Les Magloire (3/9) 1478
Récit érotique écrit par Pessac [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Les Magloire (3/9) 1478
Célestine et ses filles sont en sûreté au château. L'herboriste a trouvé moyen de rendre l'inquisiteur très malade. Le triste sire se tord les boyaux depuis la veille. Il conviendrait de l'amener à accepter les potions de la guérisseuse. À commencer par celle qui le mènerait vers la guérison de son mal.
---oOo---
À la fin du jour, l'inquisiteur ne supporte plus les crampes qui le tordent. S'il a refusé au matin les médications proposées par son hôte, il n'en peut plus des convulsions qui le torturent.
— Messire Gallard je vous en prie, faites-moi porter la décoction de votre nourrice.
Le temps que Marianne arrive avec la potion concoctée par Célestine, le chanoine a fait venir son médecin et son goûteur qui sera le premier à tester la potion. Quant au médecin, goguenard, il renifle la tisane et approuve le breuvage.
En sortant de la chambre, le docteur Bertignou s'adresse au comte.
— Notre chanoine est bien mal en point.
— La potion administrée, je vous le garantis, va lui permettre de se rétablir. Doucement.
— Je ne sais si votre médication fera effet bénéfique mais j'en arrive à penser que si son état s'aggravait, ce ne serait pas forcément mauvaise chose.
Surpris par ces propos, Benoît interroge le médecin du regard.
— Messire, je crains que le chanoine n'ait plus toute sa tête. Son comportement est fort inquiétant et se dégrade de jour en jour. Sa quête des huguenots et autres hérétiques tourne au délire et le bonhomme est désormais obsessionnel. Que Dieu lui pardonne ses péchés quand il le rappellera à lui. Bientôt j'espère, murmure-t-il pour finir.
Le médecin se profiterait-il comme un allié ?
— Puis-je vous faire une confidence, chuchote le savant à l'oreille de son interlocuteur.
— Je vous en prie docteur.
— Les préceptes de Léon IX sur la pureté des prêtres sont revenus de mode. Du moins officiellement. Or, le chanoine a démontré depuis peu une attirance à peine déguisée pour les jeunes hommes. Il a ainsi étonnamment blanchi un freluquet chez le Baron de Gelèvre mais l'a fait venir ensuite dans sa chambre. Le jouvenceau n'en est ressorti qu'aux matines. Ce qui s'est passé si longuement dans la chambre, je vous laisse l'imaginer. Je doute qu'ils aient joué aux osselets... C'est là gros problème. Imaginez le scandale si l'Inquisiteur Général était pris en flagrance de fornication avec un homme, ce serait gros scandale et son pouvoir n'y résisterait pas.
— Je pense que vous vous trompez cher ami. Que l'on mette à son service un ou plusieurs beaux éphèbes ne suffirait pas à le faire tomber dans la turpitude. Il a fort caractère et résistera au nom de sa foi.
— Certes... Certes, peut-être avez-vous raison...
Le médecin réfléchit.
— Mais parlons de tout autre chose si vous le voulez bien. Il se trouve que je connais, et je suis bien gêné de vous avouer cela, des petits problèmes de désir si vous voyez ce que je veux dire. Si votre nourrice avait une tisane pour renforcer mon... vit, je vous en serais fort reconnaissant.
« Tiens donc » s'étonne à demi Gallard : ne lui a-t-on pas rapporté que le médecin a contenté deux matrones en même temps ce jour... En quoi aurait-il besoin d'être revigoré ?
À moins qu'il ne destine cette potion à quelqu'un d'autre ?
---oOo---
Aucun des hommes de la Patelière, hors son médecin et son goûteur, n'étant admis dans le château, Armance se promène à son aise dans les couloirs de la belle demeure. La jeune femme du haut de ses presque dix-huit printemps se sent capable de séduire n'importe quel homme normalement constitué. Elle est en chasse Armance, émoustillée qu'elle est par les petits cours donnés par sa sœur. Se faire brouter tout en suçant une belle quille, voilà une perspective qui la travaille, une posture qui l'émoustille. Comme sa mère le lui a recommandé, c'est sur le goûteur du chanoine qu'elle jette son dévolu : en l'amenant entre ses cuisses, elle s'en fera un allié...
L'homme loge deux chambres après celle du chanoine. Portant d'un panier de charcutailles et un plateau chargé d'un verre et d'une bouteille de vin, elle entre chez le bonhomme qui, debout près de la fenêtre, l'accueille grand sourire aux lèvres. On peut le comprendre, le tendron qui s'approche de lui est tout à fait désirable. La coquine a soigné sa mise : son corsage diaphane ne cache pas grand-chose de ses seins aguicheurs. Comme elle se penche pour servir, ses tétons rosés pointent allègrement au ras de son décolleté.
— Comment te nommes-tu, joyeuse coquine ?
— Armance, pour vous servir mon bon ! En tout ce qu'il vous plaira !
— Je suis Mallot et tu peux me tutoyer. Tu m'as l'air bien gaillarde et tes nichons appellent au pelotage ! Sacrée belle paire que tu as là ! Contre une pièce de bronze, me les montreras-tu ces nichons magnifiques ?
— Il faudrait pour cela que je trousse ma chemise mais j'ai les mains pleines.
Mallot rit et abaisse le décolleté, faisant jaillir les seins de la donzelle.
— Approche, que je goûte ces fruits fichtrement appétissants !
Armance pose aussitôt son panier et la bouteille qui contient un antidote que sa mère y a versé : Mallot échappera ainsi aux effets de la potion spéciale qui sera sous peu administrée au chanoine.
Mais ce qui l'intéresse elle, c'est d'être proprement lutinée par le bonhomme. Elle refuse la pièce proposée mais propulse ses seins sous le nez du maraud. Des mains s'emparent de ses nibards et une bouche fiévreuse tète furieusement ses tétons. La gamine minaude et pousse des soupirs de ravissement. Et pour ce qu'elle en voit, ce Mallot a l'air fort bien monté !
Alors que le drôle s'occupe de ses seins, la petite rouée lance sa main dans l'entre-jambe du bonhomme, soupèse le paquet.
— Il m'a l'air d'y avoir ici belle pièce pour contenter une donzelle affamée !
Mallot baisse ses chausses et exhibe une brisquette en passe de devenir un sacré braquemart ! La vorace tombe à genoux et avale la colonne qu'elle sent grossir dans bouche. C'est une fameuse gaule, plus grosse que celle de son Siméon. Elle relâche le gourdin un instant.
— Oh, quelle belle épée ! N'est-ce pas là la Durandal du Chevalier Roland ?
Mallot ne répond rien mais lui fourre son dard jusqu'au fond de la gorge. Armance hoquète une seconde mais reprend l'épluchage consciencieux du poireau. Elle liche et pourlèche le nœud, le noie de salive tout en faisant tomber sa robe.
Mallot finit de se déshabiller et entraîne la goulue sur sa couche où il s'allonge. Armance, tout à son délire de léchage simultané, se place tête bêche sur lui, engloutit le mandrin tout en plaquant ses mouillettes sur la bouche de son nouvel amant. Elle suce comme une forcenée alors que lui, visite ses trésors emperlés de mouille, asticote son petit grelot, insinue sa langue dans son conduit incendié.
