Dérapages croisés
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Couple-subtil ont reçu un total de 174 918 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 146 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Dérapages croisés
Léopold avait souvent l’occasion de voyager pour assister à des congrès, parfois dans le monde entier, pour son travail. Il avait rarement trompé Chrystèle. Non que les occasions ne se soient présentées mais il franchissait assez difficilement le pas si la femme ne le faisait pas. Ce qu’elles faisaient rarement. D’autant que tous se trouvaient dans un environnement professionnel où les ragots allaient vite et pouvaient remonter jusqu’à Chrystèle.
Quant à Chrystèle elle était largement repue de sexe et appréciait ces moments où elle pouvait se retrouver auprès d’une famille qui n’appréciait guère Léopold. Plutôt intello sa famille n’aimait guère celle plutôt ancrée dans les transports et le tourisme de Léopold. Chrystèle travaillait dans une maison d’édition quand son mari était spécialisé dans ce qu’on appelle la supply chain management. Mais ils s’étaient trouvés suffisamment de points communs dont un majeur : une énergie sexuelle sans pareil à l’approche de la trentaine – un peu plus pour Léopold – qui les avait amené au libertinage.
Mais là c’est avec une vieille connaissance faite dans son école de commerce que Léopold dinait à la fin d’un congrès qui l’avait amené à Vannes. Le restaurant était sympa, tout en boiseries et rideaux rouges au centre de la vieille ville. Le congrès aurait été un souvenir sans intérêt s’ils n’avait pas retrouvé Clotilde. Voyons Clotilde 1m65 d’intelligence raffinée, très bonne famille, très coincée mais très excitée, qu’ils avaient été nombreux à séduire avec, malheureusement pour elle, une fâcheuse propension à lui fourguer des MST. C’est dire si les retrouvailles, dix ans après qu’elle ait disparu à la fin de ses études pour un poste en Afrique du Sud, avaient été un peu gênées.
Et là Léopold était stupéfait de sentir le pied de Clotilde, déchaussé cela va de soi, lui toucher le sexe. Et pourtant en face de lui elle semblait toujours aussi angélique dans son tailleur, sa jupette, son chemisier blanc qui ne mettait guère en valeur sa poitrine, ses longs cheveux blonds. Elle poursuivait d’ailleurs la conversation comme si de rien n’était et Léopold admirait autant son détachement que sa souplesse : « C’est en Afrique du Sud que tu as appris à faire ça ?
- Faire quoi ? » Elle le regardait toujours avec une innocence telle qu’il se demandait presque s’il rêvait. Son érection n’en devenait pas moins indécente et il espérait que les tables aux alentours, heureusement le restaurant n’était pas très plein, ne devinaient rien de son gène ni de son excitation.
Puis Clotilde baissa la garde et lui tenta d’en faire autant. Poursuivant une conversation tout à fait banale sur leur vie respective – elle avait rencontré un bel Africain du Sud, noir, elle était follement tombée amoureuse, ça avait mal tourné, elle venait de rentrer en France où sa boite l’avait rapatriée – il avait rencontré Chrystèle, etc. – il lui proposa de la ramener en voiture. « Je partage une chambre avec une collègue », le déçut-elle. « Tu viens boire un verre dans mon hôtel ? », tenta-t-il le coup encore tout excité. « Non, tu as déjà eu tout ce que tu méritais », lâcha-t-elle, vacharde.
Léopold en serait donc quitte pour une belle branlette, seul dans sa chambre d’hôtel de la périphérie de Vannes, en imaginant que Clotilde et sa coloc en profitaient elles pour se livrer à quelque amour saphique.
De son côté Chrystèle avait profité de l’absence de Léopold pour renouer avec Christian, son amant / maître de l’été au Cap d’Agde. Depuis plusieurs semaines il la harcelait pour venir le rejoindre en Normandie, dans sa propriété près de Fécamp. Et voilà comme elle s’était retrouvée dans cette minuscule gare normande, par un froid encore mordant de mars, à attendre son amant. Comment lui résister ? Certes Léopold lui avait fait promettre de bien se tenir mais Christian avait été plus persuasif. « Ce soir, chez des amis. Fais-toi belle.
