des chemins inexplorés

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : des chemins inexplorés Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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des chemins inexplorés
Des articles plein les mains je m’avance jusqu’aux caisses, où je choisis la caissière que je connais. Une jeune fille, aux longs cheveux châtains clair, attaché en queue de cheval. Avec une bouche pulpeuse, au visage acnéique.
-Bonjour Monsieur, me fait-elle en me reconnaissant, alors que je pose mes achats sur le tapis.
-Bonjour Roxane. Ça va ?
-Oui, surtout que je termine dans une demi-heure.
-Tant mieux pour toi. Et ton père ? Comment va-t-il ?
-Le train, train habituel. Répand-t-elle, sans en ajouter.
-Bien ! Tu lui passeras le bonjour.
-Je n’y manquerais pas…
Alors qu’elle finit de scanner mes articles, elle me lance, alors que le brouhaha des conversations fait un fond sonore engourdissant. Personne ne prêtant attention à notre discussion :
-Ah oui, tu m’en vois ravi, Roxane. J’espère que c’est en bien, au moins ?
-Parfaitement ! J’ajouterais même plus que ça.
-Waouh, Roxane ! Tu vas arriver à me faire rougir.
-Vous rougir ! Ne n’y crois pas !
-Tu sais des fois les apparences.
-On peut ce voir ?
-Pardon ? Je réponds, croyant avoir mal entendu.
-Je pensais que vous aimeriez en savoir plus. Vous n’êtes pas curieux ?
-Bon…bon ! Fais-je. Je vais me laissais tenter.
-Bonne intention. Rendez-vous dans cinq minutes sur le parking. Me lâche-t-elle, avec une étrange lueur dans ses yeux.
A peine franchis l’entrée du magasin que déjà je regrette de m’être laisser embarquer par cette gamine. Des drôles de pensées vagabondent.
Mon attente est de courte durée, avant de la voir rappliquer dans ma direction. D’un signe de main, Roxane me signal de la suivre. Elle ne désire pas qu’on nous voit ensemble.
Donc je marche sur ses pas, moi derrière elle, et cela jusqu’au bout du parking. Là-même, où les employés garent leurs véhicules. A quelques pas de sa voiture, voila que son sac lui échappe des mains. Là, elle se plie en deux pour le ramasser. Dans le mouvement, sa courte jupe se retrousse exhibant une croupe dodue, qu’une dérisoire protection de mailles de résille gaine. Je me déteste de bander malgré moi, devant le cul d’une gamine. Je ne la connaissais, étant une pareille petite vicieuse. Ma première pensée fut sur l’instant alors qu’elle se saisit de son sac, de lui uriner dans le cul. Et sûr qu’elle est capable d’aimer cela.
Je jubile à la pensée de ce qui va suivre. Parce que j’en suis sûr, il va se passer quelque chose !
Devant moi, Roxane reprend son chemin, pour arriver devant sa Polo. Qu’elle ouvre et s’installe derrière le volant, posant son sac sur le siège passager. Puis elle fait descendre la vitre de sa portière. Sa posture, me donne le plaisir de contempler ses cuisses. J’ai du mal à me concentrer sur ce qu’elle me dit. Très progressivement, par son attitude remuante, elle m’expose l’intérieur de ses cuisses, puis le triangle en résille. Qu’elle découvre de plus en plus largement. Jusqu’à m’offrir la vision très précise de la forme. Le léger bombé du sexe et parfois même, le découpage de la fente.
-Ça te plaît ? Me fait-elle. Assez fort pour attirer mon attention.
-C’est loin d’être désagréable, fais-je.
-Je ne savais pas que tu aimais les jeunettes ?
-C’est une question que je ne mettais pas poser avant de te discerner.
-Je dois prendre ça pour un compliment ? Lâche-t-elle.
-Je pense que oui.
-Tu m’en vois ravie.
-Je ne serais pas contre, vois-tu, si tu me propose de me donner sa culotte.
-On voilà une drôle de demande. On ne me la jamais fait celle-là.
-Il y a un début à tout.
-Tu veux en faire quoi ?
-T’occupe !
-D’accord, mais avant je veux que tu entendes le pourquoi de ta venue ici.
-Je t’écoute.
-Alors que je rentrais chez moi après une bringue, seule dans mon lit j’ai eu d’un coup comme un besoin de me satisfaire. Alors je me suis caressée. Et très vite, je ne sais pourquoi ma pensée c’est porté sur toi, à défaut de celle de mon copain du moment, incapable de me satisfaire sexuellement malgré sa grosse queue. Et là, ce fut un vrai feu d’artifice. Alors j’ai rejoué la scène le lendemain et le surlendemain. Et comme le hasard fait bien les choses, voilà que ce matin tu m’apparais. Là, je me suis dis à moi-même, ma coquine tente le tout pour le tout avec lui, surtout qu’il n’est pas accompagné de sa bourgeoise. Oui cocotte met le paquet. J’avoue que cela n’a pas été trop dur, puisque tu es là.