— Encore, encore, gémit la pauvrette au bord de l'extase.
« Bordel, c'est presqu'aussi bon que les léchouilles de ma Cécilia ! Trop désordonnées et empressées mais putain, s'empiffrer de sa queue compense sa maladresse ! »
Elle continue de se goinfrer du sabre et elle ne tarde pas à fuser la petite. Elle traverse les nues faramineuses alors que son ballot lui barbouille la gueule de son venin brûlant. Elle en prend plein la tronche mais se réjouit de se tartinage prolifique dont elle lèche les pendeloques avec délectation.
Hilare mais non assouvie, elle effectue un demi-tour et se place à quatre pattes sur le lit.
— Viens salopard, bourre-moi la guitoune avec ton sabre vainqueur. Défonce-moi de devant jusqu'au fond.
Mallot ancre ses mains sur les hanches de la drôlesse et enfourne sans cérémonie sa vaillante épée dans le fourreau accueillant, va et vient dans l'échancrure douillette, sabre la founette, explore le fond de l'abysse.
Cris, plaintes extasiées, sourds grognements accompagnent le puissant ramonage de l'étroite gaine.
— Oh oui, continue ! Baise bien la salope que je suis ! Démonte-moi mon tiroir à saucisses, crie Armance que s'en retourne hardiment sur le chemin de l'extase.
Cette fois, elle plonge dans des abysses d'une profondeur insondable, elle est ballottée dans un tourbillon fabuleux. Elle pourrait bien dériver sur les échos du plaisir pendant le reste du jour. Elle se focalise sur le plaisir, sur la sensation des battements accélérés de son cœur. De son âme réjouie.
Quand plus tard, le séisme se délite, que quelques ressacs encore la subliment, elle embrasse goulûment son baiseur et lui promet de revenir bientôt.
— Demain, tu me baiseras à nouveau et pourra même me prendre par mon petit trou.
— Tout de suite si tu veux !
— Demain ! À chaque jour suffit ... son bonheur ! Pense bien à mon cul, ça te redonnera force et courage !
---oOo---
Le chanoine se remet lentement de son mal. Il est vrai qu'on a changé sa literie souillée, épousseté son matelas... Gilles-Édouard de la Patelière a avalé sans sourciller une seconde dose du remède que lui a présenté son médecin. Le goût lui en a paru un peu différent, et pour cause, mais l'homme de l'art l'a rassuré.
— C'est la même tisane, renforcée de sauge et quelques herbes fortifiantes pour accélérer votre rétablissement. J'ai veillé moi-même à son élaboration.
Il s'agit en réalité de la potion que lui a remise, pour son soi-disant usage personnel, la vieille Marianne qui lui a fait promettre de ne la boire qu'à petite dose, le quart de la fiole seulement, a-t-elle précisé.
— Sinon, une frénésie sexuelle incontrôlable s'emparerait de vous et vous ferait perdre la tête !
La potion, comme la précédente, a bien sûr été concoctée par la Célestine ! Et le docteur fait avaler à son patient l'intégralité de la fiole, d'un seul coup.
Quand peu après, Gaëtan, un page du comte dont celui-ci connaît la déviance et qu'il a dûment chapitré, vient se mettre à son service, le chanoine est dans un état de surexcitation extrême. Il ouvre de grands yeux !
Ce véritable adonis est en effet vêtu d'une chemise bouffante et surtout d'une culotte moulante qui met très en valeur ses attributs masculins. Le jeune homme se montre très empressé auprès du convalescent. Il s'approche très près de l'homme pour redresser ses oreillers, lui plaquant alors son entre-jambe contre l'avant-bras.
Pris de folie, le chanoine lui met la main au paquet et paraît ne pas vouloir abandonner sa prise qu'il malaxe hardiment. L'éphèbe minaude mais ne se défend pas et le chanoine vire dans la folie sexuelle. Repoussant ses draps, troussant sa chemise, il exhibe une fière étrave au dard rubicond, abaisse la culotte du page et s'empare de la verge qu'il fait grossir dans sa bouche à force de succions frénétiques.
Gaëtan est attiré sur la couche et les deux hommes se sucent mutuellement. L'inquisiteur dépravé pousse cris et grognements de satisfaction, le braquemart du page est tout à son goût, il se repaît avec grande satisfaction de cette belle pièce qui lui emplit la bouche.
Dans le couloir, par la porte entrouverte, Benoît Gallard hésite : doit-il intervenir dès à présent ? Il consulte ses compagnons et décide d'attendre. Nouvelle hésitation quand le chanoine changeant de position présente son cul à son amant et se fait enfiler par derrière. Mais redoutant que le chanoine ne puisse prétendre avoir été forcé, il préfère encore attendre. Il ne doute pas qu'après avoir été enculé, Gilles-Édouard voudra rendre la pareille à son amant.
Le chanoine crie sa joie alors que Gaëtan le bourre durement. Il jouit le pervers, ses miaulements témoignent de son bonheur à être pris sans ménagement. Il atteint un orgasme tonitruant, abreuve son compagnon d'injures, se mortifie lui-même avant de s'effondrer sur le matelas. Mais sous l'emprise de la potion, il retrouve vite sacrée vigueur et oblige son amant à se mettre à quatre pattes pour lui présenter son joufflu dont il écarte largement les lunes.
Avec un rire sardonique, le prêtre impie plonge sans hésiter sa gaule au plus profond du fion, va et vient entre les fesses en chantant une chanson paillarde.
C'est le moment que Benoît, accompagné de son épouse, de son ami Godefroy et du Docteur Bertignou, choisit pour faire irruption dans la chambre. Emporté par sa sauvage frénésie, Gilles-Édouard de la Patelière ne remarque pas de suite l'entrée de ces témoins et continue de sodomiser durement la croupe de l'apollon qui crie, gémit et se rebelle, tentant d'échapper à la colonne qui le défonce. Il a vu, lui, l'assistance et selon les instructions reçues, il surjoue son rôle ! Car la fine asperge de l'ecclésiastique ne lui fait ni grand bien, ni grand mal : il s'est fait défoncer l'oignon par des gaillards bien plus membrés que celui-ci !
— Prêtre satanique, arrêtez, hurle Benoît !
Stoppé net dans son élan, pris la main dans le sac ou plus précisément, la bite dans le cul de sa victime, le chanoine réalise la situation et tremble déjà. Sa nouille ramollie s'extrait du fondement et pendouille lamentablement entre ses cuisses.
— Infâme sodomite, hurle Guenièvre qui a bien du mal à étouffer un fou rire face au désarroi piteux du prêtre et elle cache son visage contre le poitrail de Gaëtan venu se réfugier dans ses bras.
— Démoniaque engeance, le roi sera averti de votre bougrerie et de vos turpitudes démoniaques contre-nature, s'exclame Bertignou. S'en est fini de votre pouvoir, sale pervers !
