Le vernissage: rencontre impromptue entre deux générations.
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le vernissage: rencontre impromptue entre deux générations.
Je l’ai remarquée devant une photographie en noir et blanc : un nu de femme, flou, pris dans une lumière rasante. Elle restait immobile, un verre de vin à la main, concentrée, presque absente. Elle paraissait frêle, fragile même, la peau pâle, les cheveux tombant sur sa nuque dégagée. Sa robe sombre moulait ses hanches étroites, contrastant avec la blancheur de ses épaules. Elle avait trente ans, peut-être.
Je l’observais à distance. J’avais quinze ans de plus qu’elle, et en la regardant, je sentais remonter des souvenirs de mes vingt ans : la légèreté des rencontres, l’éclat des premières ivresses. Elle incarnait ce passé et le renouvelait devant moi. Puis son regard a croisé le mien. Elle n’a pas détourné les yeux. Au contraire, elle a esquissé ce léger sourire, presque imperceptible, qui valait une invitation.
Nous avons échangé quelques phrases banales sur les clichés. Mais déjà nos gestes se frôlaient : ma main avait trouvé sa taille, la courbe de sa hanche, et ses doigts, en retour, glissaient sur mon avant-bras, s’attardaient sur mon torse. Elle ne reculait pas. Elle cherchait le contact comme moi, feignant de toujours regarder les images, mais trahie par le frisson de ses doigts.
C’est moi qui l’ai entraînée dans un couloir adjacent, mal éclairé, où le béton nu et l’odeur de peinture séchée remplaçaient la blancheur des cimaises. Le silence y était plus lourd, l’espace plus intime.
Je l’ai plaquée contre le mur, son dos fragile contre la surface froide. Nous nous sommes embrassés avec avidité, comme deux étrangers qui se reconnaissent trop vite. D’un geste, j’ai soulevé sa robe. Elle ne portait presque rien dessous, sa peau nue s’offrait à mes mains. Ma paume a trouvé sa poitrine menue, ses tétons durs marquant le tissu, tandis que mes doigts glissaient plus bas, entre ses cuisses. Là, j’ai senti la chaleur dense de sa vulve, la chair gorgée, humide au point de coller à ma main.
Je l’ai pénétrée debout, face à moi, sa cuisse levée contre ma hanche. Sa vulve m’a avalé d’un coup, engloutissant ma verge dans un bruit mouillé. Elle haletait, ses mains crispées à ma nuque. Nos corps se cognaient au rythme de mes coups de reins, de plus en plus francs.
Puis, dans un geste volontaire, elle s’est retournée face au mur. Elle a posé ses avant-bras sur le béton, a arqué son dos, offrant ses fesses hautes. Son bassin s’est ouvert, sa vulve tendue en arrière, luisante. Je suis revenu en elle d’un coup, mes hanches claquant contre les siennes. L’angle changeait tout : ma verge comprimée, serrée à chaque enfoncement, glissant plus profondément. Elle s’arquait davantage, une main remontant vers mon cou pour m’attirer, son torse plaqué contre le mur, sa poitrine tendue et secouée par nos mouvements.
La vue de ses reins cambrés, de ses fesses blanches qui s’ouvraient sous mes assauts, m’a enflammé. Je la tenais par les hanches, la pénétrant avec force, chaque poussée résonnant dans le silence de béton. Ses gémissements étaient plus rauques, presque brisés, son souffle frappant le mur qu’elle embrassait à demi.
Son orgasme a éclaté là, dans cette posture offerte. Son corps a tremblé, ses cuisses se sont resserrées contre moi, et soudain un jet clair a jailli, éclaboussant le sol de béton froid, éclatant à nos pieds comme une preuve irréfutable. Elle a crié contre le mur, sa poitrine écrasée, ses fesses frémissant encore sous mes mains.
Cette vision m’a fait perdre pied. J’ai continué à la prendre par derrière, mes coups plus rapides, plus durs, jusqu’à me décharger en elle. Ma semence a jailli profondément dans sa vulve palpitante, se mêlant à son écoulement encore chaud. Je suis resté en elle quelques secondes, sentant ses muscles m’étreindre, puis je me suis lentement retiré, la regardant pantelante, encore arquée contre le mur.
À nos pieds, le béton portait la trace double de nos jouissances. Elle a remis sa robe d’un geste tremblant, ses cuisses encore humides.
Quand nous avons rejoint la salle, nous nous sommes volontairement ignorés. Elle a repris un verre et s’est placée devant un autre cliché, le menton légèrement relevé, comme si de rien n’était. De l’autre côté, j’ai feint de m’intéresser à une série de portraits. Mais un instant, nos regards se sont de nouveau croisés. Bref, intense. Elle a détourné la tête la première, un sourire à peine perceptible aux lèvres. Moi, j’ai bu une gorgée de vin.
