Deux copines de fac en pleine révision
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Deux copines de fac en pleine révision
C’était une grande maison aux lignes sobres, cachée derrière une haie de buis taillée au cordeau, dans la banlieue calme et bien ordonnée de Lille. Une maison de médecin, avec parquet ancien, bibliothèque en noyer, verrière donnant sur un jardin impeccable. Evy y avait grandi. Il y découvrait une autre part d’elle, plus assurée, plus libre.
Les partielles à la fac approchaient. Dès le matin, dans la chambre du fond, baignée d’une lumière laiteuse, elle l’avait rejoint nue, les cheveux défaits, la peau déjà chaude. Elle n’avait pas faim de café ou de révisions, mais une faim insatiable, profonde, qu’il reconnaissait maintenant à la façon dont elle le regardait en silence.
Ils firent l’amour une première fois, doucement. Puis une deuxième, plus intensément, et encore, jusqu’à perdre toute notion d’heure. Elle voulait tout de lui : son odeur, ses mains, sa présence en elle. Ravinée, disaient ses yeux fermés, son dos cambré, ses cuisses ouvertes et vibrantes. Elle le laissait aller et venir en elle.
À un moment, haletante, elle attrapa son téléphone posé sur la table de chevet. Elle le filma, ce va-et-vient inlassable, ce ventre contre son bas-ventre, sa main crispée sur la cuisse. Elle filma la pénétration, le sexe qui s’enfonçait en elle, humide, vibrant. Elle voulait garder une trace, pas pour jouer, mais pour revivre plus tard ce feu qui lui ravinait les reins.
Ils entendirent des rires, plus tard. Une amie d’Evy rencontrée à la fac était là aussi, avec son copain. Eux aussi s’étaient isolés. L’étage vibrait doucement, comme si la maison tout entière résonnait d’un désir diffus, contagieux, contenu sous les voilages blancs et les cadres bien alignés.
Plus tard, affamés, ils descendirent pour le petit-déjeuner. Le couloir était silencieux, les volets laissaient passer des rais de lumière pâle. En passant devant la salle de bain, une porte mal fermée attira leur regard.
Ruth était là. À quatre pattes sur le carrelage blanc, cambrée, offerte. Son copain la prenait par derrière, avec force, et elle gémissait, la bouche entrouverte contre le carrelage. Une main tenait son smartphone, cadré en contreplongée : on voyait distinctement le sexe qui entrait en elle, et les boucles rousses de sa toison, brillantes de plaisir.
Ils restèrent un instant figés. Le souffle coupé. Ce n’était pas la gêne qui les paralysait, mais cette nudité sans masque, ce plaisir capturé à la volée, comme un tableau vivant. Elle était soumise, mais volontaire. Un abandon total, presque hypnotique.
Ils échangèrent un regard. Aucun mot. Ils descendirent encore, les pieds nus sur le bois blond. Le pain était frais, le café chauffait. Tout était calme.
Elle croquait dans une tartine, nue sous sa chemise d’homme, les cuisses encore rougies de frottements. Lui la regardait, repu mais jamais rassasié. Ils entendaient encore, en sourdine, l’eau de la salle de bain, et le souffle entrecoupé de sa copine désormais plus discret.
Ruth et son copain descendirent quelques minutes plus tard, le regard légèrement fuyant, les cheveux encore humides. Ils avaient un air complice. Chacun savait que l’autre savait.
Dans le salon, c’est Evy qui lança le mouvement. « Tu veux voir ? » demanda-t-elle à voix basse à son copain, presque dans un souffle. Elle parlait de la vidéo, évidemment. Il hocha la tête, et ils s’installèrent sur la méridienne, un plaid sur les genoux, comme deux adolescents dans une cachette. L’image était belle. Tremblée, mais précise. Leur sexe en mouvement, capté dans une lumière dorée. Son ventre qui se soulevait. Les gémissements étouffés. Elle appuya sur pause à un moment où l’on voyait la pénétration nette, luisante, tendre. Elle sourit.