Gilles-Édouard de la Patelière voudrait trouver les mots pour excuser sa conduite mais reste sans voix. Pris à nouveau par sa folie sexuelle, il bande à nouveau, quitte le lit et se précipite sur Gaëtan, sans doute dans l'espoir de finir ce qu'il a commencé mais Godefroy, aidé de Bertignou, le ceinture. Guenièvre lui expédie un formidable coup de genou dans les parties et le triste sire tombe sur le carreau. On lui lie les mains, on le fait sortir de la chambre et on le traîne jusqu'au dehors, dans la grande cour, devant sa soldatesque.
— Faites ce que vous voulez de cette charogne, proclame Benoît. Il aime s'en prendre dans le fion ce salaud ! Ne le ménagez pas !
Après un instant d'hésitation, l'homme est porté jusqu'à un chevalet de bois où, cassé en deux, un premier soldat déjà vient le bourrer durement, pour le plus grand bonheur du prêtre impie qui en redemande !
Il sera servi le bougre ! D'autres soldats, beaucoup d'autres suivront et rempliront l'Inquisiteur Général de leurs foutres visqueux, à en faire déborder le chaudron !
Avant de fêter leur victoire, Benoît descend chercher Célestine et ses filles. Il les mène à la fenêtre pour qu'elles assistent à la déchéance du prêtre sodomite. Suivent alors de très joyeuses agapes.
---oOo---
Au cinquième soir de ce qui est pour lui un véritable chemin de croix, Benoît n'en peut plus. Il a vu sa femme et Cécilia se grougnouter, la belle enfin nue lui offre ce soir de lui lécher son minou. L'homme se jette sur la chatte ruisselante de la jolie Cécilia à quatre pattes au-dessus de Guenièvre, sa langue fouille et farfouille dans les dentelles pourpres de la jeunette, sa bouche aspire le feuilletage ciselé des petites lèvres. Il sait y faire le gaillard et Cécilia tremble de joie sous ce papouillage effréné. Elle non plus ne peut plus résister désormais et elle sait qu'elle va céder dès ce soir : il lui tarde que sa fleur ne soit démontée par le fier mandrin qu'exhibe le comte. Leur lent et exquis parcours patient a éveillé bien trop de désirs et d'envies en elle qu'elle ne peut plus se contenir.
Quittant Guenièvre, elle pousse le comte sur dos, s'installe au-dessus de lui, présente sa moule submergée de miellat à la bouche de son noble compagnon et se jette sur la flamberge érigée. Car s'il a déjà honoré sa femme et déversé sa semence dans l'urne de la comtesse, Benoît bande comme jamais peut-être. Monstrueux chibre couronné d'un gland rouge, le membre est parcouru de grosses veines qui zèbre sa hampe et l'afflux de sang fait palpiter le gourdin. Cécilia le découvre long, bien long et épais, sans comparaison possible avec le manche d'Eugène, son amant adolescent.
Benoît a mignoté déjà les adorables petits nichons pointus de la belle, s'en régalé comme il s'est saoulé de ses lèvres. Il boit présentement à sa fontaine mais rêve d'embrocher cette foune juvénile qu'il sait accueillante car il y a déjà plongé des doigts fureteurs. Il sait tout de ce corps nerveux et harmonieux. Il connaît tout de Cécilia, tout, sauf la chaleur de son fourreau de jeunette dévergondée, l'étroitesse de sa gaine chaud-bouillante non plus que le velouté de ses chairs inondées.
Il boit la sève distillée, s'en soûle et parcourt avec délectation les foisonnements parcheminés des nymphes de la donzelle mais meurt d'embrocher la jouvencelle. Sa queue lui fait mal, palpite et tressaute dans la bouche qui le pompe.
— Cécilia, je n'en peux plus de t'attendre ! Franchissons maintenant l'étape ultime, donne-toi à mon chibre qui s'impatiente de la chaleur douillette de ton tunnel embrasé.
Cécilia n'attendait que cette invite : elle abandonne le bâton rougeaud, s'étale sur le lit, cuisses ouvertes et relevées dans une posture parfaitement dépravée, chatte béante. Benoît ripe sur son corps, l'embrasse avec fougue, caresse ses seins tendus. Il temporise le gaillard, ses doigts parcourent le bijou détrempé par des flots de cyprine, vient agacer le grelot dégagé de sa gaine. Il caresse la mirabelle juteuse, la cajole longuement.
Plongeant son regard dans les yeux de la belle, Benoît vient positionner son dard à l'embouchure nacrée, béante et palpitante. Doucement, il investit le conduit, entre et ressort pour s'accoutumer à la chaleur extrême qui embrase son gland. Pour amadouer le chenal, il s'enfonce peu à peu, ressort et revient. Cécilia sent le reptile glisser dans sa gangue, affoler les terminaisons sensibles de sa matrice. Elle apprécie cette lenteur, cette introduction progressive de la bête dans son tréfonds. Elle ponctue chaque aller-retour de baisers affolés et mouillés, arque son corps pour épouser au mieux l'anatomie qui la pénètre. Quand le chibre bute contre le fond de sa gangue, immobiles, les deux amants savourent leur connexion intime, une plénitude repousse temporairement le sabrage qui ne manquera pas de suivre mais les deux amants goûtent à ce moment d'union de leurs sexes confondus.
Benoît entame ensuite le va et vient qui les conduira à la félicité. Les allers-retours s'accélèrent, défoncent chaque ourlet de la matrice, les reflux du sabre sont aussi vigoureux que les plongées puissantes et merveilleusement dévastatrices. Chaque parcelle de leurs corps se tendent à la recherche de l'autre, leurs sexes s'amalgament et fusionnent dans une unicité fabuleuse. La vulve convulse autour de la colonne, la matrice palpite.
Cécilia subit avec ravissement le joug de son amant, elle est parcourue de transes bouleversantes mais se retient autant qu'elle le peut dans l'attente des jets incendiaires dans son tabernacle. Elle est définitivement au bord de l'explosion quand enfin elle sent les ultimes ressauts de la pine et qu'elle est foudroyée par l'éruption de lave propulsée par la lance. Elle est chavirée dans le tourbillon du plaisir partagé avec son seigneur et maître. Elle vole, nage, court, bondi comme un cabri tout à la fois, succombe à l'orgasme somptueux, surprenant par son ampleur dévastatrice.
Quand ensuite Benoît, pleinement comblé de l'aventure, quitte son goulot, il bande encore et toujours, serait certainement prêt à un second sabrage mais désireux de laisser sa douce maîtresse réaliser pleinement son bonheur, il se tourne vers Guenièvre qu'il embrasse à pleine bouche, triture ses loches et leurs bouts et s'installe entre les cuisses que sa femme, étonnée par son endurance lui ouvrent avec grand plaisir. Il sabre le con tout nu, chevauche son épouse avec frénésie, s'enfonce en elle et la porte résolument à son tour vers un plaisir qu'elle n'avait pas imaginé.
Cécilia, un peu abasourdie, observe la cavalcade, s'étonne de la vigueur de l'homme.
