Premier fist en club libertin

- Par l'auteur HDS Marcel1001 -
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Premier fist en club libertin Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Premier fist en club libertin
Nous étions deux étudiants dans la vingtaine, et depuis nos premiers ébats nous avions pris l’habitude de franchir ensemble des limites. Toujours un peu plus loin, toujours un peu plus fort, comme si l’intensité de notre désir trouvait sa vérité dans l’exploration. Cette histoire est vraie : elle s’est gravée en moi comme la preuve qu’il existe des instants où le corps, l’amour et le vertige s’unissent au-delà des mots.

La salle où nous entrâmes ce soir-là était étrange, presque clinique. Les murs blancs, le néon cru, et au centre cette chaise de gynécologue, froide, incongrue. De larges miroirs sans tain occupaient les parois. Nous savions ce que cela signifiait : des regards nous observaient, anonymes, invisibles. Et cette conscience ajoutait à notre excitation une brûlure particulière.

Chloé entra la première. Elle avait ce mélange d’assurance et de trouble qui me bouleversait toujours. Ses doigts effleurèrent le cuir usé du siège, glissèrent sur le métal froid des étriers, puis elle se retourna vers moi. Ses yeux brillaient : pas de question, pas d’hésitation. Un éclat de défi, une invitation silencieuse.

Elle portait une robe légère en tissu fin, rouge sombre, qui laissait deviner ses formes à chaque mouvement. Les bretelles glissèrent sur ses épaules tandis qu’elle s’en débarrassait d’un geste lent, presque solennel. En dessous, seulement un string de dentelle noire qui découvrait déjà la ligne soignée de son pubis, taillé court avec soin, dont la teinte sombre contrastait avec la pâleur de sa peau. Un soutien-gorge ajouré enserrait sa poitrine sans la dissimuler, laissant ses tétons durs se dresser avec insolence.

Elle se déchaussa, retira les dernières pièces de lingerie, et s’assit sur la chaise. Ses jambes vinrent se caler dans les étriers, son bassin s’ouvrit. Son sexe apparut, entrouvert, brillant déjà du mélange de désir et de chaleur, encadré par la toison sombre et taillée. Dans les miroirs sans tain, je voyais la scène se démultiplier, presque irréelle.

Je pris le tube de lubrifiant posé sur la tablette métallique. Le gel froid coula sur mes doigts, puis sur sa vulve. Elle eut un frisson, ses cuisses tressaillirent, ses seins se soulevèrent brusquement. Ma verge, gonflée et lourde, vibrait dans mon pantalon. Je savais que, derrière la vitre, des yeux inconnus suivaient chacun de mes gestes.

J’introduisis deux doigts. Sa chair céda facilement, accueillante. Puis trois, puis quatre. Ses parois se tendirent aussitôt, se contractèrent avec force autour de moi. Je sentais chaque pli serrer mes phalanges. Chloé haletait, agrippée aux accoudoirs, sa poitrine secouée, ses tétons durcis comme jamais.

Je me branlais de la main libre. C’était un contrepoint troublant : ma main finalement enfoncée en elle, ma verge réclamant d’y être aussi. Dans le miroir, je voyais mon bras disparaître dans son corps, son ventre se creuser pour me recevoir, et ce contraste violent entre ma main luisante de gel et son pubis sombre qui encadrait la vulve dilatée.

Quand mon poignet approcha, ses contractions devinrent plus puissantes, ses parois serrant avec une force animale. Elle gémit, un cri rauque, son torse se cambra, ses seins jaillirent en avant. Puis ce fut le passage : ma main entière glissa en elle, lentement, centimètre après centimètre. Son ventre se creusa, ses abdos se nouèrent, et sa poitrine se souleva dans un arc de tension.

