Tourbillons 3

- Par l'auteur HDS Pessac -
Récit érotique écrit par Pessac [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Tourbillons 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tourbillons 3
(Alors que Thelma et Fred se sont unis avec passion, Léonie se morfond chez elle. Sa frustration est extrême. Elle s’inquiète pour son amie, son amour. Mais une idée vient de poindre. Son téléphone pourrait être l’objet de sa délivrance)

Le doigt de Léonie hésite un instant au-dessus de l'écran de son téléphone. Elle est sur le point de faire quelque chose qu'elle n'a jamais osé faire. Depuis des semaines, depuis leur séparation, elle se contentait d'observer Thelma de loin, de la voir s’engloutir dans le tourbillon de Josh.

Et de la désirer en silence. Ardemment. Furieusement. Elle avait été fille invisible, celle qui se cachait derrière ses livres et ses écouteurs mais cette nuit, la pensée de Thelma seule et potentiellement blessée la rend courageuse. La lâcheté qui l'avait rongée toute la soirée se transforme en une détermination farouche.

L'idée folle ? Léonie va lui envoyer un message. Pas un message banal, pas un simple « salut-ça va ? ». Elle va lui envoyer une seule phrase, une phrase qui résume toute la complexité de ses sentiments. Elle se sent ridicule, le cœur battant à tout rompre, mais elle ne peut s'arrêter. Cette phrase est le seul moyen qu'elle a de se révéler, de sortir de l'ombre, et de dire à Thelma que, quelque part dans la ville, il y a quelqu'un qui se soucie d'elle. Qui a envie d’elle aussi.

Elle ouvre l'application de messagerie et cherche le nom de Thelma. Elle a son numéro de téléphone depuis des semaines, mais n'a jamais osé l'utiliser. Son doigt tremble alors qu'elle tape une simple phrase, courte et pleine de sens pour elle. Une phrase qu'elle a notée dans son carnet, un des nombreux vers qu'elle a écrits pour elle. Elle ne peut pas se tromper. C'est maintenant ou jamais.

Après une éternité, mille hésitations, la phrase est tapée. Elle est courte, simple, mais elle porte le poids de ses attentes. De ses espoirs. Elle se sent folle, mais elle se sent vivante.

Sans plus y penser, elle appuie sur « Envoyer ». Le message part, traversant l'espace numérique en un instant. Il va maintenant atterrir sur le téléphone de Thelma, un point d'interrogation dans le silence de la nuit. Léonie pose son téléphone sur sa table de chevet, le regardant comme si c'était une bombe à retardement. Elle ne sait pas ce qui peut se passer, mais pour la première fois de sa vie, elle a l'impression d'avoir FAIT quelque chose.

---ooo---

Sur le lit de Thelma, son téléphone vibre : un son minuscule qui résonne dans le silence. Elle et Frédéric étaient en train de se regarder amoureusement, la lumière reflétant leurs visages épanouis et sereins.

Thelma prend l’appareil. Message d'un numéro qu'elle reconnait : Léonie ! Qui lui fiche un coup au cœur. Elle l’ouvre ce texto. Son cœur se serre à la lecture de la phrase. Elle la relit, une fois, deux fois. Le sang, le drame, Josh, Frédéric... tout disparait. Il n'y a plus que cette phrase mystérieuse.

« Un amour impossible qui devient possible, c'est tout un monde qui s'écroule et un autre qui nait »

Elle regarde Frédéric, et son visage affiche un air qu'il ne lui connait pas. Il est plein de doutes, d'incompréhension, et d'un soupçon de peur.
Pourquoi ce message de Léonie ? Qu'est-ce que cela signifie ? Et, surtout, que doit-elle faire ? En faire ?

Thelma est tiraillée. Frédéric, de son côté, a vu le message sur l'écran. Il a vu le visage de Thelma se figer à la lecture. Un autre tourbillon est-il sur le point de commencer ? Il se demande s'il aura le courage et la force d'affronter une autre bataille.

La phrase, lourde de sens, tourbillonne dans la tête de Thelma. C'est une phrase si intense, si personnelle, qu'elle se sent presque coupable de la lire en présence de Frédéric.

Le message de Léonie n'était pas une question. C'est une déclaration. Une déclaration d’amour.