Ils ne s’étaient pas rendu compte que Ruth s’était approchée. L’instant était suspendu. Elle tendit alors son propre téléphone, dans un geste sans gêne. « J’ai filmé aussi », murmura-t-elle.
Ils regardèrent ensemble, en silence. Le cadrage était plus brut, mais l’image encore plus troublante : la caméra tremblait légèrement, et l’on voyait, de très près, la verge pénétrer lentement son buisson roux, humide, gonflé. Elle poussait des soupirs rythmés, les yeux fermés, la main libre posée à plat contre le mur. L’image disait tout : le plaisir, l’abandon, la confiance.
Les regards se croisèrent. Il n’y avait ni comparaison, ni jalousie, juste un accord tacite, un consentement muet à cette beauté partagée. Les corps, filmés, devenaient langage: une langue fluide, primitive, mais sans obscénité.
Quelqu’un proposa de monter. Il n’y eut pas de débat. Juste quatre corps qui se levèrent ensemble. Ce ne serait pas une orgie, ce serait autre chose. Une mise en commun.
L’escalier grinça sous leurs pas. Aucun mot. Ils remontèrent dans la chambre du fond, là où les draps étaient encore froissés du matin. La lumière avait tourné, plus rasante, dorée, caressant les murs pâles et le parquet blond.
Evy s’allongea la première, nue, les cuisses à peine refermées, son sexe encore sensible. Il s’agenouilla à côté d’elle, la couvrit de baisers, lents, sur les hanches, le ventre, les seins. De l’autre côté du lit, Ruth s’approcha, s’assit à califourchon sur son copain, face à lui, les bras autour de son cou. Ils s’embrassèrent longtemps, profondément, comme s’ils se retrouvaient après une interminable séparation.
Le souffle monta doucement, sans précipitation. Les gestes restaient fluides, curieux, tendres. C’était un enchevêtrement de regards croisés. Ruth glissa une main vers Evy, l’effleura entre les jambes, en silence. Elle la laissa faire, yeux mi-clos, corps offert. Le copain de Ruth s’approcha aussi, posa les lèvres sur le creux de son dos, puis plus bas. Evy se retourna, se plaça à quatre pattes, comme dans le souvenir filmé. Le copain de son amie se plaça derrière, la saisissant par les hanches avec douceur. Il la pénétra lentement, leurs souffles se mêlèrent. Face à elle, Ruth s’approcha encore, et caressa ses seins, sa bouche, puis tentât de glisser deux doigts entre ses jambes pendant qu’il la prenait. Le plaisir se propageait en onde.
Ruth, de son côté, s’était allongée sur le dos, les jambes entrouvertes. Le copain d’Evy vint se placer entre elles, sa verge dressée, et elle l’accueillit, les yeux dans les yeux.
Les rythmes se répondaient. Les sexes en mouvement, les doigts qui effleurent, les souffles courts. Il y eut un moment suspendu : Evy chevauchant en reverse cowgirl, dos cambré, se regardait dans le miroir face au lit, le sexe de son amant disparaissant en elle. Ruth, penchée sur le côté, la doigtait en rythme, caressant aussi son clitoris. Le miroir reflétait tout : les visages ravagés de plaisir, les reins qui roulent, les mains qui pressent. Les gémissements montèrent ensemble.
Quand les hommes sentirent qu’ils approchaient, ils se retirèrent ensemble, dans un accord muet. Les deux amies s’allongèrent côte à côte, les cuisses entrouvertes, les corps encore ouverts, les ventres tendus. Puis, presque simultanément, ils éjaculèrent en giclées épaisses et chaudes qui vinrent éclabousser les ventres, les hanches, les seins. Le sperme coula doucement le long des peaux, brillant dans la lumière du soir.
