Dernière satisfaction avec belle-maman!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Dernière satisfaction avec belle-maman! Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dernière satisfaction avec belle-maman!
Je retourne à mon appartement avec plein d’images en tête, complètement perturbé par tout ce qui s’était passé la veille avec Martine. J’ai même eu du mal à trouver le sommeil, passant mon temps à renifler la petite culotte du messager de ma femme. Le simple fait de la sentir me fait bander comme un malade.
Une fois dans ma cuisine, je me sers un plein verre de Perrier. Je m’apprête à mettre de la musique quand j’entends qu’on frappe à la porte. J’ouvre et surprise, je trouve devant moi ma belle-mère.
-Étonné ?
-C’est le mot oui… C’est ta fille qui t’envoie ?
-Laisse-la donc celle-là !
Sans attendre que je ferme la porte, elle s’agenouille devant moi, baisse mon pantalon et mon slip.
- Tu ne peux pas savoir le plaisir que tu m’offres là !
Elle passe sa langue dessus, je me mets tout de suite à bander de nouveau. Elle gobe un long moment mes bourses avant de revenir à ma hampe. Je la regarde faire, sans en perdre une miette. Sa langue roule autour de mon gland. Nos regards se croisent. Puis elle m’embouche à fond. Elle pompe mon dard avec ferveur en agrippant mes fesses. C’est vraiment une suceuse hors pair qui accorde parfaitement l’intensité de son léchage à celle de mes sensations. Délaissant mon sexe, elle me demande de me retourner et entreprend de me lécher l’anus.
- J’aime aussi cette odeur de cul. Ça va me manquer !
Elle écarte un peu plus mes fesses, je sens sa langue dans mon petit trou, sa langue puis bientôt un doigt mouillé. Elle me branle le cul, lèche ses doigts et me branle à nouveau avant d’y remettre la langue. C’est une grosse cochonne vicieuse, visiblement habituée à lécher le derrière de ses amants.
Elle vient à califourchon sur moi, son minou à hauteur de ma bouche. Elle se frotte à moi, je la lèche un peu. Puis elle se redresse et saisissant sa chatte à deux mains, elle se met à uriner en prenant soin d’orienter le jet vers mon visage.
J’ouvre grand la bouche pour recueillir le précieux liquide qui coule partout sur moi. Elle m’asperge de pisse et j’aime ça. Un jet, deux jets, trois jets, elle essaie à plusieurs hauteurs. Elle devait se retenir depuis fort longtemps, vu la quantité de liquide impressionnante qui s’écoule sur moi.
J’en avale un peu, j’aimerais la boire en entier.
Cela dure encore un bon moment, quelques petits jets résiduels, puis elle se rassoit sur ma bouche pour que je nettoie sa chatte avec ma langue.
-Cela te dit que je te pisse dessus ?
-Cela te ferait plaisir ?
Elle sursaute quand le liquide jaunâtre vient frapper sa joue. Avec un couinement, elle détourne la tête par réflexe. Ses cheveux et sa nuque se retrouvent baignés d’urine. Son chemisier prend une teinte sombre en se gorgeant de pisse. Mon sexe se redresse, interrompant le débit.
-Ta bouche ! Ouvre-la grosse salope !
Elle obéit après une brève hésitation. Le front et les paupières plissées d’appréhension, les lèvres entrouvertes. Elle émet un bruit de gorge et, contractant encore ses traits, elle arrondit les lèvres, laissant pointer le bout de sa langue. Je me penche pour l’agripper par la nuque, saisissant une poignée de cheveux détrempés et la force à se soulever, rapprochant son visage de mon gland enflé.
Je relâche un jet dur que les précédents lui giclent en pleine bouche. Elle recule la tête d’un geste vif, avec une grimace de dégoût. Referme à demi les lèvres. Je la suis dans son mouvement, en soulevant ma verge pour la maintenir braquée vers le bas de son visage.
Sans refermer complètement la bouche, elle bloque de la langue l’entrée de la gorge, laissant l’urine lui emplir la bouche avant de s’écouler à la commissure, lui ruisseler sur le menton et jusque dans le ou. Son tee-shirt absorbe le reste comme une éponge.
-Avale ! Je veux que tu boives ! Un cadeau d’adieu.
Cette nouvelle exigence vicieuse ne l’a pas fait réagir. Je l’entends déglutir deux fois.
Le visage humide de pisse, elle commence à me taquiner la queue. Agaçant de petits coups de langue sur le frein.
Pisser sur elle m’a tellement excité que je suis incapable de résister à ses caresses, ni même faire durer le plaisir. Je jouis presque immédiatement. D’une ruade involontaire, je m’enfonce loin dans sa bouche à l’instant où je commence à éjaculer.
