De si jolies filles!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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De si jolies filles!
Je suis en pleine réflexion devant ma table de mixage quand une jeune fille du groupe d’artiste s’installe à mes côtés.
- Bonjour ! Me fait-elle.
- Bonjour, je réponds.
- Tu t’appelles comment ?
- Pourquoi cela t’intéresse ?
- J’aime savoir à qui j’ai affaire. Moi, c’est Alexandra.
- Moi Jean-Claude !
- Tu n’as pas la tête de t’appeler Jean-Claude !
- Ah oui, tu sais ça toi ?
- Oui, comme tu t’appelles réellement Alain.
- C’est bien ce que tu veux en plus.
- Ho, si tu savais, pleins de bonnes choses. Qui plaisent aux jeunes filles comme moi.
- Comme quoi ?
- Je ne sais pas, moi, propose ?
- Je n’ai rien à proposer, comme tu vois, je suis en pleine réflexion.
- Une petite récré te ferait grand bien, crois-moi ? Cela te détendra !
- Et quel genre de récré ?
- Une récré des plus agréable.
- J’en vois bien une, mais tu es trop jeune pour moi.
- Sache que je ne suis pas moins jeune que Delphine.
- Tu connais Delphine.
- Autant que tu la connais.
- Là, tu vois, je ne cois pas, pas là où je pense.
- Elle a une chatte très plus fleurie.
Sous mon silence, elle se permet d’ajouter :
- La mienne est aussi belle que celle de Delphine, tu sais !
Une joie mauvaise m’envahit. L’énormité de la chose ne m’effraie même pas.
- Waouh… Quelle histoire.
- Alors je te convaincs ?
- Oui ! Et comment. Je ne te cache pas que tu m’as mis l’eau à la bouche.
- Alors pourquoi attendre ? Je pense que nous sommes tous deux en condition pour passer à l’action.
- Ce qui veut dire ?
- Que j’ai une érection d’enfer, à l’instant où je te parle. Et je pense que tu es dans le même état d’excitation que moi.
- Oui, mais pas maintenant. Peut-être demain. La nuit porte conseil.
- Mais tu ne peux pas me laisser dans cet état.
- Tu ne peux pas là, tu es en pleine réflexion. Demain, si tu es libre.
- D’accord pour demain, mais où ça ?
- Je te conseille de regarder ton portable…
En prenant la route me menant à l’adresse indiquée sur mon portable, je sais que je roule vers d’agréables projets.
D’ailleurs à peine la porte d’entrée franchie, voilà que Ludivine, son prénom, m’invite à la suivre jusqu’à sa terrasse. Sans perdre de temps, nous nous mettons à flirter, d’une manière particulière.
On se frôle du bout des doigts, tout en faisant la discussion. Sa voix est douce. Elle me questionne et le plus simplement possible, je lui réponds. Je perds peu à peu le contrôle de moi-même. Je me laisse aller. Confiant qu’elle prenne soin de guider nous ébats.
Je m’anime, à répondre à ses caresses. La coquine enserre ma verge à travers mon pantalon. Je suis, comme vous le pensez bien, en pleine érection. Elle me masse quelques instants avant de me la mettre à l’air. Elle quitte sa chaise longue pour se pencher et prendre ma queue dans sa bouche, la gainant dans un mouvement descendant.
Je suis aux anges. Elle promène sa langue le long de ma hampe. Venant sur mes couilles, qu’elle gobe un moment. En les enserrant doucement de la mâchoire. Puis elle revient sur mon gland qu’elle prend dans sa bouche avant de promener la pointe de sa langue sur la chair, et se concentre sur mon méat.
Je ne cherche même pas à me retenir. Des jets se succèdent avec force au fond de sa gorge.
Elle m’offre par la suite un café. Je lui fais part de mon envie de lui donner moi aussi du plaisir. Conquise, elle décolle son derrière du bain de soleil. Fais glisser sa culotte très échancrée en dentelle, ajourée, sauf à l’entrejambe. Je prends sa cheville pour lui replier la jambe et l’aider à faire passer le slip sous son pied, chaussée de sandale.