- Des amis libertins ?
- Non, non, des amis tout court. J’ai besoin d’une cavalière, il y aura aussi certains de mes clients. » Elle avait bien eu envie de lui dire de se trouver une escort girl si c’était juste pour faire bien à son bras qu’il avait besoin d’elle mais, en fait, elle était plutôt flattée de sa proposition. Au point de prendre le train gare Saint-Lazare et de se retrouver comme une idiote à se demander s’il allait bien venir.
Mais il était là. Moins séduisant qu’au Cap d’Agde. Plus en Porsche mais dans une grosse Audi A6 Allroad noire. Un peu plus empâté mais toujours un quadragénaire très viril. Pas très grand mais bien musclé. Si male quand son Léopold était si terne, si peu masculin à côté. Sa chatte s’était instantanément humidifiée en le voyant et elle savait qu’elle ferait n’importe quoi pour lui. Elle aurait tant aimé qu’il l’a prenne là, tout de suite, dans la voiture, alors qu’il lui flattait les genoux après l’avoir embrassée très chastement à la sortie de la gare. Las il lui dit : « Nous sommes en retard. Tu es très belle… » Elle l’était. Elle avait mis le paquet. Il l’avait un peu aperçue quand elle était entrée dans la voiture et avait enlevé son écharpe tout en gardant son grand manteau blanc. Une robe noire très échancrée sur la poitrine qui laissait entre apercevoir son 95d. Des bas noirs eux aussi. Dans sa valise elle avait des tes talons aiguilles. Noirs. Seule touche de couleur son collier de perles. Blanches. La classe…En arrivant chez les amis de Christian, Chrystèle dut admettre que ses peurs de se retrouver livrée à des males dominateurs comme la fois précédente n’étaient pas fondés. L’assistance était au contraire très chic, faite de couples bien assortis et la maison, une longère normande dans un grand parc, en bois et briques, était un écrin parfait pour ce dîner. « Je vous présente Chrystèle, une amie. » Très gentleman, Christian la présentait à différents couples présents puis à des hommes d’origine allemande plus âgés– « des clients de Nathalie, mon associée chez qui nous sommes » lui dit-il – mais fort séduisants. Elle engagea rapidement la conversation avec l’un deux : « Vous travaillez avec Christian ?
- Non pas encore, mais nous sommes très intéressés par ses prestations. » En fait, Chrystèle ne savait pas trop bien ce que Christian faisait. Au Cap, où il passait chaque année un mois dans une jolie villa du village naturiste à baiser à « couilles rabattues », il lui avait juste dit qu’il faisait des « affaires ». « Lesquelles ?, leur demanda-telle donc dans un anglais presque aussi parfait que le leur.
- Nous possédons un haras comme lui. Nous pensons lui acheter des chevaux, des pouliches pour être précis ».
Et l’homme, un nommé Bernhardt, de renchérir : « Il semble qu’il sache bien choisir ses chevaux mais aussi les femmes. Vous êtes superbe, Chrystèle. » Elle en rougit. Il faut avouer qu’il était exactement comme elle aimait les hommes d’habitude. Grand, mince. La cinquantaine évidemment mais quelle prestance.
Le diner s’était bien passée et c’était l’heure du départ. Assise entre Bernhardt et Christian, Chrystèle avait été drôle, belle, avait apprécié les caresses de son amant mais trouvé que l’Allemand avait un peu la cuisse baladeuse de son côté. Elle était contente d’elle et n’avait qu’une hâte que Christian la prenne. Elle fut donc bien déçue en sortant qu’il lui dise qu’ils allaient rentrer avec Bernhardt, qui logeait chez lui, à quelques kilomètres de là, dans la très jolie commune de Varengeville-sur-Mer. Elle espérait tant être enfin seule avec lui.