Un aveu tonitruant qui va avoir un effet dévastateur sur son cœur et sur son âme. C'est une invitation. Une invitation à plonger dans un autre tourbillon. Un tourbillon dont elle ne soupçonnait même pas l'existence. Ou à peine...

Léonie, la douce Léonie, son amie. Une amie pour laquelle elle ressent plus que de l’amitié. Une forme d’amour qu’elle a voulu se cacher jusqu’ici mais qui l’étreint en cet instant.

C'est alors qu'elle entend le son d'un message entrant sur son téléphone. Son cœur s'accélère. C'est Léonie à nouveau.

« J'ai vu ce qui est arrivé sur le trottoir. J'espère que tu vas bien, Thelma. Je suis là si tu as besoin de moi. Si tu as envie de ... Enfin, que je vienne... »

Thelma relit le message, sa main est tremblante. Elle relève la tête et regarde Frédéric, puis son téléphone, puis Fred de nouveau. Son esprit est un tourbillon d'émotions. Elle ne peut se résoudre à choisir entre le calme passionné de Frédéric et le désir irradiant de Léonie. Elle veut tout, mais en même temps, elle ne veut rien. À moins que ... Si, si elle veut !

Elle prend son téléphone, le cœur battant à tout rompre. Elle tape un message à Léonie, message qui va sceller son destin.

« Je vais bien. Je suis avec Frédéric. Viens nous rejoindre. »

Elle pose son téléphone, l'écran s’éteint, et elle regarde à nouveau Frédéric. Elle lit de la tristesse dans ses yeux, une tristesse qu'elle lui inflige. Le combat qu'il venait de mener pour elle est-il déjà oublié ?

Un nouveau combat, celui-là silencieux et invisible, vient de commencer. Thelma vient de sceller leur destin. À tous trois !

Une vingtaine de minutes plus tard, la sonnette retentit, surprenant Thelma et Frédéric qui ont dérivé dans un silence inconfortable. Thelma se lève, le cœur battant la chamade, et se dirige vers la porte. Frédéric, resté sur le canapé, l'observe avec une angoisse palpable. La porte s'ouvre sur Léonie, les yeux grands et scrutateurs.

Léonie est à la fois nerveuse et déterminée. Elle n'avait que trois mots de Thelma pour la guider, mais elle est venue. Elle note sur la joue de son amie, une trace de larmes séchées, mais surtout elle voit Frédéric, assis sur le canapé. Dans le vieux t-shirt de jogging de Thelma...
La pièce semble baignée d'une intimité silencieuse qui lui est étrangère.

— Salut, murmure Léonie d’une voix incertaine.
— Salut, répond Thelma, sourire forcé. Entre.

Léonie entre, ses yeux passant de Thelma à Frédéric, puis de nouveau à Thelma. L'air est épais d'émotions non-dites.

— Frédéric, voici Léonie. Léonie, c'est Frédéric, présente Thelma, sa voix ne parvenant pas à masquer sa gêne.

Frédéric se lève, une expression neutre sur le visage, et hoche la tête.
— Enchanté.
— Moi aussi, répond Léonie d’une voix un peu plus forte.

Thelma les regarde, le sentiment de culpabilité envers Frédéric et la confusion qu'elle ressent pour Léonie se mélangeant. Elle avait voulu la paix, et en une seule phrase, « viens nous rejoindre », elle a déclenché un tout nouveau chaos. Elle s'assied au milieu du canapé, entre Frédéric et Léonie, comme un trait d'union silencieux entre deux mondes.

Elle se sent comme un funambule sur un fil, une simple fausse note, une simple mauvaise blague, et tout risque de s'effondrer. Elle a l'impression d'avoir invité l'amour de Léonie, d'avoir invité sa passion, sa douleur, mais en même temps, elle a aussi conservé le calme, la douceur, l'amour inconditionnel de Frédéric. Et elle ne sait pas lequel elle désire le plus.

Maintenant que les trois sont réunis dans le salon, comment la conversation va-t-elle commencer et évoluer ? Que va-t-il se passer maintenant ? Elle en tremble d’émotion.