- C’est mignon, mais ça fait un peu la salope. Tu ne crois pas ? Fais-je en tenant sa culotte en main.
- Je suis une salope !
Je retourne la lingerie portée comme un gant, et en examine le fond, que je hume bruyamment.
- Ça sent fort. Et ça me plaît.
Je glisse ma main entre ses cuisses. Je lisse les poils, tire sur une mèche.
- Quelle touffe ! Un vrai buisson.
- Tu vois que je ne t’ai pas menti ?
Je suis la crête des lèvres du sexe. Elle gémit et avance ses fesses au bord du bain de soleil.
- Quelle salope quand même ! Il suffit de te toucher un peu pour que tu mouilles comme une fontaine.
- Arrête !
- Arrête quoi… c’est bien pour ça que je suis là ? Non ?
- Parce que toi, il paraît que tu fais monter les femmes aux rideaux !
- C’est Delphine qui t'a dit cela ?
- Qui d’autre ?
Poussé par une envie irrésistible, je pose mes lèvres sur son buisson fauve et triangulaire, dans lequel ils s’enfoncent comme dans la mousse des bois. Je caresse ensuite ses petites lèvres, masse les bords du vagin. Elle remue sur son bain de soleil, écarte et resserre ses cuisses. D’un geste convulsif, elle presse ses seins à travers son tee-shirt.
La bouche glisse, trouve la blessure des lèvres. Ma langue s’y insère, s’enroule autour du bourgeon couleur corail qu’elle masse longuement. Elle sort de son euphorie et je sens ses jambes se crisper contre les muscles de mon dos.
Je suis dans mon élément !
Elle tient ses seins dans ses mains, elle se les masse, en disant :
- Oui continu à lécher ma chatte, salaud ! Putain que tu lèches bien ma foune !
Encouragé, je la lèche, je jappe. Je suis son chien.
- Relève-toi, et donne-moi ta queue.
Elle s’en empare fermement, et commence à me branler.
- Putain que cela fait du bien de tenir une queue de vrai homme. J’en avais une telle envie.
Je sens mon gland devenir humide. Elle serre ma verge dans sa main et son pouce caresse le bout du gland en étalant à chaque passage un peu de mouille autour du méat. Je l’attrape par la nuque et l’attire à moi. Collant mes lèvres aux siennes tandis qu’elle me branler énergiquement la queue.
- Je dois le reconnaître que tu es une sacré salope.
- Plus que Delphine ?
-ça petite fille si tu le veux bien, je le garde pour moi.
Il ne lui en faut pas plus pour se mettre à gémir, tout en me branlant de plus belle. Haletant, avec la bouche ouverte. Sans que je n’aie eu besoin de lui dire, elle prend mon sexe en bouche. Elle me lèche la queue tout en me regardant. Elle lâche un filet de salive, qui tombe de ses lèvres sur ma queue. Elle a une technique très élaborée d’enroulement de ma verge autour de sa langue. Une langue très souple. J’ai joui assez vite dans sa bouche. Elle continue à me sucer longtemps après mon orgasme.
Puis elle m’embrasse. Sa bouche a encore le goût de mon sperme.
- Alors ta petite Delphine fait aussi bien ?
- Comme je te l’ai déjà dit ça ne te regarde pas !
- Bien dit, fait la voix derrière moi.
Je me retourne et trouve une inconnue, nue devant mes yeux.
- Mais c’est qui lui ? Fait la parfaite inconnue.
- Et bien celui que tu m’as dit ?
- Mais ce n’est pas lui ?
- Écoute celui-là fait bien l’affaire et tu t’en contenteras !
