Denise, soumise par force : deux week-end fous (Saison 2 épisode 3/ 4)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Denise, soumise par force : deux week-end fous (Saison 2 épisode 3/ 4)
La belle Denise, en avait fini avec l’initiation, elle était entièrement soumise à Claude qui ne l’avait pas encore possédée, elle en était impatiente mais cela ne saurait tarder car dès le week-end suivant, son Maitre venait la chercher pour passer quelques heures chez lui. Après les 35 kilomètres de route, qui séparait sa ferme, au domicile de Claude, Denise vit qu’il habitait un bel appartement au-dessus d’un club privé, « le Saloon ».
— Je te présente Louisa mon épouse. Tu lui dois obéissance et allégeance, comme à moi.
C’est ta nouvelle Maitresse, elle fera ce qu’elle veut de toi.
— Oui Mon Maitre. Dit Denise intimidée.
Louisa était une femme de 45 à 50 ans, très forte et guère sympathique. Elle était vêtue d’un bustier ultra moulant pour un look très sexy mais la rendait plutôt ridicule.
Une véritable invitation à l’effeuillage avec sa glissière sur le devant qui laissait deviner une énorme poitrine. La matière d’aspect cuir devait être très agréable à porter, elle portait une mini-jupe en latex de couleur rouge avec une coupe simple et droite, sans petite culotte. Denise aperçu également une jeune fille de 25 ans environ, très jolie. Sylvie était leur soumise, elle était nue, elle ne portait que son tablier de servante. Elle ne faisait que les tâches ménagères et était entièrement au service de Louisa. Claude ordonna à Denise qui ne savait pas comment réagir :— À poil salope !
Denise s’exécuta immédiatement, elle ne savait pas quoi faire et était gênée de se mettre nue devant ces deux femmes :— À quatre pattes Poufiasse ! Ordonna Louisa en dénigrant la jeune femme.
La Maitresse pris un collier de cuir et le boucla autour du cou de la nouvelle soumise. Elle y fixa une laisse de chien et la promena dans toute la pièce du salon à la salle à manger en lui faisant faire des grognements de cochon. Denise n’ayant pas obéi de suite, reçut deux coups de cravache sur ses fesses nues, elle cria de douleur mais s’exécuta. Après quelques minutes d’humiliation et de douleur Denise dut se placer devant Claude son Maitre :— Suce mon mari sale pute et fais-le jouir dans ta bouche.
Denise baissa son jean et commença sa fellation. Elle trouva la queue de son Maître magnifique et encore plus grosse et plus épaisse que celles des deux types de l’hôtel, la semaine passée. Après l’avoir léché et sucé tout en le masturbant, Claude éjacula sans retenu, dans la gorge de sa soumise qui dû boire jusqu’à la dernière goutte son sperme qu’elle apprécia. Denise n’éprouvait pas toujours de plaisir à le faire avec d’autres hommes mais elle aima son goût et sa texture. Elle en éprouvait une certaine honte d’avoir dû faire cela devant les deux femmes.
Louisa la félicita d’une claque sur les fesses en lui disant :— Allez sale chienne, promenons-nous encore un peu.
Elle tira sur la laisse et refit le tour du salon à la salle à manger avant de l’immobiliser devant son Maitre :— Écarte tes cuisses sale truie, ton Maitre va t’enculer.
Denise se positionna en levrette sur le tapis et Louisa se mit derrière elle, la Maitresse la possédait de sa main et la léchait, la soumise mouillait déjà, la cyprine suintait de son vagin. Louisa lui passa uniquement un coup de langue sur l’anus en disant à Claude :— Ta nouvelle salope est prête pour sa sodomie. Dit-elle en tirant la laisse vers le bas.
Denise se retrouvait les fesses en l’air et le visage contre le tapis. Claude était très résistant, car il n’avait pas débandé et la perfora d’un seul coup. Denise eut très mal, elle se faisait enculer sans aucun préparatif et la bite de son Maitre était énorme.
Il allait et venait brutalement puis ressortait entièrement. Après quelques secondes, il recommençait pendant que Louisa regardait, debout, les jambes écartées se faisant sucer par la soumise Sylvie qui buvait la cyprine de sa maitresse.
Denise n’éprouvait aucun plaisir, elle avait mal et à chaque fois qu’elle montrait sa souffrance par des petits « aie », elle recevait un coup de cravache sur les fesses :— Obéis sans pleurnicher sale truie. Disait Louisa.