Le silence qui suit est plus lourd que n'importe quelle discussion. Les trois jeunes gens restent assis, immobiles, comme s'ils attendaient le début d'une pièce de théâtre sans savoir qui tiendra le premier rôle. C'est Léonie qui brise le silence, sa voix est douce mais déterminée.

— Thelma, tu vas bien ? J'ai vu... ce qui est arrivé. Il fallait que je vienne.

Sa voix est remplie d'une inquiétude sincère, mais ses yeux ne quittent pas Frédéric.
Thelma sent la tension monter. Elle ne veut pas entrer dans les détails, surtout pas devant Léonie.

— Oui, je vais bien, répond-elle, évitant le regard de Léonie. C'était rien.
— Rien ? répète Frédéric. Sa voix est indignée.

L'amertume est palpable.

— Il te tenait à la gorge.
Il se tourne vers Léonie, son regard insistant.

— Thelma a failli se faire tuer. C'était ça, le ''rien'' !

La pièce se fige. Les yeux de Léonie, qui étaient fixés sur Thelma, s'écarquillent. Elle ne s'était pas attendue à une telle violence, à une telle implication de la part de Frédéric. Elle avait vu l'incident de loin et avait imaginé le pire, mais l'entendre de la bouche de Frédéric est bien plus intense. Elle ne peut s'empêcher de demander :

— Il t'a... battue ?
— Non ! répond Thelma, une note d'urgence dans sa voix. C'était une bagarre, c'est tout.

Frédéric se lève brusquement.

— Ne minimise pas ça, Thelma. Ça aurait pu finir très mal.
Il se tourne vers Léonie, l'émotion de la nuit encore fraîche dans sa voix.

— J'ai eu peur. J'ai vraiment eu peur. Pour elle !

Léonie voit le visage de Thelma se fermer. Elle voit le regard de Frédéric se perdre dans le vide, les poings serrés. Elle voit la tension entre eux. Elle comprend que Frédéric n'est pas juste un ami, il est son sauveur.
Un sauveur qui aime Thelma, de la même manière qu'elle l'aime, elle.

— Je... je ne savais pas, balbutie Léonie, la tristesse dans sa voix.

Elle baisse les yeux, honteuse de ses propres sentiments.

Thelma les regarde, la culpabilité lui tordant les entrailles. En un instant, elle a transformé le sanctuaire de ce salon en un ring de boxe. Elle a transformé l'amour de Frédéric et la passion de Léonie en une compétition. Et elle sait qu'elle en est la seule coupable.

Frédéric, Léonie et Thelma, les trois jeunes gens restent dans le salon, trois âmes perdues dans un silence pesant. Mais le triangle est formé.

La tension, trop intense pour être contenue, explose finalement. Pas en colères, mais en un lâcher-prise soudain, sauvage et désespéré. C’est Thelma qui bouge la première : saisissant la main de Léonie, elle l’oblige à se lever, l'attire vers elle. Léonie, surprise, tombe dans ses bras. Thelma, les yeux fermés, se penche et l'embrasse. Un baiser de désir, de chaos et de culpabilité, un baiser qui est tout ce qu'elle ne peut pas exprimer par des mots.

Frédéric les regarde, le souffle coupé, les poings desserrés. Anéanti. Il sent monter une vague de jalousie, mais elle est rapidement remplacée par une fureur intense qui n'est pas dirigée contre Léonie ou Thelma, mais contre lui-même. Il avait cru pouvoir sauver Thelma, mais en fait, il n'avait rien pu faire. À croire qu’elle est condamnée à vivre dans des tourbillons permanents.

Il voit Léonie et Thelma, unies dans le baiser, et il sent sa colère disparaître, remplacée par un besoin irrépressible d'être au milieu d'elles, de sentir la chaleur de leurs corps. Il n'y a plus de raison, plus de pudeur, seulement le désir désormais.

Thelma lui fait signe de se lever lui aussi, l’attire vers elles.

Il se lève, s'approche des deux jeunes femmes et, sans un mot, il se penche et les embrasse. Thelma est le point central de ce triangle de corps, de lèvres, de mains. Leurs peaux, encore tremblantes, sont en feu. Le baiser de Thelma sur Léonie était passionné, le baiser de Frédéric sur Thelma est une déclaration d’amour. Et le baiser de Frédéric sur Léonie, un baiser de partage parfaitement consenti dans un élan d’amour intense. Il n'y a plus de règles, juste le besoin d'être englouti dans ce vortex d'émotions, de désirs et de passion.