Ludivine s’agenouille devant L’inconnue et tend la main vers son pubis. Elle pousse un petit cri d’incertitude. Ludivine frotte sa main sur ses poils en broussaille. La nouvelle venue encore un peu farouche tient les cuisses et les jambes serrées. La main de Ludivine fait pression pour s’affairer dans son entrejambe. Elle tend un doigt pour chercher un chemin à travers la toison pubienne, toujours plus vers le bas. Elle touche probablement quelque chose de sensible, car la Delphine pousse un cri vif.
- Allez, arrête de faire la gueule ou de jouer la sainte nitouche, lui ou un autre, tant que cela nous fait du bien. Et crois-moi celui-là est à la hauteur !
- Montre-lui ta chatte poilue, dit Ludivine en lui écartant les cuisses.
Les doigts de cette dernière s’affairent le long de ses lèvres. Son index s’enfonce dans sa chatte. Je prends l’initiative de m’installer à côté. Je lui pelote les mamelles. J’ai les yeux dévorés d’envie.
Delphine repousse un petit cri sec lorsque Ludivine lui pince le clitoris. Toute sa chatte est couverte de mouille. Les doigts qui s’affairent sur la vulve de Delphine lui procurent un tel plaisir qu’elle est prête à se laisser faire. J’en profite pour passer doucement ma main sur sa raie des fesses. Elle sursaute et se tourne vers moi avec un air interloqué. Son cul gigote à mesure que Ludivine la branle.
Ludivine se relève et m’entraîne avec elle en souriant. Elle me fait m’asseoir sur une chaise, puis me chevauche sur le haut de mes cuisses.
- Moi aussi, j’ai besoin de réconfort ! Lance-t-elle.
Son dos colle presque mon ventre et buste. J’ai le nez sur sa nuque et sa chevelure brune. Elle émane une odeur fort et naturelle m’envoûte. Mon sexe se met à gonfler. Il touche son aine d’Alice. Elle le remarque et laisse échapper un soupir. Elle se relève un peu, le cul en l’air et saisit mon sexe en érection par une main. Elle le pointe vers sa chatte. Puis doucement elle s’emmanche.
Mon pénis coulisse dans sa chatte jusqu’au bout. Jusqu’à ce que ses fesses s’écrasent sur mes abdominaux. Ma queue enfouie dans les chairs chaudes et agréablement comprimée. Elle se relève de nouveau puis se laisse tomber sur ma queue. Sa respiration s’accélère tout en se faisant plus bruyante.
Delphine au loin nous observe. Avec un mélange de malaise et de frustration. Ludivine, les mains en appui sur mes genoux montent et descendent le long de ma queue. Delphine détourne le regard en grimaçant vers nous. Le plaisir monte en moi. Je préviens Ludivine. Qui me demande de me retenir. Je lui propose alors de l’enculer.
- Pourquoi pas ! Me lâche-t-elle. Comment tu veux que je me positionne.
- En levrette !
- Va pour la levrette.
Sur le tapis, elle écarte les cuisses tout en courbant son dos. Elle a le visage au niveau du tapis. Ses fesses bien ouvertes offrant un large fossé sur la raie. Je plonge ma tête dans la raie. Je saisis les fesses de deux mains. Je tire la langue chargée de salive. Je la promène du vagin jusqu’à la base de son dos. Sur son petit trou, dont je donne de petits baisers. Des deux mains, j’écarte les fesses. L’anus se déforme un peu, mais ne s’ouvre pas. Je replonge ma tête vers le trou de chairs plissée et essaye d’y enfouir la langue. La bague anale cède un peu.
Delphine se rapproche et regarde la scène avec une certaine inquiétude. Je passe le bout de mon pouce dans le creux de ses chairs. J’appuie dessus pour qu’il disparaisse entièrement dans son rectum. Son anus reste ferme et enserre mon doigt.
Je penche ma bouche vers ses fesses et fais couler un filet de bave. J’approche ma queue vers son orifice anal. Je presse ma verge dure sur son cul. Celui-ci s’enfonce en elle sous la pression. Puis l’ouverture anale s’agrandit enfin pour laisser passage à ma queue. Elle ne peut réprimer un long gémissement. Je continu à m’enfoncer lentement dans son cul. Son anus reste tendu et la progression demeure difficile.