« Si après s'être déversé en elle, ce bougre ressort bandant toujours fièrement, c'est qu'il aura goûté à la potion de ma mère ! J'espère que non car j'aurais grand plaisir à ressusciter sa queue dans ma bouche. Pour qu'il me remette une tournée ce salaud d'amour ! C'est que j'ai encore une sacrée faim de lui... et de son braquemart ! »
Quand l'homme roule sur la couche, tout étourdi par sa cavalcade. Cécilia ravie constate que cette fois, le mandrin s'est vaguement recroquevillé. Elle va pouvoir user de ses talents de suceuse experte. Se plaçant de guingois, une jambe en l'air, elle expose à son maître sa conque dégoulinante de miellat et de sperme, promène dessus et dedans des doigts folâtres.
Elle avance une langue timide vers le robinet racorni, le lèche délicatement, par petites touches, le relève pour le laisser retomber. Elle s'amuse la coquine avec ce bout de chair languide. Sa bouche vient englober les bourses relâchées, suçote les bonbons, les enferme dans son bec et les ensalivent généreusement. Sa baveuse se fait large, redresse le robinet ensuqué qui grandit avant que d'avaler le morceau qu'elle fait tournicoter dans sa bouche. Elle se réjouit de la résurrection progressive de la flamberge sous ses caresses chaudes et humides, s'étonne comme toujours de voir la transformation du ridicule appendice en fier braquemart.
Sa langue se fait large, caresse la hampe, parcourt les veines de la verge. Par ce traitement langoureux, le mat se redresse vaillamment et le gland pointe sous le prépuce, s'en défait et dévoile son capuchon presque violacé.
Cécilia devient furie, sa bouche avale le champignon vénéneux, l'affole de sa langue pointue. Le voilà bien dressé le chibre, prêt à l'action, impatient à nouveau de la fourrer.
Se positionnant sur le dos aux côtés de son bel amant, elle relève ses jambes au plus haut, expose son maujoint mais surtout, bascule son bassin et s'écarte les globes de son cul.
— Vient, prend-moi, baise mon cul maintenant, défonce-moi la rondelle, explose-moi ma turne sombre. Ainsi, sur moi, je te verrai jouir dans mon tréfonds glauque. Viens donc, encule-moi profond !
Elle lui aura tout donné ce soir, sa chatte délicate et son dernier trou !
Le comte se met en place, dirige sa queue gonflée vers l'œil de bronze, appuie sur le cercle plissé. Lequel s'élargit peu à peu sous ses poussées, s'évase. Quand le gland franchit la porte, Cécilia pousse un long cri mais encourage son amant à poursuivre sa progression dans ses noirceurs. Le braquemart s'enfile dans le méat, bute au fond, repart, revient. Elle est proprement enculée Cécilia, heureuse de s'offrir à son vaillant baiseur qui ramone son tréfonds.
Elle a glissé sa main entre les deux corps, se tirlipote son clitoris érigé, se branle tout en se faisant défoncer le train. Elle voit les traits du visage de Benoît se contracter ses yeux s'écarquiller. Il va jouir, jouir dans son cul, lâcher son foutre dans son antre merdeux.
Elle part avant l'explosion, se propulse dans les éthers chatoyants, voit son amant la rejoindre, sent les convulsions de la pine qui s'épanche en elle.
Elle est heureuse Cécilia, heureuse de ce bonheur dans son entrée interdite, heureuse de s'être donnée si totalement à l'homme qu'elle aime !
Le bonheur du cadeau ultime.
---oOo---
ÉPILOGUE
Quel sort aura été celui du Grand Inquisiteur du Royaume ?
Au lendemain de son acte, incapable de marcher, le chanoine Gilles-Édouard de la Patelière avait été jeté, à peine vêtu, sur une charrette pour être conduit jusqu'à Amboise où réside alors le roi. Son médecin et Godefroy témoigneront de son indignité.
De retour à Maufrois, le chevalier Godefroy raconte que le saligaud a été jeté dans un cul-de-basse-fosse sur ordre de sa majesté. Le roi se fout bien de ses actes, le chanoine n'est ni le premier ni le dernier de sa cour à s'adonner en catimini à la bougrerie mais qu'elle soit dénoncée au grand jour lui donne le prétexte et l'occasion de faire taire les partisans d'une inquisition qui l'agace. Le monarque en profite pour assurer qu'aucun successeur ne sera nommé pour remplacer le dernier des inquisiteurs.
En cette année 1478, des jours moins sombres se profilent donc pour le Comté de Maufrois et tout le royaume. Pour les catholiques, huguenots et autres hérétiques...
Au château de Maufrois, la première tentative de fécondation de la comtesse ne portera pas... son fruit.
Guenièvre sera engrossée à l'issue d'une seconde passe d'armes où Cécilia ne ménagera pas sa peine, secondée par sa sœur Armance, trop heureuse de participer à la ronde.
Sitôt l'état de sa femme confirmé, Benoît tiendra promesse à son ami De Bellac. Il laissera seuls Godefroy et Guenièvre pour leur première nuit d'amour mais prendra l'habitude de se joindre à eux ensuite : le bonhomme a pris goût aux charmes capiteux de sa femme. Les folles nuits des amants seront régulièrement accompagnées par Cécilia et très souvent sa sœur, décidément aussi débauchée que son aînée.
Une aînée qui ne tardera pas à initier avec Armance la jeune Philippine aux jeux lesbiens mais il est entendu que la gamine sera préservée de tout galant jusqu'à un âge raisonnable.
La comtesse donnera le jour à un charmant et solide poupon. Étrangement, Guenièvre perdra bon nombre de livres suite à son enfantement. Conséquence de l'allaitement qu'elle a décidé d'assumer elle-même sans s'adjoindre les services d'une nourrice ? Ou des baumes raffermissants de Célestine ? Toujours est-il que la succession résolue, les manèges à quatre ou à cinq pourront continuer...
Célestine a abandonné l'agriculture et le maraîchage, louant ses terres à plusieurs paysans du village. Elle habite désormais le château avec ses filles mais revient chez elle chaque matin de semaine pour accueillir ses patients. Et elle initie Cécilia à ses connaissances sur les herbes. Et quelques autres recettes surprenantes.
Car oui, en définitive, Célestine est tout de même un peu... sorcière !
Si elle ne participe à aucun sabbat ou autre folklore satanique, elle possède un grimoire mystérieux qui recèle nombre de recettes magiques. Beaucoup sont délirantes, font appel à des ingrédients farfelus mais quelques-unes s'avèrent fort intéressantes. Comme le moyen de contrôler la fertilité des femmes ou de choisir le sexe des enfants à naître. C'est là précisément le principal secret qu'elle divulgue à son aînée en vue d'aboutir à son vœu le plus cher : établir la dynastie des femmes Magloire à travers les siècles à venir !
À suivre... 1793...
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À la fin du jour, l'inquisiteur ne supporte plus les crampes qui le tordent. S'il a refusé au matin les médications proposées par son hôte, il n'en peut plus des convulsions qui le torturent.
— Messire Gallard je vous en prie, faites-moi porter la décoction de votre nourrice.
Le temps que Marianne arrive avec la potion concoctée par Célestine, le chanoine a fait venir son médecin et son goûteur qui sera le premier à tester la potion. Quant au médecin, goguenard, il renifle la tisane et approuve le breuvage.
En sortant de la chambre, le docteur Bertignou s'adresse au comte.
