Denise, soumise par force : La descente aux enfers. (Saison 2 épisode 4/ 4)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Denise, soumise par force : La descente aux enfers. (Saison 2 épisode 4/ 4)
Après l’accouchement de Denise, son Maitre l’emmenait les samedis soir dans son club « Le Saloon » situé dans une ville d’une vingtaine de milliers d’habitants. Ce bar très chic, un peu spécial, était ouvert du milieu d’après-midi à minuit mais le club privé, se trouvant au sous-sol, avait des horaires allant jusqu’à l’aube. Le prix des consommations étant élevés, sur lesquels l’hôtesse touchait un pourcentage, la clientèle très souvent masculine était des hommes de plus de cinquante ans, assez fortunés, des touristes français et étrangers, des négociants en produits alimentaires, des gros restaurateurs venant acheter des produits du terroir. Ils avaient la possibilité de déguster des boissons après la fermeture des autres établissements plus conventionnels. Les clients, dans cet endroit où l’ambiance feutrée et lumière tamisée, avaient la possibilité de s’entretenir avec une hôtesse rémunérée en fonction du nombre de coupes de champagne ou de bouteilles que le client avait partagées avec elle.
Louisa, Claude et Roger très en vue dans cette ville, employaient trois hôtesses déclarées, mais le samedi, elles n’étaient pas assez nombreuses. C’était la raison pour laquelle, Cindy une soumise et Denise venaient en renfort. Leur rôle était de discuter avec les clients pour les inciter à boire, boire avec eux, accepter des mains baladeuses en échange de pourboires. Également participer à certaines magouilles telles que vider les verres des clients lorsqu'ils avaient le dos tourné. Mais Denise avait un autre rôle, elle surveillait certaines filles car dans certains cas, elles étaient tentées à se prostituer sans que les patrons n'en sachent rien. Les jeunes femmes emmenaient discrètement le client aux toilettes et se faisait baiser. Ce "service supplémentaire" lui revenait dans sa poche directement et au noir.
C’était inacceptable pour Claude et Roger car après la fermeture du bar et toujours au sous-sol, dans des alcôves capitonnées, ces mêmes filles en costume très sexy en cuir et jolies dentelles, étaient rémunérées pour donner la possibilité aux clients d’avoir un rapport sexuel avec elle. En contrepartie le type devait payer son droit d’accès, une bouteille et donner un pourboire défini, à la demoiselle. C’était tout simplement de la prostitution déguisée.
Si les clients habituels installés sur le canapé, derrière un paravent, étaient en droit d'attendre quelques gentillesses : sourires, discussions, petites caresses, baisers, compliments, soit un petit flirt amoureux. L’hôtesse se devait de flatter et d’être à l’écoute de son consommateur. En échange, le client consommait et offrait des verres à sa “bien-aimée” d’un soir.
Néanmoins, pour quelques dizaines d’euros de plus, en pourboire, glissés dans le soutien-gorge, les hôtesses n’hésitaient pas à ouvrir la braguette de leurs clients, les branlaient et faisaient leur fellation sans jamais aller jusqu’à l’éjaculation et ouvraient leur entrejambe pour laisser le type les posséder avec leurs doigts uniquement.
Dans cette sous-préfecture, les gérants du « Saloon » connaissaient de nombreuses personnes influentes de cette ville, des avocats, des juges, le sous-préfet, des politiques et même des policiers. Claude ayant besoin de certains passes droits et d’appuis particuliers de toutes ses personnalités qui fermaient les yeux à toute cette magouille, il leurs offrait Denise comme dame de compagnie lorsqu’ils venaient au club.
Denise lorsqu’elle était avec une des personnalités de la ville ou de la région, devait servir les boissons gratuitement mais leur offrait sa bouche, son sexe et son cul au sous-sol. Ils étaient souvent plusieurs à venir s’amuser avec elle, Denise jouissait beaucoup sous les coups de langues, de doigts, de mains et poings qu’ils n’hésitaient pas à lui enfiler dans son vagin jusqu’à leur avant bras.
En fin de nuit, avant de repartir, Denise et Cindy, les deux soumises avaient leur récompense, elles avaient toutes les deux, droit à la merveilleuse queue de leur Maître qui les baisait plusieurs fois. Denise avec Claude avait toujours un orgasme foudroyant et attendait ce moment avec impatience. Le lendemain elle se levait à onze heures et juste après le petit déjeuner, c’était Roger qui venait la sodomiser après s’être fait sucer. C'était une spirale infernale et une humiliation totale. Denise était devenue en quelques temps beaucoup plus qu’une soumise, elle était une esclave sexuelle, mais ne pouvait pas se passer de son Maitre.
