Interdits d’été: sur la route des vacances 4
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Interdits d’été: sur la route des vacances 4
4 nouvelles de nos expériences en bord de route sur la route des vacances (épisode 4).
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Ils roulaient depuis un moment sur une nationale vide, l’ambiance feutrée dans l’habitacle. La nuit approchait, les couleurs viraient au cuivre. Le silence entre eux était dense, tendu d’une belle complicité. C’est alors qu’ils le virent : un jeune homme au bord de la route, sac sur l’épaule, le pouce levé. Il avait l’air calme. Ils se regardèrent.
On le prend ? demanda-t-elle, sans insistance.
Il haussa les épaules.
Comme tu veux.
Ils s’arrêtèrent. Le garçon sourit, glissa sa tête par la fenêtre.
Vous allez vers le nord ?
On monte, oui. Grimpe.
Il s’installa à l’arrière, remercia, posa son sac à ses pieds. La voiture reprit sa route. Ils échangèrent quelques banalités. Il venait de descendre d’un festival, dormait sous tente, rentrait vers Lille. Il avait la voix douce, le regard tranquille.
Elle jeta un coup d’œil vers lui dans le rétroviseur. Il la regardait aussi, parfois. Sans insister. Il faisait chaud. Très chaud. Le silence revint, dense d’autre chose. Elle posa sa main sur la cuisse de son compagnon. Il la regarda, surpris. Elle, le regard perdu devant elle, fit glisser la main plus haut. Il bandait presque aussitôt.
Le stoppeur ne disait rien. Il regardait, immobile.
Elle dit, doucement :
Arrête-toi. Là, sur le chemin de terre.
Ils quittèrent la route principale, entrèrent dans un sentier bordé de haies, sec et poussiéreux. Le soleil descendait vite maintenant. Ils s’arrêtèrent, au milieu de nulle part. Elle descendit sans un mot, fit le tour du véhicule, s’assit sur le capot, les jambes entrouvertes. Sa robe avait glissé. Elle ne portait plus rien dessous.
Elle regarda le garçon à l’arrière.
Tu viens ?
Il sortit lentement. Pas un mot. Juste ce souffle particulier du désir contenu. Lui restait là, appuyé contre la portière, la gorge sèche.
Elle écarta un peu plus les cuisses. Le garçon s’approcha. Elle prit sa main, la guida. Il la toucha doucement, maladroitement. Elle ferma les yeux, la tête renversée contre le pare-brise. Puis elle tendit la main vers son compagnon.
Viens. Prends-moi. Maintenant.
Il s’approcha, la verge dure en main. La pénétra d’un geste lent, solennel. Elle gémit à peine, la tête tournée vers le ciel. La pulpe de ses lèvres s’étiraient le long de son sexe à chaque va et vien. Le garçon restait là, les yeux rivés sur la scène en déglutissant d’excitation. Sa main était dans son short, il se caressait lentement.
Elle bougeait sur le capot, son corps nu dans la lumière dorée, les cheveux collés à ses tempes. Lui la tenait fermement, frappait contre son bassin dans un rythme impatient. Elle se cambra. Il jouit en elle. Long, profond. Le garçon se détourna, fit tomber son short et jouit à son tour dans l’herbe, sans bruit. Ils restèrent là, haletants. Le silence revenu, un peu irréel.
Personne ne disait rien. Ils remontèrent tous les trois dans la voiture comme si rien ne s’était passé. Sur le capot, la trace de ses cuisses nues restait imprimée dans la poussière.
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Ils roulaient depuis un moment sur une nationale vide, l’ambiance feutrée dans l’habitacle. La nuit approchait, les couleurs viraient au cuivre. Le silence entre eux était dense, tendu d’une belle complicité. C’est alors qu’ils le virent : un jeune homme au bord de la route, sac sur l’épaule, le pouce levé. Il avait l’air calme. Ils se regardèrent.
On le prend ? demanda-t-elle, sans insistance.
Il haussa les épaules.
Comme tu veux.
Ils s’arrêtèrent. Le garçon sourit, glissa sa tête par la fenêtre.
Vous allez vers le nord ?
On monte, oui. Grimpe.
Il s’installa à l’arrière, remercia, posa son sac à ses pieds. La voiture reprit sa route. Ils échangèrent quelques banalités. Il venait de descendre d’un festival, dormait sous tente, rentrait vers Lille. Il avait la voix douce, le regard tranquille.
Elle jeta un coup d’œil vers lui dans le rétroviseur. Il la regardait aussi, parfois. Sans insister. Il faisait chaud. Très chaud. Le silence revint, dense d’autre chose. Elle posa sa main sur la cuisse de son compagnon. Il la regarda, surpris. Elle, le regard perdu devant elle, fit glisser la main plus haut. Il bandait presque aussitôt.
Le stoppeur ne disait rien. Il regardait, immobile.
Elle dit, doucement :
Arrête-toi. Là, sur le chemin de terre.
Ils quittèrent la route principale, entrèrent dans un sentier bordé de haies, sec et poussiéreux. Le soleil descendait vite maintenant. Ils s’arrêtèrent, au milieu de nulle part. Elle descendit sans un mot, fit le tour du véhicule, s’assit sur le capot, les jambes entrouvertes. Sa robe avait glissé. Elle ne portait plus rien dessous.
Elle regarda le garçon à l’arrière.
Tu viens ?
Il sortit lentement. Pas un mot. Juste ce souffle particulier du désir contenu. Lui restait là, appuyé contre la portière, la gorge sèche.
Elle écarta un peu plus les cuisses. Le garçon s’approcha. Elle prit sa main, la guida. Il la toucha doucement, maladroitement. Elle ferma les yeux, la tête renversée contre le pare-brise. Puis elle tendit la main vers son compagnon.
Viens. Prends-moi. Maintenant.
Il s’approcha, la verge dure en main. La pénétra d’un geste lent, solennel. Elle gémit à peine, la tête tournée vers le ciel. La pulpe de ses lèvres s’étiraient le long de son sexe à chaque va et vien. Le garçon restait là, les yeux rivés sur la scène en déglutissant d’excitation. Sa main était dans son short, il se caressait lentement.
Elle bougeait sur le capot, son corps nu dans la lumière dorée, les cheveux collés à ses tempes. Lui la tenait fermement, frappait contre son bassin dans un rythme impatient. Elle se cambra. Il jouit en elle. Long, profond. Le garçon se détourna, fit tomber son short et jouit à son tour dans l’herbe, sans bruit. Ils restèrent là, haletants. Le silence revenu, un peu irréel.
Personne ne disait rien. Ils remontèrent tous les trois dans la voiture comme si rien ne s’était passé. Sur le capot, la trace de ses cuisses nues restait imprimée dans la poussière.
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