Le dortoir de l’auberge de jeunesse

- Par l'auteur HDS Marcel1001 -
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le dortoir de l’auberge de jeunesse Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2025 dans la catégorie Plus on est
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Le dortoir de l’auberge de jeunesse
J’étais étudiant, à peine dans ma vingtaine. Cette histoire est vraie : je l’ai vécue lors d’un voyage à Barcelone, dans une auberge de jeunesse surpeuplée. La chaleur était étouffante, les draps collaient à la peau, saturés d’odeurs de sueur et de bière. Un ventilateur grinçait sans rien changer. Dans ce dortoir, les corps entassés respiraient lourdement, chacun enfermé dans sa fatigue.

Margot et moi partagions un lit superposé. Elle haut dessus, moi en bas. Elle s’est glissée nue sous mon drap, sa peau déjà collante de chaleur, ses cuisses glissant contre les miennes. Son parfum d’été, crème solaire, sel et sueur, emplissait l’air. Elle s’est assise sur moi, m’a chevauché avec lenteur, ses seins lourds oscillant au-dessus de mon visage. Je l’ai pénétrée doucement, cherchant à rester silencieux, mais le bruit humide de sa chair humide se faisait entendre malgré nous. Elle étouffait ses soupirs dans mon cou. Je suis venu vite, trop vite, écrasé par cette tension d’être entouré, observé peut-être.

Mais Margot, elle, n’avait pas fini. Ses hanches continuaient à rouler, avides, exigeantes. C’est alors que je l’ai vu : un étudiant, dans un lit voisin, s’était redressé. Dans la pénombre, ses yeux brillaient, rivés sur nous. Margot a tourné la tête, a croisé son regard. Elle n’a pas reculé. Elle s’est mordue la lèvre, a fait un signe.

Je me suis retiré, haletant, ma verge poisseuse. Je me suis assis au bord du lit. Il s’est approché, carrure sèche, torse marqué par le sport, épaules découpées. Il a baissé son short, révélant une verge épaisse, veinée, plus large que la mienne. Margot s’est mise en levrette au bord du lit, ses genoux calés sur le matelas, ses bras tendus, sa croupe en arrière, ses fesses offertes. Son dos se cambrant naturellement, son sexe gonflé et brillant s’ouvrait sous la lueur du couloir. L’air était saturé de l’odeur de ma semence qui coulait doucement, d’un mélange de sueur, de musc et de plaisir brut.

Il s’est placé derrière elle, a agrippé ses hanches d’un geste ferme, et l’a pénétrée d’un seul coup. J’ai vu sa vulve s’écarter autour de lui, engloutir sa verge trop large d’un mouvement presque violent. Le claquement de leurs chairs emplissait le dortoir. Margot haletait, les cheveux collés à sa nuque, ses mains crispées dans les draps. Chaque poussée faisait jaillir un bruit mouillé qui me tordait le ventre. Je le voyais ressortir luisant, replonger encore, plus profondément, ses fesses heurtant les siennes dans un rythme sec et puissant. Margot gémissait, incapable de se contenir, son corps tout entier offert dans cette posture animale.

Quand il a fini, elle ne s’est pas arrêtée. Elle s’est allongée sur le dos, lubrique, cuisses écartées, ses lèvres gonflées brillaient encore. Le deuxième s’est levé : plus massif, trapu, la peau luisante de sueur. Sa verge, plus longue mais tout aussi épaisse, se balançait entre ses cuisses musclées. Il s’est allongé sur elle et l’a pénétrée sans un mot. Le contraste m’a frappé : Margot, frêle sous lui, ouverte, écrasée par son poids, ses seins secoués à chaque coup. La dilatation de ses lèvres me faisait craindre le pire. Il la prenait avec une puissance brutale, chaque poussée la soulevant presque du matelas. Elle l’accueillait avec des soupirs rauques, ses mains agrippant ses épaules comme pour tenir face à la force de son bassin. Son ventre se contractait, ses yeux roulaient en arrière, et bientôt elle a joui violemment, ses cuisses se refermant sur lui, son bassin se soulevant comme pour le retenir encore.

Le troisième n’a pas tardé, il s’est approché avec une assurance désarmante, comme s’il savait déjà qu’il aurait sa place dans cette succession. Sa carrure était plus souple, ses gestes mesurés, mais son excitation se voyait clairement dans la tension de son sexe, épais, lourd, insolent. Margot s’est replacée en levrette, au bord du lit, ses cuisses déjà trempées, luisantes de sperme et de sueur.

Il s’est positionné derrière elle, a levé une jambe et posé son pied sur le bord du matelas, juste à côté du genou de Margot. Ce geste a accentué la tension de son bassin : sa pénétration devenait directe, profonde, presque mécanique. Chaque poussée enfonçait sa verge épaisse en elle avec une régularité implacable, et Margot, secouée, ne pouvait qu’encaisser, haletante, mais heureuse. Son dos se creusait, ses fesses s’ouvraient encore davantage sous la pression, sa vulve battante s’écartait à chaque aller-retour.

Le bruit de cette pénétration résonnait comme un martèlement humide, amplifié par le silence du dortoir. Elle gémissait, ivre, débordée, ses seins ballottant sous elle, marqués de gouttes de sueur qui brillaient à la lueur du couloir. Lui, concentré, la tenait fermement aux hanches, sa jambe appuyée sur le lit lui donnant un appui solide pour la pilonner avec une brutalité rythmée. Il n’y avait plus de tendresse chez lui : seulement le choc régulier de la chair, le claquement obscène qui emplissait la pièce.

Quand tout est retombé, Margot s’est affaissée sur le matelas, haletante, le visage ruisselant, ses seins tressautant à chaque respiration. Ses cuisses ouvertes laissaient voir une vulve gonflée, brillante de leurs semences mêlées. Elle avait l’air d’une déesse épuisée, repue, magnifique.

Je n’ai pas bougé. Je l’ai regardée, gravant cette vision : Margot, ma Margot, transformée, consumée, débordée dans ce dortoir anonyme, et moi, complice silencieux de son excès.

Ses lèvres palpitaient encore, écartées, distendues par le passage de quatre hommes. Des filets laiteux glissaient lentement, s’étalant sur l’intérieur de ses cuisses. La peau de sa chair gorgée brillait dans la lueur tremblée du couloir. L’odeur était forte mais enivrante : un mélange de sueur, de sperme chaud, et de cette note plus profonde, presque animale, propre à son sexe quand elle avait joui longtemps. C’était lourd, musqué, puissant, comme un parfum sauvage que seule cette nuit pouvait exhaler.

Chaque respiration ramenait vers moi ce bouquet de chaleur intime et de sel. J’avais l’impression d’assister à une scène primitive, comme si la chambre entière retenait son souffle autour d’elle. Margot, allongée là, les cuisses écartées, la vulve dégorgeant de plaisir et d’hommes, offrait le spectacle le plus cru et le plus fascinant que j’aie jamais contemplé.

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