Elle fut encore plus déçue quand Christian lui dit de monter dans une Mercedes qui était celle de Bernhardt : « L’Audi est à Nathalie, je suis en moto, ils vont me suivre, je n’ai qu’un casque ». Alors qu’elle s’apprêtait à protester, une caresse de Christant sur les fesses lui fit vite renoncer. Elle s’installa donc à l’arrière de la grosse Mercedes, une série S, aux côtés de Bernhardt. Deux autres Allemands étaient devant, auxquels elle avait à peine adressé la parole. « Désolé, ils parlent très mal anglais. » Puis Bernhardt se tut. Suivant la moto de Christian alors que le brouillard tombait, la grosse berline entra bientôt dans sa propriété. En bord de mer ce n’était pas une immense maison mais très chaleureuse. Il l’attendait à l’intérieur: « Va te préparer Chrystèle », lui intima-t-il à peine entré. « Tes affaires sont à côté. » Il ouvrit une porte et la fit entrer. Au milieu de la pièce il n’y avait qu’un corset, rouge. « Mets le et rejoint nous. Angela va t’aider à le lacer », dit-il encore en lui désignant une jeune femme brune pulpeuse habillée elle aussi d’un simple corset qui laissait voir ses seins et son sexe. « Mais non », essaya-t-elle de dire. « Voyons c’est bien ce qui était convenu entre nous ? Non ? » Comme à chaque fois face à la volonté très forte d’un homme dominant, elle était autant tétanisée qu’excitée : Bien sûr. » D’autant qu’il lui susurra à l’oreille, lui flattant la croupe : « On va bien s’amuser je te le promets. Je reviens quand tu seras habillée. »Habillée, déshabillée plutôt se disait-elle en s’admirant néanmoins dans la glace. 28 ans, pas un poil de graisse, des seins à se damner, des jambes, juste le visage qu’elle trouvait joli mais pas canonissime mais n’en provoquait pas moins l’amour fou chez plus d’un homme. Angela lui laça fortement le corset qui faisait encore plus ressortir sa poitrine et l’accompagna au salon. Christian et Bernhardt devisaient gaiement, un grand verre à Cognac en main, un feu brulait dans la cheminée, il ne manquait qu’un chien pour faire tout à fait image d’Epinal. Ils sifflèrent d’admiration en voyant les deux femmes : « Vous êtes superbe ! » Angela n’avait toujours pas dit un mot et n’avait fait que mettre son doigt devant la bouche à chaque tentative de dialogue de Chrystèle. Elle s’asseya instantanément aux pieds de Bernhardt qui lui caressa doucement la tête avant d’accrocher une laisse au collier de cuir noir qu’elle portait. Il dit alors durement à Chrystèle : « Aux pieds de Christian, qu’il vous mette aussi votre collier ». Fascinée, elle s’approcha du grand canapé de cuir rouge où Christian était assis. Il lui mit alors un collier en métal qu’il ferma avec une petite vis. Puis le relia à une laisse en cuir et lui dit de se mettre à genoux à côté de lui.
La conversation continua entre les deux hommes. Ils buvaient tranquillement sans sembler faire attention à elles. Le temps commençait à sembler long à Chrystèle, qui se demandait où était passé les deux autres hommes. Angela ne bougeait pas. Enfin Bernhardt leur dit de se mettre à quatre pattes, l’une à côté de l’autre, sur l’épais tapis, face à la cheminée. « Regardez Christian comme elle mouille ». Bernhardt avait introduit son index dans le sexe d’Angela. Jusqu’à côté de Chrystèle elle semblait déjà jouir. Christian en fit autant avec elle et elle en fut également ravie. « Elle mouille moins, regretta Christian.
- C’est parce qu’elle n’est pas encore dressée », répondit Bernhardt. « Nous allons nous en occuper ? Vous êtes d’accord Chrystèle ? »Pratiquement nue, à quatre pattes devant ces deux hommes, elle ne savait que répondre.
« Je vous préviens Chrystèle qu’une acceptation vaut pour toute cette nuit. Nous ferons de vous ce que nous voulons. Vos orifices seront livrés à qui nous le voudront et vos tentatives de rébellion sévèrement châtiées. Alors Chrystèle ? » Bernhardt la subjuguait encore plus que Vincent. Elle sentait son sexe couler littéralement d’excitation. Elle s’entendit dire, en anglais, ce qui rajoutait à son excitation mais aussi à son détachement de la situation, comme dans un rêve, subjuguée par une autorité bien plus forte que celle de son amant : « Je ferai ce que vous voudrez.