Elle a un hoquet, ses yeux agrandis. Ma queue enfoncée au fond de la gorge l’étouffe. Lâchant ma verge, elle me repousse pour se dégager. Elle a un haut-le-cœur recrachant sperme et salive, en filets gluants. Encore tordu par les spasmes de l’orgasme, j’empoigne ma queue, achevant moi-même ce qu’elle a commencé. Mon sperme continue à gicler, retombant sur ses mèches, son front, déjà souillé d’urine.
Elle se branle. Les cuisses resserrées sur sa main, sa croupe agitée de secousses. Il ne lui faut guère plus de temps qu’à moi pour jouir.
Par la suite, je lui ai sucé l’anus, lentement, consciencieusement, prenant soin de bien enfoncer ma langue dans sa rosette. Je lui ai bien mouillé le petit trou avant de m’enfoncer en elle, lentement mais avec force et puissance. J’ai poussé, poussé, jusqu’à ce que je sois bien calé tout au fond de ses reins.
-Je vais regretter ta queue qui m’explose le derrière, admit-elle.
-Tu pourras venir te le tarauder !
-Pas question, tu divorces de ma fille, donc plus de récréation entre nous.
-Pourquoi ?
-Tout bonnement parce que ce ne serait plus jouissif pour moi.
-Comment ça ?
-Ce faire baiser, voir enculer par la queue du mari de ma fille était pour moi jouissif et je ne te parle pas de cocufier mon con de mari. Le même qui te serrait la main, celle-là même qui me menait au plaisir.
Je me mis alors à évoluer en elle, d’abord tout doucement, par de longs mouvements amples et puissants. Puis de plus en plus vite. Cette sodomie dans ma garçonnière ressemble de plus en plus à une cavalcade. Je l’entends grogner à chaque coup de rein.
- Je n’en peux plus, branle-moi la chatte en m’enculant, ordonne-t-elle.
Mais, plutôt que d’accéder à sa demande, je me retire de son fourreau et passe devant elle pour lui brouter le minou. Elle est tellement à fleur de peau qu’elle explose dans ma bouche quelques instants plus tard, transpercée par le plaisir.
Elle est toujours attachée à mon désir. J’en reviens donc à ma sodomie. Je me déchaîne entre ses reins en la pistonnant avec force, puis j’arrête, maltraite ses nichons, claque une fois ses fesses et revins à un léchage. Je la fais jouir encore deux fois avant de reprendre mon enculage. Elle n’en peut plus, je me déchaîne dans son cul jusqu’à ce que la jouissance vienne enfin et que je m’épanche enfin entre ses fesses.
Elle, comme moi, sommes complètement à bout de force. La vision de son anus complètement ouvert m’incite à lui dévorer le cul à nouveau, ce dont je décide de ne pas me priver en profitant de son inertie. Après une telle séance, nous sommes vraiment fourbus. Elle, en particulier, est méconnaissable.
-Ce que j’ai mal au cul ! Tu me l’as fait exploser, je vais mettre au moins deux jours à m’en remettre.
-Comme cela, tu auras un souvenir de moi !
-C’est malin ! Si tu pourrais me passer un peu de crème sur l’anus, ce serait vraiment gentil.
- Je suis vraiment désolé de t’avoir échauffé le cul.
-Il n’y a pas de quoi être désolé, j’ai vraiment passé un agréable moment. Mais, quand on fait des folies de son corps, forcément, par la suite, on en paye le prix !
Je m’occupe très attentivement d’elle en la massant gentiment avec la crème. Même ses fesses sont zébrées, je l’aie tellement fessé qu’il en reste des marques. J’ai fait tout mon possible pour la « réparer », pour qu’elle puisse être présentable aux yeux de son con de mari.
-T’inquiète… il ne risque pas de le voir. Il préfère la bouteille à mon cul !
Puis, je suis sorti nous acheter de quoi nous restaurer. Nous avons mangé complètement nus autour de la table de sapin. Elle est fourbue, éreintée, pleine de courbatures et il pourtant hors de question qu’elle reste.
-Je suis heureuse de savoir que c’est à moi que tu as privilégié ton dernier coup de bite dans un cul familiale, et non pas à ma fille.
-Je crois que sans nos rapports, je me serais lassée de ta fille.
-Tu m’en vois ravie !
-Avec toi, je n’ai pas eu besoin de faire des efforts. C’était naturel, et je prenais un pied fou. Avec ta fille je devais faire travailler mon imagination pour arriver la jouissance !

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