Leurs vêtements volent fébrilement, tombent au sol. La folie s'est emparée d'eux, une folie que la culpabilité, le désir et l'amour non réciproque ont alimentés. Thelma, Léonie et Frédéric, trois âmes perdues, ont trouvé une libération dans le chaos, une échappatoire à la pression du monde.

Nus, totalement nus, ils s’observent un moment. Se découvrent. Éblouis. Attendris. Brûlants d’un feu inextinguible. Dévorant.

Thelma reprend la direction des opérations. Elle conduit ses deux amours dans sa chambre. Car oui, ils sont bien ses deux amours. Deux amours qu’elle veut tout entiers. Pas question d’exclure l’un ou l’autre, pas question de choisir.

Retrouvant le mitan du lit, elle tend ses mains vers l’un et l’autre, les invitant à s’allonger de chaque côté d’elle. Elle décide qu’elle restera immobile : elle ne fera pas le moindre geste vers aucun des deux, restera victime consentante, passive mais réceptive. Au-dessus d’elle, Fred et Léonie s’embrassent tendrement, scellant ainsi leur complicité. Baisers doux, mouillés, caresses câlines des joues, les deux se découvrent avec calme et volupté.

Léonie est incroyablement fébrile et Fred, qui ressent la puissance de son désir, décide de lui laisser la priorité, de rester un moment en retrait. Il regarde les deux femmes s’embrasser, fougueusement, avec toute la passion des amours défendues, contenues, interdites mais désormais triomphalement assumées.

Si leurs bouches s’écrasent l’une sur l’autre, si les deux femmes s’époumonent avec bonheur, les mains de Léonie parcourent avec légèreté le corps de Thelma : les nichons sont pris d’assaut par des doigts fébriles qui caressent, survolent les monts éburnéens et leurs framboises grenues, les pressent et les englobent. Lorsque la bouche vient suçoter tour à tour les petits menhirs dressés, Fred en profite pour voler un baiser à Thelma qui, ravie, lui offre son souffle.

Déjà les mains de Léonie ont ripé vers le delta des cuisses, glisse dans le doux jardin secret de Thelma. Un coup d’œil de Léonie vers Fred pour lui signifier de prendre le relais de sa bouche et ses mains sur les seins érigés, le bonhomme se penche sur les nibards, les accapare, les caresse, les cajole, tant avec ses mains qu’avec sa bouche gourmande.

La tête de Léonie coincée entre les cuisses de Thelma, la friponne lèche, suce, farfouille allègrement dans le feuilletage prodigue de la brune, les petites lèvres foisonnantes submergées de cyprine. Elle est aux anges Léonie, elle boit le jus de son amour tout en branlant furieusement sa propre chatte.

Se redressant brusquement, elle vient se placer en ciseau entre les cuisses de sa chérie. Les deux chattes se touchent, s’imbriquent, se soudent, se frottent, le petit buisson de feu de la rousse élime le mont imberbe de sa compagne. Acharnée, Léonie prend possession de la chatte inondée, les clitos des deux femmes s’astiquent, s’excitent mutuellement. Thelma s’était promise de se laisser faire, de rester passive mais les va-et-vient de la rousse sur sa conque embrasée la rendent folle. Ses hanches s’animent, son sexe vient à la rencontre de l’abricot perlé de Léonie. Elles s’éreintent, se baisent l’une l’autre, grimpent sur les sentiers tortueux du plaisir. Comme Léonie, redressée, a repris ses caresses affolantes sur les obus blancs de Thelma, Fred se trouve un peu décontenancé mais l’indécente brune appelle sa queue. Comme il approche son mandrin de ses lèvres, Thelma se jette dessus : elle avale sans coup férir le sabre tendu, le pompe avec ardeur, une ardeur décuplée au fur et à mesure de sa progression vers le nirvana où Léonie la conduit. Elle s’active tant et bien sur la colonne de chair qu’à l’instant où elle et Léonie s’explosent dans l’azur, Fred éjacule sa semence sur son visage, inonde ses seins de son foutre brûlant. Extasié, Fred contemple ses complices tourneboulées dans l’orgasme, transfigurées par le bonheur qui les étreint.