La chaleur était saisissante, une fournaise qui me serrait la paume. Chloé hurla, un son brut, son bassin plaqué contre le siège, ses cuisses tremblant dans les étriers. Son sexe s’était dilaté au maximum, puis resserré sur moi, ses contractions m’avalant et me repoussant à la fois. Dans les miroirs, l’image crue de sa vulve dilatée se reflétait, offerte à des voyeurs invisibles, et ma main entière jusqu’au poignet s’activait doucement en elle.

Ses seins rebondissaient au rythme de ses spasmes, ses tétons dressés vibraient comme sous un courant. Elle était traversée de vagues, son corps entier secoué, ses gémissements rauques emplissaient la pièce. Son orgasme éclata d’un coup : violent, convulsif, ses chairs serrant ma main avec une intensité presque douloureuse. Elle jouissait de tout son corps, tremblant, ruisselante, offerte et prisonnière de ce vertige.

Je restai immobile, la main logée en elle, la laissant traverser sa tempête. Puis, quand ses convulsions s’espacèrent, je commençai à me retirer. Lentement. Ses parois semblaient retenir chaque phalange, ses chairs se contractant encore, crispées, comme pour me garder. Elle gémit dans un souffle brisé, ses seins se soulevant lourdement. Enfin, ma main quitta son sexe.

Un long soupir s’échappa de sa bouche. Sa vulve restait entrouverte, rouge, gonflée, luisante de cyprine et de gel. Des filets descendaient le long de ses fesses. Sa poitrine vibrait à chaque respiration, ses tétons encore durs, son ventre creusé par l’effort. Elle paraissait marquée, splendide dans son abandon.

Je me caressais plus vite, ma verge gonflée à craquer. La vision de son corps ainsi ouvert, sa vulve abandonnée, ses seins dressés, me poussait au bord. Je m’approchai, la verge tendue vers elle. Mon corps se contracta, et je cédais.

Le premier jet jaillit, fendit l’air en un arc brutal avant de s’écraser sur son pubis sombre et taillé. Un deuxième, plus puissant, éclaboussa son bas-ventre, puis un troisième, épais, coula vers son nombril et glissa sur sa peau moite. D’autres suivirent, plus courts, plus lourds, tombant sur ses cuisses, son ventre, constellant son torse.

Chaque jet arrachait un râle de ma gorge. Je la voyais fermer les yeux, sentir la chaleur de mon sperme s’étaler sur sa peau, et esquisser un sourire haletant. Je continuai jusqu’aux dernières gouttes, épaisses, qui perlèrent au bord du méat et tombèrent sur son ventre tendu.

Les miroirs renvoyaient l’image de son torse constellé de ma semence, de son sexe gonflé, de mes traits crispés par l’orgasme. Je savais que d’autres, derrière la vitre, avaient vu la même chose que moi.

La pièce sentait le musc, la sueur, le sexe et le sel de ma jouissance. Chloé, nue dans la chaise, ses jambes encore écartées dans les étriers, sa vulve palpitante, son ventre luisant de sperme, me regardait avec une intensité calme.

Je restai debout face à elle, fasciné, le souffle court. Ce n’était pas seulement du plaisir, mais une révélation. Elle m’avait laissé entrer plus loin qu’aucune autre, et moi, j’avais marqué son corps de ma jouissance. Dans cette salle blanche, froide, sous un néon cru, avec des yeux invisibles qui nous observaient, nous venions de graver un souvenir incandescent.

En quittant la salle, nos pas résonnaient encore sur le carrelage froid. Chloé s’était rhabillée lentement, ses cuisses encore tremblantes, sa vulve toujours déformée par ma main. Nous traversâmes le couloir, et dans le reflet furtif d’une vitre, je crus croiser un regard, une silhouette anonyme qui s’effaça aussitôt.

Ce silence chargé, ces yeux invisibles, tout cela ajoutait à notre complicité un frisson supplémentaire. Nous étions sortis ensemble, plus liés que jamais, porteurs d’un secret incandescent que personne ne pourrait nommer, mais que d’autres avaient peut-être entrevu.

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