure et la rupture du caoutchouc. Mais, allez savoir pourquoi... je fais celui qui n’a rien vu !
— Il va falloir pencher la machine en arrière, que je puisse regarder dessous. J’aurai besoin de ton aide.
Je quitte mon polo qui serait inévitablement mouillé si je m’allongeais plus ou moins dans l’eau stagnante. À quatre pattes, mollets et avant-bras dans la mousse, je suis dans une position ... intéressante ! Lucie s’approche à mon invite et curieusement, s’accroupit jambes écartées. Pas vraiment la position idoine pour maintenir la machine !
Je vois qu’elle porte un slip blanc. Le même, à peu de chose près, que celui de l’intervention précédente : larges mailles, sauf que cette fois, le sous-vêtement (trop serré ?) a assez largement été englouti dans sa fente, faisant saillir les grandes lèvres marbrées de son coquillage...
Lucie se relève aussitôt pour ôter sa mini-jupe.
— J’enlève ma jupe car elle risquerait d’être mouillée. Et bon, dit-elle en riant, ce n’est pas comme si tu ne m’avais jamais vu en slip, n’est-ce pas ?
Elle réajuste les pans de son slip sous mon nez, sans complexe.
J’acquiesce silencieusement. Le slip doit vraiment être trop petit : dès qu’elle se baisse, il re-disparait illico dans son fendu, laissant apparaitre les trois quarts de son sexe visiblement emperlé de mouille. À nouveau, elle tente de couvrir ses lèvres mais la manœuvre s’avère inutile : deux secondes plus tard, bien accroupie cette fois, cuisses ouvertes, le slip disparait bien entendu dans son fendu ! Cette fois, elle fait celle qui n’a rien remarqué. Je me garde bien de lui faire la moindre remarque : j’ai plein phare sur sa délicieuse coucougne.
Je comprends qu’il est inutile pour moi de m’allonger dans l’eau savonneuse : la petite garce cherche bien autre chose qu’un réparateur ce jour-là. J’ouvre la trappe avant, en bas de la machine, desserre la bonde, extirpe toutes les cochonneries accumulées dans le filtre avant de refermer l’ensemble.
Je me relève, décale un peu plus la machine du mur. Je lui montre le tuyau percé que je viens "juste" de découvrir !.
— Il est là le souci. Est-ce que tu as du scotch armé par hasard ?
Lucie se relève, fouille dans une armoire et me rapporte un rouleau. La coquine, debout, stationne à cinq centimètres de moi, sa salle des fêtes emperlée à hauteur de mon nez ! J’enroule le scotch, coupe le bout.
— Bon, il ne devrait plus y avoir de problème désormais. Mais il faudra changer le tuyau au plus vite.
Évidemment, je pourrais lui sauter dessus immédiatement, elle n’attend que ça la maligne. Mais je préfère temporiser.
— Il ne nous reste plus qu’à éponger désormais !
Nous nous mettons à l’œuvre avec entrain : armé de pelles de ménage, nous vidons l’eau vers l’entrée où elle disparait dans une petite évacuation du sol. La manœuvre requiert pas mal d’huile de coude, d’énergie et nous donne chaud. Enfin, encore plus chaud. Lucie ne tarde pas à se défaire son petit polo.
— J’ai trop chaud, explique-t-elle, un petit sourire en coin.
Elle porte un soutien-gorge noir, beaucoup trop grand pour ses petits nichons, en voile transparent et qui de toute façon, ne sert strictement à rien : ses sombres tétons pointent très visiblement sous le voile diaphane !
Nous voilà donc quasi à poil tous les deux dans la très glamour buanderie de la dame. Alors que nous finissons d’évacuer les dernières flaques d’eau, Lucie me demande :
— On peut relancer le cycle de lavage ? La fuite est bel et bien réparée ?
— Celle de la machine à laver, oui. Mais pour l’autre, il va falloir utiliser un bon chalumeau !
— Quelle autre fuite, me demande-t-elle étonnée.
— Mais celle-ci, dis-je en plaquant ma main dans son entrejambe. J’ai l’impression que la fuite est sévère.
Lucie a à peine sursauté sous mon geste, la voilà même qui s’abaisse sur ma main, ouvre le compas de ses cuisses. Je viens cueillir sa bouche. Elle ne se défend pas, bien au contraire, elle me roule un patin d’enfer, projette une langue gourmande dans ma bouche. Alors que nous nous galochons furieusement, ma main tente d'écarter les pans de son slip, pour libérer l’accès à sa chatte.
— Attend, me souffle-t-elle.
Elle fait glisser son slip étrangleur de minou, s’en débarrasse et revient chercher mes doigts.
— Ton chalumeau, il est là, dans son emballage ?
Ses doigts se sont agrippés à mon manche. Brièvement. Car déjà, elle fait glisser mon boxer qui ne tarde pas à voler dans la pièce. Elle tombe à genoux et entreprend d’astiquer l’outil !
Elle entreprend bien fort la garce et mon pointeau grimpe direct à midi moins dix !
— Viens, me dit-elle en m’entraînant vers le lave-linge où elle s’installe, cuisses totalement écartée.
Elle écarte ses lèvres, dévoile ses petites nymphes écarlates qui tranchent d’avec ses grandes lèvres sombres. Je vois son antre déjà béant et palpitant.
— Baise-moi Gaël, baise-fort ! J’en ai envie depuis si longtemps.
Je ne lui demande aucune précision de date : pas le temps. Il y a urgence absolue !
— Je te préviens ma chérie, je ne tiendrai pas jusqu’à l’essorage !
— Pas besoin, bourre-moi fort, baise-moi mon salaud, je suis déjà au bord de la rupture. Décalamine ma cheminée !
En bon technicien de maintenance, j’applique les consignes de la fiche 314 B, à moins que ce ne soit celles de la 68.8 triple X. Oui, plutôt celle-là en fait ! Je bourrine, je burine l’atelier de Vénus, m’enfonce en elle à lui plaquer mes couilles au cul, je la tringle, je lui explose la tirelire, lui démonte son tiroir. Si le lave-linge bute contre le mur, ce n’est pas le cycle de lavage qui est en cause mais bel et bien les poussées de mon marteau-piqueur. Inutile d’en faire trop d’ailleurs, ma petite salope adorée court, vole, s’expédie sans recommandé ni accusé de réception dans le grand cirque cosmique ! Je suis prêt à la rejoindre mais veux me retirer : elle me ceinture et m’empêche de ressortir de son temple, elle me plaque contre elle.
— Décharge dedans, crie-t-elle.
La décharge de plaisir nous envahis en même temps, libératrice, extatique, violente, divine ! Lucie a tourné son visage vers le plafond et je suis certain qu’elle voit comme moi, l’Univers tout entier exploser dans un big bang à la puissance et la beauté sans limites aucunes. C’est Hiroshima mon amour !
— Waouh, dit-elle en se massant le cuir chevelu, putain, c’était kekchose ce charivari ! Merci !
— Merci à toi ma douce petite salope...
Nous nous embrassons tendrement, nous câlinons un bon moment, elle, toujours le cul sur la machine, mon zgeg à peine ramolli toujours plus ou moins enfoncé dans sa sacristie.
Je me retire, observe la belle alanguie.
— Dis, si on allait prendre une douche tous les deux, avant de reprendre notre con...versation ?
— Idiot, mais oui, tu as raison. À la douche.
— Parfait et cette fois tu enlèveras ton inutile soutif ridicule !
— Ben euh, proteste-t-elle vaguement.
— Non mais eh, d’abord, c’est quoi ce truc : bonnets D ?
— Non, bonnets C. C’est le seul que j’ai, il date de ma grossesse...
— Bonnet C ! Seulement ! Tu sais, tu pourrais gagner de l’argent en faisant de la sous-location de m3 libres...
— Ouais, je sais, ils sont ridicules mes nichons, avoue-t-elle, toute tristounette.
— Ils sont adorables tes seins, dis-je en lui enlevant son soutif. Putain, tu n’imagines pas à quel point j’adore tes tétons chocolat !
Avant que j’ai le temps de venir lécher les pics arrogants, Lucie saute de la machine et m’entraîne vers l’étage. Dans la douche, nous sommes sages. Incroyablement sages. C’est à peine si elle me laisse machiner un minimum ses guignolos brun foncé. Mais les ablutions ne traînent pas ! Vaguement séché, elle me demande avec un sourire en coin :
— Bon, on en était où de notre con...versation ? Tu veux quoi maintenant?
Je réfléchis un instant, lui donne l’air d’hésiter.
— Ben, un p’tit café bien serré !
Elle fait la moue la gisquette, elle espérait une autre réponse !
— Un p’tit café et ensuite, tu me feras découvrir ta salle de jeux. Quoique... en fait, ton lit d’abord, le café plus tard !
Lucie s’est jeté à plat ventre sur son lit. Je me coule à côté d’elle, commence à masser ses épaules. Massage lent et profond. Mes mains glissent sur sa colonne, reviennent titiller le dessous de ses aisselles : elle frémit, rit doucement, tortille son popotin.
Je m’agenouille, forçant ses cuisses à s’ouvrir davantage. Je continue les va-et-vient tour à tour légers et appuyés sur sa colonne, ses flancs, ses hanches. Je masse longuement ses cuisses, mes pouces remontant parfois jusqu’à son maljoint : la pauvrette soupire alors, rit, tortille du cul pour inciter mes doigts à entrer dans son labyrinthe. Mais je résiste à l’invite.
J’empaume résolument ses fesses, en écarte les orbes pâles. Ma queue se glisse entre les lunes, appuie vaguement sur la rosette mais prend rapidement la direction de son magasin détrempé. Pour l’arrière-boutique, on verra plus tard. Peut-être...
Mon zob s’introduit à peine dans le vestibule chaud-bouillant, ressort, revient doucement à la charge, s’enfonce délicatement dans le conduit, écarte les murs du con, savoure la douceur ouatée de l’antre surchauffé. Je vais et je viens entre ses reins, doucement, profondément. Lucie grimpe déjà dans les tours, ses hanches ondulent.
— Putain, comme elle est grosse ta queue, elle me comble parfaitement ! souffle-t-elle. Elle va me faire jouir si ça continue !
Non mais oh mam’zelle, on se calme tout de suite ! C’est que je veux bien d’autres choses avant de t’expédier à nouveau dans les étoiles.
Je me retire, saisit la belle et la retourne sur le dos. Je prends un peu de recul, j’admire son fabuleux côté face. Ses seins croquignolets et leurs tétons si incroyablement dressés, son ventre plat, parfaitement tendu, son buisson rectangle, carré plutôt,, sur sa motte très rebondie, pelouse sombre, drue et frisée, parfaitement délimité au-dessus de sa fente. Ses grandes babines marbrées sont écartées, ses petites lèvres écarlates foisonnent, appellent à la gourmandise. Son antre, béant me parait déverser des flots de miellat. À vrai dire, je ne sais pas où donner de la tête, de la langue surtout. Comment choisir entre l’irrésistible fouillis rose foncé de son sexe et les tétons chocolat dont je sens bien qu’ils sont un délice de gastronome ?
Je moyenne, m’allonge sur la belle et les vole ses lèvres. Sa bouche est chaude, avide, ses lèvres charnues sont douces, sa langue, infernale coquine bataille ferme avec la mienne. Nous nous étourdissons de baisers passionnés alors que mes mains sont parties à l’aventure de sa peau. La gauche a pris d’assaut les petites mandarines, titillent les grenus chocolat, appuient les tétins dressés, les malaxent avec précaution. La droite, elle, a plongée entre nos deux corps, plongé dans la fente délicate où elle déplie les ourlets des petites lèvres ciselées, noie ses phalanges dans le lit inondé d’un fleuve tumultueux et aborde, avec circonspection, les portes du tunnel douillet. Pas question de les laisser s’enfiler dans la grotte, pas tout de suite en tous cas.