Suite à ce récit, des plus valorisants pour moi. Sous mon regard elle soupire et s’empresse à faire glisser sa culotte le long de ses cuisses, lève une jambe après l’autre pour la retirer et me la tend. Dans le mouvement j’ai pu entrevoir les lèvres de la vulve. Le pubis est recouvert d’une toison châtain clair. Libérée de la culotte, la pilosité déborde sur l’aine.
-Tiens ! Me fait-elle, en me tendant une boule en résille, une promesse est une promesse, n’est-ce pas ?
-Effectivement….
Je prends le vêtement minuscule, qui est légèrement humide, et le porte à mon visage. Une odeur marine monte à mes narines, éveillant un peu plus mon désir. La gamine a alors, un sourire un peu malicieux qui rehausse sa jolie bouche. Ma convoitise est à son comble par l’odeur que dégage la petite lingerie.
-Ça doit sentir bon ma chatte ? Me lâche-t-elle.
-A en tomber !
-Cela te dirait de sentir l’odeur de mon cul vieux cochon ? M’envoie-t-elle.
-Tu ferais ça ?
-Et pourquoi pas ! Bien sûr pas ici, cela va de soit.
-Tu ne connaitrais pas un endroit sans risque d’être vue.
-J’en connais un, oui. A quelques kilomètres d’ici.
Après avoir une fois encore humé sa culotte, je réponds :
-Tu voudrais sans doute m’y emmener je suppose.
-Je ne dis pas non !
Elle me sourit, avec cet air malicieux que j’ai remarqué plus tôt.
-C’est vrai !
Mon désir s’éveille sur cette jeune fille qui, certainement, me dompte facilement. Je devine ses intentions. Elle a de nouveau ce sourire auquel elle m’a habitué.
-Tu es garé où ? M’interroge-t-elle.
-Un peu plus loin.
-Tu me suis ?
-T’y tiens vraiment ?
-Plus que jamais… Fait-elle en mettant en route son moteur.
Cela ne met que quelques minutes avant d’atteindre le lieu désiré. Une grange ! Oui une grange avec des bottes de foin. J’ai l’impression d’avoir rajeuni de pas mal d’année. J’ai des tas de souvenirs de jeunesse qui se bousculent dans ma tête devant un tel endroit.
-T’inquiète… je connais à qui appartient ce lieu, et il n’est pas près de venir.
-Si tu le dis…
Là, après s’être séparée de son haut, elle colle ses lèvres aux mienne et m’envahis ma bouche de sa langue empressée. Tandis qu’elle m’embrasse à en perdre haleine, mes mains pétrissent ses mamelons. Je sens ses tétons réagir. Elle s’arrache à moi, toute souriante, et dirige ma tête sur sa poitrine. Je pose un baiser sur le renflement de ses seins. Elle me caresse les cheveux, m’encourage ainsi à continuer.
Je voudrais tout arrêté, mais voilà cette gamine me fait bander. Je me sens même toute chose. Elle tâtonne derrière son dos, dégrafe son soutien-gorge. Ses seins sont menus comme ceux d’une adolescente, mais ses gros mamelons sont bien ceux d’une jeune fille. Le contraste ne manque pas de sensualité.
Saisi par un instinct purement animal, je soude mes lèvres à la pointe rose et dure que je me mets à sucer. Je redeviens bébé, mais cette fois, je m’en amuse. Je la tète comme si ma vie en dépend et je crois qu’elle le comprend. Elle dégage totalement son sein de son bonnet et le presse contre ma bouche qui le dévore. Lorsque l’envie de goûter le second me vient, elle me le présente pareillement et je recommence ma tétée. C’est encore meilleur. Je caresse son sein droit tout en suçant le gauche qu’elle maintient à ma disposition. Nous restons longtemps ainsi. Elle ne s’impatiente pas. Elle a même un rire adorable quand j’enfouis mon visage entre ses mamelons.
-Il y’a pas à dire… c’est mieux qu’avec mon copain… comme quoi les hommes mûrs !
Elle garde la suite en suspens. Lentement, ma main glisse vers l’aine. La coquine ouvre sa cuisse, ses poils mouillés touchent le dos de ma main. Elle attire la mienne vers elle pour l’appliquer contre le bas de son ventre. Mes doigts séparent des poils, ouvrent la chair molle et gluante.
-Fais voir ta queue, gros cochon ! me fait-elle en abaissant la fermeture Eclair de ma braguette. Gauchement, elle en sort ma bite.
Je la doigte. Je sens mon index devenir gluant de mouille. J’enfile un second dans son vagin le plus loin que je peux. Je vois frémir ses narines et de temps en temps, elle se mord la lèvre inférieur et me lance un bref regard aguichant.
-Qu’attends-tu pour me bouffer le cul, comme convenue, sale porc !
Je la retourne et me colle devant son postérieur. Devant moi le sillon sombre de la raie. Un anneau de chair bistre entoure l’orifice dilaté. Je suis le sillon fessier du bout du doigt. Lorsque je passe sur l’anus, elle gémit et creuse les reins ce qui eut pour effet d’écarter davantage les globes de son cul.
-Vas-y, vieux con, bouffe mon cul. Il parait que vous autres les vieux, faites ce genre de chose !