L’affaire était très rentable pour les patrons mais si les filles gagnaient bien leur vie, Cindy et Denise et parfois Sylvie, qu’ils avaient asservies pour leur profit, le faisaient uniquement pour satisfaire leurs Maitre et Maitresse. Cependant, Claude et Louisa ne s’arrêtaient pas là, les soumises devaient également passer par le relais de chasse un fois par mois.
En définitive, le cabanon de chasse n’en était pas un, c’était une très belle propriété appartenant à Gabriel l’ami de Claude qui avait réservé une partie du rez-de-chaussée pour des soirées libertines et de BDSM qu’ils appelaient le Donjon. Ces soirées se déroulaient en principe les premiers vendredis de chaque mois. Si pour certains invités de bonne notoriété, les droits d’accès étaient gratuits, le public d’habitués avait la possibilité de participer en payant leur redevance et les boissons.
Un homme, la cinquantaine se trouvait à l’accueil. Gilles était habillé en soubrette : talons aiguilles, bas-résille, petite robe noire et blanche décolletée sur son torse poilu. Il recevait et dirigeait les clients avec un grand sourire rassurant, en leurs souhaitant de passer une bonne soirée. En général, cela commençait par la chenille.
Ce n’était pas la danse que nous connaissons en fin de soirée lors d’un mariage. Non !
C’était le premier spectacle qui donnait le départ de la soirée. Louisa en premier et les trois soumises Denise, Sylvie et Cindy formaient un vrai mille-pattes. Une chaîne de cunnilingus, quatre femmes pratiquement nues, à quatre pattes sur le sol, l’une derrière l’autre, qui se donnaient allègrement au plaisir bucco-génital.
La plupart des participants regardaient le spectacle en riant. Gabriel et Claude les Dominants contemplaient la scène d’un air satisfait et empli de fierté de voir leurs soumises sur le plancher. La première femme, Louisa s’était invitée elle-même au début du mille-pattes érotique pour son plaisir personnel. La scène était née d’un défi donné par les Maitres et Maitresses.
Ces hommes et ces femmes présents à ces soirées étaient de tous les âges, allant de la trentaine pour les plus jeunes, jusqu’à soixante deuze ans pour le vieux. D’horizons différents, de tous les milieux et de toutes ethnies, ils venaient là se réunir pour vivre ensemble une passion commune, quoique très diversifiée dans son expression. Même le Maire de la ville avec son masque, portait un harnais et un petit slip de cuir aux pieds de Louisa la Dominante élégante qui lui fessait le cul avec sa cravache.
En tant que soumises habillées de body en vinyle à coupes ouvertes sur les seins et à l’entrejambe, Denise et les deux autres devaient s’étendre et se faire ligoter sur un matelas et se faisaient fouiller l’anus et le vagin, jusqu’à la jouissance, puis elles se faisaient fouetter vigoureusement par un homme ou une femme ou même un couple de dominant qui prenaient leur plaisir. Pendant qu’une autre était attachée à un lit et était masturbée à l’aide d’un énorme vibromasseur et enculée par un sextoy géant et devait jouir bruyamment, à maintes reprises.
Quelques fois, elles se faisaient ligoter de la tête aux pieds avec la plus grande application que ce soit par une femme ou par un homme très concentré et visiblement passionné. Ne pouvant plus bouger, les soumises recevaient soit des coups de martinets, soit des coups de queues. D’autres fois, dans leur petite tenue, elles devaient combattre l’une contre l’autre, sur un ring improvisé. Cette lutte érotique devant un public en délire se finissait dans la position du 69 où elles devaient se doigter et se lécher.
Louisa aimait montrer sa domination, vêtue tout en latex elle promenait une de ses soumises en laisse allant d’un participant à un autre qui lui infligeait une ou deux claques sur les fesses en la faisant se coucher devant eux.