— Notre chanoine est bien mal en point.
— La potion administrée, je vous le garantis, va lui permettre de se rétablir. Doucement.
— Je ne sais si votre médication fera effet bénéfique mais j'en arrive à penser que si son état s'aggravait, ce ne serait pas forcément mauvaise chose.
Surpris par ces propos, Benoît interroge le médecin du regard.
— Messire, je crains que le chanoine n'ait plus toute sa tête. Son comportement est fort inquiétant et se dégrade de jour en jour. Sa quête des huguenots et autres hérétiques tourne au délire et le bonhomme est désormais obsessionnel. Que Dieu lui pardonne ses péchés quand il le rappellera à lui. Bientôt j'espère, murmure-t-il pour finir.
Le médecin se profiterait-il comme un allié ?
— Puis-je vous faire une confidence, chuchote le savant à l'oreille de son interlocuteur.
— Je vous en prie docteur.
— Les préceptes de Léon IX sur la pureté des prêtres sont revenus de mode. Du moins officiellement. Or, le chanoine a démontré depuis peu une attirance à peine déguisée pour les jeunes hommes. Il a ainsi étonnamment blanchi un freluquet chez le Baron de Gelèvre mais l'a fait venir ensuite dans sa chambre. Le jouvenceau n'en est ressorti qu'aux matines. Ce qui s'est passé si longuement dans la chambre, je vous laisse l'imaginer. Je doute qu'ils aient joué aux osselets... C'est là gros problème. Imaginez le scandale si l'Inquisiteur Général était pris en flagrance de fornication avec un homme, ce serait gros scandale et son pouvoir n'y résisterait pas.
— Je pense que vous vous trompez cher ami. Que l'on mette à son service un ou plusieurs beaux éphèbes ne suffirait pas à le faire tomber dans la turpitude. Il a fort caractère et résistera au nom de sa foi.
— Certes... Certes, peut-être avez-vous raison...
Le médecin réfléchit.
— Mais parlons de tout autre chose si vous le voulez bien. Il se trouve que je connais, et je suis bien gêné de vous avouer cela, des petits problèmes de désir si vous voyez ce que je veux dire. Si votre nourrice avait une tisane pour renforcer mon... vit, je vous en serais fort reconnaissant.
« Tiens donc » s'étonne à demi Gallard : ne lui a-t-on pas rapporté que le médecin a contenté deux matrones en même temps ce jour... En quoi aurait-il besoin d'être revigoré ?
À moins qu'il ne destine cette potion à quelqu'un d'autre ?
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Aucun des hommes de la Patelière, hors son médecin et son goûteur, n'étant admis dans le château, Armance se promène à son aise dans les couloirs de la belle demeure. La jeune femme du haut de ses presque dix-huit printemps se sent capable de séduire n'importe quel homme normalement constitué. Elle est en chasse Armance, émoustillée qu'elle est par les petits cours donnés par sa sœur. Se faire brouter tout en suçant une belle quille, voilà une perspective qui la travaille, une posture qui l'émoustille. Comme sa mère le lui a recommandé, c'est sur le goûteur du chanoine qu'elle jette son dévolu : en l'amenant entre ses cuisses, elle s'en fera un allié...
L'homme loge deux chambres après celle du chanoine. Portant d'un panier de charcutailles et un plateau chargé d'un verre et d'une bouteille de vin, elle entre chez le bonhomme qui, debout près de la fenêtre, l'accueille grand sourire aux lèvres. On peut le comprendre, le tendron qui s'approche de lui est tout à fait désirable. La coquine a soigné sa mise : son corsage diaphane ne cache pas grand-chose de ses seins aguicheurs. Comme elle se penche pour servir, ses tétons rosés pointent allègrement au ras de son décolleté.
— Comment te nommes-tu, joyeuse coquine ?
— Armance, pour vous servir mon bon ! En tout ce qu'il vous plaira !
— Je suis Mallot et tu peux me tutoyer. Tu m'as l'air bien gaillarde et tes nichons appellent au pelotage ! Sacrée belle paire que tu as là ! Contre une pièce de bronze, me les montreras-tu ces nichons magnifiques ?
— Il faudrait pour cela que je trousse ma chemise mais j'ai les mains pleines.
Mallot rit et abaisse le décolleté, faisant jaillir les seins de la donzelle.
— Approche, que je goûte ces fruits fichtrement appétissants !
Armance pose aussitôt son panier et la bouteille qui contient un antidote que sa mère y a versé : Mallot échappera ainsi aux effets de la potion spéciale qui sera sous peu administrée au chanoine.
Mais ce qui l'intéresse elle, c'est d'être proprement lutinée par le bonhomme. Elle refuse la pièce proposée mais propulse ses seins sous le nez du maraud. Des mains s'emparent de ses nibards et une bouche fiévreuse tète furieusement ses tétons. La gamine minaude et pousse des soupirs de ravissement. Et pour ce qu'elle en voit, ce Mallot a l'air fort bien monté !
Alors que le drôle s'occupe de ses seins, la petite rouée lance sa main dans l'entre-jambe du bonhomme, soupèse le paquet.
— Il m'a l'air d'y avoir ici belle pièce pour contenter une donzelle affamée !
Mallot baisse ses chausses et exhibe une brisquette en passe de devenir un sacré braquemart ! La vorace tombe à genoux et avale la colonne qu'elle sent grossir dans bouche. C'est une fameuse gaule, plus grosse que celle de son Siméon. Elle relâche le gourdin un instant.
— Oh, quelle belle épée ! N'est-ce pas là la Durandal du Chevalier Roland ?
Mallot ne répond rien mais lui fourre son dard jusqu'au fond de la gorge. Armance hoquète une seconde mais reprend l'épluchage consciencieux du poireau. Elle liche et pourlèche le nœud, le noie de salive tout en faisant tomber sa robe.
Mallot finit de se déshabiller et entraîne la goulue sur sa couche où il s'allonge. Armance, tout à son délire de léchage simultané, se place tête bêche sur lui, engloutit le mandrin tout en plaquant ses mouillettes sur la bouche de son nouvel amant. Elle suce comme une forcenée alors que lui, visite ses trésors emperlés de mouille, asticote son petit grelot, insinue sa langue dans son conduit incendié.
— Encore, encore, gémit la pauvrette au bord de l'extase.
« Bordel, c'est presqu'aussi bon que les léchouilles de ma Cécilia ! Trop désordonnées et empressées mais putain, s'empiffrer de sa queue compense sa maladresse ! »
Elle continue de se goinfrer du sabre et elle ne tarde pas à fuser la petite. Elle traverse les nues faramineuses alors que son ballot lui barbouille la gueule de son venin brûlant. Elle en prend plein la tronche mais se réjouit de se tartinage prolifique dont elle lèche les pendeloques avec délectation.
Hilare mais non assouvie, elle effectue un demi-tour et se place à quatre pattes sur le lit.
— Viens salopard, bourre-moi la guitoune avec ton sabre vainqueur. Défonce-moi de devant jusqu'au fond.