Submergé d’émotions, de désirs fulgurants, d’envies accumulées, je me résous à abandonner la bouche de Lucie, je descends d’un étage. Mes lèvres goûtent enfin les petits seins blancs et leurs menhirs fièrement édifiés. Incroyables bonbons granités, ma bouche, mes lèvres, ma langue se régalent de leur douceur ferme et élastique, passent de l’un à l’autre, bataillant avec mes doigts qui tournicotent sur ces impressionnants rocs d’ébène. Lucie gémit sous mes caresses, mes succions forcenées, mes léchouilles tarabiscotées. Elle ondule sous mes mains, roule sous les doigts qui fouillent sa chatte. Moi, je suis fou de ses tétons, enivré, saoul de leurs phénoménales érections. Mais la mienne, d’érection, en arrive à en être presque douloureuse. Mon sabre palpite, réclame un fourreau serré et soyeux où plonger, s’engloutir.
Dans la vie, il faut faire des choix et ma queue ne me laisse guère d’alternative : bien sûr que je voudrais boire à la fontaine prodigieuse qui sourd entre ses cuisses, mais ma bite n’en peut plus : le cunni affolé sera pour plus tard !
De toute façon, ma belle aussi appelle au sabrage ! Alors, mon braquemart se présente à l’entrée des artistes. Impatient, il plonge directement au fond de l’antre mousseux, s’étrangle dans les méandres du vagin palpitant, écarte les parois satinées, bute fort contre l’utérus. Ma colonne de chair s’active, élargit le sentier de vénus, va et vient dans le fourreau brûlant. Déglingue vaillamment le tabernacle, comble la gaine frémissante, parcourue de spasmes vite accélérés, irrépressibles. Mon chibre est agité de soubresauts lui aussi, la libération est proche, imminente. Je me contiens comme je peux, attendant juste le décollage de ma chérie.
Fort heureusement pour moi, Lucie embraye brutalement. Du coup, deux, trois plongées féroces de mon pieu et le colosse s’épanche : je jouis, je crache mon venin dans la cambuse, je noie mon foutre dans la soupe incendiée de la grotte aux merveilles ! Je jouis longuement : putain, que c’est bon de sentir les contractions violentes du vagin qui constrictent ma queue, les soubresauts désordonnés du bassin de ma belle déflagrée par l’orgasme. Bon dieu, que c’est bon surtout de voir la guignolette expédiée dans les cieux : je me repais de son orgasme !
Nous jouissons à l’unisson, apprécions cette unicité concomitante beaucoup trop rare pour ne pas être pleinement appréciée.
Le souffle court, je m’effondre sur ma chérie, en prenant soin de ne pas l’écraser de mon poids en restant appuyé sur mes avant-bras. Mais notre bonheur a été si puissant, si ravageur qu’il m’a ôté toutes forces et je roule vite sur le côté, quémandant les lèvres de ma brune. Nous avons des étoiles plein les yeux.
— Dis, tu crois que ce sera toujours aussi fort entre nous ?
Je regarde ma compagne.
— Toujours ? Tu comptes transformer l’essai ? T’as l’intention de me signer un bail ?
Lucie se redresse, plonge son regard dans le mien et énonce gravement :
— Un trois-six-neuf, renouvelable à perpétuité par tacite reconduction si tu veux...
Je respire un grand coup !
— Ma jolie chérie d’amour, je suis bien tenté d’accepter mais que tu ne sais rien de moi ! Tu n’as pas peur de tromper sur moi ?
— Je prends le risque, sans hésiter ! Et une chose est sûre, je sais que je ne serai pas trompée sur la marchandise.
Comme je la regarde, sourcils froncés, interrogatif.
— Ben côté turlute, sûrement pas. Tu as la plus belle queue que j’aie jamais vu !
J’éclate de rire !
— Ma chère, c’est que tu n’as pas dû en voir beaucoup jusqu’ici ! Elle n’est pas phénoménale, pas très longue en tous cas...
— Pas très longue ? Suffisamment pour buter bien fort tout au fond de ma boutique, me tambouriner l’utérus en tous cas ! Mais surtout, elle grosse ta bite, large, épaisse et comble merveilleusement tous les recoins de mon p’tit minou ! Que demander de plus ?
J’avoue que je suis un peu sidéré par la franchise grivoise de la belle.
— On dit que chaque pot à son couvercle, continue-t-elle. Moi je dis que mon pot vient de trouver la cuiller idéale pour touiller ma soupe !
Cette fois, j’éclate de rire.
— Non mais dis-donc toi, tu m’as l’air d’être une sacrée pétroleuse !
Lucie reprend son sérieux :
— Autant que tu le saches tout de suite, je suis une obsédée sexuelle. J’adore la baise, par tous les trous, ajoute-t-elle sur un ton faussement confident. J’aime la baise, au lit, dans toutes les pièces de la maison et ailleurs !
— Ah oui, dis-je, finaud, sous le porche aussi, quasiment dans la rue...
Lucie me regarde avec un petit air intrigué.
— Tu peux bien me le dire maintenant : l’été dernier, je t’ai vu un soir fumant une cigarette, appuyée contre le montant de ta porte. Ton mec, derrière toi, il ne t’avait pas troussé ta ras-la-touffe par hasard, pour te doigter profond ?
— Ah oui ! s’exclame-t-elle, se souvenant de la séquence. T’as vu ça ?
— Ma foi oui ! Je n’étais pas sûr mais j’ai quand même bien bandé devant ce spectacle !
— T’as eu raison. C’était très bon mais pour moi, ça aurait été mille fois meilleur si j’avais su que tu nous matais ! Je suis une obsédée sexuelle doublée d’une exhibitionniste.
— Oh, je sens que nous allons bien nous entendre tous les deux. Tu as d’autres « qualités » petite vicieuse ?
— Ben... Alors ... Je suis vaguement bi aussi. J’imagine que me voir me gouiner avec une nana ne te déplaira pas fondamentalement...
— Surtout si je peux te fourrer ensuite !
— Nous fourrer toutes les deux j’espère !
— À vot’ service mesdames ! Bien entendu ! À part cela, c’est tout, on a fait le tour ?
— Mmm, je sais pas, je vais réfléchir. Quoiqu’il en soit, je ne vais pas forcément tout te dire, il serait bon que je garde une part de mystère !
— Oups ! Que pourrais-tu bien encore me cacher !
— T’inquiète, je ne suis pas scato, ni zoophile, ni surtout pas, surtout pas pédophile. Beurk-beurk-beurk. Pas même sado-maso ! Aucune violence avec moi, je préfère te prévenir ! Bon, me faire bousculer un peu à l’occase, dans le cadre d’un jeu consenti, ok, mais dans la limite du raisonnable.
Je suis assez époustouflé par la franchise de la nana. Sidérant !
— Bien, à mon tour de te rassurer, je souscris pleinement à tout ce que tu viens d’énoncer. Fondamentalement, je suis un caresseur... qui aime juste durcir les échanges à l’occasion
— Parfait, quand je te disais qu’on était fait pour s’entendre. Maintenant, mon petit chéri, je crois qu’on a largement assez bavassé ! Ça, je ne te l’ai pas encore dit, mais sache que je suis insatiable : et donc, je ne serais par contre un bon cunni et une feuille de rose avant que tu m’encules. Ça te va ?
— Non mais toi alors, tu es... impayable ! Mais oui, le programme me convient, je dirais même que tu as lu dans mes pensées !
Ce n’est que vers vingt-deux heures que je suis repassé chez moi, pour nettoyer mon aérographe, refermer mes tubes de gouaches, éteindre la lumière de mon bureau et fermer ma porte à clé.
Avant de retraverser la rue : la nuit promettait d’être agitée !
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La vie avec Lucie coule simplement. En semaine, alors qu’elle a sa petite avec elle, je reste chez moi, je fais juste quelques apparitions pour jouer avec la gamine, notamment quand sa mère doit s’absenter pour faire quelques courses...
Je suis patient avec les mômes, capable de suivre, de précéder leurs attentes, capable de faire rire Chloé aussi, par mes mimiques, mes grimaces. Quel bonheur quand Lucie me découvre à quatre pattes en train de faire le zouave avec sa fille dont le rire cristallin résonne dans la pièce. Le regard qu’elle m’adresse alors est empli d’une infinie tendresse. Rien à voir avec les éclairs lubriques qu’elle me lance quand je viens glisser une patte-croche sous sa jupe (où elle est très souvent nue, la garce).
Une fois dans la semaine, lorsque nous n’y tenons plus, je m’incruste chez elle : nous nous gavons de tendresses, de folies inavouables, en silence pour ne pas réveiller la gamine au sommeil fragile. Je m’enfuis au petit matin.
Évidemment, le meilleur du meilleur, c’est un week-end sur deux, quand Serge, l’ex et accessoirement papa de Chloé emmène la petite chez lui. Je n’ai pas intérêt à être fatigué ces jours–là ! Les jours précédents, je fais des cures de Gurosan et Vitalité 4G (vivement qu’ils sortent une version 5G !), histoire d’être remonté comme un coucou ! Car il s’agit de tenir la distance : la gentille maman réservée, presque timide et (très-très) vaguement pudique se transforme en harpie insatiable et immensément gloutonne dès le samedi après-midi. Cette succube me lamine littéralement et je dois supplier pour pouvoir m’offrir quelques heures de sommeil dans la nuit de samedi à dimanche. Bon, quand popaul déclare forfait, elle est bien obligée d’accepter, pas le choix, de m’accorder un temps de repos !
Mais notez que je ne me plains pas !
Elle a une sacré imagination cette perverse coquine. Si elle décide d’aller faire des courses au supermarché le samedi après-midi, je sais que je n’ai pas intérêt à oublier mon super téléphone Hi-Tech, pourvu d’un appareil-photo 50 Mpx avec objectif grand angle- plus deux objectifs supplémentaires (je ne sais pas à quoi ils servent ces deux-là!). En tous ca, c'est l'outil idéal pour capter ma douce, exagérément penchée dans un rayon pour attraper la plus basse des boites de céréales, quitte d’ailleurs à la reposer pour en prendre une autre (celle qu'elle veut vraiment) juste après. L’intérêt de l’opération ? C’est qu’évidement, Lucie ne porte rien sous sa robe courte et légère et que sa chatoune, toute gonflée de désir est parfaitement visible, grandes lèvres écartées, petites lèvres carminées déployées, le tout à deux mètres cinquante d’une rombière maussade devant elle. C’est l’exhib que je préfère : c’est la position qui me fait bander instantanément. Penchée en avant, le sexe charnu exprime au mieux toute la féminité envoutante des femmes. Une sorte d’animalité brutale qui me rend dingue !
Elle est capable de tout la fofolle, comme s’enfoncer un spray de déo dans la chatière et soulever sa robe pour je puisse juger du résultat, alors que, quasiment collée à elle, une matrone enguirlande son mouflet. Bon, elle fait gaffe tout de même à ne pas être découverte : je surveille ses arrières, elle surveille l’avant, nous échangeons de coups d’œil pour déclencher la pose. Mon téléphone plaqué contre la hanche, je déclenche l’air de rien. Au début, j’ai raté quelques clichés, mal cadrés mais depuis, j’ai trouvé le positionnement parfait.
