Levrette en urbex

- Par l'auteur HDS Marcel1001 -
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Levrette en urbex Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Levrette en urbex
Nous montions vers les hauteurs de São Miguel aux Açores, l’air chaud et lourd de l’été avant l’orage. Le Monte Palace, cet hôtel abandonné, se dressait comme un fantôme de béton, perché au sommet de la montagne, dominant les lacs de Sete Cidades. Les façades rongées, les couloirs ouverts au vent, les cadres béants laissaient entrer la pluie et la végétation. Un lieu immense, livré aux éléments.

Nous étions trois ce jour-là, par curiosité, nos appareils photos crépitaient joyeusement. Le ciel noirci menaçait, les grondements roulaient déjà sur l’île, la lumière n’en était que plus belle. Dans une aile envahie de gravats, nous avons trouvé une silhouette. Elle avait installé un petit réchaud à gaz sur une dalle, une casserole cabossée où mijotait un mélange simple de pâtes et de légumes. L’odeur du repas contrastait violemment avec l’air saturé d’humidité et de poussière. Elle voyageait seule, disait-elle, une quête intime qui la poussait à s’arrêter dans ces lieux hors du temps.

Pulpeuse, la poitrine ronde sous un débardeur fin, les hanches pleines, les cuisses fermes pliées sous elle, elle nous regardait sans peur. Elle nous a tendu des verres d’eau puis une assiette émaillée. Nous avons partagé son repas, assis sur des bols de béton, écoutant la pluie s’abattre sur les cadres vides. Sa voix était grave, mais douce.

Puis elle a posé la casserole, s’est levée et, sans un mot, a retiré son débardeur. Ses seins ronds se sont libérés, lourds et fermes, ses tétons marrons durcis par l’air humide. Son short a glissé le long de ses cuisses, révélant un pubis taillé court, sombre, qui tranchait avec la pâleur moite de sa peau. Son regard disait tout : elle avait faim de sexe.

Le plus âgé de mes amis s’est dévêtu et s’est avancé vers elle. Sa verge, large, gonflée, se balançait entre ses cuisses musclées. Il l’a prise par les hanches dos à elle, l’a poussée doucement à genoux sur le béton. Elle s’est placée à quatre pattes et il l’a pénétrée avec lenteur. Ses lèvres charnues se sont ouvertes autour de lui, avalant chaque centimètre de sa verge dans un bruit mouillé. Elle a gémi, les mains plaquées au sol, le dos cambré. Longtemps, il l’a prise ainsi, ses coups de reins profonds et réguliers, son scrotum battant contre elle, son souffle lourd résonnant dans la pièce. Elle ondulait sous lui, son corps pulpeux vibrant à chaque poussée.

Quand il s’est retiré, elle est restée ouverte, haletante, ses lèvres gonflées palpitaient encore, brillantes de ses sucs. Son sexe distendu luisait, comme une bouche avide. J’ai croisé son regard : un bref sourire de défi, comme s’il me disait « à toi de faire mieux ».

Mon deuxième comparse s’est approché, plus long, plus mince, son gland rouge et luisant. Elle s’est tournée vers lui et l’a pris dans sa bouche, aspirant lentement, la langue glissant sous la hampe, ses yeux mi-clos comme pour savourer. Puis elle s’est repositionnée, cambrée, offerte, et il a glissé son gland entre ses lèvres. Elle a gémi fort en sentant cette nouvelle forme s’enfoncer en elle, différente, plus profonde, glissant sans heurt dans la chaleur gorgée de son vagin. Ses fesses ondulaient, ses cuisses se tendaient, ses seins lourds ballottaient à chaque poussée. Il a accéléré, la tenant fermement aux hanches, son bassin claquant contre sa peau moite. Elle criait presque, tendue, ses gémissements ricochant contre les murs nus, étouffés de temps en temps par le tonnerre.

Lorsqu’il s’est retiré, elle est tombée à demi sur le côté, les cuisses ouvertes, la vulve largement entrouverte, dégorgeant un filet clair qui coulait sur sa peau. Ses lèvres, gonflées, palpitaient encore, comme si son corps n’avait pas fini de réclamer. Je l’ai regardé, lui aussi bandé et suant. Son regard est venu chercher le mien, lourd de défi et de complicité mêlés. Nous savions pourquoi nous étions là, et qu’il restait encore une étape.

Je n’ai pas résisté davantage. Je me suis agenouillé derrière elle, mon sexe bandé au point de douleur. Je l’ai frotté d’abord contre son sexe gonflé, le gland glissant sur ses plis humides, frottant son clitoris saillant. Elle a sursauté, un long gémissement s’échappant de sa gorge. J’ai pressé davantage, et elle a ouvert ses cuisses pour m’inviter. Lentement, j’ai enfoncé le gland, centimètre par centimètre, sentant ses chairs chaudes se resserrer, m’envelopper, s’adapter à moi. Son vagin battait contre ma hampe, ses contractions me happaient, comme pour me retenir à chaque retrait.

Je l’ai prise longtemps, plus lentement que les autres, savourant chaque va-et-vient, mes coups de reins lourds, mes mains agrippées à ses hanches moites. Elle se cambrait, ses fesses rebondies claquant contre mon bassin, ses seins écrasés contre le sol. Ses gémissements étaient plus profonds, presque rauques, comme si elle s’abandonnait entièrement. Par instants, je levais les yeux : les deux autres me regardaient, silencieux, un défi muet dans leurs regards, mais aussi un respect car nous partagions une même intensité.

Ses contractions se sont faites plus rapides, son souffle plus court. Elle a crié en se cambrant violemment, son ventre durci, et un jet clair a jailli de sa vulve, éclaboussant le béton froid. Ses cuisses tremblaient, ses mains griffaient le sol, ses fesses se secouaient encore sous l’onde de l’orgasme.

Je suis resté en elle, mes coups de reins ralentissant mais plus appuyés, jusqu’à ce que mon propre plaisir monte. Mes bourses se sont contractées, mon gland gonflé a palpité au fond d’elle, et ma semence a jailli en saccades, emplissant sa vulve déjà distendue. Je suis resté immobile, haletant, la sentant m’aspirer encore, ses parois serrées, vivantes, buvant ma jouissance.

Quand je me suis retiré, elle est restée au sol, nue, les cuisses ouvertes. Sa vulve gonflée, luisante, distendue, dégorgeait lentement, des filets blancs coulant le long de ses cuisses pleines jusqu’au béton. L’odeur de sexe, épaisse et musquée, emplissait la pièce ouverte aux vents. Le sol portait la trace de nos corps : auréoles sombres, éclaboussures claires, sillons humides. Une toile brute, peinte par nos chairs.

Nous sommes restés là, silencieux, le souffle court, nos regards heureux. Il n’y avait pas de mot. Juste ce défi complice, resté suspendu entre nous. La pluie tombait à travers les cadres béants, ruisselait sur les murs. Tout était suspendu, comme si le Monte Palace lui-même retenait son souffle pour garder ce secret.

Elle, restée effondrée sur le béton froid, cuisses entrouvertes, seins lourds encore battants de son souffle, semblait abandonnée et rayonnante à la fois, comme une offrande laissée au cœur des ruines. Sa vulve gonflée, brillante, luisait de nos passages mêlés, chaque repli palpitant encore comme s’il gardait la mémoire de nos chairs. Quand elle a relevé les yeux, ce fut pour nous adresser un sourire fatigué mais lumineux, un sourire complice qui abolissait toute distance. Dans ce silence épais, ce fut son corps, son regard et ce sourire qui dirent l’essentiel : elle nous liait.

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