- A qui parlez-vous ?, demanda Bernhardt.
- A vous.
- On dit maître alors ? Répétez : « Je ferai ce que vous voudrez, master »- Je ferai ce que vous voudrez… master.
- Bien. Mettez-vous toutes les deux à quatre pattes sur ce canapé que nous inspections vos orifices. »Les deux femmes se mirent donc cote à cote sur le canapé en cuir. Les deux hommes entreprirent de pénétrer de leurs doigts leurs sexes, leurs anus, leurs bouches faisant de nombreux commentaires sur leur texture, leur ouverture. « La prochaine fois vous ferez un lavement Chrystèle », intima Bernard avant d’appeler : « Venez, elles vous attendent. » Chrystèle se retourna subrepticement, ce qui lui valut un coup de cravache sur la fesse gauche. « On ne se retourne pas », ordonna Bernhardt. Elle avait quand même put voir entrer les deux hommes de la voiture, nus, des sexes imposants en érection. Deux beaux étalons d’une trentaine d’années, superbement musclés.« Je ne baise une femme que bien préparée », précisa Bernhardt à un Christian qui semblait tétanisé.
Les deux hommes se présentèrent derrière les deux femmes et les enfilèrent d’un seul coup. L’intromission subite de ce gros sexe était indescriptible et Chrystèle jouit immédiatement. Angela en fit autant en hurlant littéralement dans une langue inconnue. C’était divin, cela dura longtemps sous le regard des deux autres hommes en train de savourer leur cognac. Mais les deux étalons décidèrent bientôt de pénétrer leurs anus d’une crème lubrifiante et s’y attaquèrent. Chrystèle aimait beaucoup moins cette sensation mais se toucha vite le clitoris et là aussi l’impression devint vite délicieuse. Les coups de boutoir continuaient, impérieux, le temps semblait dépassé. Les deux hommes jouirent dans leurs préservatifs.
A peine se retirèrent ils que Christian se précipita sur elle et la baisa avec acharnement, jouissant si vite qu’elle s’en rendit à peine compte. Elle était KO. On la rhabilla et elle entendit seulement Bernhardt lui dire : « La prochaine fois je vous baiserai. Venez avec votre mari… il paraît qu’il est également charmant. »
Quant à Chrystèle elle était largement repue de sexe et appréciait ces moments où elle pouvait se retrouver auprès d’une famille qui n’appréciait guère Léopold. Plutôt intello sa famille n’aimait guère celle plutôt ancrée dans les transports et le tourisme de Léopold. Chrystèle travaillait dans une maison d’édition quand son mari était spécialisé dans ce qu’on appelle la supply chain management. Mais ils s’étaient trouvés suffisamment de points communs dont un majeur : une énergie sexuelle sans pareil à l’approche de la trentaine – un peu plus pour Léopold – qui les avait amené au libertinage.
Mais là c’est avec une vieille connaissance faite dans son école de commerce que Léopold dinait à la fin d’un congrès qui l’avait amené à Vannes. Le restaurant était sympa, tout en boiseries et rideaux rouges au centre de la vieille ville. Le congrès aurait été un souvenir sans intérêt s’ils n’avait pas retrouvé Clotilde. Voyons Clotilde 1m65 d’intelligence raffinée, très bonne famille, très coincée mais très excitée, qu’ils avaient été nombreux à séduire avec, malheureusement pour elle, une fâcheuse propension à lui fourguer des MST. C’est dire si les retrouvailles, dix ans après qu’elle ait disparu à la fin de ses études pour un poste en Afrique du Sud, avaient été un peu gênées.
Et là Léopold était stupéfait de sentir le pied de Clotilde, déchaussé cela va de soi, lui toucher le sexe. Et pourtant en face de lui elle semblait toujours aussi angélique dans son tailleur, sa jupette, son chemisier blanc qui ne mettait guère en valeur sa poitrine, ses longs cheveux blonds. Elle poursuivait d’ailleurs la conversation comme si de rien n’était et Léopold admirait autant son détachement que sa souplesse : « C’est en Afrique du Sud que tu as appris à faire ça ?