Nous faisons gaffe donc, mais un jour cependant, alors qu’elle m’avait soulevé sa ras-la-touffe, une jeune femme l’avait repérée. La blondinette était venue se poster à ses côtés et tournée vers mon objectif, elle avait elle aussi soulevé sa robe en même temps que Lucie, robe sous laquelle elle était aussi nue que Lucie. Laquelle l’avait remerciée de son audace complice en lui glissant un léger poutou sur les lèvres. La blonde l’avait alors entrainée dans un recoin du magasin. Accroupies, les deux garcettes m’avaient exposé leurs tabatières de concert ! Remontant ensuite leur hauts pour me dévoiler leurs seins ! La blonde était sacrément achalandée : deux pamplemousses bien murs qui n’auraient pas déparé dans le rayon Fruits et Légumes. Quand les fofolles étaient venues se plaquer contre moi pour me câliner, j’avais compris que l’après-midi allait être chaude ! Les caddies étaient restés en plan dans une allée et nous avions filé dare-dare à la maison sans passer par la case Pay Cash !
La peroxydée nous avait en fait entrainé chez elle et après que les deux amazones avaient très "amplement" fait connaissance, j’avais pu visiter l’appartement de la blonde de fond en comble. Au fond surtout ! Et même si je ne suis pas totalement fan des gros lolos, ceux-là, avec leurs bouchons de carafe vieux rose m’avaient conquis. Sans parler de son bénitier charnu où j’avais fait mes ablutions faciales !
Quand quinze jours plus tard, Lucie avait invité la blonde chez nous, enfin chez elle, je m’étais réjoui mais je n’avais pas imaginé comment les choses allaient tourner...
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Lucie et la blonde Christel ont commencé par se gouiner tendrement. Un de mes spectacles favoris s’il en est que deux femmes en 69, se léchant, se grougnoutant allègrement les nymphettes, s’enfonçant des godes plus ou moins monstrueux dans leurs chattes et jouissant en poussant des cris enamourés.
Après cette exquise mise en bouche, j’avais été invité à me joindre à la fête. Et à la fête, j’y étais : les petits seins fripons de Lucie d’un côté, les grosses loches douces et moelleuses de Christel de l’autre, le petit con foisonnant de ma brune, la belle chatte grasse et baveuse de la blonde, je n’avais pas assez de mes dix doigts pour profiter de leurs trésors ! Et qu’une seule bouche malheureusement pour les embrasser, les lécher, sucer, aspirer leurs tétons, boire leurs mouilles, défriser leurs dentelles pourpres. Bref, j’étais overbooké pendant que ces fabuleuses salopes s’occupaient de mon zgeg, l’une me pompant le nœud, l’autre me suçotant les boules et glissant même une langue dardée jusqu’à mon étoile du nord. Laquelle osait la feuille de rose ? Devinez !
Ce premier round se conclut par une aspersion puissante de liqueur d’homme sur les seins et les tronches de deux filles !
En les voyant se nettoyer consciencieusement l’une l’autre à grands coups de langues râpeuses, se partager ma gelée en galoches gourmandes, j’imaginais que mes deux gouinasses allaient se papouiller quelques temps et par conséquent, me laisser récupérer un moment. C’était sans compter sur la perversité de Lucie...
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Fouillant dans son sac à malice, ma brune extirpe un gode-ceinture qu’elle brandit triomphalement.
Goguenard, je me tourne vers Christel :
— Ma petite chérie, connaissant Lucie, je pense qu’elle va t’enculer profond pendant que je te baiserai. C’est bien ça Lucie, je ne me trompe pas ?
— Ma foi, ce n’est pas exactement ce que j’ai en tête vois-tu...
Comme je reste dans l’expectative, Lucie qui s’est harnachée vient se couler contre moi.
— Tourne-toi mon doudou, me demande-t-elle.
Une idée terrifiante me traverse l’esprit mais j’obéis.
Quelque chose de froid est alors appliqué sur mon trou de balle. Je rue, repasse illico sur le dos.
— Ah non Lucie, tu n’espères quand même pas...
— Oh mais si mon chéri, tu vas goûter aux joies de la sodomie.
— Non mais oh, y a des limites !
— Taratata mon doudou, ne me dit pas que tu as peur ?
— Peur non ! Mais...
— Je vois, tu as surtout peur que ton orgueil de mâle triomphant en prenne un coup c’est ça ?
— Nooon, mais...
Merde, ça, elle ne me l’a jamais fait ! Je n’aurais même pas imaginé qu’elle puisse envisager pareille chose ! M’enculer ? Non mais des fois !
Cela dit, je suis incapable d’avancer un argument convaincant et... suis déjà en train de capituler ! J’ai peur, moyennement, mais quand même... En même temps, je suis passablement excité je dois bien le reconnaitre ! Moi, me faire enculer par ma chérie ! Merde, c’est le cas de le dire !
En fait, oui, putain, ça m’excite incroyablement de me faire mettre profond par ma Lucie !
— C’est bien mon doudou, me susurre la dévergondée. Met-toi à quatre pattes s’te plait ?
Je m’exécute, lentement mais... sûrement !
Christel, s’allonge sous moi, viens capter ma queue qu’elle commence à sucer. Elle sait y faire la garce, je rebande illico, d’autant que j’ai sous les yeux sa chatte dodue. Il suffirait que je me penche un peu pour sucer son bonbon baveux ! Ben tiens, je ne vais pas me gêner !
Lucie fait glisser son gode entre mes fesses, monte et descend, s’arrête quelques instants à hauteur de mon étoile polaire, titille l’anneau de ma turne sombre. Remonte, redescend, s’attarde. Elle pousse la salope, sur l’anneau serré de mon cul, relâche la pression, revient. Je sens la pointe du dildo évaser peu à peu mon cratère pentu. Encore et encore. Elle est cool ma choupinette d’amour, elle y va progress’
— Waouh, je hurle, salope, tu... m’ défonces le... le cul... là !
Tout au fond, elle me pousse le gode tout au fond ! Je halète, j’ahane sous ses coups de butoir, c’est qu’elle me burine à donf la pute !
Je me venge sur la moule de Christel, j’aspire ses nymphes et gobe son bouton avec férocité !
Merde, Lucie va et vient dans mon fondement, elle y met du cœur la garce, ça rentre, ça sort à bon rythme !
Bon, pour être franc, passé l’entrée toni-cul-entre, la sensation n’est pas désagréable. Pas de douleur véritablement mais maintenant que je m’y habitue, je ne peux pas dire non plus que je ressente un véritable plaisir. Plus ça va (et vient !), mieux ça passe. D’accord mais...
Physiquement, j’insiste, je ne peux pas dire que ça soit transcendant, ni transe-aidant. Elle m’encule, ok, j’aime ! J’avoue, j’aime mais je n’en tire pas vraiment de bénéfices sensoriels. Rien qui puisse m’expédier dans les étoiles en tous cas.
Par contre, émotionnellement, c’est fort. Putain, c’est fort ! J’ai désormais le sentiment d’appartenir totalement à ma chérie, ma chérie enculeuse ! Je lui suis totalement soumis, je lui ai offert mon cul, dernier bastion de ma totale soumission à elle et ça, c’est vermeilleusement bon ! Je dis bien, Vermeilleusement !
Je le lui avoue :
— Prends ma chérie, profite de mon joufflu, bourre-moi le cul, acharne-toi sur ma rondelle, je suis à toi, entièrement, définitivement tout à toi.
Je ne sais pas si c’est pareil pour les femmes quand on s’enfonce dans leur arrière-boutique, mais je subodore que cette pénétration est pour elles aussi une sorte de soumission ultime, la dernière offrande faite à leur seigneur et maître. Je hurle :
— Lucie chérie mon amour, tu es ma princesse et maitresse absolue ! Je t’aime quand tu m’encules salope !
La chatte béante de Christel où j’ai enfoncé trois doigts, la bouche de cette putain surexcitée qui s’acharne sur ma queue, le va-et-vient de la pine dans mon cul, et surtout, mon sentiment de servilité absolue aux désirs de Lucie, tout cela me pousse vers la plus phénoménale délivrance du monde.
Putain, je jouis, je jouis dans la bouche de Christel, je jouis dans le bonheur de ma chérie enfoncée en moi, collée à mon cul ! OH ! Merde, c’est trop-trop bon !
Je reste figé, paralysé, cul en l’air, dans mon orgasme transcendant mais mes genoux tremblent. Je ne suis pas loin de m’effondrer. Je sens heureusement Lucie se retirer : dernier petit frémissement quand le renflement dodu terminal de la fausse bite évase une dernière fois mon étoile plissée.
Libéré, je bascule sur le côté. Sur le dos. Lucie se couche sur moi, m’embrasse, me papouille, me réconforte.
— Tu sais, si tu relèves tes cuisses, je pourrais te remettre un dernier petit coup dans le fion, en face à face...
— Euh non, t’es gentille mais là, tu vois, ça m’suffit pour aujourd’hui. Une... autre fois...
— Une autre fois ? Tu y aurais donc pris goût, hein, petit salopard que j’aime !
J’attrape sa bouche, l’embrasse voracement. Juste pour éviter de lui répondre !
Et c’est surtout, parce que je l’aime, je l’aime tant ma petite putain dévergondée !
....
Christel est partie prendre une douche. Je me demande bien pourquoi d’ailleurs. À moins que la gigolette ne soit assez fine pour avoir capté que Lucie et moi ressentons le besoin de rester seuls un moment.
Serrés l’un contre l’autre, je sens le corps chaud de ma poulette contre ma peau. Cette garce est visiblement bien satisfaite de son entourloupe ! Moi, même si je ressens quelques picotements côté étoile du Sud, je suis tout aussi contenté. Me relevant sur mon coude, j’observe ma gazelle. Mon regard plonge dans le bleu envoûtant de son regard. Je titille négligemment un de ses fiers tétons, respire un grand coup.
— Maintenant que nous nous appartenons totalement l’un à l’autre, j’ai un petit truc à te demander...
— Quoi donc, me demande-t-elle, t’as une autre idée sotte et grenue derrière la tête ? Là, mon chéri, je sèche...
— Non-non, infernale succube, là, je suis sérieux ! Dis-moi, ton ex, est-ce qu’il a reconnu Chloé ?
Elle est ébahie la pauvrette !
— Euh non ! En fait, on s’était séparé peu avant l’accouchement. Et quand il est revenu deux mois plus tard, on n’y a plus pensé... enfin, disons que je ne le souhaitais pas vraiment...
Elle me raconte ça, totalement éberluée, tremblante.
Je passe à genoux sur le matelas, lui prend les mains pour l’inviter à s’asseoir. J’ébouriffe ma chevelure avant de me recoiffer du mieux que je peux. Je mime le mec qui réajuste sa cravate et me lance :
— Mademoiselle Lucie, dis-je sur un ton cérémonieux, acceptez-vous de me prendre pour époux et père de votre enfant ?
Scotchée la gonzesse ! Elle me regarde avec de grands yeux totalement effarés, ouvre sa bouche en O majuscule, éprouve même le besoin de se recoiffer ! Panique à bord !
— Tu... t’es sérieux ?
— Je ne l’ai jamais été autant de toute ma vie ! Veux-tu bien m’épouser ?
Un blanc ! Une respiration profonde et... Lucie plaque sa bouche sur la mienne !
— Oui, crie-t-elle dès que nos lèvres se séparent, oui mon chéri, oui je le veux ! Je veux être ta femme ! dit-elle des larmes plein les yeux.
Notre bonheur est à son comble ! Pendant de longues et fabuleuses minutes, nous nous embrassons à bouche que-veux-tu, nous nous bécotons avec passion et furie, nous échangeons des serments d’amour à n’en plus finir ! Nous ne pensons même pas à nous caresser ! C'est dire !
