Des envies, toujours des envies

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 66 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 348 468 visites.
Récit libertin : Des envies, toujours des envies Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 366 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Des envies, toujours des envies
Elle m’accueille chaleureusement, comme si rien ne s’était passé la veille. Elle est bandante, Odile dans sa jupe ample, qui met en valeur sa démarche, son bassin.
-Pour un puceau, tu m’as épatée. Me lâche-t-elle. Tu m’as vraiment fait jouir, mon cochon. Suis-moi, je ne tiens plus !
Elle m’entraine jusqu’à le salon.
-Nous serons là plus tranquille. Surtout pour ce que j’ai à te montrer !
Là, elle se fait admirer, en me tournant le dos. Elle retrousse l’ourlet de sa jupe, et la voilà qui se penche, pour mon plus grand plaisir. Putain comme j’aime cette femme. Comme toutes les femmes lui ressemblant, prêtent à tout pour du plaisir !
Elle m’exhibe bien entendue par cette action son postérieur. Je ne mets pas longtemps à distinguer une tache humide dans le fond.
-Regarde mon cochon, ce que tu me fais faire !
Elle baisse sa culotte jusqu’à ses genoux pour me présenter la large flaque luisante à l’empiècement.
-Petit salaud ! Va falloir me nettoyer ça !
C’est pour entendre des ordres comme cela que je fréquente ce genre de femme. Cela n’est pas nouveau, je trouve les femmes plus mûres que moi, excitantes. Il y a quelque chose en elles de sexy, une assurance émoustillante, une confiance en elles que les jeunes filles n'ont pas. Et puis, elles aiment beaucoup le sexe, en général. Elles baisent comme si c’était la dernière fois.
Discipliné, je me laisse tomber à genoux devant sa culotte. Je me prends pour un chien, prêt à tout pour mon plaisir. Cela décuple mon excitation. Je passe ma langue sur le textile pollué d’un liquide visqueux. Je le goûte.
Je lape le jus de sa chatte jusqu’à ce qu’il en ait plus. Ma langue râpe le fond rugueux de la culotte, mais je continu à lécher, et à lécher. Savoir sa chatte au-dessus de ma tête, respirer son odeur m’excitent.
Juste au-dessus de moi, sa voix cristalline se fait très câline :
- Tu es incorrigible et tant mieux pour moi !
Qui aurait pu deviner notre manège dans le quartier ?
Je m’attaque à la culotte, l’enlève.
Je pose mon nez dans les poils de sa chatte qui sent fort la transpiration, la pisse et l’excitation.
Que c’est bon de sentir cette odeur. J’explore la vulve en profondeur et de la mouille grasse suinte de son orifice. Je passe ma langue sur toute la longueur de la raie, jusqu’à l’anus, où l’odeur est beaucoup plus épicé, plus entêtante pour moi. Je la renifle à mon faire péter les poumons. Sépare les bourrelets de la moule, et lape toute la mouille qui coule de la fente béante. Je passe ma langue sur les contours du vagin. Odile, plus que jamais se trouve bel et bien à ma merci.
Je la pousse jusqu’à la faire tomber dans son fauteuil. Elle fait quitter son pied quitta du sol, son talon me frôle le visage. Je ne me gêne pas pour glisser un regard sous sa jupe. À son sourire condescendant je sens qu’elle aime ça. Comme elle a envie de jouer avec moi.
Un de ses pieds quitte sa mule et vient se poser sur mon visage. Son pied est moite de transpiration et l'odeur est assez forte. Mais c'est tellement bon !
Ses pieds sont larges et ont beaucoup de corne. Après m'avoir permis de les lécher un moment, elle appuie ses orteils sur mon front, soulevant ainsi son talon afin d'y glisser la pierre ponce.
Je lui écarte les cuisses. Sa fente dégouline de plus belle. Je lui flatte les fesses. Les empoigne, les écarte doucement et glisse mon index sur la petite pastille. L’agace de mon ongle. Cherchant à y enfoncer ma première phalange. Je quitte les fesses pour la chatte, que j’écarte de mes doigts. Elle écarte aussi grand qu’elle le peut, le compas de ses jambes pour faciliter le passage. Je frotte ma main toute entière rapidement sur le clitoris et sur les lèvres ouvertes et abondantes.
De la salive déborde de ses lèvres et elle m’attire entre ses jambes pour que je la lèche.
Tout en me défiant du regard, elle relève sa croupe. Elle ramène ses jambes sur la poitrine, la chatte dirigée vers moi. Elle s’offre ainsi totalement à mon regard, à ma bouche et à mes mains.
- Suce-moi mon cochon. Je veux que tu me lèches… me lance-t-elle.
Je regarde attentivement le sexe offert. Caresse le buste d’Odile, à travers le textile. Joue avec les seins. Lui caresse le cou. Je m’attaque aux cuisses dont j’apprécie la douceur. Je prends mon temps. Rien ne presse. Le mari joue aux boules, et tant mieux pour moi.