Léonie pleure doucement, ravie et comblée. Elle pleure de bonheur et de tendresse pour ses deux partenaires. Elle a abandonné toute idée d'exclusive, pleine ment souscrit au partage. Un partage qui l'arrange bien en définitive : elle est bi, pas gouine, donc s'amuser avec une queue de temps à autre la satisfait !
Thelma appelle sa bouche et lui offre le plus langoureux des baisers d’amour.

À peine remise de ses émotions, la somptueuse brune se dégage, quitte le lit et ouvrant son armoire, en extirpe une boite. Boite à malice contenant godes, plugs et autres accessoires canailles. Elle exhibe un gode double, dont elle se dépêche d’enfiler une extrémité dans sa moule.

— Léonie, que dirais-tu de te faire enfiler par cette bébête ?
— Ben... je ne dis pas non mais ça me gêne que Fred reste spectateur...

Thelma sourit en regardant son complice.

— Ma foi, si tu veux le sucer pour le remettre en forme, je ne pense pas qu’il sera contre l’idée...

Léonie scrute le sexe de Fred :

— Vu qu’il a à peine débander, ce ne devrait pas être bien long ni difficile. Mais...
— Mais quoi chérie ?
— Ben, en fait, déclare-t-elle timidement, et si... vous me baisiez tous les deux ? Ensemble...
— Ensemble ? demande Thelma goguenarde. Sous-entendrais-tu que tu veux être prise par devant et... par derrière ?
— Mes chéris, sachez que je ne suis pas gouine, juste et ... très nouvellement bi ! J’aime les hommes et une bite bien profond dans mon cul, pendant que toi tu ramoneras ma cheminée, voilà une éventualité qui est loin de me déplaire. L’idée de jouir tous ensemble, c’est pas beau ça ?
— Tu es une vraie salope Léonie et je t’adooôôre !

La salope en question se précipite sur la queue de Fred. Elle n’en a pas pour longtemps pour « redresser » la barre. Le pointeau prêt, Fred s’allonge sur le lit et la garce vient s’accroupir sur le joujou érigé. Le guignol ne rencontre quasiment aucune difficulté à s’introduire dans son fion et à peine le gland a-t-il passé l’œillet resserré que Léonie s’abat résolument sur le manche. Bien jusqu’au fond !

— Et voilà ! Maintenant que mon troufignon est servi, Thelma, à toi de jouer : bourre-moi mon troumignon !

Thelma, tout sourire, vient présenter le godemichet à l’entrée du terrier rose. L’engin s’introduit sans mal dans le tunnel et entame son va-et-vient sans tarder. Chaque poussée dans Léonie lui bourre aussi sa moule, chaque retrait libère la pression, surtout quand la petite dévergondée rousse contracte son vagin pour retenir l’engin en elle ou quand elle soulève son cul pour mieux se faire défoncer la rondelle par son enculeur. Les deux filles se baisent mutuellement, avec acharnement, férocité et un enthousiasme débridé.

Qui le premier partira vers les plaines lénifiantes d’un orgasme somptueux ? Bien malin qui pourrait le prédire !

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, c’est Fred qui s’envole le premier : la rosace resserrée du cul de Léonie étrangle son mandrin sur toute sa longueur à chaque fois que la garce dépravée relève ou abat ses fesses. Dans la chaleur douillette des enfers de la rousse, le chibre explose, lâche sa dose de foutre dans le tréfonds, propulsant le bonhomme dans l’invraisemblable tourbillon de la jouissance.

Les deux filles ne sont pas loin de l’accompagner. Thelma s’active avec détermination à défoncer le petit con serré de sa rousse mais celle-ci, maligne perverse, vient exciter le bouton sensible de la brune. Par contre, de sa main gauche, elle protège son clito des tentatives de Thelma. Qui baise l’autre en définitive ? Léonie en fait, qui par ses manœuvres insidieuses expédie sa chérie dans les limbes stroboscopiques d’un orgasme sidérant.
Alors, satisfaite, Léonie appuie sur son détonateur et rejoint illico sa chérie dans le tumulte ahurissant d’un plaisir époustouflant.