Les larmes aux yeux, Denise subissait les assauts de plus en plus violents de son Maitre qui lui massacrait la peau de ses hanches en s’enfonçant au plus profond de ses entrailles. Les coups de boutoirs devenaient de plus en plus rapides, le passage était fait et la douleur avait disparu pour être remplacer par du plaisir. Denise gémissait, elle voulait qu’il continu, elle sentait le désir monter en elle :— Oui Maitre ! Plus profond ! Encore !
— Dis-moi que tu m’appartiens salope.
— Oui Mon Maitre, je suis entièrement à vous. Ah !!! Ah !!!
Denise fut prise d’un orgasme foudroyant lorsqu’il se retira de son cul. Son être était pris de spasmes et de tremblements. Il attendit quelques minutes puis après l’avoir pénétrée de ses quatre doigts, elle jouit une nouvelle fois, son éjaculation fut intense.
Il se présenta devant sa vulve, le gland à nu, sans aucune protection, il la baisa avec force, il n’arrêtait pas, il avait déjà éjaculé mais restait en elle, en totale érection et continuait à la limer, ses va et vient ne cessèrent qu’après de longues minutes lorsqu’il envoya une nouvelle salve de sperme à l’intérieur de son vagin. Denise n’avait jamais autant joui que cette après-midi-là.
Lorsque Claude l’avait déposée nue devant chez elle, Denise était épuisée, Alain son mari la regarda et pour une autre humiliation sans le vouloir, il sortit son sexe et se mit à se branler. Elle ne l’avait pas touché, il éjacula sur ses seins avant de dire merci. Elle se rappellera longtemps de la première baise avec son Maitre, il était incroyable de puissance, elle ne savait pas s’il avait pris du viagra mais à en croire la résistance et la durée de son érection, il était bien probable qu’il en ait utilisé. En attendant, elle savait que le week-end prochain elle retournait chez lui.
Alain l’avait amené le samedi matin et devait venir la chercher le dimanche soir.
Denise était à la disposition de ses nouveaux Maitre pendant tout le week-end. Claude n’étant pas présent, ce fut Louisa qui lui donnait les ordres. Elle avait dû se dévêtir en arrivant et faire le ménage pendant que Sylvie l’autre soumise faisait la cuisine.
Denise reçut quelques coups de cravache sur le cul à chaque fois qu’elle ne faisait pas exactement comme sa Maitresse lui indiquait.
Après le déjeuner pris en commun, toujours nue Denise alla ouvrir la porte lorsque la sonnette avait retenti :— Ma petite salope, je te présente Roger mon associé au bar et Gabriel le président de la chasse. C’est eux qui t’ont baisé à l’hôtel. Tu te souviens d’eux ?
— Oui Mon Maitre ! Bonjour Messieurs.
Elle était dénigrée et honteuse mais devait faire bonne figure, elle avait répondu en démontrant sa soumission totale. Elle savait très bien que son Maitre allait une nouvelle fois l’offrir à ces deux hommes devant la soumise et son épouse. Elle s’y attendait en se rappelant qu’ils lui avaient déjà apportée du plaisir et en mouillait déjà, malgré les sobriquets qu’elle entendait de toute part. Louisa l’avait repris en laisse et ce fut à quatre pattes que Denise alla au salon :— Elle est bien la nouvelle pute ! elle va bien nous servir au bar. Dit Roger.
— Super ses nichons la salope ! Tourne-toi que l'on te voit mieux. Surenchérit Gabriel.
— Avant que je l’engrosse, vous pouvez l’enculer les gars elle est à vous cet après-midi.
S’avança Claude en lui flattant les fesses.
— Pas tant de caresses Claude ! Cette truie n’en mérite pas. Dit en colère Louisa qui lui infligea un coup de cravache sur le cul.
Les deux hommes avaient retiré leur pantalon, Denise les branla afin qu’ils soient bien en érection. Une bite dans chaque main et sa bouche passait d’une queue à l’autre, ils étaient quand même bien membrés, pensait Denise qui ne les avaient encore jamais vu.
Pendant que tout le monde regardait en faisant des commentaires sauf Sylvie la soumise qui semblait totalement effacée, à tour de rôle Gabriel et Roger sodomisèrent Denise sauvagement. Puis lorsqu’ils n’en pouvaient plus se retenir, ils lui envoyèrent tout leur sperme en pleine bouche. Elle devait tout avaler sous peine de recevoir d’autres coup de cravache.
