Un toit brûlant sur la cité universitaire
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Un toit brûlant sur la cité universitaire
C’était la fin juin. Les partiels venaient de tomber et tout le campus vibrait de fêtes. Dans les chambres, les couloirs, les cuisines communes, on entendait des musiques trop fortes, des éclats de rire, des portes qui claquaient. Marine et moi, on avait préféré monter sur le toit de la résidence.
Nous avions monté un vieux matelas, pour y étendre nos nuits secrètes. Ce soir-là, nous étions allongés dessus, un carton de bières fraîches entre nous, riant à voix basse, la peau moite de chaleur. La ville s’étendait sous nos yeux, et le béton, encore chaud du soleil, diffusait une moiteur sensuelle qui nous collait au corps. L’air lui-même avait une densité lourde, saturée de nos odeurs mêlées : bière, sueur, peau chauffée.
Quand Lily grimpa l’échelle, nous ne l’attendions pas. Dix-neuf ans, voisine de couloir discrète en journée, mais ce soir son visage avait une assurance nouvelle. Ses cheveux blonds pendaient en mèches collées, ses joues brillaient, et son débardeur fin laissait deviner la fermeté de ses seins. Elle ne demanda pas si elle pouvait rester : elle s’assit directement sur le bord du matelas, attrapa une bouteille, l’ouvrit et but une gorgée.
— Vous vous cachez bien, dit-elle en souriant. Je savais que je finirais par vous trouver.
Marine éclata de rire, amusée par son aplomb. Mais Lily ne perdit pas de temps. Elle se tourna vers elle et posa une main sur sa cuisse, trop haut pour que ce soit innocent. Le silence tomba un instant. Puis elle l’embrassa. Un baiser sûr, décidé, qui nous coupa le souffle.
— Tu goûtes la bière, souffla-t-elle en souriant en reculant à peine.
Marine la fixa, surprise, puis céda. Leurs lèvres se retrouvèrent, plus longues, plus profondes. Moi, je les regardais, le cœur battant, bandant déjà.
Lily se tourna vers moi. Ses yeux brillaient, pleins d’une fièvre calme. Elle glissa sa main sur mon torse, descendit jusqu’à ma braguette.
— Montre-moi ça, dit-elle doucement.
Elle ouvrit mon pantalon, libéra ma verge, gonflée à tout rompre. Elle la prit en main sans hésiter, la caressa lentement, puis plus fermement. Sa main moite faisait coulisser le prépuce, dévoilant le gland brillant sous la lumière jaune des réverbères. La moiteur de sa paume se mêlait à ma sueur, et je sentais déjà cette odeur musquée, chaude, monter de nos corps.
Marine, elle, avait déjà glissé ses doigts dans le short de Lily. Quand le tissu tomba, je découvris son sexe nu. Entièrement épilée, sa peau lisse brillait de moiteur, ses lèvres gonflées ouvertes sur une humidité dense. Une odeur intime, sauvage et musquée monta, mélange de chaleur et de désir. Son clitoris battait sous les caresses de Marine. Lily gémit, mais ne recula pas.
Puis, d’un mouvement décidé, elle se mit à genoux devant moi. Elle attrapa ma verge des deux mains, l’approcha de sa bouche. Elle posa ses lèvres sur le gland, timide une seconde seulement, puis l’engloutit lentement, sa langue tournant autour, aspirant la chaleur.
Marine s’était collée derrière elle, caressant ses seins, pinçant ses tétons, puis glissant ses doigts dans sa vulve luisante. Lily gémissait autour de ma verge, le son étouffé vibrant dans ma chair.
Sa bouche me happait, maladroite parfois, mais tellement ardente. Sa salive se mêlait à mes fluides, ses lèvres se serraient, se desserraient, ses joues creusaient. Je n’avais jamais vu autant de désir brut dans un geste. L’odeur de sa peau, de sa transpiration légère, se mêlait à celle de son sexe humide et de mon plaisir : un parfum dense, presque enivrant.
Je soufflai, rauque :
— Oui… continue…
Marine accéléra ses doigts, et le corps de Lily se cambra. Ses hanches ondulaient malgré elle, cherchant le plaisir qui montait. Elle suçait plus fort encore, avalant davantage, m’engloutissant dans ses gémissements étouffés. Puis son orgasme la prit de plein fouet. Un cri étouffé résonna contre ma verge, son sexe se contracta violemment autour des doigts de Marine. Elle tremblait, secouée, jouissant à genoux, la bouche encore pleine de moi.
Je n’ai pas tenu très longtemps. Mes reins se tendirent, mes doigts se crispèrent dans ses cheveux. L’orgasme monta brutalement. Je jaillis dans sa bouche, en jets brûlants, pulsés, qui la remplirent aussitôt. Elle avala une partie, garda le reste sur ses lèvres brillantes. Elle releva les yeux vers moi, fière, troublée, la bouche maculée de ma semence, avant de laisser Marine l’embrasser et partager le goût.
On est tous les trois retombés sur le matelas moite, nos corps luisants de sueur et de sexe dans la chaleur étouffante. L’air était saturé de nos odeurs: bière, peau chauffée, parfum musqué de plaisir. En contrebas, le campus continuait de s’agiter. Mais sur ce toit, dans cette nuit d’été, le monde s’était rétréci à trois respirations, trois peaux, trois désirs, trois sexes repus.