Ludivine ne peut réprimer un autre gémissement. Je fais quelques allers et retours dans le derrière de Ludivine.
- Oui, vas-y ! Défonce-moi le cul ! Implore-t-elle.
- Tu aimes cela ? Dis-le que tu veux que je te défonce le cul !
- Oui, ramone le cul ! Je suis à toi !
- Mais moi, vois-tu, je saute que des cochonnes, des vicieuses, des femmes lubriques !
- Je suis une salope, une obsédée qui voudrait se faire prendre tout le temps.
Sur ses mots, je lui remplie son cul de ma jouissance.
Je me laisse tomber sur le tapis. J’ai à peine débandé. Je suis dans une forme olympienne. Je vois Delphine s’approcher de moi. Contre toute attente, elle dépose un baiser sur mes lèvres.
- Donne-moi tes mains, m’ordonne-t-elle.
J’hésite.
- Je t’ai dit de me donner tes mains.
- Vas-y fait ce qu’elle te dit ! Lâche Ludivine du divan où elle a pris place.
J’obéis. Elle se saisit de mes poignées et les noue ensemble.
Elle pousse brutalement mes mains liées au-dessus de ma tête. Je suis maintenant à sa merci !
Elle disparaît de ma vue pour revenir à l’instant d’après avec un seau à glaçon. Elle s’en saisit d’un qu’elle pose sur mon ventre. Le fait glissé sur mon ventre. Je frissonne, c’est froid. Cela ne l’empêche pas continue à faire le glaçon sur moi. Allant de mon ventre à mes bras, puis longeant mon torse, mon ventre à nouveau et enfin mon sexe toujours en érection. Lorsqu’elle passe le glaçon sur mes testicules, je me mets à gémir encore plus fort.
Elle éclate de rire. Elle enjambe alors mon visage, plaçant sa chatte au-dessus de mon visage.
- Maintenant, lèche le chien, m’ordonne-t-elle.
J’entends Ludivine rire. Delphine s’assoit sur ma bouche et je commence à lécher son intimité. Je déguste la moindre parcelle de sa chatte, léchant ses lèvres roses et suçant son clitoris en feu.
- Tu avais raison Ludivine, il lèche bien le salaud…
- Je te l’avais dit. Je suis certaine que l’autre n’aurait pas fait mieux !
Ma langue lui fait lâcher des gémissements. Au moment où je sens qu’elle est sur le point de jouir voilà, qu’elle se relève.
- Tu ne veux plus que je te lèche ?
- Non. Maintenant, je veux te baiser, répond-elle.
Sans autre forme de procès, elle s’empale sur mon sexe turgescent, qui glisse en elle comme dans du beurre tant elle en feu. Au contact du doux fourreau de son vagin autour de mon sexe, je me mets à haleter. Elle commence à aller et à venir que ma queue, me chevauchant violemment, profitant de mon corps, m’utilisant à son bon vouloir.
- Alors qui a la meilleure chatte ? Ludivine ou moi ?
- Salope ! Lâche Ludivine toujours du haut de son divan.
- Vous avez toutes une bonne chatte.
- Et qui baise le mieux ?
- Ludivine a un meilleur coup de reins !
Excitée par mes paroles, elle accélère le rythme. Elle me baise de toutes ses forces. Mettant sa rage et son désir dans les coups de boutoirs qu’elle m’inflige.
Je jouis, envoyant ma sève brûlante dans sa chatte torride. M’envoyant dans un univers de jouissance extasié immense. A me demander s’il était possible de faire un arrêt cardiaque, tant mon orgasme est magnifique.
Elle se soulève puis frotte sa chatte sur ma cuisse. Elle essuie sa chatte souillée de sperme et de ses jus féminins sur mon corps. Puis elle s’allonge sur moi et dépose un tendre baiser sur mes lèvres.