Mallot ancre ses mains sur les hanches de la drôlesse et enfourne sans cérémonie sa vaillante épée dans le fourreau accueillant, va et vient dans l'échancrure douillette, sabre la founette, explore le fond de l'abysse.
Cris, plaintes extasiées, sourds grognements accompagnent le puissant ramonage de l'étroite gaine.
— Oh oui, continue ! Baise bien la salope que je suis ! Démonte-moi mon tiroir à saucisses, crie Armance que s'en retourne hardiment sur le chemin de l'extase.
Cette fois, elle plonge dans des abysses d'une profondeur insondable, elle est ballottée dans un tourbillon fabuleux. Elle pourrait bien dériver sur les échos du plaisir pendant le reste du jour. Elle se focalise sur le plaisir, sur la sensation des battements accélérés de son cœur. De son âme réjouie.
Quand plus tard, le séisme se délite, que quelques ressacs encore la subliment, elle embrasse goulûment son baiseur et lui promet de revenir bientôt.
— Demain, tu me baiseras à nouveau et pourra même me prendre par mon petit trou.
— Tout de suite si tu veux !
— Demain ! À chaque jour suffit ... son bonheur ! Pense bien à mon cul, ça te redonnera force et courage !
---oOo---
Le chanoine se remet lentement de son mal. Il est vrai qu'on a changé sa literie souillée, épousseté son matelas... Gilles-Édouard de la Patelière a avalé sans sourciller une seconde dose du remède que lui a présenté son médecin. Le goût lui en a paru un peu différent, et pour cause, mais l'homme de l'art l'a rassuré.
— C'est la même tisane, renforcée de sauge et quelques herbes fortifiantes pour accélérer votre rétablissement. J'ai veillé moi-même à son élaboration.
Il s'agit en réalité de la potion que lui a remise, pour son soi-disant usage personnel, la vieille Marianne qui lui a fait promettre de ne la boire qu'à petite dose, le quart de la fiole seulement, a-t-elle précisé.
— Sinon, une frénésie sexuelle incontrôlable s'emparerait de vous et vous ferait perdre la tête !
La potion, comme la précédente, a bien sûr été concoctée par la Célestine ! Et le docteur fait avaler à son patient l'intégralité de la fiole, d'un seul coup.
Quand peu après, Gaëtan, un page du comte dont celui-ci connaît la déviance et qu'il a dûment chapitré, vient se mettre à son service, le chanoine est dans un état de surexcitation extrême. Il ouvre de grands yeux !
Ce véritable adonis est en effet vêtu d'une chemise bouffante et surtout d'une culotte moulante qui met très en valeur ses attributs masculins. Le jeune homme se montre très empressé auprès du convalescent. Il s'approche très près de l'homme pour redresser ses oreillers, lui plaquant alors son entre-jambe contre l'avant-bras.
Pris de folie, le chanoine lui met la main au paquet et paraît ne pas vouloir abandonner sa prise qu'il malaxe hardiment. L'éphèbe minaude mais ne se défend pas et le chanoine vire dans la folie sexuelle. Repoussant ses draps, troussant sa chemise, il exhibe une fière étrave au dard rubicond, abaisse la culotte du page et s'empare de la verge qu'il fait grossir dans sa bouche à force de succions frénétiques.
Gaëtan est attiré sur la couche et les deux hommes se sucent mutuellement. L'inquisiteur dépravé pousse cris et grognements de satisfaction, le braquemart du page est tout à son goût, il se repaît avec grande satisfaction de cette belle pièce qui lui emplit la bouche.
Dans le couloir, par la porte entrouverte, Benoît Gallard hésite : doit-il intervenir dès à présent ? Il consulte ses compagnons et décide d'attendre. Nouvelle hésitation quand le chanoine changeant de position présente son cul à son amant et se fait enfiler par derrière. Mais redoutant que le chanoine ne puisse prétendre avoir été forcé, il préfère encore attendre. Il ne doute pas qu'après avoir été enculé, Gilles-Édouard voudra rendre la pareille à son amant.
Le chanoine crie sa joie alors que Gaëtan le bourre durement. Il jouit le pervers, ses miaulements témoignent de son bonheur à être pris sans ménagement. Il atteint un orgasme tonitruant, abreuve son compagnon d'injures, se mortifie lui-même avant de s'effondrer sur le matelas. Mais sous l'emprise de la potion, il retrouve vite sacrée vigueur et oblige son amant à se mettre à quatre pattes pour lui présenter son joufflu dont il écarte largement les lunes.
Avec un rire sardonique, le prêtre impie plonge sans hésiter sa gaule au plus profond du fion, va et vient entre les fesses en chantant une chanson paillarde.
C'est le moment que Benoît, accompagné de son épouse, de son ami Godefroy et du Docteur Bertignou, choisit pour faire irruption dans la chambre. Emporté par sa sauvage frénésie, Gilles-Édouard de la Patelière ne remarque pas de suite l'entrée de ces témoins et continue de sodomiser durement la croupe de l'apollon qui crie, gémit et se rebelle, tentant d'échapper à la colonne qui le défonce. Il a vu, lui, l'assistance et selon les instructions reçues, il surjoue son rôle ! Car la fine asperge de l'ecclésiastique ne lui fait ni grand bien, ni grand mal : il s'est fait défoncer l'oignon par des gaillards bien plus membrés que celui-ci !
— Prêtre satanique, arrêtez, hurle Benoît !
Stoppé net dans son élan, pris la main dans le sac ou plus précisément, la bite dans le cul de sa victime, le chanoine réalise la situation et tremble déjà. Sa nouille ramollie s'extrait du fondement et pendouille lamentablement entre ses cuisses.
— Infâme sodomite, hurle Guenièvre qui a bien du mal à étouffer un fou rire face au désarroi piteux du prêtre et elle cache son visage contre le poitrail de Gaëtan venu se réfugier dans ses bras.
— Démoniaque engeance, le roi sera averti de votre bougrerie et de vos turpitudes démoniaques contre-nature, s'exclame Bertignou. S'en est fini de votre pouvoir, sale pervers !
Gilles-Édouard de la Patelière voudrait trouver les mots pour excuser sa conduite mais reste sans voix. Pris à nouveau par sa folie sexuelle, il bande à nouveau, quitte le lit et se précipite sur Gaëtan, sans doute dans l'espoir de finir ce qu'il a commencé mais Godefroy, aidé de Bertignou, le ceinture. Guenièvre lui expédie un formidable coup de genou dans les parties et le triste sire tombe sur le carreau. On lui lie les mains, on le fait sortir de la chambre et on le traîne jusqu'au dehors, dans la grande cour, devant sa soldatesque.
— Faites ce que vous voulez de cette charogne, proclame Benoît. Il aime s'en prendre dans le fion ce salaud ! Ne le ménagez pas !
Après un instant d'hésitation, l'homme est porté jusqu'à un chevalet de bois où, cassé en deux, un premier soldat déjà vient le bourrer durement, pour le plus grand bonheur du prêtre impie qui en redemande !
Il sera servi le bougre ! D'autres soldats, beaucoup d'autres suivront et rempliront l'Inquisiteur Général de leurs foutres visqueux, à en faire déborder le chaudron !