— Oh-là, les amoureux, je crois que je vais vous laisser !
Christel s’encadre dans la porte de la chambre. Elle s’est rhabillée !
— Ah non, lui dis-je, viens, on a une question à te poser !
La blonde s’approche de notre lit, elle fronce les sourcils, affiche un air intrigué.
— On voudrait savoir une chose. De qui, de moi ou de Lucie, seras-tu le témoin à notre mariage ?
Proprement stupéfaite, paralysée la blonde ! Elle nous regarde, ses yeux passent de Lucie à moi en permanence ! Et puis... elle se jette littéralement entre nous ! Nous avons juste le temps de nous écarter un peu !
Elle nous félicite, nous congratulent (c’est bien comme ça qu’on dit, non ?), elle nous embrasse l’un l’autre, avant de s’effondrer, le nez dans les draps où elle reste immobile. Et sanglote !
Stupéfait de cette réaction, je me redresse, regarde Lucie par-dessus la tignasse de Christel :
— Tu la savais aussi émotive ?
— Ben non, me répond ma douce.
— Cela dit, elle ne nous a pas répondu !
— Mais c’est vrai ça ! Elle hésite ?
— Si on lui donnait les moyens de prendre sa décision ?
— Ma foi, c’est une bonne idée !
Lucie pousse, moi, je tire et nous renversons la pauvrette sur le dos. À vue de nez, ses larmes se sont taries, une petite lueur amusée pointe même dans son regard. Lucie et moi nous partageons le déboutonnage de son chemisier, libérons son opulente poitrine. Ma bouche se plaque sur le sein droit, celle de Lucie sur l’autre jumeau. Ma brune léchouille, bizouille, immédiatement le téton rabougri qui ne tarde pas à pointer. Moi, j’ai un coup d’avance sur Lucie, une info glanée lors de précédents échanges : j’ai remarqué que Christel ne déteste pas, bien au contraire, de se faire martyriser les nibards. Lucie n’a pas l’info : elle avait le nez dans la cambuse de la blonde lorsque j’avais méchamment bousculé les tétins de sa co-pine.
J’attrape donc le guignol érigé, le mordille allègrement, le tord, le pince assez durement avec mes doigts, malaxe résolument le nichon alors que ma brune papouille gentiment l’autre pomelo.
— Oh merde, tu y vas fort Gaël ! Mais putain, c’est bon ! C’est trop bon !
Je continue à maltraiter le nibard ce qui fait couiner la belle. Comprenant que la partie lui échappe, Lucie abandonne le nichon et se dépêche de plonger entre les cuisses ouvertes. Comme Christel ne porte rien sous sa mini, même pas besoin d’enlever le chiffon riquiqui, il suffit de le trousser à peine et Lucie plonge son nez dans le feuilleté pourpre, sa bouche lape le miellat doucereux, sa langue farfouille dans les nymphes. Quand elle introduit trois doigts dans la zézette, Christel rue, gémit, s’écartèle. Des doigts malins la fouillent, des phalanges assassines parcourent sa boite à mouille, lui calcine le flambadou, lui démonte le bateau, de la cale à la dunette arrière.
Sentant que la situation pourrait bien basculer d’un instant à l’autre, je décide de reprendre l’avantage : j’attrape les deux commères, les retourne avec un bel ensemble ! Christel se retrouve au-dessus de la mêlée.
Je considère une petite seconde la sublime croupe de la blonde, j’écarte les miches et présente mon sabre à l’entrée de secours. Pressentant ce qui va arriver, Christel grogne de satisfaction, ses mains viennent au secours des miennes pour écarter plus encore ses mappemondes et, frétillante, elle me tend résolument son cul magnifique. Je m’y enfonce sans coup férir : ça rentre comme une lettre à la poste ! Visiblement, le cerneau est bien rodé ! Durandal élargit la rondelle, fend le fion, va-et-vient dans la chambre glauque. Mon chalumeau carbonise les enfers ! Bref, j’encule ma victime avec force et délectation !
Sous nos efforts conjugués, Christel tombe dans le plus délicieux bonheur qui soit. Sans cri, sans hurlement, les mains jointes comme en prière sur son visage, elle reste en apnée un long moment, puis respire par petits coups rapides. Des larmes viennent inonder son visage, larmes de joie, de félicité tranquille. Elle a l’orgasme silencieux Christel, et nous ressentons un tel bonheur en elle que nous en sommes saisi, Lucie et moi.
Alors que nous la délivrons de nos emprises, elle roule sur le dos. Son visage reflète une telle béatitude que nous ne serions pas plus étonné que cela si elle nous annonçait avoir vu le visage de Dieu lui-même dans le transport extasié qu’elle vient de connaitre.
Elle nous invite à nous blottir contre elle et Lucie vient lui voler ses lèvres.
Sa voix est douce, feutrée :
— Gaël, tu es la meilleure queue qui m’ait jamais baisé, enculé et transcendé. Et toi Lucie, la plus experte et adorable complice perverse de toute ma vie, un seul de tes baisers me fait respirer le véritable parfum du bonheur. Je vous aime tous les deux. Gaël, ne m’en veut pas si je choisis d’être témoin de ta chérie.
Ainsi va la vie : nous autres, bravaches prétentieux, croyons mener le monde avec notre baguette prétendument magique, mais nos femmes, d’un seul baiser, font de nous leurs serviteurs serviles et illuminent les cieux.
Images simples parfois aussi, qui dégagent, bien qu’elles soient parfaitement anodines, un érotisme envoûtant. Clichés qui resurgissent régulièrement dans votre dernier rêve du matin, juste avant le réveil.
Je dois plusieurs de ces images à ma charmante voisine.
La première est celle qu’elle m’a offerte un matin en ouvrant ses volets battants. Simplement vêtue d’un t-shirt jaune (vu l’allège de la fenêtre, je n’en voyais pas plus), le tissu léger s’était tendu puisqu’elle était en extension vers l’extérieur. Ses seins libres pointaient allègrement et marquaient nettement l’étoffe. Lorsqu’elle me vit, elle parut vouloir cacher ses marqueurs gênants d’une excitation dont les origines m’étaient inconnues, elle entama même un geste de protection mais se ravisa aussitôt. Elle me sourit, me salua et disparut en refermant sa fenêtre. Peut-on imaginer image plus candide que celle-là ? D’autant que la donzelle n’est pas pourvue d’une poitrine phénoménale, loin, très loin s’en faut.
Sur le moment, j’avais souri, à peine émoustillé. Simplement amusé. Et j’oubliais l’apparition.
Pourtant, c’est bien cette image qui s’imprima dans mon esprit et ressurgit quelques semaines plus tard, à l’instant du réveil. Était-elle vraiment responsable de mon érection matinale ? J’en ai un peu douté.
Quelques semaines plus tard, un soir, au début de l’été, je jetais un œil à travers la fenêtre de ma chambre au troisième niveau de ma maison quand je la vis en bas, appuyée sur le montant de sa porte cochère. Son mari (?) se tenait au trois-quarts derrière elle. "Lucie" (je ne connaissais pas son prénom à l’époque) portait un crop-top sans manches ni bretelles, un simple bandeau moulant en fait qui laissait voir son petit ventre plat. Visiblement, elle ne portait aucun soutien-gorge, comme sa poitrine, très menue, l’y autorisait. Mais tout aussi visiblement, il me sauta aux yeux que la jeune femme dardait deux pointes affolantes !
"Lucie" portait en outre et surtout une mini-jupe bariolée, extrêmement courte. Ras la figoulette pour tout dire !
Dans notre impasse déserte, "Lucie" fumait négligemment une cigarette, l’air faussement indifférent. Son gars, l’air de rien lui aussi, regardait... nulle part, les yeux dans le vague. Son bras gauche m’était invisible, masqué par le corps de sa compagne.
Était-ce mon imagination ou la réalité, mais il me sembla que sa main gauche était plaquée sur, voire sous, les fesses de la jeune femme. Laquelle me paraissait s’être arquée vers l’arrière et vu ses cuisses passablement écartées, j’imaginais que son bonhomme avait troussé sa jupe pour lui glisser quelques phalanges dans la boutique. La branlait-il réellement, explorait-il vraiment son petit couffin ?
Entre deux bouffées de cibiche, Lucie quémanda les lèvres de son compagnon, elle se dévissa le cou et le couple, sans changer aucunement de position, s’embrassa langoureusement pendant que les fesses de la jeune femme s’ancraient résolument sur la main de l’homme. C’était du moins l’impression que j’avais eu.
Vérité ou fantasme, le saurais-je jamais ?
La séquence m’avait en tous cas fait bander spontanément et son souvenir quelques matins plus loin justifia cette fois parfaitement ma très convaincante érection matutinale.
J’étais célibataire depuis quelques mois, ma dernière compagne étant partie voguer vers d’autres cieux. Un autre pieu en l’occurrence... et on donnera au mot le double sens qu’il convient !
Plutôt bien fait de ma personne, je n’avais aucun mal à soulever l’un ou l’autre petit cul aimable en allant traîner en boîte, quand le besoin s’en faisait sentir.
J’ai la chance de travailler chez moi : je suis dessinateur-illustrateur de livres et BD, travaille pour plusieurs maison d’édition, et ai produit en solo deux albums d’histoires (érotiques !) qui se vendent particulièrement bien, m’assurant, au-delà des contrats ponctuels, des revenus confortables. Je vivais donc tranquille comme Basile, tel Alexandre le Bienheureux, sans attache et surtout sans contrainte. Peinard.
La séquence « Porche lascif » étaient revenue plusieurs fois hanter mes petits matins. Curieux comme une concierge, je m’étais mis à observer plus que de raison ce qui pouvait bien se passer dans la maison d’en face. En fait, pas grand-chose d’intéressant, rien qui puisse enflammer mon imaginaire. Le « mari » partait tôt chaque matin, revenait au logis peu après dix-sept heures. Depuis mon bureau, j’apercevais « Lucie » sortant presque chaque jour avec sa petite fille de quelques mois dans une poussette. Je la trouvais toujours très sexy, qu’elle soit en jean qui moulait son petit cul adorable ou en mini qui dévoilait haut ses longues jambes. Même vêtue d’une longue saharienne, elle m’apparaissait très désirable, tant la grâce de ses mouvements était envoûtante. Je me surpris à utiliser ses traits et sa silhouette gracile pour l'héroïne d’une BD d’aventures dont j’avais le contrat.
Le temps était passé sans qu’aucun événement marquant vienne nourrir mes fantasmes.
L’été s’étirait dans l’indolence de sa chaleur pesante. Une après-midi, je finalisais une planche d’une BD (érotique) à paraître. J’avais terminé le fond-décor de la dernière case à l’aérographe et presque fini l’aquarellage. Encore trois planches et je pourrais livrer mon travail à l’éditeur : j’étais certain que l’autrice de l’ouvrage serait pleinement satisfaite de mon travail et je fantasmais sur la façon qu’elle aurait de me récompenser comme il se doit pour la précision anatomique de mes dessins. Bon, d’accord, je fantasmais... n’ayant par ailleurs aucune idée ni de l’âge, ni du physique de l’autrice en question. Ni de ses éventuelles disponibilités et ouvertures... d’esprit. Mais vu son écriture, on pouvait imaginer le pire. Ou le meilleur en l’occurrence...
Il faisait donc un temps magnifique ce jour-là, grand ciel bleu et chaleur écrasante. Étouffante pour tout dire, anesthésiante : quarante et un degrés indiquait mon thermomètre digital pour l’extérieur, à peine trois degrés de moins derrière mes épais murs. Anéanti par cette pesante atmosphère, je mettais défait de mon t-shirt, une inexplicable pudeur m’avait fait conserver juste mon slip boxer noir.