- Bonjour ! Me fait-elle.
- Bonjour, je réponds.
- Tu t’appelles comment ?
- Pourquoi cela t’intéresse ?
- J’aime savoir à qui j’ai affaire. Moi, c’est Alexandra.
- Moi Jean-Claude !
- Tu n’as pas la tête de t’appeler Jean-Claude !
- Ah oui, tu sais ça toi ?
- Oui, comme tu t’appelles réellement Alain.
- C’est bien ce que tu veux en plus.
- Ho, si tu savais, pleins de bonnes choses. Qui plaisent aux jeunes filles comme moi.
- Comme quoi ?
- Je ne sais pas, moi, propose ?
- Je n’ai rien à proposer, comme tu vois, je suis en pleine réflexion.
- Une petite récré te ferait grand bien, crois-moi ? Cela te détendra !
- Et quel genre de récré ?
- Une récré des plus agréable.
- J’en vois bien une, mais tu es trop jeune pour moi.
- Sache que je ne suis pas moins jeune que Delphine.
- Tu connais Delphine.
- Autant que tu la connais.
- Là, tu vois, je ne cois pas, pas là où je pense.
- Elle a une chatte très plus fleurie.
Sous mon silence, elle se permet d’ajouter :
- La mienne est aussi belle que celle de Delphine, tu sais !
Une joie mauvaise m’envahit. L’énormité de la chose ne m’effraie même pas.
- Waouh… Quelle histoire.
- Alors je te convaincs ?
- Oui ! Et comment. Je ne te cache pas que tu m’as mis l’eau à la bouche.
- Alors pourquoi attendre ? Je pense que nous sommes tous deux en condition pour passer à l’action.
- Ce qui veut dire ?
- Que j’ai une érection d’enfer, à l’instant où je te parle. Et je pense que tu es dans le même état d’excitation que moi.
- Oui, mais pas maintenant. Peut-être demain. La nuit porte conseil.
- Mais tu ne peux pas me laisser dans cet état.
- Tu ne peux pas là, tu es en pleine réflexion. Demain, si tu es libre.
- D’accord pour demain, mais où ça ?
- Je te conseille de regarder ton portable…
En prenant la route me menant à l’adresse indiquée sur mon portable, je sais que je roule vers d’agréables projets.
D’ailleurs à peine la porte d’entrée franchie, voilà que Ludivine, son prénom, m’invite à la suivre jusqu’à sa terrasse. Sans perdre de temps, nous nous mettons à flirter, d’une manière particulière.
On se frôle du bout des doigts, tout en faisant la discussion. Sa voix est douce. Elle me questionne et le plus simplement possible, je lui réponds. Je perds peu à peu le contrôle de moi-même. Je me laisse aller. Confiant qu’elle prenne soin de guider nous ébats.
Je m’anime, à répondre à ses caresses. La coquine enserre ma verge à travers mon pantalon. Je suis, comme vous le pensez bien, en pleine érection. Elle me masse quelques instants avant de me la mettre à l’air. Elle quitte sa chaise longue pour se pencher et prendre ma queue dans sa bouche, la gainant dans un mouvement descendant.
Je suis aux anges. Elle promène sa langue le long de ma hampe. Venant sur mes couilles, qu’elle gobe un moment. En les enserrant doucement de la mâchoire. Puis elle revient sur mon gland qu’elle prend dans sa bouche avant de promener la pointe de sa langue sur la chair, et se concentre sur mon méat.
Je ne cherche même pas à me retenir. Des jets se succèdent avec force au fond de sa gorge.
Elle m’offre par la suite un café. Je lui fais part de mon envie de lui donner moi aussi du plaisir. Conquise, elle décolle son derrière du bain de soleil. Fais glisser sa culotte très échancrée en dentelle, ajourée, sauf à l’entrejambe. Je prends sa cheville pour lui replier la jambe et l’aider à faire passer le slip sous son pied, chaussée de sandale.