- Faire quoi ? » Elle le regardait toujours avec une innocence telle qu’il se demandait presque s’il rêvait. Son érection n’en devenait pas moins indécente et il espérait que les tables aux alentours, heureusement le restaurant n’était pas très plein, ne devinaient rien de son gène ni de son excitation.
Puis Clotilde baissa la garde et lui tenta d’en faire autant. Poursuivant une conversation tout à fait banale sur leur vie respective – elle avait rencontré un bel Africain du Sud, noir, elle était follement tombée amoureuse, ça avait mal tourné, elle venait de rentrer en France où sa boite l’avait rapatriée – il avait rencontré Chrystèle, etc. – il lui proposa de la ramener en voiture. « Je partage une chambre avec une collègue », le déçut-elle. « Tu viens boire un verre dans mon hôtel ? », tenta-t-il le coup encore tout excité. « Non, tu as déjà eu tout ce que tu méritais », lâcha-t-elle, vacharde.
Léopold en serait donc quitte pour une belle branlette, seul dans sa chambre d’hôtel de la périphérie de Vannes, en imaginant que Clotilde et sa coloc en profitaient elles pour se livrer à quelque amour saphique.
De son côté Chrystèle avait profité de l’absence de Léopold pour renouer avec Christian, son amant / maître de l’été au Cap d’Agde. Depuis plusieurs semaines il la harcelait pour venir le rejoindre en Normandie, dans sa propriété près de Fécamp. Et voilà comme elle s’était retrouvée dans cette minuscule gare normande, par un froid encore mordant de mars, à attendre son amant. Comment lui résister ? Certes Léopold lui avait fait promettre de bien se tenir mais Christian avait été plus persuasif. « Ce soir, chez des amis. Fais-toi belle.
- Des amis libertins ?
- Non, non, des amis tout court. J’ai besoin d’une cavalière, il y aura aussi certains de mes clients. » Elle avait bien eu envie de lui dire de se trouver une escort girl si c’était juste pour faire bien à son bras qu’il avait besoin d’elle mais, en fait, elle était plutôt flattée de sa proposition. Au point de prendre le train gare Saint-Lazare et de se retrouver comme une idiote à se demander s’il allait bien venir.
Mais il était là. Moins séduisant qu’au Cap d’Agde. Plus en Porsche mais dans une grosse Audi A6 Allroad noire. Un peu plus empâté mais toujours un quadragénaire très viril. Pas très grand mais bien musclé. Si male quand son Léopold était si terne, si peu masculin à côté. Sa chatte s’était instantanément humidifiée en le voyant et elle savait qu’elle ferait n’importe quoi pour lui. Elle aurait tant aimé qu’il l’a prenne là, tout de suite, dans la voiture, alors qu’il lui flattait les genoux après l’avoir embrassée très chastement à la sortie de la gare. Las il lui dit : « Nous sommes en retard. Tu es très belle… » Elle l’était. Elle avait mis le paquet. Il l’avait un peu aperçue quand elle était entrée dans la voiture et avait enlevé son écharpe tout en gardant son grand manteau blanc. Une robe noire très échancrée sur la poitrine qui laissait entre apercevoir son 95d. Des bas noirs eux aussi. Dans sa valise elle avait des tes talons aiguilles. Noirs. Seule touche de couleur son collier de perles. Blanches. La classe…En arrivant chez les amis de Christian, Chrystèle dut admettre que ses peurs de se retrouver livrée à des males dominateurs comme la fois précédente n’étaient pas fondés. L’assistance était au contraire très chic, faite de couples bien assortis et la maison, une longère normande dans un grand parc, en bois et briques, était un écrin parfait pour ce dîner. « Je vous présente Chrystèle, une amie. » Très gentleman, Christian la présentait à différents couples présents puis à des hommes d’origine allemande plus âgés– « des clients de Nathalie, mon associée chez qui nous sommes » lui dit-il – mais fort séduisants. Elle engagea rapidement la conversation avec l’un deux : « Vous travaillez avec Christian ?