Nous avions monté un vieux matelas, pour y étendre nos nuits secrètes. Ce soir-là, nous étions allongés dessus, un carton de bières fraîches entre nous, riant à voix basse, la peau moite de chaleur. La ville s’étendait sous nos yeux, et le béton, encore chaud du soleil, diffusait une moiteur sensuelle qui nous collait au corps. L’air lui-même avait une densité lourde, saturée de nos odeurs mêlées : bière, sueur, peau chauffée.
Quand Lily grimpa l’échelle, nous ne l’attendions pas. Dix-neuf ans, voisine de couloir discrète en journée, mais ce soir son visage avait une assurance nouvelle. Ses cheveux blonds pendaient en mèches collées, ses joues brillaient, et son débardeur fin laissait deviner la fermeté de ses seins. Elle ne demanda pas si elle pouvait rester : elle s’assit directement sur le bord du matelas, attrapa une bouteille, l’ouvrit et but une gorgée.
— Vous vous cachez bien, dit-elle en souriant. Je savais que je finirais par vous trouver.
Marine éclata de rire, amusée par son aplomb. Mais Lily ne perdit pas de temps. Elle se tourna vers elle et posa une main sur sa cuisse, trop haut pour que ce soit innocent. Le silence tomba un instant. Puis elle l’embrassa. Un baiser sûr, décidé, qui nous coupa le souffle.
— Tu goûtes la bière, souffla-t-elle en souriant en reculant à peine.
Marine la fixa, surprise, puis céda. Leurs lèvres se retrouvèrent, plus longues, plus profondes. Moi, je les regardais, le cœur battant, bandant déjà.
Lily se tourna vers moi. Ses yeux brillaient, pleins d’une fièvre calme. Elle glissa sa main sur mon torse, descendit jusqu’à ma braguette.
— Montre-moi ça, dit-elle doucement.
Elle ouvrit mon pantalon, libéra ma verge, gonflée à tout rompre. Elle la prit en main sans hésiter, la caressa lentement, puis plus fermement. Sa main moite faisait coulisser le prépuce, dévoilant le gland brillant sous la lumière jaune des réverbères. La moiteur de sa paume se mêlait à ma sueur, et je sentais déjà cette odeur musquée, chaude, monter de nos corps.
Marine, elle, avait déjà glissé ses doigts dans le short de Lily. Quand le tissu tomba, je découvris son sexe nu. Entièrement épilée, sa peau lisse brillait de moiteur, ses lèvres gonflées ouvertes sur une humidité dense. Une odeur intime, sauvage et musquée monta, mélange de chaleur et de désir. Son clitoris battait sous les caresses de Marine. Lily gémit, mais ne recula pas.
Puis, d’un mouvement décidé, elle se mit à genoux devant moi. Elle attrapa ma verge des deux mains, l’approcha de sa bouche. Elle posa ses lèvres sur le gland, timide une seconde seulement, puis l’engloutit lentement, sa langue tournant autour, aspirant la chaleur.
Marine s’était collée derrière elle, caressant ses seins, pinçant ses tétons, puis glissant ses doigts dans sa vulve luisante. Lily gémissait autour de ma verge, le son étouffé vibrant dans ma chair.
Sa bouche me happait, maladroite parfois, mais tellement ardente. Sa salive se mêlait à mes fluides, ses lèvres se serraient, se desserraient, ses joues creusaient. Je n’avais jamais vu autant de désir brut dans un geste. L’odeur de sa peau, de sa transpiration légère, se mêlait à celle de son sexe humide et de mon plaisir : un parfum dense, presque enivrant.
Je soufflai, rauque :
— Oui… continue…
Marine accéléra ses doigts, et le corps de Lily se cambra. Ses hanches ondulaient malgré elle, cherchant le plaisir qui montait. Elle suçait plus fort encore, avalant davantage, m’engloutissant dans ses gémissements étouffés. Puis son orgasme la prit de plein fouet. Un cri étouffé résonna contre ma verge, son sexe se contracta violemment autour des doigts de Marine. Elle tremblait, secouée, jouissant à genoux, la bouche encore pleine de moi.
Je n’ai pas tenu très longtemps. Mes reins se tendirent, mes doigts se crispèrent dans ses cheveux. L’orgasme monta brutalement. Je jaillis dans sa bouche, en jets brûlants, pulsés, qui la remplirent aussitôt. Elle avala une partie, garda le reste sur ses lèvres brillantes. Elle releva les yeux vers moi, fière, troublée, la bouche maculée de ma semence, avant de laisser Marine l’embrasser et partager le goût.
On est tous les trois retombés sur le matelas moite, nos corps luisants de sueur et de sexe dans la chaleur étouffante. L’air était saturé de nos odeurs: bière, peau chauffée, parfum musqué de plaisir. En contrebas, le campus continuait de s’agiter. Mais sur ce toit, dans cette nuit d’été, le monde s’était rétréci à trois respirations, trois peaux, trois désirs, trois sexes repus.
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