Après avoir joui deux fois sous les coups de queue répétés des deux invités, Denise devait se coucher devant sa maitresse et lui lécher les pieds. Après avoir bu leur verre, les trois hommes étaient repartis à leur occupation. Louisa écarta les cuisses et demanda à sa nouvelle soumise :— Allez sale truie, fais-moi jouir sans les mains, qu’avec ta bouche.
Ce fut une épreuve pour Denise qui n’était pas du tout porté sur l’amour lesbien mais elle était parvenue à faire prendre un orgasme à sa maitresse sans avoir reçu un seul coup. Louisa maintenait avec force la tête de Denise contre son sexe, pendant qu’elle éjaculait sur son visage :— Ta langue est aussi bonne que celle de Sylvie, ça promet sale truie, je vais bien m’amuser avec toi.
Denise n’avait pas pris de plaisir, elle fut toute heureuse lorsque son Maitre qui était rentré lui demanda de se positionner. Comme le samedi précédent, il la baisa sans capote et lui déversa trois fois sa semence dans son vagin. Denise était heureuse, avec son maitre ses orgasmes étaient décuplés pourtant il la prenait sans vergogne et avec violence et ses coups de boutoirs brutaux la faisaient jouir encore plus.
Le samedi soir, elle avait dormi dans le lit du couple de Maitre, elle dû, une nouvelle fois donner du plaisir à Louisa, en prenant elle-même le sien sous les fisting répétés de son Maitre. Le dimanche fut du même acabit, après le ménage du matin, elle subit, les assauts des deux types dans le rectum, dût sucer plusieurs fois sa maitresse et se faire baiser par son Maitre qui avait une fois encore éjaculé trois fois dans son ventre. Avant de partir, Claude lui dit :— Bon Denise ma petite salope, il va falloir t’habituer, mon associé va te faire travailler au bar. Tu devras satisfaire quelques bons clients. Et Gabriel t’emmènera de temps en temps au cabanon de chasse. Les adhérents vont t’adorer.
Après avoir travaillé un peu au club privé, Denise s’aperçu qu’elle était tombée enceinte. Comme elle ne baisait jamais avec son mari qui ne bandait plus du tout, Claude était forcément le père car c’était le seul homme qui la baisait sans préservatif. Neuf mois plus tard, elle accouchait d’un petit garçon qu’Alain avait reconnu et son Maitre en était le parrain.
Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
— Je te présente Louisa mon épouse. Tu lui dois obéissance et allégeance, comme à moi.
C’est ta nouvelle Maitresse, elle fera ce qu’elle veut de toi.
— Oui Mon Maitre. Dit Denise intimidée.
Louisa était une femme de 45 à 50 ans, très forte et guère sympathique. Elle était vêtue d’un bustier ultra moulant pour un look très sexy mais la rendait plutôt ridicule.
Une véritable invitation à l’effeuillage avec sa glissière sur le devant qui laissait deviner une énorme poitrine. La matière d’aspect cuir devait être très agréable à porter, elle portait une mini-jupe en latex de couleur rouge avec une coupe simple et droite, sans petite culotte. Denise aperçu également une jeune fille de 25 ans environ, très jolie. Sylvie était leur soumise, elle était nue, elle ne portait que son tablier de servante. Elle ne faisait que les tâches ménagères et était entièrement au service de Louisa. Claude ordonna à Denise qui ne savait pas comment réagir :— À poil salope !
Denise s’exécuta immédiatement, elle ne savait pas quoi faire et était gênée de se mettre nue devant ces deux femmes :— À quatre pattes Poufiasse ! Ordonna Louisa en dénigrant la jeune femme.
La Maitresse pris un collier de cuir et le boucla autour du cou de la nouvelle soumise. Elle y fixa une laisse de chien et la promena dans toute la pièce du salon à la salle à manger en lui faisant faire des grognements de cochon. Denise n’ayant pas obéi de suite, reçut deux coups de cravache sur ses fesses nues, elle cria de douleur mais s’exécuta. Après quelques minutes d’humiliation et de douleur Denise dut se placer devant Claude son Maitre :— Suce mon mari sale pute et fais-le jouir dans ta bouche.