Evy étala du bout des doigts le liquide sur le ventre de Ruth, en souriant. L’autre fit de même, caressant sa propre peau, encore battante. Elles restèrent ainsi, les jambes croisées, les corps luisants, les cœurs au ralenti.
Les partielles à la fac approchaient. Dès le matin, dans la chambre du fond, baignée d’une lumière laiteuse, elle l’avait rejoint nue, les cheveux défaits, la peau déjà chaude. Elle n’avait pas faim de café ou de révisions, mais une faim insatiable, profonde, qu’il reconnaissait maintenant à la façon dont elle le regardait en silence.
Ils firent l’amour une première fois, doucement. Puis une deuxième, plus intensément, et encore, jusqu’à perdre toute notion d’heure. Elle voulait tout de lui : son odeur, ses mains, sa présence en elle. Ravinée, disaient ses yeux fermés, son dos cambré, ses cuisses ouvertes et vibrantes. Elle le laissait aller et venir en elle.
À un moment, haletante, elle attrapa son téléphone posé sur la table de chevet. Elle le filma, ce va-et-vient inlassable, ce ventre contre son bas-ventre, sa main crispée sur la cuisse. Elle filma la pénétration, le sexe qui s’enfonçait en elle, humide, vibrant. Elle voulait garder une trace, pas pour jouer, mais pour revivre plus tard ce feu qui lui ravinait les reins.
Ils entendirent des rires, plus tard. Une amie d’Evy rencontrée à la fac était là aussi, avec son copain. Eux aussi s’étaient isolés. L’étage vibrait doucement, comme si la maison tout entière résonnait d’un désir diffus, contagieux, contenu sous les voilages blancs et les cadres bien alignés.
Plus tard, affamés, ils descendirent pour le petit-déjeuner. Le couloir était silencieux, les volets laissaient passer des rais de lumière pâle. En passant devant la salle de bain, une porte mal fermée attira leur regard.
Ruth était là. À quatre pattes sur le carrelage blanc, cambrée, offerte. Son copain la prenait par derrière, avec force, et elle gémissait, la bouche entrouverte contre le carrelage. Une main tenait son smartphone, cadré en contreplongée : on voyait distinctement le sexe qui entrait en elle, et les boucles rousses de sa toison, brillantes de plaisir.
Ils restèrent un instant figés. Le souffle coupé. Ce n’était pas la gêne qui les paralysait, mais cette nudité sans masque, ce plaisir capturé à la volée, comme un tableau vivant. Elle était soumise, mais volontaire. Un abandon total, presque hypnotique.
Ils échangèrent un regard. Aucun mot. Ils descendirent encore, les pieds nus sur le bois blond. Le pain était frais, le café chauffait. Tout était calme.
Elle croquait dans une tartine, nue sous sa chemise d’homme, les cuisses encore rougies de frottements. Lui la regardait, repu mais jamais rassasié. Ils entendaient encore, en sourdine, l’eau de la salle de bain, et le souffle entrecoupé de sa copine désormais plus discret.
Ruth et son copain descendirent quelques minutes plus tard, le regard légèrement fuyant, les cheveux encore humides. Ils avaient un air complice. Chacun savait que l’autre savait.
Dans le salon, c’est Evy qui lança le mouvement. « Tu veux voir ? » demanda-t-elle à voix basse à son copain, presque dans un souffle. Elle parlait de la vidéo, évidemment. Il hocha la tête, et ils s’installèrent sur la méridienne, un plaid sur les genoux, comme deux adolescents dans une cachette. L’image était belle. Tremblée, mais précise. Leur sexe en mouvement, capté dans une lumière dorée. Son ventre qui se soulevait. Les gémissements étouffés. Elle appuya sur pause à un moment où l’on voyait la pénétration nette, luisante, tendre. Elle sourit.