Le pire des sévices au niveau humiliation, pour elle, était le chevalet. Cette magnifique pièce de bois et recouvert d’un cuir matelassé, souvent appelée un cheval flambant, chevalet de sexe, banc de fessée ou même une table de la discipline. Les filles étaient attachées par des menottes, le ventre sur la partie haute et les genoux sur les deux parties en contre bas de ce chevalet de servitude. Dans cette position très inconfortable, elles se faisaient fouettées au martinet ou à la cravache, les participants pouvaient leur donner des claques sur les fesses mais elles se faisaient baiser par les trois trous et prenaient tout de même beaucoup de plaisir dans la douleur car elles en redemandaient à leur bourreau.
Au fil des ans, Denise avait un peu perdu un peu de sa superbe, même si elle restait une femme désirable, son Maître Claude, ayant reformé une jeune soumise ne la convoquait plus club. Et au relais de chasse, elle et son mari Alain ne connaissaient plus que les trous de la gloire. Dans ce donjon toutes les semaines, Denise et Alain y passaient à tour de rôle, enfermées dans une pièce pas plus grande qu’un WC, ils léchaient, suçaient les nombreuses bites de toutes les tailles, et de toutes les couleurs. Ces fellations se finissaient en général par des éjaculations faciales ou buccales suivant la demande du type anonyme derrière la cloison.
S’ils ne respectaient pas leur demande, ils étaient punis. Lorsque Denise voyait que c’était les dernières bites de la soirée, elle posait ses fesses contre la cloison et se faisaient prendre par les deux dernières queues sortant des trous réalisés dans le Placoplatre. Dans cette pièce, Denise et Alain se sentaient très rabaissée, néanmoins ils acceptaient leur destin.
Cet enfer, comme Denise l’appelle aujourd’hui, avait duré dix ans. Une descente de la gendarmerie « Au Saloon » avait mis à jour ce réseau de prostitution. Claude, Louisa et Roger furent arrêtés. Denise était repartie avec son mari Alain et son fils. Mais elle fit une grosse dépression, il avait un traitement de cheval pour venir à bout de cette maladie qui dura près de quatre ans. Alain continua quelques temps ses fellations aux trous de la gloire, au donjon, mais depuis cinq ans, Ni Denise, ni son mari n’étaient convoqué. Claude ne venait plus à la ferme pour baiser sa soumise.
Revivant dans leur exploitation, Alain dû embaucher un employé. Un portugais nommé José qui était devenu rapidement l’amant de Denise. N’étant pas satisfaite par Alain devenu impuissant, suite à la longue période de cage de chasteté, elle avait trouvé en son commis de ferme l’amant idéal. Jeune et fougueux, José était devenu son nouveau mari officieux, la baisant quand il en avait envie dans la chambre conjugale où il couchait pour la nuit, alors qu’Alain dormait dans une chambre construite au départ pour le commis de ferme près de la porcherie. La soixantaine passée, Alain et Denise sont aujourd’hui les soumis de José l’employé du couple d’éleveur de cochons.
Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Louisa, Claude et Roger très en vue dans cette ville, employaient trois hôtesses déclarées, mais le samedi, elles n’étaient pas assez nombreuses. C’était la raison pour laquelle, Cindy une soumise et Denise venaient en renfort. Leur rôle était de discuter avec les clients pour les inciter à boire, boire avec eux, accepter des mains baladeuses en échange de pourboires. Également participer à certaines magouilles telles que vider les verres des clients lorsqu'ils avaient le dos tourné. Mais Denise avait un autre rôle, elle surveillait certaines filles car dans certains cas, elles étaient tentées à se prostituer sans que les patrons n'en sachent rien. Les jeunes femmes emmenaient discrètement le client aux toilettes et se faisait baiser. Ce "service supplémentaire" lui revenait dans sa poche directement et au noir.
C’était inacceptable pour Claude et Roger car après la fermeture du bar et toujours au sous-sol, dans des alcôves capitonnées, ces mêmes filles en costume très sexy en cuir et jolies dentelles, étaient rémunérées pour donner la possibilité aux clients d’avoir un rapport sexuel avec elle. En contrepartie le type devait payer son droit d’accès, une bouteille et donner un pourboire défini, à la demoiselle. C’était tout simplement de la prostitution déguisée.
Si les clients habituels installés sur le canapé, derrière un paravent, étaient en droit d'attendre quelques gentillesses : sourires, discussions, petites caresses, baisers, compliments, soit un petit flirt amoureux. L’hôtesse se devait de flatter et d’être à l’écoute de son consommateur. En échange, le client consommait et offrait des verres à sa “bien-aimée” d’un soir.