Le ciel s’était obscurci tout à coup, à tel point que j’avais failli allumer ma lampe de bureau. Mais je préférais abandonner mon travail pour profiter de l’illusoire impression de fraîcheur de la pénombre.
Un éclair déchira les cieux et des trombes d’eau s’abattirent brutalement sur la ville. En quelques instants, mon impasse ne fut plus qu’un torrent bouillonnant. Surtout de mon côté, la rue étant légèrement inclinée.
Observant le rideau d’eau derrière ma fenêtre, je distinguais, mal, tant l’averse était dense, l’ouverture de la double porte cochère de ma voisine et une forme indistincte refoulant avec un balai les vagues d’eau qui avait envahi son entrée. La maison d’en face, je le savais, disposait derrière ses portes d’une petite cour mais l’eau y tombait depuis trois toits différents et noyait l’entrée. Moi, je n’avais rien à craindre, le niveau de mon garage étant bien plus haut que la rue.
Je bondis hors de mon bureau, attrapais une large raclette et m’apprêtais à traverser la rue quand je réalisais ma tenue.
"Oh baste, me dis-je, avec cette épouvantable chaleur, ma tenue se justifiait. Et mon boxer noir n’était pas loin de passer pour un slip de bain."
Le temps de traverser les trois mètres soixante de la ruelle, j’arrivais trempé comme une soupe de l’autre côté et me mis immédiatement à l’œuvre à côté de ma voisine qui faisait ce qu’elle pouvait avec un pauvre balai. Pendant de longues minutes, nous avons bataillé contre les flots furieux qui dégringolaient des toits, les évacuant vers la ruelle.
Puis, par enchantement, la pluie cessa d’un seul coup d’un seul. Le soleil réapparut aussitôt, chassant les derniers nuages. C’est alors que nous nous étions regardé ma voisine et moi. Aussi trempés l’un que l’autre, moi en boxer, elle, portant un tee-shirt dépenaillé, très ample mais qui trempé par la pluie lui collait à la peau. Dessous, un slip blanc, en mailles passablement lâches.
— Mille mercis... Monsieur... ?
Je me présentais :
— Gaël.
— Lucie, me répondit-elle.
Ben voilà, cette fois, je savais !
Nous avons continué à faire disparaitre les traces humides vers la rue. Je ne pouvais m’empêcher de lorgner la donzelle. Son tee-shirt dessinait parfaitement deux petits seins croquignolets dont les tétons érigés, sombres, transparaissaient sous le tissu rendu diaphane par la pluie. Quant à son slip, mouillé ou pas, les mailles de son filet étaient bien assez larges pour ne pas cacher grand-chose ni de son sombre buisson, ni de la géographie de son sexe.
Lucie remarqua mes regards, se détourna quelque peu en rougissant.
— Je n’imaginais pas que quiconque viendrait à mon secours et ça été si soudain que je n’ai pas eu temps de m’habiller décemment. Avec cette chaleur...
— Moi de même, répondis-je, me détournant à mon tour, gêné.
Mon boxer, trempé, ne laissait rien voir de mon anatomie mais l’érection qui pointait m’obligeait à me dissimuler.
— Je ne sais pas comment vous remercier. Vous voulez boire quelque chose.
— Euh... Non merci, répondis-je. Je ne veux rien voir... euh pardon...boire !
J’avais vu tout ce qu’il y avait à voir et mon lapsus nous fit rougir l’un et l’autre.
— Je vous laisse, et comme dirais Brassens, rendez-vous au prochain orage...
Elle devait connaître la chanson, car elle rougit à nouveau.
Elle s’approcha de moi et me colla une bise sonore sur la joue.
"Elle avait quelque chose d'un ange"... comme chantait Georges dans une autre rengaine et le démon qui sommeillait en moi faillit me faire faire des bêtises !
Plusieurs mois s’écoulèrent ensuite, presqu’un an en fait. La poupette de Lucie marchait désormais. J’avais remarqué depuis mars que le « mari » ne quittait plus la maison chaque matin, ne revenait plus chaque soir. Mais parfois le week-end, il arrêtait sa voiture moteur tournant devant le numéro six, récupérait la gamine et repartait aussitôt. Pas besoin de sortir de St-Cyr pour comprendre que le couple s’était séparé. J’avais ressenti une joie, malsaine je le reconnais, en faisant ce constat. C’est que les images de ma jolie voisine, tétons dressés sous un t-shirt, lascive contre son compagnon affairé et bien sûr, trempée et moitié nue sous l’orage ne me quittaient pas.
Coup de sonnette un dimanche matin.
— Excusez-moi Gaël (bingo, elle avait retenu mon prénom !), j’ai un souci avec mon lave-linge. J’ai de l’eau partout dans ma buanderie. Vous pourriez jeter un coup d’œil ?
Encore une histoire d’eau ! Décidemment !
...
Quatre bons centimètres d’eau savonneuse se sont effectivement répandus dans la buanderie, quatre centimètres correspondant à la différence de niveau entre la pièce et le couloir. Dans nos vieilles maisons du XVIIIème siècle du centre-ville, chaque pièce est à hauteur différente des autres !
J’enlève mes chaussures, mes chaussettes et tente de remonter les jambes de mon pantalon. Mais ces saloperies de jean’s slim ne permettent pas de retrousser bien haut. Je décide donc de m’en défaire :
— C’est pas comme si tu ne m’avais jamais vu en boxer !
Elle rit ! Visiblement satisfaite aussi qu’on en arrive au tutoiement.
— Y a pire comme spectacle tu sais ! lâche-t-elle avec une petit sourire malin.
J’entre dans la buanderie, patauge dans l’eau somme toute malodorante et dégage un tout petit peu la machine du mur. Je repère immédiatement la cause du problème : le tuyau d’évacuation est fendu aux trois quarts dans le coude juste après la sortie. Trop plaqué contre le mur en crépi rugueux, le tuyau doit au long des cycles de lavages et d’essorages frotter fort contre le mur, ce qui explique l’usure et la rupture du caoutchouc. Mais, allez savoir pourquoi... je fais celui qui n’a rien vu !
— Il va falloir pencher la machine en arrière, que je puisse regarder dessous. J’aurai besoin de ton aide.
Je quitte mon polo qui serait inévitablement mouillé si je m’allongeais plus ou moins dans l’eau stagnante. À quatre pattes, mollets et avant-bras dans la mousse, je suis dans une position ... intéressante ! Lucie s’approche à mon invite et curieusement, s’accroupit jambes écartées. Pas vraiment la position idoine pour maintenir la machine !
Je vois qu’elle porte un slip blanc. Le même, à peu de chose près, que celui de l’intervention précédente : larges mailles, sauf que cette fois, le sous-vêtement (trop serré ?) a assez largement été englouti dans sa fente, faisant saillir les grandes lèvres marbrées de son coquillage...
Lucie se relève aussitôt pour ôter sa mini-jupe.
— J’enlève ma jupe car elle risquerait d’être mouillée. Et bon, dit-elle en riant, ce n’est pas comme si tu ne m’avais jamais vu en slip, n’est-ce pas ?
Elle réajuste les pans de son slip sous mon nez, sans complexe.
J’acquiesce silencieusement. Le slip doit vraiment être trop petit : dès qu’elle se baisse, il re-disparait illico dans son fendu, laissant apparaitre les trois quarts de son sexe visiblement emperlé de mouille. À nouveau, elle tente de couvrir ses lèvres mais la manœuvre s’avère inutile : deux secondes plus tard, bien accroupie cette fois, cuisses ouvertes, le slip disparait bien entendu dans son fendu ! Cette fois, elle fait celle qui n’a rien remarqué. Je me garde bien de lui faire la moindre remarque : j’ai plein phare sur sa délicieuse coucougne.
Je comprends qu’il est inutile pour moi de m’allonger dans l’eau savonneuse : la petite garce cherche bien autre chose qu’un réparateur ce jour-là. J’ouvre la trappe avant, en bas de la machine, desserre la bonde, extirpe toutes les cochonneries accumulées dans le filtre avant de refermer l’ensemble.
Je me relève, décale un peu plus la machine du mur. Je lui montre le tuyau percé que je viens "juste" de découvrir !.
— Il est là le souci. Est-ce que tu as du scotch armé par hasard ?
Lucie se relève, fouille dans une armoire et me rapporte un rouleau. La coquine, debout, stationne à cinq centimètres de moi, sa salle des fêtes emperlée à hauteur de mon nez ! J’enroule le scotch, coupe le bout.
— Bon, il ne devrait plus y avoir de problème désormais. Mais il faudra changer le tuyau au plus vite.
Évidemment, je pourrais lui sauter dessus immédiatement, elle n’attend que ça la maligne. Mais je préfère temporiser.
— Il ne nous reste plus qu’à éponger désormais !
Nous nous mettons à l’œuvre avec entrain : armé de pelles de ménage, nous vidons l’eau vers l’entrée où elle disparait dans une petite évacuation du sol. La manœuvre requiert pas mal d’huile de coude, d’énergie et nous donne chaud. Enfin, encore plus chaud. Lucie ne tarde pas à se défaire son petit polo.
— J’ai trop chaud, explique-t-elle, un petit sourire en coin.
Elle porte un soutien-gorge noir, beaucoup trop grand pour ses petits nichons, en voile transparent et qui de toute façon, ne sert strictement à rien : ses sombres tétons pointent très visiblement sous le voile diaphane !
Nous voilà donc quasi à poil tous les deux dans la très glamour buanderie de la dame. Alors que nous finissons d’évacuer les dernières flaques d’eau, Lucie me demande :
— On peut relancer le cycle de lavage ? La fuite est bel et bien réparée ?
— Celle de la machine à laver, oui. Mais pour l’autre, il va falloir utiliser un bon chalumeau !
— Quelle autre fuite, me demande-t-elle étonnée.
— Mais celle-ci, dis-je en plaquant ma main dans son entrejambe. J’ai l’impression que la fuite est sévère.
Lucie a à peine sursauté sous mon geste, la voilà même qui s’abaisse sur ma main, ouvre le compas de ses cuisses. Je viens cueillir sa bouche. Elle ne se défend pas, bien au contraire, elle me roule un patin d’enfer, projette une langue gourmande dans ma bouche. Alors que nous nous galochons furieusement, ma main tente d'écarter les pans de son slip, pour libérer l’accès à sa chatte.
— Attend, me souffle-t-elle.
Elle fait glisser son slip étrangleur de minou, s’en débarrasse et revient chercher mes doigts.
— Ton chalumeau, il est là, dans son emballage ?
Ses doigts se sont agrippés à mon manche. Brièvement. Car déjà, elle fait glisser mon boxer qui ne tarde pas à voler dans la pièce. Elle tombe à genoux et entreprend d’astiquer l’outil !
Elle entreprend bien fort la garce et mon pointeau grimpe direct à midi moins dix !
— Viens, me dit-elle en m’entraînant vers le lave-linge où elle s’installe, cuisses totalement écartée.
Elle écarte ses lèvres, dévoile ses petites nymphes écarlates qui tranchent d’avec ses grandes lèvres sombres. Je vois son antre déjà béant et palpitant.
— Baise-moi Gaël, baise-fort ! J’en ai envie depuis si longtemps.
Je ne lui demande aucune précision de date : pas le temps. Il y a urgence absolue !
— Je te préviens ma chérie, je ne tiendrai pas jusqu’à l’essorage !