Denise baissa son jean et commença sa fellation. Elle trouva la queue de son Maître magnifique et encore plus grosse et plus épaisse que celles des deux types de l’hôtel, la semaine passée. Après l’avoir léché et sucé tout en le masturbant, Claude éjacula sans retenu, dans la gorge de sa soumise qui dû boire jusqu’à la dernière goutte son sperme qu’elle apprécia. Denise n’éprouvait pas toujours de plaisir à le faire avec d’autres hommes mais elle aima son goût et sa texture. Elle en éprouvait une certaine honte d’avoir dû faire cela devant les deux femmes.
Louisa la félicita d’une claque sur les fesses en lui disant :— Allez sale chienne, promenons-nous encore un peu.
Elle tira sur la laisse et refit le tour du salon à la salle à manger avant de l’immobiliser devant son Maitre :— Écarte tes cuisses sale truie, ton Maitre va t’enculer.
Denise se positionna en levrette sur le tapis et Louisa se mit derrière elle, la Maitresse la possédait de sa main et la léchait, la soumise mouillait déjà, la cyprine suintait de son vagin. Louisa lui passa uniquement un coup de langue sur l’anus en disant à Claude :— Ta nouvelle salope est prête pour sa sodomie. Dit-elle en tirant la laisse vers le bas.
Denise se retrouvait les fesses en l’air et le visage contre le tapis. Claude était très résistant, car il n’avait pas débandé et la perfora d’un seul coup. Denise eut très mal, elle se faisait enculer sans aucun préparatif et la bite de son Maitre était énorme.
Il allait et venait brutalement puis ressortait entièrement. Après quelques secondes, il recommençait pendant que Louisa regardait, debout, les jambes écartées se faisant sucer par la soumise Sylvie qui buvait la cyprine de sa maitresse.
Denise n’éprouvait aucun plaisir, elle avait mal et à chaque fois qu’elle montrait sa souffrance par des petits « aie », elle recevait un coup de cravache sur les fesses :— Obéis sans pleurnicher sale truie. Disait Louisa.
Les larmes aux yeux, Denise subissait les assauts de plus en plus violents de son Maitre qui lui massacrait la peau de ses hanches en s’enfonçant au plus profond de ses entrailles. Les coups de boutoirs devenaient de plus en plus rapides, le passage était fait et la douleur avait disparu pour être remplacer par du plaisir. Denise gémissait, elle voulait qu’il continu, elle sentait le désir monter en elle :— Oui Maitre ! Plus profond ! Encore !
— Dis-moi que tu m’appartiens salope.
— Oui Mon Maitre, je suis entièrement à vous. Ah !!! Ah !!!
Denise fut prise d’un orgasme foudroyant lorsqu’il se retira de son cul. Son être était pris de spasmes et de tremblements. Il attendit quelques minutes puis après l’avoir pénétrée de ses quatre doigts, elle jouit une nouvelle fois, son éjaculation fut intense.
Il se présenta devant sa vulve, le gland à nu, sans aucune protection, il la baisa avec force, il n’arrêtait pas, il avait déjà éjaculé mais restait en elle, en totale érection et continuait à la limer, ses va et vient ne cessèrent qu’après de longues minutes lorsqu’il envoya une nouvelle salve de sperme à l’intérieur de son vagin. Denise n’avait jamais autant joui que cette après-midi-là.
Lorsque Claude l’avait déposée nue devant chez elle, Denise était épuisée, Alain son mari la regarda et pour une autre humiliation sans le vouloir, il sortit son sexe et se mit à se branler. Elle ne l’avait pas touché, il éjacula sur ses seins avant de dire merci. Elle se rappellera longtemps de la première baise avec son Maitre, il était incroyable de puissance, elle ne savait pas s’il avait pris du viagra mais à en croire la résistance et la durée de son érection, il était bien probable qu’il en ait utilisé. En attendant, elle savait que le week-end prochain elle retournait chez lui.
Alain l’avait amené le samedi matin et devait venir la chercher le dimanche soir.
Denise était à la disposition de ses nouveaux Maitre pendant tout le week-end. Claude n’étant pas présent, ce fut Louisa qui lui donnait les ordres. Elle avait dû se dévêtir en arrivant et faire le ménage pendant que Sylvie l’autre soumise faisait la cuisine.
Denise reçut quelques coups de cravache sur le cul à chaque fois qu’elle ne faisait pas exactement comme sa Maitresse lui indiquait.