- C’est mignon, mais ça fait un peu la salope. Tu ne crois pas ? Fais-je en tenant sa culotte en main.
- Je suis une salope !
Je retourne la lingerie portée comme un gant, et en examine le fond, que je hume bruyamment.
- Ça sent fort. Et ça me plaît.
Je glisse ma main entre ses cuisses. Je lisse les poils, tire sur une mèche.
- Quelle touffe ! Un vrai buisson.
- Tu vois que je ne t’ai pas menti ?
Je suis la crête des lèvres du sexe. Elle gémit et avance ses fesses au bord du bain de soleil.
- Quelle salope quand même ! Il suffit de te toucher un peu pour que tu mouilles comme une fontaine.
- Arrête !
- Arrête quoi… c’est bien pour ça que je suis là ? Non ?
- Parce que toi, il paraît que tu fais monter les femmes aux rideaux !
- C’est Delphine qui t'a dit cela ?
- Qui d’autre ?
Poussé par une envie irrésistible, je pose mes lèvres sur son buisson fauve et triangulaire, dans lequel ils s’enfoncent comme dans la mousse des bois. Je caresse ensuite ses petites lèvres, masse les bords du vagin. Elle remue sur son bain de soleil, écarte et resserre ses cuisses. D’un geste convulsif, elle presse ses seins à travers son tee-shirt.
La bouche glisse, trouve la blessure des lèvres. Ma langue s’y insère, s’enroule autour du bourgeon couleur corail qu’elle masse longuement. Elle sort de son euphorie et je sens ses jambes se crisper contre les muscles de mon dos.
Je suis dans mon élément !
Elle tient ses seins dans ses mains, elle se les masse, en disant :
- Oui continu à lécher ma chatte, salaud ! Putain que tu lèches bien ma foune !
Encouragé, je la lèche, je jappe. Je suis son chien.
- Relève-toi, et donne-moi ta queue.
Elle s’en empare fermement, et commence à me branler.
- Putain que cela fait du bien de tenir une queue de vrai homme. J’en avais une telle envie.
Je sens mon gland devenir humide. Elle serre ma verge dans sa main et son pouce caresse le bout du gland en étalant à chaque passage un peu de mouille autour du méat. Je l’attrape par la nuque et l’attire à moi. Collant mes lèvres aux siennes tandis qu’elle me branler énergiquement la queue.
- Je dois le reconnaître que tu es une sacré salope.
- Plus que Delphine ?
-ça petite fille si tu le veux bien, je le garde pour moi.
Il ne lui en faut pas plus pour se mettre à gémir, tout en me branlant de plus belle. Haletant, avec la bouche ouverte. Sans que je n’aie eu besoin de lui dire, elle prend mon sexe en bouche. Elle me lèche la queue tout en me regardant. Elle lâche un filet de salive, qui tombe de ses lèvres sur ma queue. Elle a une technique très élaborée d’enroulement de ma verge autour de sa langue. Une langue très souple. J’ai joui assez vite dans sa bouche. Elle continue à me sucer longtemps après mon orgasme.
Puis elle m’embrasse. Sa bouche a encore le goût de mon sperme.
- Alors ta petite Delphine fait aussi bien ?
- Comme je te l’ai déjà dit ça ne te regarde pas !
- Bien dit, fait la voix derrière moi.
Je me retourne et trouve une inconnue, nue devant mes yeux.
- Mais c’est qui lui ? Fait la parfaite inconnue.
- Et bien celui que tu m’as dit ?
- Mais ce n’est pas lui ?
- Écoute celui-là fait bien l’affaire et tu t’en contenteras !