Dans son délire, elle se tortille. Lance ses hanches vers mon visage. De nouveau je masse ses pieds. Je tire doucement sur chacun des orteils. Passe finement mon pouce sur la plante. Plus que jamais, Odile s’agite. Je ne peu m’empêcher de porter le pied à ma bouche. Je suce le gros orteil, introduit ma langue là où il est possible de la mettre. Remonte vers le mollet. Odile a les yeux fermés. Sa respiration est vive.
- Qu’est-ce que tu peux mouiller Odile !
Sans la moindre force, ni même de tentative de ma part, je sens mes doigts entrer dans la chaleur moite de sa chatte. Je suis pris d’une envie folle de visiter du bout de mes sens cette caverne interdite.
- Dis-moi Odile tu dois souvent te ramoner, seule bien sûr, ton mari occuper à autre chose.
J’enfourne trois doigts dans l’orifice rouge, avec une sorte de pet, l’air s’échappe du trou, éjectant une coulée baveuse. Je fouille alors que sa respiration s’accélère. Tout en la trifouillant j’approche mes lèvres de son clitoris. Le taquine du bout de ma langue. Puis le suce, le mâchouille, la fait jouir.
Trois orgasmes coup sur coup. J’ai bien tenté de lui en donner un autre mais elle m’a repoussé, son sexe étant devenu trop sensible.
La tenant par la nuque, je pose mes lèvres sur les siennes. Elle garde la pose et se laisse fouiller la bouche sans chercher à dissimuler le plaisir honteux qu’elle venait de prendre avec le fils de sa copine.
Ce fut un baiser lent et visqueux, obscène. Je lui enfile la langue dans la bouche, longuement. Amusé, je remarque comment, en toute innocence, la coquine pousse sa langue à danser avec la mienne. Une fièvre sadique m’irradie. Je comprenais maintenant que je pourrais aller aussi loin que je le voulais. Elle accepte tout.
Je me réjouis de voir à quel point c’était facile de lui faire perdre la tête. J’ai eu envie de la soumettre encore plus.
- Branle-toi !
Elle n’est plus de taille de lutter avec moi et je le sais, et elle le sait. Là j’aperçois sa main qui s’active entre ses cuisses. Ses yeux plongés dans les miens. Ils se font implorants.
-Alain… voyant ! Pas ça !
- Odile touche-toi, j’aime cela…
Le doigt replié hésite à l’orée des poils.
- Je ne sais pas si je dois… surtout devant le fils de ma copine.
- Tiens regarde cela.
En quelques gestes je dénude ma verge bandée et le lui exhibe. Tout en la fixant, elle vient d’entrer son doigt dans la fente et frôle son bouton.
- Alain je ne pourrai jamais… pas ça j’ai trop honte, devant toi.
Mais son doigt vient de disparaître dans la fente. Elle se branle sournoisement en prétendant le contraire.
- Ça te plaît, à ce que je vois.
- Non ! Hurle-t-elle, je n’aime pas.
Mais elle s’abandonne, les yeux mi-clos.
- Odile sache que si tu fais tout ce que je désire, nous nous donnerons ensemble beaucoup de plaisir!
Elle acquiesce des paupières. Puis elle me regarde d’un air incrédule.
- Tu es vraiment un pervers…
- Oui, ça tu vois, je le sais déjà.
-Viens plutôt près de moi ! Me fait-elle.
-Je préfère de voir te branler !
-Viens, tu verras tu ne le regretteras pas !
Je m’exécute. Elle me fait me pencher en avant tout en lui donnant mon dos. Elle fait passer sa langue de mes reins à mes couilles. Elle frotte sa langue en rond autour de mon trou du cul, le réveille, le chauffe. Elle va jusqu’à me lécher l’anus pour de bon, comme une vraie chienne. Elle sait se montrer bestiale, sale même, et ça m’excite.
-Ecarte bien, laisse entrer ma langue.
A force de coups de langue, mon petit trou s’ouvre. La langue pointée à l’entrée me chauffe l’anus en profondeur. Je me tortille, gémis sous cette caresse particulière.
-Ça à l’air de te plaire, à toi aussi ? Alors ouvre-le davantage !
Sa bouche quitte mon cul. Je me retrouve avec son index planté à l’intérieure. Je le sens tourner s’enfoncer en moi.
-Ton trou est propre, mon chérie !
Elle se remet à me lécher. Je lui ouvre mon cul. Sa langue se force, me pénètre. Mon anus se resserre, puis s’ouvre. Elle me pointe de nouveau un doigt à l’entrée de mon anus. Qu’elle fait aller et venir. Continuant ainsi de m’exciter à l’intérieur. Puis la coquine ajoute un autre doigt. Je sens que ça glisse tout seul.