Pour le reste du vernissage, nous avons joué le rôle des étrangers. Mais chaque photo que je contemplais me ramenait à son corps cambré, à son cri étouffé, au jet éclaboussant le sol. Et je savais qu’elle, de son côté, ressentait encore ma présence dans sa chair.
Je l’observais à distance. J’avais quinze ans de plus qu’elle, et en la regardant, je sentais remonter des souvenirs de mes vingt ans : la légèreté des rencontres, l’éclat des premières ivresses. Elle incarnait ce passé et le renouvelait devant moi. Puis son regard a croisé le mien. Elle n’a pas détourné les yeux. Au contraire, elle a esquissé ce léger sourire, presque imperceptible, qui valait une invitation.
Nous avons échangé quelques phrases banales sur les clichés. Mais déjà nos gestes se frôlaient : ma main avait trouvé sa taille, la courbe de sa hanche, et ses doigts, en retour, glissaient sur mon avant-bras, s’attardaient sur mon torse. Elle ne reculait pas. Elle cherchait le contact comme moi, feignant de toujours regarder les images, mais trahie par le frisson de ses doigts.
C’est moi qui l’ai entraînée dans un couloir adjacent, mal éclairé, où le béton nu et l’odeur de peinture séchée remplaçaient la blancheur des cimaises. Le silence y était plus lourd, l’espace plus intime.
Je l’ai plaquée contre le mur, son dos fragile contre la surface froide. Nous nous sommes embrassés avec avidité, comme deux étrangers qui se reconnaissent trop vite. D’un geste, j’ai soulevé sa robe. Elle ne portait presque rien dessous, sa peau nue s’offrait à mes mains. Ma paume a trouvé sa poitrine menue, ses tétons durs marquant le tissu, tandis que mes doigts glissaient plus bas, entre ses cuisses. Là, j’ai senti la chaleur dense de sa vulve, la chair gorgée, humide au point de coller à ma main.
Je l’ai pénétrée debout, face à moi, sa cuisse levée contre ma hanche. Sa vulve m’a avalé d’un coup, engloutissant ma verge dans un bruit mouillé. Elle haletait, ses mains crispées à ma nuque. Nos corps se cognaient au rythme de mes coups de reins, de plus en plus francs.
Puis, dans un geste volontaire, elle s’est retournée face au mur. Elle a posé ses avant-bras sur le béton, a arqué son dos, offrant ses fesses hautes. Son bassin s’est ouvert, sa vulve tendue en arrière, luisante. Je suis revenu en elle d’un coup, mes hanches claquant contre les siennes. L’angle changeait tout : ma verge comprimée, serrée à chaque enfoncement, glissant plus profondément. Elle s’arquait davantage, une main remontant vers mon cou pour m’attirer, son torse plaqué contre le mur, sa poitrine tendue et secouée par nos mouvements.
La vue de ses reins cambrés, de ses fesses blanches qui s’ouvraient sous mes assauts, m’a enflammé. Je la tenais par les hanches, la pénétrant avec force, chaque poussée résonnant dans le silence de béton. Ses gémissements étaient plus rauques, presque brisés, son souffle frappant le mur qu’elle embrassait à demi.
Son orgasme a éclaté là, dans cette posture offerte. Son corps a tremblé, ses cuisses se sont resserrées contre moi, et soudain un jet clair a jailli, éclaboussant le sol de béton froid, éclatant à nos pieds comme une preuve irréfutable. Elle a crié contre le mur, sa poitrine écrasée, ses fesses frémissant encore sous mes mains.
Cette vision m’a fait perdre pied. J’ai continué à la prendre par derrière, mes coups plus rapides, plus durs, jusqu’à me décharger en elle. Ma semence a jailli profondément dans sa vulve palpitante, se mêlant à son écoulement encore chaud. Je suis resté en elle quelques secondes, sentant ses muscles m’étreindre, puis je me suis lentement retiré, la regardant pantelante, encore arquée contre le mur.
À nos pieds, le béton portait la trace double de nos jouissances. Elle a remis sa robe d’un geste tremblant, ses cuisses encore humides.
Quand nous avons rejoint la salle, nous nous sommes volontairement ignorés. Elle a repris un verre et s’est placée devant un autre cliché, le menton légèrement relevé, comme si de rien n’était. De l’autre côté, j’ai feint de m’intéresser à une série de portraits. Mais un instant, nos regards se sont de nouveau croisés. Bref, intense. Elle a détourné la tête la première, un sourire à peine perceptible aux lèvres. Moi, j’ai bu une gorgée de vin.
Pour le reste du vernissage, nous avons joué le rôle des étrangers. Mais chaque photo que je contemplais me ramenait à son corps cambré, à son cri étouffé, au jet éclaboussant le sol. Et je savais qu’elle, de son côté, ressentait encore ma présence dans sa chair.
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