— Pas besoin, bourre-moi fort, baise-moi mon salaud, je suis déjà au bord de la rupture. Décalamine ma cheminée !
En bon technicien de maintenance, j’applique les consignes de la fiche 314 B, à moins que ce ne soit celles de la 68.8 triple X. Oui, plutôt celle-là en fait ! Je bourrine, je burine l’atelier de Vénus, m’enfonce en elle à lui plaquer mes couilles au cul, je la tringle, je lui explose la tirelire, lui démonte son tiroir. Si le lave-linge bute contre le mur, ce n’est pas le cycle de lavage qui est en cause mais bel et bien les poussées de mon marteau-piqueur. Inutile d’en faire trop d’ailleurs, ma petite salope adorée court, vole, s’expédie sans recommandé ni accusé de réception dans le grand cirque cosmique ! Je suis prêt à la rejoindre mais veux me retirer : elle me ceinture et m’empêche de ressortir de son temple, elle me plaque contre elle.
— Décharge dedans, crie-t-elle.
La décharge de plaisir nous envahis en même temps, libératrice, extatique, violente, divine ! Lucie a tourné son visage vers le plafond et je suis certain qu’elle voit comme moi, l’Univers tout entier exploser dans un big bang à la puissance et la beauté sans limites aucunes. C’est Hiroshima mon amour !
— Waouh, dit-elle en se massant le cuir chevelu, putain, c’était kekchose ce charivari ! Merci !
— Merci à toi ma douce petite salope...
Nous nous embrassons tendrement, nous câlinons un bon moment, elle, toujours le cul sur la machine, mon zgeg à peine ramolli toujours plus ou moins enfoncé dans sa sacristie.
Je me retire, observe la belle alanguie.
— Dis, si on allait prendre une douche tous les deux, avant de reprendre notre con...versation ?
— Idiot, mais oui, tu as raison. À la douche.
— Parfait et cette fois tu enlèveras ton inutile soutif ridicule !
— Ben euh, proteste-t-elle vaguement.
— Non mais eh, d’abord, c’est quoi ce truc : bonnets D ?
— Non, bonnets C. C’est le seul que j’ai, il date de ma grossesse...
— Bonnet C ! Seulement ! Tu sais, tu pourrais gagner de l’argent en faisant de la sous-location de m3 libres...
— Ouais, je sais, ils sont ridicules mes nichons, avoue-t-elle, toute tristounette.
— Ils sont adorables tes seins, dis-je en lui enlevant son soutif. Putain, tu n’imagines pas à quel point j’adore tes tétons chocolat !
Avant que j’ai le temps de venir lécher les pics arrogants, Lucie saute de la machine et m’entraîne vers l’étage. Dans la douche, nous sommes sages. Incroyablement sages. C’est à peine si elle me laisse machiner un minimum ses guignolos brun foncé. Mais les ablutions ne traînent pas ! Vaguement séché, elle me demande avec un sourire en coin :
— Bon, on en était où de notre con...versation ? Tu veux quoi maintenant?
Je réfléchis un instant, lui donne l’air d’hésiter.
— Ben, un p’tit café bien serré !
Elle fait la moue la gisquette, elle espérait une autre réponse !
— Un p’tit café et ensuite, tu me feras découvrir ta salle de jeux. Quoique... en fait, ton lit d’abord, le café plus tard !
Lucie s’est jeté à plat ventre sur son lit. Je me coule à côté d’elle, commence à masser ses épaules. Massage lent et profond. Mes mains glissent sur sa colonne, reviennent titiller le dessous de ses aisselles : elle frémit, rit doucement, tortille son popotin.
Je m’agenouille, forçant ses cuisses à s’ouvrir davantage. Je continue les va-et-vient tour à tour légers et appuyés sur sa colonne, ses flancs, ses hanches. Je masse longuement ses cuisses, mes pouces remontant parfois jusqu’à son maljoint : la pauvrette soupire alors, rit, tortille du cul pour inciter mes doigts à entrer dans son labyrinthe. Mais je résiste à l’invite.
J’empaume résolument ses fesses, en écarte les orbes pâles. Ma queue se glisse entre les lunes, appuie vaguement sur la rosette mais prend rapidement la direction de son magasin détrempé. Pour l’arrière-boutique, on verra plus tard. Peut-être...
Mon zob s’introduit à peine dans le vestibule chaud-bouillant, ressort, revient doucement à la charge, s’enfonce délicatement dans le conduit, écarte les murs du con, savoure la douceur ouatée de l’antre surchauffé. Je vais et je viens entre ses reins, doucement, profondément. Lucie grimpe déjà dans les tours, ses hanches ondulent.
— Putain, comme elle est grosse ta queue, elle me comble parfaitement ! souffle-t-elle. Elle va me faire jouir si ça continue !
Non mais oh mam’zelle, on se calme tout de suite ! C’est que je veux bien d’autres choses avant de t’expédier à nouveau dans les étoiles.
Je me retire, saisit la belle et la retourne sur le dos. Je prends un peu de recul, j’admire son fabuleux côté face. Ses seins croquignolets et leurs tétons si incroyablement dressés, son ventre plat, parfaitement tendu, son buisson rectangle, carré plutôt,, sur sa motte très rebondie, pelouse sombre, drue et frisée, parfaitement délimité au-dessus de sa fente. Ses grandes babines marbrées sont écartées, ses petites lèvres écarlates foisonnent, appellent à la gourmandise. Son antre, béant me parait déverser des flots de miellat. À vrai dire, je ne sais pas où donner de la tête, de la langue surtout. Comment choisir entre l’irrésistible fouillis rose foncé de son sexe et les tétons chocolat dont je sens bien qu’ils sont un délice de gastronome ?
Je moyenne, m’allonge sur la belle et les vole ses lèvres. Sa bouche est chaude, avide, ses lèvres charnues sont douces, sa langue, infernale coquine bataille ferme avec la mienne. Nous nous étourdissons de baisers passionnés alors que mes mains sont parties à l’aventure de sa peau. La gauche a pris d’assaut les petites mandarines, titillent les grenus chocolat, appuient les tétins dressés, les malaxent avec précaution. La droite, elle, a plongée entre nos deux corps, plongé dans la fente délicate où elle déplie les ourlets des petites lèvres ciselées, noie ses phalanges dans le lit inondé d’un fleuve tumultueux et aborde, avec circonspection, les portes du tunnel douillet. Pas question de les laisser s’enfiler dans la grotte, pas tout de suite en tous cas.
Submergé d’émotions, de désirs fulgurants, d’envies accumulées, je me résous à abandonner la bouche de Lucie, je descends d’un étage. Mes lèvres goûtent enfin les petits seins blancs et leurs menhirs fièrement édifiés. Incroyables bonbons granités, ma bouche, mes lèvres, ma langue se régalent de leur douceur ferme et élastique, passent de l’un à l’autre, bataillant avec mes doigts qui tournicotent sur ces impressionnants rocs d’ébène. Lucie gémit sous mes caresses, mes succions forcenées, mes léchouilles tarabiscotées. Elle ondule sous mes mains, roule sous les doigts qui fouillent sa chatte. Moi, je suis fou de ses tétons, enivré, saoul de leurs phénoménales érections. Mais la mienne, d’érection, en arrive à en être presque douloureuse. Mon sabre palpite, réclame un fourreau serré et soyeux où plonger, s’engloutir.
Dans la vie, il faut faire des choix et ma queue ne me laisse guère d’alternative : bien sûr que je voudrais boire à la fontaine prodigieuse qui sourd entre ses cuisses, mais ma bite n’en peut plus : le cunni affolé sera pour plus tard !
De toute façon, ma belle aussi appelle au sabrage ! Alors, mon braquemart se présente à l’entrée des artistes. Impatient, il plonge directement au fond de l’antre mousseux, s’étrangle dans les méandres du vagin palpitant, écarte les parois satinées, bute fort contre l’utérus. Ma colonne de chair s’active, élargit le sentier de vénus, va et vient dans le fourreau brûlant. Déglingue vaillamment le tabernacle, comble la gaine frémissante, parcourue de spasmes vite accélérés, irrépressibles. Mon chibre est agité de soubresauts lui aussi, la libération est proche, imminente. Je me contiens comme je peux, attendant juste le décollage de ma chérie.
Fort heureusement pour moi, Lucie embraye brutalement. Du coup, deux, trois plongées féroces de mon pieu et le colosse s’épanche : je jouis, je crache mon venin dans la cambuse, je noie mon foutre dans la soupe incendiée de la grotte aux merveilles ! Je jouis longuement : putain, que c’est bon de sentir les contractions violentes du vagin qui constrictent ma queue, les soubresauts désordonnés du bassin de ma belle déflagrée par l’orgasme. Bon dieu, que c’est bon surtout de voir la guignolette expédiée dans les cieux : je me repais de son orgasme !
Nous jouissons à l’unisson, apprécions cette unicité concomitante beaucoup trop rare pour ne pas être pleinement appréciée.
Le souffle court, je m’effondre sur ma chérie, en prenant soin de ne pas l’écraser de mon poids en restant appuyé sur mes avant-bras. Mais notre bonheur a été si puissant, si ravageur qu’il m’a ôté toutes forces et je roule vite sur le côté, quémandant les lèvres de ma brune. Nous avons des étoiles plein les yeux.
— Dis, tu crois que ce sera toujours aussi fort entre nous ?
Je regarde ma compagne.
— Toujours ? Tu comptes transformer l’essai ? T’as l’intention de me signer un bail ?
Lucie se redresse, plonge son regard dans le mien et énonce gravement :
— Un trois-six-neuf, renouvelable à perpétuité par tacite reconduction si tu veux...
Je respire un grand coup !
— Ma jolie chérie d’amour, je suis bien tenté d’accepter mais que tu ne sais rien de moi ! Tu n’as pas peur de tromper sur moi ?
— Je prends le risque, sans hésiter ! Et une chose est sûre, je sais que je ne serai pas trompée sur la marchandise.
Comme je la regarde, sourcils froncés, interrogatif.
— Ben côté turlute, sûrement pas. Tu as la plus belle queue que j’aie jamais vu !
J’éclate de rire !
— Ma chère, c’est que tu n’as pas dû en voir beaucoup jusqu’ici ! Elle n’est pas phénoménale, pas très longue en tous cas...
— Pas très longue ? Suffisamment pour buter bien fort tout au fond de ma boutique, me tambouriner l’utérus en tous cas ! Mais surtout, elle grosse ta bite, large, épaisse et comble merveilleusement tous les recoins de mon p’tit minou ! Que demander de plus ?
J’avoue que je suis un peu sidéré par la franchise grivoise de la belle.
— On dit que chaque pot à son couvercle, continue-t-elle. Moi je dis que mon pot vient de trouver la cuiller idéale pour touiller ma soupe !
Cette fois, j’éclate de rire.
— Non mais dis-donc toi, tu m’as l’air d’être une sacrée pétroleuse !
Lucie reprend son sérieux :
— Autant que tu le saches tout de suite, je suis une obsédée sexuelle. J’adore la baise, par tous les trous, ajoute-t-elle sur un ton faussement confident. J’aime la baise, au lit, dans toutes les pièces de la maison et ailleurs !
— Ah oui, dis-je, finaud, sous le porche aussi, quasiment dans la rue...
Lucie me regarde avec un petit air intrigué.
— Tu peux bien me le dire maintenant : l’été dernier, je t’ai vu un soir fumant une cigarette, appuyée contre le montant de ta porte. Ton mec, derrière toi, il ne t’avait pas troussé ta ras-la-touffe par hasard, pour te doigter profond ?