Ludivine s’agenouille devant L’inconnue et tend la main vers son pubis. Elle pousse un petit cri d’incertitude. Ludivine frotte sa main sur ses poils en broussaille. La nouvelle venue encore un peu farouche tient les cuisses et les jambes serrées. La main de Ludivine fait pression pour s’affairer dans son entrejambe. Elle tend un doigt pour chercher un chemin à travers la toison pubienne, toujours plus vers le bas. Elle touche probablement quelque chose de sensible, car la Delphine pousse un cri vif.
- Allez, arrête de faire la gueule ou de jouer la sainte nitouche, lui ou un autre, tant que cela nous fait du bien. Et crois-moi celui-là est à la hauteur !
- Montre-lui ta chatte poilue, dit Ludivine en lui écartant les cuisses.
Les doigts de cette dernière s’affairent le long de ses lèvres. Son index s’enfonce dans sa chatte. Je prends l’initiative de m’installer à côté. Je lui pelote les mamelles. J’ai les yeux dévorés d’envie.
Delphine repousse un petit cri sec lorsque Ludivine lui pince le clitoris. Toute sa chatte est couverte de mouille. Les doigts qui s’affairent sur la vulve de Delphine lui procurent un tel plaisir qu’elle est prête à se laisser faire. J’en profite pour passer doucement ma main sur sa raie des fesses. Elle sursaute et se tourne vers moi avec un air interloqué. Son cul gigote à mesure que Ludivine la branle.
Ludivine se relève et m’entraîne avec elle en souriant. Elle me fait m’asseoir sur une chaise, puis me chevauche sur le haut de mes cuisses.
- Moi aussi, j’ai besoin de réconfort ! Lance-t-elle.
Son dos colle presque mon ventre et buste. J’ai le nez sur sa nuque et sa chevelure brune. Elle émane une odeur fort et naturelle m’envoûte. Mon sexe se met à gonfler. Il touche son aine d’Alice. Elle le remarque et laisse échapper un soupir. Elle se relève un peu, le cul en l’air et saisit mon sexe en érection par une main. Elle le pointe vers sa chatte. Puis doucement elle s’emmanche.
Mon pénis coulisse dans sa chatte jusqu’au bout. Jusqu’à ce que ses fesses s’écrasent sur mes abdominaux. Ma queue enfouie dans les chairs chaudes et agréablement comprimée. Elle se relève de nouveau puis se laisse tomber sur ma queue. Sa respiration s’accélère tout en se faisant plus bruyante.
Delphine au loin nous observe. Avec un mélange de malaise et de frustration. Ludivine, les mains en appui sur mes genoux montent et descendent le long de ma queue. Delphine détourne le regard en grimaçant vers nous. Le plaisir monte en moi. Je préviens Ludivine. Qui me demande de me retenir. Je lui propose alors de l’enculer.
- Pourquoi pas ! Me lâche-t-elle. Comment tu veux que je me positionne.
- En levrette !
- Va pour la levrette.
Sur le tapis, elle écarte les cuisses tout en courbant son dos. Elle a le visage au niveau du tapis. Ses fesses bien ouvertes offrant un large fossé sur la raie. Je plonge ma tête dans la raie. Je saisis les fesses de deux mains. Je tire la langue chargée de salive. Je la promène du vagin jusqu’à la base de son dos. Sur son petit trou, dont je donne de petits baisers. Des deux mains, j’écarte les fesses. L’anus se déforme un peu, mais ne s’ouvre pas. Je replonge ma tête vers le trou de chairs plissée et essaye d’y enfouir la langue. La bague anale cède un peu.
Delphine se rapproche et regarde la scène avec une certaine inquiétude. Je passe le bout de mon pouce dans le creux de ses chairs. J’appuie dessus pour qu’il disparaisse entièrement dans son rectum. Son anus reste ferme et enserre mon doigt.
Je penche ma bouche vers ses fesses et fais couler un filet de bave. J’approche ma queue vers son orifice anal. Je presse ma verge dure sur son cul. Celui-ci s’enfonce en elle sous la pression. Puis l’ouverture anale s’agrandit enfin pour laisser passage à ma queue. Elle ne peut réprimer un long gémissement. Je continu à m’enfoncer lentement dans son cul. Son anus reste tendu et la progression demeure difficile.