Avant de fêter leur victoire, Benoît descend chercher Célestine et ses filles. Il les mène à la fenêtre pour qu'elles assistent à la déchéance du prêtre sodomite. Suivent alors de très joyeuses agapes.
---oOo---
Au cinquième soir de ce qui est pour lui un véritable chemin de croix, Benoît n'en peut plus. Il a vu sa femme et Cécilia se grougnouter, la belle enfin nue lui offre ce soir de lui lécher son minou. L'homme se jette sur la chatte ruisselante de la jolie Cécilia à quatre pattes au-dessus de Guenièvre, sa langue fouille et farfouille dans les dentelles pourpres de la jeunette, sa bouche aspire le feuilletage ciselé des petites lèvres. Il sait y faire le gaillard et Cécilia tremble de joie sous ce papouillage effréné. Elle non plus ne peut plus résister désormais et elle sait qu'elle va céder dès ce soir : il lui tarde que sa fleur ne soit démontée par le fier mandrin qu'exhibe le comte. Leur lent et exquis parcours patient a éveillé bien trop de désirs et d'envies en elle qu'elle ne peut plus se contenir.
Quittant Guenièvre, elle pousse le comte sur dos, s'installe au-dessus de lui, présente sa moule submergée de miellat à la bouche de son noble compagnon et se jette sur la flamberge érigée. Car s'il a déjà honoré sa femme et déversé sa semence dans l'urne de la comtesse, Benoît bande comme jamais peut-être. Monstrueux chibre couronné d'un gland rouge, le membre est parcouru de grosses veines qui zèbre sa hampe et l'afflux de sang fait palpiter le gourdin. Cécilia le découvre long, bien long et épais, sans comparaison possible avec le manche d'Eugène, son amant adolescent.
Benoît a mignoté déjà les adorables petits nichons pointus de la belle, s'en régalé comme il s'est saoulé de ses lèvres. Il boit présentement à sa fontaine mais rêve d'embrocher cette foune juvénile qu'il sait accueillante car il y a déjà plongé des doigts fureteurs. Il sait tout de ce corps nerveux et harmonieux. Il connaît tout de Cécilia, tout, sauf la chaleur de son fourreau de jeunette dévergondée, l'étroitesse de sa gaine chaud-bouillante non plus que le velouté de ses chairs inondées.
Il boit la sève distillée, s'en soûle et parcourt avec délectation les foisonnements parcheminés des nymphes de la donzelle mais meurt d'embrocher la jouvencelle. Sa queue lui fait mal, palpite et tressaute dans la bouche qui le pompe.
— Cécilia, je n'en peux plus de t'attendre ! Franchissons maintenant l'étape ultime, donne-toi à mon chibre qui s'impatiente de la chaleur douillette de ton tunnel embrasé.
Cécilia n'attendait que cette invite : elle abandonne le bâton rougeaud, s'étale sur le lit, cuisses ouvertes et relevées dans une posture parfaitement dépravée, chatte béante. Benoît ripe sur son corps, l'embrasse avec fougue, caresse ses seins tendus. Il temporise le gaillard, ses doigts parcourent le bijou détrempé par des flots de cyprine, vient agacer le grelot dégagé de sa gaine. Il caresse la mirabelle juteuse, la cajole longuement.
Plongeant son regard dans les yeux de la belle, Benoît vient positionner son dard à l'embouchure nacrée, béante et palpitante. Doucement, il investit le conduit, entre et ressort pour s'accoutumer à la chaleur extrême qui embrase son gland. Pour amadouer le chenal, il s'enfonce peu à peu, ressort et revient. Cécilia sent le reptile glisser dans sa gangue, affoler les terminaisons sensibles de sa matrice. Elle apprécie cette lenteur, cette introduction progressive de la bête dans son tréfonds. Elle ponctue chaque aller-retour de baisers affolés et mouillés, arque son corps pour épouser au mieux l'anatomie qui la pénètre. Quand le chibre bute contre le fond de sa gangue, immobiles, les deux amants savourent leur connexion intime, une plénitude repousse temporairement le sabrage qui ne manquera pas de suivre mais les deux amants goûtent à ce moment d'union de leurs sexes confondus.
Benoît entame ensuite le va et vient qui les conduira à la félicité. Les allers-retours s'accélèrent, défoncent chaque ourlet de la matrice, les reflux du sabre sont aussi vigoureux que les plongées puissantes et merveilleusement dévastatrices. Chaque parcelle de leurs corps se tendent à la recherche de l'autre, leurs sexes s'amalgament et fusionnent dans une unicité fabuleuse. La vulve convulse autour de la colonne, la matrice palpite.
Cécilia subit avec ravissement le joug de son amant, elle est parcourue de transes bouleversantes mais se retient autant qu'elle le peut dans l'attente des jets incendiaires dans son tabernacle. Elle est définitivement au bord de l'explosion quand enfin elle sent les ultimes ressauts de la pine et qu'elle est foudroyée par l'éruption de lave propulsée par la lance. Elle est chavirée dans le tourbillon du plaisir partagé avec son seigneur et maître. Elle vole, nage, court, bondi comme un cabri tout à la fois, succombe à l'orgasme somptueux, surprenant par son ampleur dévastatrice.
Quand ensuite Benoît, pleinement comblé de l'aventure, quitte son goulot, il bande encore et toujours, serait certainement prêt à un second sabrage mais désireux de laisser sa douce maîtresse réaliser pleinement son bonheur, il se tourne vers Guenièvre qu'il embrasse à pleine bouche, triture ses loches et leurs bouts et s'installe entre les cuisses que sa femme, étonnée par son endurance lui ouvrent avec grand plaisir. Il sabre le con tout nu, chevauche son épouse avec frénésie, s'enfonce en elle et la porte résolument à son tour vers un plaisir qu'elle n'avait pas imaginé.
Cécilia, un peu abasourdie, observe la cavalcade, s'étonne de la vigueur de l'homme.
« Si après s'être déversé en elle, ce bougre ressort bandant toujours fièrement, c'est qu'il aura goûté à la potion de ma mère ! J'espère que non car j'aurais grand plaisir à ressusciter sa queue dans ma bouche. Pour qu'il me remette une tournée ce salaud d'amour ! C'est que j'ai encore une sacrée faim de lui... et de son braquemart ! »
Quand l'homme roule sur la couche, tout étourdi par sa cavalcade. Cécilia ravie constate que cette fois, le mandrin s'est vaguement recroquevillé. Elle va pouvoir user de ses talents de suceuse experte. Se plaçant de guingois, une jambe en l'air, elle expose à son maître sa conque dégoulinante de miellat et de sperme, promène dessus et dedans des doigts folâtres.
Elle avance une langue timide vers le robinet racorni, le lèche délicatement, par petites touches, le relève pour le laisser retomber. Elle s'amuse la coquine avec ce bout de chair languide. Sa bouche vient englober les bourses relâchées, suçote les bonbons, les enferme dans son bec et les ensalivent généreusement. Sa baveuse se fait large, redresse le robinet ensuqué qui grandit avant que d'avaler le morceau qu'elle fait tournicoter dans sa bouche. Elle se réjouit de la résurrection progressive de la flamberge sous ses caresses chaudes et humides, s'étonne comme toujours de voir la transformation du ridicule appendice en fier braquemart.