Le trio savoure cette plénitude qui les enferme dans un cocon duveteux.
Thelma est heureuse, ses deux amours la comblent et elle ne doute pas une seconde que leur entente joyeuse et gentiment dévoyée perdurera longtemps.

---ooo---

La vie de Thelma s'est transformée. Elle vit « officiellement » en couple avec Fred qui a emménagé chez elle. Léonie, elle, a quitté le cocon familial pour s’installer à l’étage chez Thelma. « Officiellement », Léonie est locataire : les apparences sont sauvegardées. Même si dans la pratique, elle passe assez peu de temps à l’étage...

Bien sûr, Thelma se partage entre ses deux amours. Se partager n’est d’ailleurs pas le terme adéquat pour qualifier leur ménage à trois. Trop restrictif en fait : Thelma ne passe pas de l’un à l’autre mais au gré des envies des uns et des autres, elle offre son amour, et son corps à l’un, à l’autre ou aux deux en même temps. Sauf quand Fred et Léonie préfèrent se la jouer en duo... Ils s’aiment tous trois, du même amour profond et sincère, mélangent leurs corps avec passion, volupté et bonheur. Pas forcément d’ailleurs pour systématiquement s’envoyer en l’air : il leur arrive souvent, très souvent, de simplement dormir ensemble, sans débordement aucun, à deux ou à trois. Le sexe est un élément important de leur trio, pas une obsession de tous les instants. Mais Thelma est l’indispensable trait d’union du trio et demeure la pièce centrale du trouple.

Fred est aujourd’hui responsable intérimaire de la bibliothèque, sa titularisation à ce poste ne devrait plus tarder : débarrassé de ses complexes d’infériorité, il a largement démontré ses compétences. Léonie termine son cursus à l’université, finalise sa thèse. Elle prendra sûrement une année sabbatique ensuite pour terminer le roman qu’elle rédige actuellement. Un roman dont elle garde jalousement le secret pour l’instant, ne révélant rien ni du sujet, ni des intrigues à ses deux partenaires.

Quant à Thelma, au-delà de son job de « community manager » dans une petite boîte qui connait une expansion rapide à laquelle elle n’est pas étrangère, elle a renoué avec sa passion. Elle a recommencé à photographier. D’autres personnes, d’autres visages, d'autres lieux, en capturant la joie, la tristesse, la vie. Ses photos sont plus vivantes, plus profondes, plus intimistes.

Elle a même organisé une exposition dans un petit café du quartier, exposant ses œuvres les plus récentes.

Josh, qui avait appris pour l'exposition, a déboulé dans le café. Il a évidemment fait un scandale, essayant de déstabiliser, de rabaisser Thelma devant tout le monde.

— C'est de la pacotille, de la gnognote Thelma ! Rappelle-toi que tu n'es rien sans moi !

Thelma, soutenue par les regards d'admiration de ses amis et des clients du café, est restée digne. Elle s'est avancée vers lui, le regard fixant droit dans ses yeux bleus.

— Non, Josh. C'est toi qui n'es rien sans l'attention des autres. Toi, tu n’es qu’une ombre malsaine, une coquille totalement vide sans ta cour vénale qui s’étiole d’ailleurs. Moi, j'ai trouvé ma propre lumière, a-t-elle dit d'une voix calme.

C'est Léonie et Fred qui mettent fin à la confrontation. Ils se sont glissés devant Thelma, s’interposant, la protégeant par leur présence. Josh, voyant qu'il n'avait plus de prise sur elle, a tourné les talons, vaincu. Thelma a regardé Léonie, et dans ses yeux, elle a vu la complicité qui les unissait. L'amour, pur et simple. Dans les yeux de Fred, elle a trouvé le même message, l’amour inconditionnel et farouche.

La promesse de lendemains enchantés.
À trois, sans concessions ni barrières. Dans une triomphante liberté parfaitement assumée.

Thelma a adapté la sentence de sa mère :
« Les gens qui t'aiment ne sont pas censé te faire sentir petite. »

Et Thelma se sent... immensément grande !

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Texte coquin : Tourbillons 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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