Ludivine ne peut réprimer un autre gémissement. Je fais quelques allers et retours dans le derrière de Ludivine.
- Oui, vas-y ! Défonce-moi le cul ! Implore-t-elle.
- Tu aimes cela ? Dis-le que tu veux que je te défonce le cul !
- Oui, ramone le cul ! Je suis à toi !
- Mais moi, vois-tu, je saute que des cochonnes, des vicieuses, des femmes lubriques !
- Je suis une salope, une obsédée qui voudrait se faire prendre tout le temps.
Sur ses mots, je lui remplie son cul de ma jouissance.
Je me laisse tomber sur le tapis. J’ai à peine débandé. Je suis dans une forme olympienne. Je vois Delphine s’approcher de moi. Contre toute attente, elle dépose un baiser sur mes lèvres.
- Donne-moi tes mains, m’ordonne-t-elle.
J’hésite.
- Je t’ai dit de me donner tes mains.
- Vas-y fait ce qu’elle te dit ! Lâche Ludivine du divan où elle a pris place.
J’obéis. Elle se saisit de mes poignées et les noue ensemble.
Elle pousse brutalement mes mains liées au-dessus de ma tête. Je suis maintenant à sa merci !
Elle disparaît de ma vue pour revenir à l’instant d’après avec un seau à glaçon. Elle s’en saisit d’un qu’elle pose sur mon ventre. Le fait glissé sur mon ventre. Je frissonne, c’est froid. Cela ne l’empêche pas continue à faire le glaçon sur moi. Allant de mon ventre à mes bras, puis longeant mon torse, mon ventre à nouveau et enfin mon sexe toujours en érection. Lorsqu’elle passe le glaçon sur mes testicules, je me mets à gémir encore plus fort.
Elle éclate de rire. Elle enjambe alors mon visage, plaçant sa chatte au-dessus de mon visage.
- Maintenant, lèche le chien, m’ordonne-t-elle.
J’entends Ludivine rire. Delphine s’assoit sur ma bouche et je commence à lécher son intimité. Je déguste la moindre parcelle de sa chatte, léchant ses lèvres roses et suçant son clitoris en feu.
- Tu avais raison Ludivine, il lèche bien le salaud…
- Je te l’avais dit. Je suis certaine que l’autre n’aurait pas fait mieux !
Ma langue lui fait lâcher des gémissements. Au moment où je sens qu’elle est sur le point de jouir voilà, qu’elle se relève.
- Tu ne veux plus que je te lèche ?
- Non. Maintenant, je veux te baiser, répond-elle.
Sans autre forme de procès, elle s’empale sur mon sexe turgescent, qui glisse en elle comme dans du beurre tant elle en feu. Au contact du doux fourreau de son vagin autour de mon sexe, je me mets à haleter. Elle commence à aller et à venir que ma queue, me chevauchant violemment, profitant de mon corps, m’utilisant à son bon vouloir.
- Alors qui a la meilleure chatte ? Ludivine ou moi ?
- Salope ! Lâche Ludivine toujours du haut de son divan.
- Vous avez toutes une bonne chatte.
- Et qui baise le mieux ?
- Ludivine a un meilleur coup de reins !
Excitée par mes paroles, elle accélère le rythme. Elle me baise de toutes ses forces. Mettant sa rage et son désir dans les coups de boutoirs qu’elle m’inflige.
Je jouis, envoyant ma sève brûlante dans sa chatte torride. M’envoyant dans un univers de jouissance extasié immense. A me demander s’il était possible de faire un arrêt cardiaque, tant mon orgasme est magnifique.
Elle se soulève puis frotte sa chatte sur ma cuisse. Elle essuie sa chatte souillée de sperme et de ses jus féminins sur mon corps. Puis elle s’allonge sur moi et dépose un tendre baiser sur mes lèvres.
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