Je m’exécute. Il palpite sous ma langue raide. Il a un goût amer, moite de sueur, il se rétracte peureusement. Je la lèche à coups de langue saccadés jusqu’à ce qu’elle se tortille, affolée.
-Putain ! C’est bon ce que tu me fais…
Je lui enfonce mon index. Mais cela a l’air de la gênée. À telle point, qu’elle fait une pirouette pour se dégager de mon emprise.
-Je préfère que tu me doigte l’autre trou. Je n’ai pas envie de te chier dessus.
-T’inquiète pas pour ça, j’ai déjà donné…
Je doigte sa chatte pour la seconde fois. En effectuant de petits mouvements circulaires à l’intérieur, tout en lui léchant la foufoune.
-Tu me rends folle Alain, avec ta langue…
J’aspire d’une bouche gourmande son bouton de rose. La faisant rouler entre mes lèvres. Je l’aspire, le suçote, l’étire délicatement, le goûte avec goinfrerie. Elle semble priser ma gourmandise. De petits gémissements saccadés s’échappent de sa bouche. Je prends cela comme un encouragement à poursuivre ma beuverie. Je loge de nouveau un second doigt. L’alliance des deux associer à ma bouche avide l’amènent progressivement à se manifester de plus en plus fort jusqu’au cri. Après avoir joui deux fois, son sexe devient trop sensible, pour que je continus ma caresse buccale.
-Je ne regrette cette aventure… Me lance-t-elle. Et toi ?
-Je reconnais avoir passé un agréable moment en ta compagnie.
-Tu comptes me baisser maintenant ?
-Non, j’ai mieux…
-Ah oui ! Quoi donc ?
-J’aimerais que tu te donne du plaisir devant moi.
-Oh pas de problème, je sais faire. Tu permets. Me fait-elle.
Là, elle me fait m’allongé à même la terre battue.
-Tu es sûr de vouloir, me lâche-t-elle en me chevauchant.
Plaçant ainsi sa chatte au-dessus de mon visage.
-Je pense que je vais aimer ! ça a être jouissif !
-Je vais m’être le paquet, dit-elle en se passant le doigt avant de le renifler.
Je suis devant l’anus que la position évase. Passant les doigts entre ses cuisses, elle se touche entre les fesses, caressant de l’index la bordure renflée de l’anus.
-Tu aimes ?
-Continue !
Parfois elle retire sa main pour renifler ses doigts.
-Putain ! Que je peux puer du cul !
L’orifice se fronce puis s’élargit chaque fois davantage. L’autre main ne reste pas inactive par-devant ses doigts naviguent dans l’entaille. Elle caresse du bout des doigts les crêtes rouges que la position fait pendre. L’autre doigt pénètre profondément dans le cul. Elle pousse un grognement. Gardant son doigt dans le cul. J’ai une vision quasi gynécologique de ses nymphes expansive et du bouton rose qu’elle fait rouler. Elle pousse des gémissements entrecoupés de petits cris qu’elle étouffe en se mordant les lèvres.
Je distingue son doigt coulissé entier dans le derrière. Le plaisir fait enfler la vulve. Le mouvement des doigts produise un bruit juteux. Les chairs palpitent. D’un coup elle décachète son cul. L’orifice reste arrondi. J’entends la cochonne lâcher un pet sonore.
Elle écarquille son anus entre pouce et index. Le doigt qui a séjourné dans les profondeurs rectales est maculé. J’ai bien fait de l’écouter quand elle m’a conseillé de ne pas mettre mon doigt, plus tôt !
Elle s’essuie contre le pourtour du trou. La bordure se révulse comme un doigt de gant. Une odeur de fort fromage se mêle aux parfums de chatte échauffée. Pour rien au monde, je n’aurais raté le spectacle que cette jeune effrontée m’offre. Les doigts devant s’activent. Ils clapotent dans la mouille. Quand le plaisir la submerge. La violence de l’orgasme lui fait pousser un cri. Presque aussitôt la pisse jaillit entre ses doigts qui continuent à branler. Les contractions de jouissance donnent à la miction un débit saccadé qui arrose ma figure, comme en irrigue une salade.
-Je m’excuse, fait-elle, très accablé. C’est la jouissance la cause. C’est bien la première fois que cela m’arrive…
-T’inquiète… il n’y a pas mort d’homme.
-Oui ! Mais je t’ai tout bonnement pissé dessus.
-Rien de grave… tu m’as tout même évité le pire, non ?
Elle met un temps de réflexion, avant d’exploser de rire.
-Tu permets, lui fais-je, en prenant sa main.
Que j’approche de mes narines. Ça sent fort.
-Non ! Fait-elle, il faut voir ça pour le croire. Tu es vraiment intenable.
-Il est temps de nous séparer, tu ne crois pas ?
-Oui, malheureusement !
Je prends alors conscience que je me suis juté dessus. Toutes ces dernières minutes ont été si excitantes que j’ai éjaculé sans me toucher.

Les avis des lecteurs

Bien bandante, une vrai petite garce



Texte coquin : des chemins inexplorés
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