Sa langue se fait large, caresse la hampe, parcourt les veines de la verge. Par ce traitement langoureux, le mat se redresse vaillamment et le gland pointe sous le prépuce, s'en défait et dévoile son capuchon presque violacé.
Cécilia devient furie, sa bouche avale le champignon vénéneux, l'affole de sa langue pointue. Le voilà bien dressé le chibre, prêt à l'action, impatient à nouveau de la fourrer.
Se positionnant sur le dos aux côtés de son bel amant, elle relève ses jambes au plus haut, expose son maujoint mais surtout, bascule son bassin et s'écarte les globes de son cul.
— Vient, prend-moi, baise mon cul maintenant, défonce-moi la rondelle, explose-moi ma turne sombre. Ainsi, sur moi, je te verrai jouir dans mon tréfonds glauque. Viens donc, encule-moi profond !
Elle lui aura tout donné ce soir, sa chatte délicate et son dernier trou !
Le comte se met en place, dirige sa queue gonflée vers l'œil de bronze, appuie sur le cercle plissé. Lequel s'élargit peu à peu sous ses poussées, s'évase. Quand le gland franchit la porte, Cécilia pousse un long cri mais encourage son amant à poursuivre sa progression dans ses noirceurs. Le braquemart s'enfile dans le méat, bute au fond, repart, revient. Elle est proprement enculée Cécilia, heureuse de s'offrir à son vaillant baiseur qui ramone son tréfonds.
Elle a glissé sa main entre les deux corps, se tirlipote son clitoris érigé, se branle tout en se faisant défoncer le train. Elle voit les traits du visage de Benoît se contracter ses yeux s'écarquiller. Il va jouir, jouir dans son cul, lâcher son foutre dans son antre merdeux.
Elle part avant l'explosion, se propulse dans les éthers chatoyants, voit son amant la rejoindre, sent les convulsions de la pine qui s'épanche en elle.
Elle est heureuse Cécilia, heureuse de ce bonheur dans son entrée interdite, heureuse de s'être donnée si totalement à l'homme qu'elle aime !
Le bonheur du cadeau ultime.
---oOo---
ÉPILOGUE
Quel sort aura été celui du Grand Inquisiteur du Royaume ?
Au lendemain de son acte, incapable de marcher, le chanoine Gilles-Édouard de la Patelière avait été jeté, à peine vêtu, sur une charrette pour être conduit jusqu'à Amboise où réside alors le roi. Son médecin et Godefroy témoigneront de son indignité.
De retour à Maufrois, le chevalier Godefroy raconte que le saligaud a été jeté dans un cul-de-basse-fosse sur ordre de sa majesté. Le roi se fout bien de ses actes, le chanoine n'est ni le premier ni le dernier de sa cour à s'adonner en catimini à la bougrerie mais qu'elle soit dénoncée au grand jour lui donne le prétexte et l'occasion de faire taire les partisans d'une inquisition qui l'agace. Le monarque en profite pour assurer qu'aucun successeur ne sera nommé pour remplacer le dernier des inquisiteurs.
En cette année 1478, des jours moins sombres se profilent donc pour le Comté de Maufrois et tout le royaume. Pour les catholiques, huguenots et autres hérétiques...
Au château de Maufrois, la première tentative de fécondation de la comtesse ne portera pas... son fruit.
Guenièvre sera engrossée à l'issue d'une seconde passe d'armes où Cécilia ne ménagera pas sa peine, secondée par sa sœur Armance, trop heureuse de participer à la ronde.
Sitôt l'état de sa femme confirmé, Benoît tiendra promesse à son ami De Bellac. Il laissera seuls Godefroy et Guenièvre pour leur première nuit d'amour mais prendra l'habitude de se joindre à eux ensuite : le bonhomme a pris goût aux charmes capiteux de sa femme. Les folles nuits des amants seront régulièrement accompagnées par Cécilia et très souvent sa sœur, décidément aussi débauchée que son aînée.
Une aînée qui ne tardera pas à initier avec Armance la jeune Philippine aux jeux lesbiens mais il est entendu que la gamine sera préservée de tout galant jusqu'à un âge raisonnable.
La comtesse donnera le jour à un charmant et solide poupon. Étrangement, Guenièvre perdra bon nombre de livres suite à son enfantement. Conséquence de l'allaitement qu'elle a décidé d'assumer elle-même sans s'adjoindre les services d'une nourrice ? Ou des baumes raffermissants de Célestine ? Toujours est-il que la succession résolue, les manèges à quatre ou à cinq pourront continuer...
Célestine a abandonné l'agriculture et le maraîchage, louant ses terres à plusieurs paysans du village. Elle habite désormais le château avec ses filles mais revient chez elle chaque matin de semaine pour accueillir ses patients. Et elle initie Cécilia à ses connaissances sur les herbes. Et quelques autres recettes surprenantes.
Car oui, en définitive, Célestine est tout de même un peu... sorcière !
Si elle ne participe à aucun sabbat ou autre folklore satanique, elle possède un grimoire mystérieux qui recèle nombre de recettes magiques. Beaucoup sont délirantes, font appel à des ingrédients farfelus mais quelques-unes s'avèrent fort intéressantes. Comme le moyen de contrôler la fertilité des femmes ou de choisir le sexe des enfants à naître. C'est là précisément le principal secret qu'elle divulgue à son aînée en vue d'aboutir à son vœu le plus cher : établir la dynastie des femmes Magloire à travers les siècles à venir !
À suivre... 1793...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Double BRAVO HDS ! Le chapitre 3 est publié !! MAGNIFIQUE !!
Bon, le chapitre 1 a été refusé pour raison d'inceste : 2 sœurs adolescentes s'initient au saphisme : INTOLERABLE !!!
Le chapitre 2 a été refusé , raison Proxénétisme !! C'est vrai, un chevalier de 1478 va dans un bordel !!!
Comme j'ai été prévenu ce matin, jour de la publication du chapitre 3, je n'ai eu aucune possibilité de réagir !
Franchement HDS, quand on refuse 2 chapitres sur trois, chapitre liés et envoyés le même jour, on ne publie pas le 3ème ! RIDICULE !!!
C'est la 5ème fois que je suis censuré, c'est bon, j'ai compris : j'irai me faire voir ailleurs !
Messieurs les Censeurs, BONSOIR !
Bon, le chapitre 1 a été refusé pour raison d'inceste : 2 sœurs adolescentes s'initient au saphisme : INTOLERABLE !!!
Le chapitre 2 a été refusé , raison Proxénétisme !! C'est vrai, un chevalier de 1478 va dans un bordel !!!
Comme j'ai été prévenu ce matin, jour de la publication du chapitre 3, je n'ai eu aucune possibilité de réagir !
Franchement HDS, quand on refuse 2 chapitres sur trois, chapitre liés et envoyés le même jour, on ne publie pas le 3ème ! RIDICULE !!!
C'est la 5ème fois que je suis censuré, c'est bon, j'ai compris : j'irai me faire voir ailleurs !
Messieurs les Censeurs, BONSOIR !