- Non pas encore, mais nous sommes très intéressés par ses prestations. » En fait, Chrystèle ne savait pas trop bien ce que Christian faisait. Au Cap, où il passait chaque année un mois dans une jolie villa du village naturiste à baiser à « couilles rabattues », il lui avait juste dit qu’il faisait des « affaires ». « Lesquelles ?, leur demanda-telle donc dans un anglais presque aussi parfait que le leur.
- Nous possédons un haras comme lui. Nous pensons lui acheter des chevaux, des pouliches pour être précis ».
Et l’homme, un nommé Bernhardt, de renchérir : « Il semble qu’il sache bien choisir ses chevaux mais aussi les femmes. Vous êtes superbe, Chrystèle. » Elle en rougit. Il faut avouer qu’il était exactement comme elle aimait les hommes d’habitude. Grand, mince. La cinquantaine évidemment mais quelle prestance.
Le diner s’était bien passée et c’était l’heure du départ. Assise entre Bernhardt et Christian, Chrystèle avait été drôle, belle, avait apprécié les caresses de son amant mais trouvé que l’Allemand avait un peu la cuisse baladeuse de son côté. Elle était contente d’elle et n’avait qu’une hâte que Christian la prenne. Elle fut donc bien déçue en sortant qu’il lui dise qu’ils allaient rentrer avec Bernhardt, qui logeait chez lui, à quelques kilomètres de là, dans la très jolie commune de Varengeville-sur-Mer. Elle espérait tant être enfin seule avec lui.
Elle fut encore plus déçue quand Christian lui dit de monter dans une Mercedes qui était celle de Bernhardt : « L’Audi est à Nathalie, je suis en moto, ils vont me suivre, je n’ai qu’un casque ». Alors qu’elle s’apprêtait à protester, une caresse de Christant sur les fesses lui fit vite renoncer. Elle s’installa donc à l’arrière de la grosse Mercedes, une série S, aux côtés de Bernhardt. Deux autres Allemands étaient devant, auxquels elle avait à peine adressé la parole. « Désolé, ils parlent très mal anglais. » Puis Bernhardt se tut. Suivant la moto de Christian alors que le brouillard tombait, la grosse berline entra bientôt dans sa propriété. En bord de mer ce n’était pas une immense maison mais très chaleureuse. Il l’attendait à l’intérieur: « Va te préparer Chrystèle », lui intima-t-il à peine entré. « Tes affaires sont à côté. » Il ouvrit une porte et la fit entrer. Au milieu de la pièce il n’y avait qu’un corset, rouge. « Mets le et rejoint nous. Angela va t’aider à le lacer », dit-il encore en lui désignant une jeune femme brune pulpeuse habillée elle aussi d’un simple corset qui laissait voir ses seins et son sexe. « Mais non », essaya-t-elle de dire. « Voyons c’est bien ce qui était convenu entre nous ? Non ? » Comme à chaque fois face à la volonté très forte d’un homme dominant, elle était autant tétanisée qu’excitée : Bien sûr. » D’autant qu’il lui susurra à l’oreille, lui flattant la croupe : « On va bien s’amuser je te le promets. Je reviens quand tu seras habillée. »Habillée, déshabillée plutôt se disait-elle en s’admirant néanmoins dans la glace. 28 ans, pas un poil de graisse, des seins à se damner, des jambes, juste le visage qu’elle trouvait joli mais pas canonissime mais n’en provoquait pas moins l’amour fou chez plus d’un homme. Angela lui laça fortement le corset qui faisait encore plus ressortir sa poitrine et l’accompagna au salon. Christian et Bernhardt devisaient gaiement, un grand verre à Cognac en main, un feu brulait dans la cheminée, il ne manquait qu’un chien pour faire tout à fait image d’Epinal. Ils sifflèrent d’admiration en voyant les deux femmes : « Vous êtes superbe ! » Angela n’avait toujours pas dit un mot et n’avait fait que mettre son doigt devant la bouche à chaque tentative de dialogue de Chrystèle. Elle s’asseya instantanément aux pieds de Bernhardt qui lui caressa doucement la tête avant d’accrocher une laisse au collier de cuir noir qu’elle portait. Il dit alors durement à Chrystèle : « Aux pieds de Christian, qu’il vous mette aussi votre collier ». Fascinée, elle s’approcha du grand canapé de cuir rouge où Christian était assis. Il lui mit alors un collier en métal qu’il ferma avec une petite vis. Puis le relia à une laisse en cuir et lui dit de se mettre à genoux à côté de lui.