Quand elle adjoint un troisième doigt, je perds la tête. Je nage dans une nébuleuse de plaisir. Je ne sais plus si ce que je vie est réel. Il y a cette chaleur dans mon cul, dans ma tête, mon corps. Je jouis sans me toucher.
Elle a toujours ses doigts enfoncés dans mon cul quand je reviens à la vie. Elle lèche mon sperme sur ma queue. Je lui caresse les cheveux.
Ses seins me sautent à la figure. Je les devine sous son chemisier translucide, marqué par la dentelle du soutien-gorge. Elle rayonne. Son sourire est sans équivoque, aussi mon inquiétude ne tarde pas à disparaître.
-Hier après mon départ tu as pensé à moi ?
-Je pense à toi tout le temps.
-Tu t’es touché ?
-Alain, tu ne va pas remettre ça !
-Aller dis-moi le !
Je fais signe que oui, d’évidence.
-Moi aussi. Une fois dans mon lit, le souvenir de ce que nous avons fait m’a envahi. J’ai dû me soulage.
-J’ai envie de te faire plaisir, de te montrer ma poitrine. Je suppose que tu n’en as jamais vue? Je veux dire, pas en vrai ?
Sans attendre ma réponse, la voilà qui déboutonne son corsage. Son soutien-gorge blanc se gonfle. Je vois ses seins au travers la dentelle. Elle
fait jaillir ses seins. Pleins, ronds, énormes.
-Viens téter Odile, petite cochon.
Elle change de place pour le canapé, où elle me fait grimper. A genoux entre ses jambes, je la tète. Elle se malaxe les seins en même temps. Elle me murmure de les sucer à fond, d’en prendre le plus possible en bouche.
Elle gémit, tire sur ses mamelons, qu’elle triture pendant que j’enfouis ma tête entre les seins.
-Tu es en rut ! Ça me plaît ! Je vais me branler avec le cochon excité qui me lèche !
Pendant que je continue à la téter gloutonnement, elle empoigne ma queue dans sa main. Elle halète en se masturbant. Elle rue quand je mordille ses mamelons. Elle jouit comme ça, sans prévenir.
Elle me masturbe, passe la main sur mes couilles.
-Tu ne peux pas savoir ce que ça me fait de te voir excité comme ça ! Je vais te faire gicler !
Elle me branle pompe fort, à me faire mal. Elle roule les testicules dans sa bouche, les avale, les recrache comme des noyaux. Elle me demande de monter et de descendre, mes couilles entrent et sortent de sa bouche. En même temps, elle s’occupe de ses seins. Se les martyrise. Elle les pétrie comme de la pâte, à pleines mains.
-Lèche-moi encore !
Je vais à grands coups de langue dans sa chatte, dans son cul, son anus, qu’elle s’efforce d’élargir pour moi. Il faut que je m’enfonce, que je lui donne toujours plus de plaisir.
Son vagin bée, gluant, énorme, ma langue va au plus profond d’elle. J’aspire ses chairs. Son trou du cul est étroit, mais elle parvient à le faire s’ouvrir. Le bout de ma langue y entre avant d’être repoussé à l’extérieur.
-J’aimerais te voir jouir maintenant.
Sa voix déraille, trahissant l’excès de sa jouissance. Elle gémit, en ouvrant grand la bouche devant mon sexe.
-Vas-y ! Donne-moi ton jus !
Suivant son ordre, je me branle plus fort. Quand ça gicle, je lui en mets plein la bouche, qu’elle maintient toujours béante. Elle reçoit des gouttes partout sur le visage.
Elle ingurgite le plus possible de sperme, tirant la langue, aspirant tout ce qu’elle peut. Pour finir, elle m’attire à elle, engloutit ma queue au fond de sa gorge. Elle suce mes couilles aussi. Elle me tète avec voracité comme un enfant.
Cette fois, je suis vidé. Je constate qu’elle aussi, les yeux dans le vague, bras et jambes écartés, demeure immobile sur son fauteuil.
-Dis-moi, fait-elle après avoir repris ses esprits, il va falloir penser à ton dépucelage. Enfin si tu veux que ce soit avec moi !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Remarquable !! J' aimerais vivre ce moment



Texte coquin : Des envies, toujours des envies
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Renifleur

Madame est servie! - Récit érotique publié le 23-04-2024
Que du plaisir avec Odile - Récit érotique publié le 11-04-2024
Première apporche. - Récit érotique publié le 10-04-2024
UN ETE EN BONNE COMPAGNIE - Récit érotique publié le 31-03-2024
La tentation de Josette - Récit érotique publié le 22-03-2024
Barbara, la morte de faim... - Récit érotique publié le 20-03-2024
Jeux coquins - Récit érotique publié le 19-03-2024
Complot et secret - Récit érotique publié le 14-03-2024
Ce que veut une femme, et bien, moi je lui donne... - Récit érotique publié le 13-03-2024
Douceur à trois. - Récit érotique publié le 11-03-2024