Néanmoins, pour quelques dizaines d’euros de plus, en pourboire, glissés dans le soutien-gorge, les hôtesses n’hésitaient pas à ouvrir la braguette de leurs clients, les branlaient et faisaient leur fellation sans jamais aller jusqu’à l’éjaculation et ouvraient leur entrejambe pour laisser le type les posséder avec leurs doigts uniquement.
Dans cette sous-préfecture, les gérants du « Saloon » connaissaient de nombreuses personnes influentes de cette ville, des avocats, des juges, le sous-préfet, des politiques et même des policiers. Claude ayant besoin de certains passes droits et d’appuis particuliers de toutes ses personnalités qui fermaient les yeux à toute cette magouille, il leurs offrait Denise comme dame de compagnie lorsqu’ils venaient au club.
Denise lorsqu’elle était avec une des personnalités de la ville ou de la région, devait servir les boissons gratuitement mais leur offrait sa bouche, son sexe et son cul au sous-sol. Ils étaient souvent plusieurs à venir s’amuser avec elle, Denise jouissait beaucoup sous les coups de langues, de doigts, de mains et poings qu’ils n’hésitaient pas à lui enfiler dans son vagin jusqu’à leur avant bras.
En fin de nuit, avant de repartir, Denise et Cindy, les deux soumises avaient leur récompense, elles avaient toutes les deux, droit à la merveilleuse queue de leur Maître qui les baisait plusieurs fois. Denise avec Claude avait toujours un orgasme foudroyant et attendait ce moment avec impatience. Le lendemain elle se levait à onze heures et juste après le petit déjeuner, c’était Roger qui venait la sodomiser après s’être fait sucer. C'était une spirale infernale et une humiliation totale. Denise était devenue en quelques temps beaucoup plus qu’une soumise, elle était une esclave sexuelle, mais ne pouvait pas se passer de son Maitre.
L’affaire était très rentable pour les patrons mais si les filles gagnaient bien leur vie, Cindy et Denise et parfois Sylvie, qu’ils avaient asservies pour leur profit, le faisaient uniquement pour satisfaire leurs Maitre et Maitresse. Cependant, Claude et Louisa ne s’arrêtaient pas là, les soumises devaient également passer par le relais de chasse un fois par mois.
En définitive, le cabanon de chasse n’en était pas un, c’était une très belle propriété appartenant à Gabriel l’ami de Claude qui avait réservé une partie du rez-de-chaussée pour des soirées libertines et de BDSM qu’ils appelaient le Donjon. Ces soirées se déroulaient en principe les premiers vendredis de chaque mois. Si pour certains invités de bonne notoriété, les droits d’accès étaient gratuits, le public d’habitués avait la possibilité de participer en payant leur redevance et les boissons.
Un homme, la cinquantaine se trouvait à l’accueil. Gilles était habillé en soubrette : talons aiguilles, bas-résille, petite robe noire et blanche décolletée sur son torse poilu. Il recevait et dirigeait les clients avec un grand sourire rassurant, en leurs souhaitant de passer une bonne soirée. En général, cela commençait par la chenille.
Ce n’était pas la danse que nous connaissons en fin de soirée lors d’un mariage. Non !
C’était le premier spectacle qui donnait le départ de la soirée. Louisa en premier et les trois soumises Denise, Sylvie et Cindy formaient un vrai mille-pattes. Une chaîne de cunnilingus, quatre femmes pratiquement nues, à quatre pattes sur le sol, l’une derrière l’autre, qui se donnaient allègrement au plaisir bucco-génital.
La plupart des participants regardaient le spectacle en riant. Gabriel et Claude les Dominants contemplaient la scène d’un air satisfait et empli de fierté de voir leurs soumises sur le plancher. La première femme, Louisa s’était invitée elle-même au début du mille-pattes érotique pour son plaisir personnel. La scène était née d’un défi donné par les Maitres et Maitresses.
Ces hommes et ces femmes présents à ces soirées étaient de tous les âges, allant de la trentaine pour les plus jeunes, jusqu’à soixante deuze ans pour le vieux. D’horizons différents, de tous les milieux et de toutes ethnies, ils venaient là se réunir pour vivre ensemble une passion commune, quoique très diversifiée dans son expression. Même le Maire de la ville avec son masque, portait un harnais et un petit slip de cuir aux pieds de Louisa la Dominante élégante qui lui fessait le cul avec sa cravache.