La conversation continua entre les deux hommes. Ils buvaient tranquillement sans sembler faire attention à elles. Le temps commençait à sembler long à Chrystèle, qui se demandait où était passé les deux autres hommes. Angela ne bougeait pas. Enfin Bernhardt leur dit de se mettre à quatre pattes, l’une à côté de l’autre, sur l’épais tapis, face à la cheminée. « Regardez Christian comme elle mouille ». Bernhardt avait introduit son index dans le sexe d’Angela. Jusqu’à côté de Chrystèle elle semblait déjà jouir. Christian en fit autant avec elle et elle en fut également ravie. « Elle mouille moins, regretta Christian.
- C’est parce qu’elle n’est pas encore dressée », répondit Bernhardt. « Nous allons nous en occuper ? Vous êtes d’accord Chrystèle ? »Pratiquement nue, à quatre pattes devant ces deux hommes, elle ne savait que répondre.
« Je vous préviens Chrystèle qu’une acceptation vaut pour toute cette nuit. Nous ferons de vous ce que nous voulons. Vos orifices seront livrés à qui nous le voudront et vos tentatives de rébellion sévèrement châtiées. Alors Chrystèle ? » Bernhardt la subjuguait encore plus que Vincent. Elle sentait son sexe couler littéralement d’excitation. Elle s’entendit dire, en anglais, ce qui rajoutait à son excitation mais aussi à son détachement de la situation, comme dans un rêve, subjuguée par une autorité bien plus forte que celle de son amant : « Je ferai ce que vous voudrez.
- A qui parlez-vous ?, demanda Bernhardt.
- A vous.
- On dit maître alors ? Répétez : « Je ferai ce que vous voudrez, master »- Je ferai ce que vous voudrez… master.
- Bien. Mettez-vous toutes les deux à quatre pattes sur ce canapé que nous inspections vos orifices. »Les deux femmes se mirent donc cote à cote sur le canapé en cuir. Les deux hommes entreprirent de pénétrer de leurs doigts leurs sexes, leurs anus, leurs bouches faisant de nombreux commentaires sur leur texture, leur ouverture. « La prochaine fois vous ferez un lavement Chrystèle », intima Bernard avant d’appeler : « Venez, elles vous attendent. » Chrystèle se retourna subrepticement, ce qui lui valut un coup de cravache sur la fesse gauche. « On ne se retourne pas », ordonna Bernhardt. Elle avait quand même put voir entrer les deux hommes de la voiture, nus, des sexes imposants en érection. Deux beaux étalons d’une trentaine d’années, superbement musclés.« Je ne baise une femme que bien préparée », précisa Bernhardt à un Christian qui semblait tétanisé.
Les deux hommes se présentèrent derrière les deux femmes et les enfilèrent d’un seul coup. L’intromission subite de ce gros sexe était indescriptible et Chrystèle jouit immédiatement. Angela en fit autant en hurlant littéralement dans une langue inconnue. C’était divin, cela dura longtemps sous le regard des deux autres hommes en train de savourer leur cognac. Mais les deux étalons décidèrent bientôt de pénétrer leurs anus d’une crème lubrifiante et s’y attaquèrent. Chrystèle aimait beaucoup moins cette sensation mais se toucha vite le clitoris et là aussi l’impression devint vite délicieuse. Les coups de boutoir continuaient, impérieux, le temps semblait dépassé. Les deux hommes jouirent dans leurs préservatifs.
A peine se retirèrent ils que Christian se précipita sur elle et la baisa avec acharnement, jouissant si vite qu’elle s’en rendit à peine compte. Elle était KO. On la rhabilla et elle entendit seulement Bernhardt lui dire : « La prochaine fois je vous baiserai. Venez avec votre mari… il paraît qu’il est également charmant. »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Couple-subtil
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...