Après le déjeuner pris en commun, toujours nue Denise alla ouvrir la porte lorsque la sonnette avait retenti :— Ma petite salope, je te présente Roger mon associé au bar et Gabriel le président de la chasse. C’est eux qui t’ont baisé à l’hôtel. Tu te souviens d’eux ?
— Oui Mon Maitre ! Bonjour Messieurs.
Elle était dénigrée et honteuse mais devait faire bonne figure, elle avait répondu en démontrant sa soumission totale. Elle savait très bien que son Maitre allait une nouvelle fois l’offrir à ces deux hommes devant la soumise et son épouse. Elle s’y attendait en se rappelant qu’ils lui avaient déjà apportée du plaisir et en mouillait déjà, malgré les sobriquets qu’elle entendait de toute part. Louisa l’avait repris en laisse et ce fut à quatre pattes que Denise alla au salon :— Elle est bien la nouvelle pute ! elle va bien nous servir au bar. Dit Roger.
— Super ses nichons la salope ! Tourne-toi que l'on te voit mieux. Surenchérit Gabriel.
— Avant que je l’engrosse, vous pouvez l’enculer les gars elle est à vous cet après-midi.
S’avança Claude en lui flattant les fesses.
— Pas tant de caresses Claude ! Cette truie n’en mérite pas. Dit en colère Louisa qui lui infligea un coup de cravache sur le cul.
Les deux hommes avaient retiré leur pantalon, Denise les branla afin qu’ils soient bien en érection. Une bite dans chaque main et sa bouche passait d’une queue à l’autre, ils étaient quand même bien membrés, pensait Denise qui ne les avaient encore jamais vu.
Pendant que tout le monde regardait en faisant des commentaires sauf Sylvie la soumise qui semblait totalement effacée, à tour de rôle Gabriel et Roger sodomisèrent Denise sauvagement. Puis lorsqu’ils n’en pouvaient plus se retenir, ils lui envoyèrent tout leur sperme en pleine bouche. Elle devait tout avaler sous peine de recevoir d’autres coup de cravache.
Après avoir joui deux fois sous les coups de queue répétés des deux invités, Denise devait se coucher devant sa maitresse et lui lécher les pieds. Après avoir bu leur verre, les trois hommes étaient repartis à leur occupation. Louisa écarta les cuisses et demanda à sa nouvelle soumise :— Allez sale truie, fais-moi jouir sans les mains, qu’avec ta bouche.
Ce fut une épreuve pour Denise qui n’était pas du tout porté sur l’amour lesbien mais elle était parvenue à faire prendre un orgasme à sa maitresse sans avoir reçu un seul coup. Louisa maintenait avec force la tête de Denise contre son sexe, pendant qu’elle éjaculait sur son visage :— Ta langue est aussi bonne que celle de Sylvie, ça promet sale truie, je vais bien m’amuser avec toi.
Denise n’avait pas pris de plaisir, elle fut toute heureuse lorsque son Maitre qui était rentré lui demanda de se positionner. Comme le samedi précédent, il la baisa sans capote et lui déversa trois fois sa semence dans son vagin. Denise était heureuse, avec son maitre ses orgasmes étaient décuplés pourtant il la prenait sans vergogne et avec violence et ses coups de boutoirs brutaux la faisaient jouir encore plus.
Le samedi soir, elle avait dormi dans le lit du couple de Maitre, elle dû, une nouvelle fois donner du plaisir à Louisa, en prenant elle-même le sien sous les fisting répétés de son Maitre. Le dimanche fut du même acabit, après le ménage du matin, elle subit, les assauts des deux types dans le rectum, dût sucer plusieurs fois sa maitresse et se faire baiser par son Maitre qui avait une fois encore éjaculé trois fois dans son ventre. Avant de partir, Claude lui dit :— Bon Denise ma petite salope, il va falloir t’habituer, mon associé va te faire travailler au bar. Tu devras satisfaire quelques bons clients. Et Gabriel t’emmènera de temps en temps au cabanon de chasse. Les adhérents vont t’adorer.
Après avoir travaillé un peu au club privé, Denise s’aperçu qu’elle était tombée enceinte. Comme elle ne baisait jamais avec son mari qui ne bandait plus du tout, Claude était forcément le père car c’était le seul homme qui la baisait sans préservatif. Neuf mois plus tard, elle accouchait d’un petit garçon qu’Alain avait reconnu et son Maitre en était le parrain.
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