— Ah oui ! s’exclame-t-elle, se souvenant de la séquence. T’as vu ça ?
— Ma foi oui ! Je n’étais pas sûr mais j’ai quand même bien bandé devant ce spectacle !
— T’as eu raison. C’était très bon mais pour moi, ça aurait été mille fois meilleur si j’avais su que tu nous matais ! Je suis une obsédée sexuelle doublée d’une exhibitionniste.
— Oh, je sens que nous allons bien nous entendre tous les deux. Tu as d’autres « qualités » petite vicieuse ?
— Ben... Alors ... Je suis vaguement bi aussi. J’imagine que me voir me gouiner avec une nana ne te déplaira pas fondamentalement...
— Surtout si je peux te fourrer ensuite !
— Nous fourrer toutes les deux j’espère !
— À vot’ service mesdames ! Bien entendu ! À part cela, c’est tout, on a fait le tour ?
— Mmm, je sais pas, je vais réfléchir. Quoiqu’il en soit, je ne vais pas forcément tout te dire, il serait bon que je garde une part de mystère !
— Oups ! Que pourrais-tu bien encore me cacher !
— T’inquiète, je ne suis pas scato, ni zoophile, ni surtout pas, surtout pas pédophile. Beurk-beurk-beurk. Pas même sado-maso ! Aucune violence avec moi, je préfère te prévenir ! Bon, me faire bousculer un peu à l’occase, dans le cadre d’un jeu consenti, ok, mais dans la limite du raisonnable.
Je suis assez époustouflé par la franchise de la nana. Sidérant !
— Bien, à mon tour de te rassurer, je souscris pleinement à tout ce que tu viens d’énoncer. Fondamentalement, je suis un caresseur... qui aime juste durcir les échanges à l’occasion
— Parfait, quand je te disais qu’on était fait pour s’entendre. Maintenant, mon petit chéri, je crois qu’on a largement assez bavassé ! Ça, je ne te l’ai pas encore dit, mais sache que je suis insatiable : et donc, je ne serais par contre un bon cunni et une feuille de rose avant que tu m’encules. Ça te va ?
— Non mais toi alors, tu es... impayable ! Mais oui, le programme me convient, je dirais même que tu as lu dans mes pensées !
Ce n’est que vers vingt-deux heures que je suis repassé chez moi, pour nettoyer mon aérographe, refermer mes tubes de gouaches, éteindre la lumière de mon bureau et fermer ma porte à clé.
Avant de retraverser la rue : la nuit promettait d’être agitée !
---ooo---
La vie avec Lucie coule simplement. En semaine, alors qu’elle a sa petite avec elle, je reste chez moi, je fais juste quelques apparitions pour jouer avec la gamine, notamment quand sa mère doit s’absenter pour faire quelques courses...
Je suis patient avec les mômes, capable de suivre, de précéder leurs attentes, capable de faire rire Chloé aussi, par mes mimiques, mes grimaces. Quel bonheur quand Lucie me découvre à quatre pattes en train de faire le zouave avec sa fille dont le rire cristallin résonne dans la pièce. Le regard qu’elle m’adresse alors est empli d’une infinie tendresse. Rien à voir avec les éclairs lubriques qu’elle me lance quand je viens glisser une patte-croche sous sa jupe (où elle est très souvent nue, la garce).
Une fois dans la semaine, lorsque nous n’y tenons plus, je m’incruste chez elle : nous nous gavons de tendresses, de folies inavouables, en silence pour ne pas réveiller la gamine au sommeil fragile. Je m’enfuis au petit matin.
Évidemment, le meilleur du meilleur, c’est un week-end sur deux, quand Serge, l’ex et accessoirement papa de Chloé emmène la petite chez lui. Je n’ai pas intérêt à être fatigué ces jours–là ! Les jours précédents, je fais des cures de Gurosan et Vitalité 4G (vivement qu’ils sortent une version 5G !), histoire d’être remonté comme un coucou ! Car il s’agit de tenir la distance : la gentille maman réservée, presque timide et (très-très) vaguement pudique se transforme en harpie insatiable et immensément gloutonne dès le samedi après-midi. Cette succube me lamine littéralement et je dois supplier pour pouvoir m’offrir quelques heures de sommeil dans la nuit de samedi à dimanche. Bon, quand popaul déclare forfait, elle est bien obligée d’accepter, pas le choix, de m’accorder un temps de repos !
Mais notez que je ne me plains pas !
Elle a une sacré imagination cette perverse coquine. Si elle décide d’aller faire des courses au supermarché le samedi après-midi, je sais que je n’ai pas intérêt à oublier mon super téléphone Hi-Tech, pourvu d’un appareil-photo 50 Mpx avec objectif grand angle- plus deux objectifs supplémentaires (je ne sais pas à quoi ils servent ces deux-là!). En tous ca, c'est l'outil idéal pour capter ma douce, exagérément penchée dans un rayon pour attraper la plus basse des boites de céréales, quitte d’ailleurs à la reposer pour en prendre une autre (celle qu'elle veut vraiment) juste après. L’intérêt de l’opération ? C’est qu’évidement, Lucie ne porte rien sous sa robe courte et légère et que sa chatoune, toute gonflée de désir est parfaitement visible, grandes lèvres écartées, petites lèvres carminées déployées, le tout à deux mètres cinquante d’une rombière maussade devant elle. C’est l’exhib que je préfère : c’est la position qui me fait bander instantanément. Penchée en avant, le sexe charnu exprime au mieux toute la féminité envoutante des femmes. Une sorte d’animalité brutale qui me rend dingue !
Elle est capable de tout la fofolle, comme s’enfoncer un spray de déo dans la chatière et soulever sa robe pour je puisse juger du résultat, alors que, quasiment collée à elle, une matrone enguirlande son mouflet. Bon, elle fait gaffe tout de même à ne pas être découverte : je surveille ses arrières, elle surveille l’avant, nous échangeons de coups d’œil pour déclencher la pose. Mon téléphone plaqué contre la hanche, je déclenche l’air de rien. Au début, j’ai raté quelques clichés, mal cadrés mais depuis, j’ai trouvé le positionnement parfait.
Nous faisons gaffe donc, mais un jour cependant, alors qu’elle m’avait soulevé sa ras-la-touffe, une jeune femme l’avait repérée. La blondinette était venue se poster à ses côtés et tournée vers mon objectif, elle avait elle aussi soulevé sa robe en même temps que Lucie, robe sous laquelle elle était aussi nue que Lucie. Laquelle l’avait remerciée de son audace complice en lui glissant un léger poutou sur les lèvres. La blonde l’avait alors entrainée dans un recoin du magasin. Accroupies, les deux garcettes m’avaient exposé leurs tabatières de concert ! Remontant ensuite leur hauts pour me dévoiler leurs seins ! La blonde était sacrément achalandée : deux pamplemousses bien murs qui n’auraient pas déparé dans le rayon Fruits et Légumes. Quand les fofolles étaient venues se plaquer contre moi pour me câliner, j’avais compris que l’après-midi allait être chaude ! Les caddies étaient restés en plan dans une allée et nous avions filé dare-dare à la maison sans passer par la case Pay Cash !
La peroxydée nous avait en fait entrainé chez elle et après que les deux amazones avaient très "amplement" fait connaissance, j’avais pu visiter l’appartement de la blonde de fond en comble. Au fond surtout ! Et même si je ne suis pas totalement fan des gros lolos, ceux-là, avec leurs bouchons de carafe vieux rose m’avaient conquis. Sans parler de son bénitier charnu où j’avais fait mes ablutions faciales !
Quand quinze jours plus tard, Lucie avait invité la blonde chez nous, enfin chez elle, je m’étais réjoui mais je n’avais pas imaginé comment les choses allaient tourner...
---ooo---
Lucie et la blonde Christel ont commencé par se gouiner tendrement. Un de mes spectacles favoris s’il en est que deux femmes en 69, se léchant, se grougnoutant allègrement les nymphettes, s’enfonçant des godes plus ou moins monstrueux dans leurs chattes et jouissant en poussant des cris enamourés.
Après cette exquise mise en bouche, j’avais été invité à me joindre à la fête. Et à la fête, j’y étais : les petits seins fripons de Lucie d’un côté, les grosses loches douces et moelleuses de Christel de l’autre, le petit con foisonnant de ma brune, la belle chatte grasse et baveuse de la blonde, je n’avais pas assez de mes dix doigts pour profiter de leurs trésors ! Et qu’une seule bouche malheureusement pour les embrasser, les lécher, sucer, aspirer leurs tétons, boire leurs mouilles, défriser leurs dentelles pourpres. Bref, j’étais overbooké pendant que ces fabuleuses salopes s’occupaient de mon zgeg, l’une me pompant le nœud, l’autre me suçotant les boules et glissant même une langue dardée jusqu’à mon étoile du nord. Laquelle osait la feuille de rose ? Devinez !
Ce premier round se conclut par une aspersion puissante de liqueur d’homme sur les seins et les tronches de deux filles !
En les voyant se nettoyer consciencieusement l’une l’autre à grands coups de langues râpeuses, se partager ma gelée en galoches gourmandes, j’imaginais que mes deux gouinasses allaient se papouiller quelques temps et par conséquent, me laisser récupérer un moment. C’était sans compter sur la perversité de Lucie...
---ooo---
Fouillant dans son sac à malice, ma brune extirpe un gode-ceinture qu’elle brandit triomphalement.
Goguenard, je me tourne vers Christel :
— Ma petite chérie, connaissant Lucie, je pense qu’elle va t’enculer profond pendant que je te baiserai. C’est bien ça Lucie, je ne me trompe pas ?
— Ma foi, ce n’est pas exactement ce que j’ai en tête vois-tu...
Comme je reste dans l’expectative, Lucie qui s’est harnachée vient se couler contre moi.
— Tourne-toi mon doudou, me demande-t-elle.
Une idée terrifiante me traverse l’esprit mais j’obéis.
Quelque chose de froid est alors appliqué sur mon trou de balle. Je rue, repasse illico sur le dos.
— Ah non Lucie, tu n’espères quand même pas...
— Oh mais si mon chéri, tu vas goûter aux joies de la sodomie.
— Non mais oh, y a des limites !
— Taratata mon doudou, ne me dit pas que tu as peur ?
— Peur non ! Mais...
— Je vois, tu as surtout peur que ton orgueil de mâle triomphant en prenne un coup c’est ça ?
— Nooon, mais...
Merde, ça, elle ne me l’a jamais fait ! Je n’aurais même pas imaginé qu’elle puisse envisager pareille chose ! M’enculer ? Non mais des fois !
Cela dit, je suis incapable d’avancer un argument convaincant et... suis déjà en train de capituler ! J’ai peur, moyennement, mais quand même... En même temps, je suis passablement excité je dois bien le reconnaitre ! Moi, me faire enculer par ma chérie ! Merde, c’est le cas de le dire !
En fait, oui, putain, ça m’excite incroyablement de me faire mettre profond par ma Lucie !
— C’est bien mon doudou, me susurre la dévergondée. Met-toi à quatre pattes s’te plait ?
Je m’exécute, lentement mais... sûrement !
Christel, s’allonge sous moi, viens capter ma queue qu’elle commence à sucer. Elle sait y faire la garce, je rebande illico, d’autant que j’ai sous les yeux sa chatte dodue. Il suffirait que je me penche un peu pour sucer son bonbon baveux ! Ben tiens, je ne vais pas me gêner !