Ils ne s’étaient pas rendu compte que Ruth s’était approchée. L’instant était suspendu. Elle tendit alors son propre téléphone, dans un geste sans gêne. « J’ai filmé aussi », murmura-t-elle.
Ils regardèrent ensemble, en silence. Le cadrage était plus brut, mais l’image encore plus troublante : la caméra tremblait légèrement, et l’on voyait, de très près, la verge pénétrer lentement son buisson roux, humide, gonflé. Elle poussait des soupirs rythmés, les yeux fermés, la main libre posée à plat contre le mur. L’image disait tout : le plaisir, l’abandon, la confiance.
Les regards se croisèrent. Il n’y avait ni comparaison, ni jalousie, juste un accord tacite, un consentement muet à cette beauté partagée. Les corps, filmés, devenaient langage: une langue fluide, primitive, mais sans obscénité.
Quelqu’un proposa de monter. Il n’y eut pas de débat. Juste quatre corps qui se levèrent ensemble. Ce ne serait pas une orgie, ce serait autre chose. Une mise en commun.
L’escalier grinça sous leurs pas. Aucun mot. Ils remontèrent dans la chambre du fond, là où les draps étaient encore froissés du matin. La lumière avait tourné, plus rasante, dorée, caressant les murs pâles et le parquet blond.
Evy s’allongea la première, nue, les cuisses à peine refermées, son sexe encore sensible. Il s’agenouilla à côté d’elle, la couvrit de baisers, lents, sur les hanches, le ventre, les seins. De l’autre côté du lit, Ruth s’approcha, s’assit à califourchon sur son copain, face à lui, les bras autour de son cou. Ils s’embrassèrent longtemps, profondément, comme s’ils se retrouvaient après une interminable séparation.
Le souffle monta doucement, sans précipitation. Les gestes restaient fluides, curieux, tendres. C’était un enchevêtrement de regards croisés. Ruth glissa une main vers Evy, l’effleura entre les jambes, en silence. Elle la laissa faire, yeux mi-clos, corps offert. Le copain de Ruth s’approcha aussi, posa les lèvres sur le creux de son dos, puis plus bas. Evy se retourna, se plaça à quatre pattes, comme dans le souvenir filmé. Le copain de son amie se plaça derrière, la saisissant par les hanches avec douceur. Il la pénétra lentement, leurs souffles se mêlèrent. Face à elle, Ruth s’approcha encore, et caressa ses seins, sa bouche, puis tentât de glisser deux doigts entre ses jambes pendant qu’il la prenait. Le plaisir se propageait en onde.
Ruth, de son côté, s’était allongée sur le dos, les jambes entrouvertes. Le copain d’Evy vint se placer entre elles, sa verge dressée, et elle l’accueillit, les yeux dans les yeux.
Les rythmes se répondaient. Les sexes en mouvement, les doigts qui effleurent, les souffles courts. Il y eut un moment suspendu : Evy chevauchant en reverse cowgirl, dos cambré, se regardait dans le miroir face au lit, le sexe de son amant disparaissant en elle. Ruth, penchée sur le côté, la doigtait en rythme, caressant aussi son clitoris. Le miroir reflétait tout : les visages ravagés de plaisir, les reins qui roulent, les mains qui pressent. Les gémissements montèrent ensemble.
Quand les hommes sentirent qu’ils approchaient, ils se retirèrent ensemble, dans un accord muet. Les deux amies s’allongèrent côte à côte, les cuisses entrouvertes, les corps encore ouverts, les ventres tendus. Puis, presque simultanément, ils éjaculèrent en giclées épaisses et chaudes qui vinrent éclabousser les ventres, les hanches, les seins. Le sperme coula doucement le long des peaux, brillant dans la lumière du soir.
Evy étala du bout des doigts le liquide sur le ventre de Ruth, en souriant. L’autre fit de même, caressant sa propre peau, encore battante. Elles restèrent ainsi, les jambes croisées, les corps luisants, les cœurs au ralenti.
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