En tant que soumises habillées de body en vinyle à coupes ouvertes sur les seins et à l’entrejambe, Denise et les deux autres devaient s’étendre et se faire ligoter sur un matelas et se faisaient fouiller l’anus et le vagin, jusqu’à la jouissance, puis elles se faisaient fouetter vigoureusement par un homme ou une femme ou même un couple de dominant qui prenaient leur plaisir. Pendant qu’une autre était attachée à un lit et était masturbée à l’aide d’un énorme vibromasseur et enculée par un sextoy géant et devait jouir bruyamment, à maintes reprises.
Quelques fois, elles se faisaient ligoter de la tête aux pieds avec la plus grande application que ce soit par une femme ou par un homme très concentré et visiblement passionné. Ne pouvant plus bouger, les soumises recevaient soit des coups de martinets, soit des coups de queues. D’autres fois, dans leur petite tenue, elles devaient combattre l’une contre l’autre, sur un ring improvisé. Cette lutte érotique devant un public en délire se finissait dans la position du 69 où elles devaient se doigter et se lécher.
Louisa aimait montrer sa domination, vêtue tout en latex elle promenait une de ses soumises en laisse allant d’un participant à un autre qui lui infligeait une ou deux claques sur les fesses en la faisant se coucher devant eux.
Le pire des sévices au niveau humiliation, pour elle, était le chevalet. Cette magnifique pièce de bois et recouvert d’un cuir matelassé, souvent appelée un cheval flambant, chevalet de sexe, banc de fessée ou même une table de la discipline. Les filles étaient attachées par des menottes, le ventre sur la partie haute et les genoux sur les deux parties en contre bas de ce chevalet de servitude. Dans cette position très inconfortable, elles se faisaient fouettées au martinet ou à la cravache, les participants pouvaient leur donner des claques sur les fesses mais elles se faisaient baiser par les trois trous et prenaient tout de même beaucoup de plaisir dans la douleur car elles en redemandaient à leur bourreau.
Au fil des ans, Denise avait un peu perdu un peu de sa superbe, même si elle restait une femme désirable, son Maître Claude, ayant reformé une jeune soumise ne la convoquait plus club. Et au relais de chasse, elle et son mari Alain ne connaissaient plus que les trous de la gloire. Dans ce donjon toutes les semaines, Denise et Alain y passaient à tour de rôle, enfermées dans une pièce pas plus grande qu’un WC, ils léchaient, suçaient les nombreuses bites de toutes les tailles, et de toutes les couleurs. Ces fellations se finissaient en général par des éjaculations faciales ou buccales suivant la demande du type anonyme derrière la cloison.
S’ils ne respectaient pas leur demande, ils étaient punis. Lorsque Denise voyait que c’était les dernières bites de la soirée, elle posait ses fesses contre la cloison et se faisaient prendre par les deux dernières queues sortant des trous réalisés dans le Placoplatre. Dans cette pièce, Denise et Alain se sentaient très rabaissée, néanmoins ils acceptaient leur destin.
Cet enfer, comme Denise l’appelle aujourd’hui, avait duré dix ans. Une descente de la gendarmerie « Au Saloon » avait mis à jour ce réseau de prostitution. Claude, Louisa et Roger furent arrêtés. Denise était repartie avec son mari Alain et son fils. Mais elle fit une grosse dépression, il avait un traitement de cheval pour venir à bout de cette maladie qui dura près de quatre ans. Alain continua quelques temps ses fellations aux trous de la gloire, au donjon, mais depuis cinq ans, Ni Denise, ni son mari n’étaient convoqué. Claude ne venait plus à la ferme pour baiser sa soumise.
Revivant dans leur exploitation, Alain dû embaucher un employé. Un portugais nommé José qui était devenu rapidement l’amant de Denise. N’étant pas satisfaite par Alain devenu impuissant, suite à la longue période de cage de chasteté, elle avait trouvé en son commis de ferme l’amant idéal. Jeune et fougueux, José était devenu son nouveau mari officieux, la baisant quand il en avait envie dans la chambre conjugale où il couchait pour la nuit, alors qu’Alain dormait dans une chambre construite au départ pour le commis de ferme près de la porcherie. La soixantaine passée, Alain et Denise sont aujourd’hui les soumis de José l’employé du couple d’éleveur de cochons.
Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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