Lucie fait glisser son gode entre mes fesses, monte et descend, s’arrête quelques instants à hauteur de mon étoile polaire, titille l’anneau de ma turne sombre. Remonte, redescend, s’attarde. Elle pousse la salope, sur l’anneau serré de mon cul, relâche la pression, revient. Je sens la pointe du dildo évaser peu à peu mon cratère pentu. Encore et encore. Elle est cool ma choupinette d’amour, elle y va progress’
— Waouh, je hurle, salope, tu... m’ défonces le... le cul... là !
Tout au fond, elle me pousse le gode tout au fond ! Je halète, j’ahane sous ses coups de butoir, c’est qu’elle me burine à donf la pute !
Je me venge sur la moule de Christel, j’aspire ses nymphes et gobe son bouton avec férocité !
Merde, Lucie va et vient dans mon fondement, elle y met du cœur la garce, ça rentre, ça sort à bon rythme !
Bon, pour être franc, passé l’entrée toni-cul-entre, la sensation n’est pas désagréable. Pas de douleur véritablement mais maintenant que je m’y habitue, je ne peux pas dire non plus que je ressente un véritable plaisir. Plus ça va (et vient !), mieux ça passe. D’accord mais...
Physiquement, j’insiste, je ne peux pas dire que ça soit transcendant, ni transe-aidant. Elle m’encule, ok, j’aime ! J’avoue, j’aime mais je n’en tire pas vraiment de bénéfices sensoriels. Rien qui puisse m’expédier dans les étoiles en tous cas.
Par contre, émotionnellement, c’est fort. Putain, c’est fort ! J’ai désormais le sentiment d’appartenir totalement à ma chérie, ma chérie enculeuse ! Je lui suis totalement soumis, je lui ai offert mon cul, dernier bastion de ma totale soumission à elle et ça, c’est vermeilleusement bon ! Je dis bien, Vermeilleusement !
Je le lui avoue :
— Prends ma chérie, profite de mon joufflu, bourre-moi le cul, acharne-toi sur ma rondelle, je suis à toi, entièrement, définitivement tout à toi.
Je ne sais pas si c’est pareil pour les femmes quand on s’enfonce dans leur arrière-boutique, mais je subodore que cette pénétration est pour elles aussi une sorte de soumission ultime, la dernière offrande faite à leur seigneur et maître. Je hurle :
— Lucie chérie mon amour, tu es ma princesse et maitresse absolue ! Je t’aime quand tu m’encules salope !
La chatte béante de Christel où j’ai enfoncé trois doigts, la bouche de cette putain surexcitée qui s’acharne sur ma queue, le va-et-vient de la pine dans mon cul, et surtout, mon sentiment de servilité absolue aux désirs de Lucie, tout cela me pousse vers la plus phénoménale délivrance du monde.
Putain, je jouis, je jouis dans la bouche de Christel, je jouis dans le bonheur de ma chérie enfoncée en moi, collée à mon cul ! OH ! Merde, c’est trop-trop bon !
Je reste figé, paralysé, cul en l’air, dans mon orgasme transcendant mais mes genoux tremblent. Je ne suis pas loin de m’effondrer. Je sens heureusement Lucie se retirer : dernier petit frémissement quand le renflement dodu terminal de la fausse bite évase une dernière fois mon étoile plissée.
Libéré, je bascule sur le côté. Sur le dos. Lucie se couche sur moi, m’embrasse, me papouille, me réconforte.
— Tu sais, si tu relèves tes cuisses, je pourrais te remettre un dernier petit coup dans le fion, en face à face...
— Euh non, t’es gentille mais là, tu vois, ça m’suffit pour aujourd’hui. Une... autre fois...
— Une autre fois ? Tu y aurais donc pris goût, hein, petit salopard que j’aime !
J’attrape sa bouche, l’embrasse voracement. Juste pour éviter de lui répondre !
Et c’est surtout, parce que je l’aime, je l’aime tant ma petite putain dévergondée !
....
Christel est partie prendre une douche. Je me demande bien pourquoi d’ailleurs. À moins que la gigolette ne soit assez fine pour avoir capté que Lucie et moi ressentons le besoin de rester seuls un moment.
Serrés l’un contre l’autre, je sens le corps chaud de ma poulette contre ma peau. Cette garce est visiblement bien satisfaite de son entourloupe ! Moi, même si je ressens quelques picotements côté étoile du Sud, je suis tout aussi contenté. Me relevant sur mon coude, j’observe ma gazelle. Mon regard plonge dans le bleu envoûtant de son regard. Je titille négligemment un de ses fiers tétons, respire un grand coup.
— Maintenant que nous nous appartenons totalement l’un à l’autre, j’ai un petit truc à te demander...
— Quoi donc, me demande-t-elle, t’as une autre idée sotte et grenue derrière la tête ? Là, mon chéri, je sèche...
— Non-non, infernale succube, là, je suis sérieux ! Dis-moi, ton ex, est-ce qu’il a reconnu Chloé ?
Elle est ébahie la pauvrette !
— Euh non ! En fait, on s’était séparé peu avant l’accouchement. Et quand il est revenu deux mois plus tard, on n’y a plus pensé... enfin, disons que je ne le souhaitais pas vraiment...
Elle me raconte ça, totalement éberluée, tremblante.
Je passe à genoux sur le matelas, lui prend les mains pour l’inviter à s’asseoir. J’ébouriffe ma chevelure avant de me recoiffer du mieux que je peux. Je mime le mec qui réajuste sa cravate et me lance :
— Mademoiselle Lucie, dis-je sur un ton cérémonieux, acceptez-vous de me prendre pour époux et père de votre enfant ?
Scotchée la gonzesse ! Elle me regarde avec de grands yeux totalement effarés, ouvre sa bouche en O majuscule, éprouve même le besoin de se recoiffer ! Panique à bord !
— Tu... t’es sérieux ?
— Je ne l’ai jamais été autant de toute ma vie ! Veux-tu bien m’épouser ?
Un blanc ! Une respiration profonde et... Lucie plaque sa bouche sur la mienne !
— Oui, crie-t-elle dès que nos lèvres se séparent, oui mon chéri, oui je le veux ! Je veux être ta femme ! dit-elle des larmes plein les yeux.
Notre bonheur est à son comble ! Pendant de longues et fabuleuses minutes, nous nous embrassons à bouche que-veux-tu, nous nous bécotons avec passion et furie, nous échangeons des serments d’amour à n’en plus finir ! Nous ne pensons même pas à nous caresser ! C'est dire !
— Oh-là, les amoureux, je crois que je vais vous laisser !
Christel s’encadre dans la porte de la chambre. Elle s’est rhabillée !
— Ah non, lui dis-je, viens, on a une question à te poser !
La blonde s’approche de notre lit, elle fronce les sourcils, affiche un air intrigué.
— On voudrait savoir une chose. De qui, de moi ou de Lucie, seras-tu le témoin à notre mariage ?
Proprement stupéfaite, paralysée la blonde ! Elle nous regarde, ses yeux passent de Lucie à moi en permanence ! Et puis... elle se jette littéralement entre nous ! Nous avons juste le temps de nous écarter un peu !
Elle nous félicite, nous congratulent (c’est bien comme ça qu’on dit, non ?), elle nous embrasse l’un l’autre, avant de s’effondrer, le nez dans les draps où elle reste immobile. Et sanglote !
Stupéfait de cette réaction, je me redresse, regarde Lucie par-dessus la tignasse de Christel :
— Tu la savais aussi émotive ?
— Ben non, me répond ma douce.
— Cela dit, elle ne nous a pas répondu !
— Mais c’est vrai ça ! Elle hésite ?
— Si on lui donnait les moyens de prendre sa décision ?
— Ma foi, c’est une bonne idée !
Lucie pousse, moi, je tire et nous renversons la pauvrette sur le dos. À vue de nez, ses larmes se sont taries, une petite lueur amusée pointe même dans son regard. Lucie et moi nous partageons le déboutonnage de son chemisier, libérons son opulente poitrine. Ma bouche se plaque sur le sein droit, celle de Lucie sur l’autre jumeau. Ma brune léchouille, bizouille, immédiatement le téton rabougri qui ne tarde pas à pointer. Moi, j’ai un coup d’avance sur Lucie, une info glanée lors de précédents échanges : j’ai remarqué que Christel ne déteste pas, bien au contraire, de se faire martyriser les nibards. Lucie n’a pas l’info : elle avait le nez dans la cambuse de la blonde lorsque j’avais méchamment bousculé les tétins de sa co-pine.
J’attrape donc le guignol érigé, le mordille allègrement, le tord, le pince assez durement avec mes doigts, malaxe résolument le nichon alors que ma brune papouille gentiment l’autre pomelo.
— Oh merde, tu y vas fort Gaël ! Mais putain, c’est bon ! C’est trop bon !
Je continue à maltraiter le nibard ce qui fait couiner la belle. Comprenant que la partie lui échappe, Lucie abandonne le nichon et se dépêche de plonger entre les cuisses ouvertes. Comme Christel ne porte rien sous sa mini, même pas besoin d’enlever le chiffon riquiqui, il suffit de le trousser à peine et Lucie plonge son nez dans le feuilleté pourpre, sa bouche lape le miellat doucereux, sa langue farfouille dans les nymphes. Quand elle introduit trois doigts dans la zézette, Christel rue, gémit, s’écartèle. Des doigts malins la fouillent, des phalanges assassines parcourent sa boite à mouille, lui calcine le flambadou, lui démonte le bateau, de la cale à la dunette arrière.
Sentant que la situation pourrait bien basculer d’un instant à l’autre, je décide de reprendre l’avantage : j’attrape les deux commères, les retourne avec un bel ensemble ! Christel se retrouve au-dessus de la mêlée.
Je considère une petite seconde la sublime croupe de la blonde, j’écarte les miches et présente mon sabre à l’entrée de secours. Pressentant ce qui va arriver, Christel grogne de satisfaction, ses mains viennent au secours des miennes pour écarter plus encore ses mappemondes et, frétillante, elle me tend résolument son cul magnifique. Je m’y enfonce sans coup férir : ça rentre comme une lettre à la poste ! Visiblement, le cerneau est bien rodé ! Durandal élargit la rondelle, fend le fion, va-et-vient dans la chambre glauque. Mon chalumeau carbonise les enfers ! Bref, j’encule ma victime avec force et délectation !
Sous nos efforts conjugués, Christel tombe dans le plus délicieux bonheur qui soit. Sans cri, sans hurlement, les mains jointes comme en prière sur son visage, elle reste en apnée un long moment, puis respire par petits coups rapides. Des larmes viennent inonder son visage, larmes de joie, de félicité tranquille. Elle a l’orgasme silencieux Christel, et nous ressentons un tel bonheur en elle que nous en sommes saisi, Lucie et moi.
Alors que nous la délivrons de nos emprises, elle roule sur le dos. Son visage reflète une telle béatitude que nous ne serions pas plus étonné que cela si elle nous annonçait avoir vu le visage de Dieu lui-même dans le transport extasié qu’elle vient de connaitre.
Elle nous invite à nous blottir contre elle et Lucie vient lui voler ses lèvres.
Sa voix est douce, feutrée :
— Gaël, tu es la meilleure queue qui m’ait jamais baisé, enculé et transcendé. Et toi Lucie, la plus experte et adorable complice perverse de toute ma vie, un seul de tes baisers me fait respirer le véritable parfum du bonheur. Je vous aime tous les deux. Gaël, ne m’en veut pas si je choisis d’être témoin de ta chérie.
Ainsi va la vie : nous autres, bravaches prétentieux, croyons mener le monde avec notre baguette prétendument magique, mais nos femmes, d’un seul baiser, font de nous leurs serviteurs serviles et illuminent les cieux.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime, une fois de plus.
Bravo et merci
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