Notre chambre Erasmus à Helsinki
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Notre chambre Erasmus à Helsinki
Nous revenions d’une soirée Erasmus. Dehors, la neige recouvrait les trottoirs, et la lumière orange des réverbères se reflétait sur la glace. Le froid nous avait saisis dès la sortie du tram, mordant les joues, engourdissant les doigts. L’appartement, mal chauffé, ne nous offrit guère de refuge : le chauffage, capricieux, s’était encore arrêté.
Riant encore de l’alcool et de la fatigue, nous avions entassé couvertures et plaids sur le lit étroit. Par défi autant que par recherche de chaleur, nous avions jeté nos vêtements, peau nue contre peau nue, pour lutter ensemble contre le froid. La chambre sentait déjà la laine humide et les corps réchauffés.
Chloé s’était assise contre le mur, ses genoux repliés, jambes légèrement écartées, la couette autour d’elle. Lily s’était glissée entre ses jambes, blottie, mais il n’y avait rien d’enfantin dans la manière dont les mains de Chloé s’aventuraient déjà sur sa peau. Ses seins fermes pointaient, rosés par le froid. Chloé les caressait, les serrait, faisait rouler ses tétons entre ses doigts. Lily gémit, basculant la tête en arrière contre l’épaule de Chloé.
Dans un coin de la chambre, un petit chauffage d’appoint ronronnait, poussif. D’abord inutile, il commençait à diffuser une chaleur sèche qui contrastait avec le froid collé aux vitres. L’air se chargeait de nos odeurs : laine humide, sueur, parfum musqué de désir.
Je m’étais assis de l’autre côté du lit, adossé, la verge dressée dans ma main. Je me caressais lentement, captivé. Les couvertures avaient glissé : Lily ouvrait les cuisses. La main de Chloé descendit sur son ventre, puis sur sa vulve nue. Sa peau était lisse, intégralement épilée, ses lèvres gonflées brillaient déjà. Chloé écarta doucement, effleurant son clitoris du bout des doigts.
— Tu es trempée, souffla-t-elle à son oreille.
Lily gémissait, son bassin cherchant la main de Chloé. De mon côté, je me branlais plus fort, fasciné par sa poitrine serrée dans les mains de Chloé, son ventre agité, sa vulve offerte et caressée.
Je me penchai, me glissai entre ses cuisses. Chloé écartait toujours les lèvres de Lily, et je plongeai ma langue dans cette vulve ouverte, brûlante malgré l’air glacé. Lily cria, renversant la tête, ses seins écrasés dans les mains de Chloé. Je la léchai, aspirant son clitoris, goûtant son jus, jusqu’à ce que son bassin se soulève et qu’elle jouisse, convulsée, ses cris étouffés contre le cou de Chloé.
Je relevai la tête, ma bouche humide, et posai mes mains sur ses hanches. Elle avait les joues rouges, la respiration heurtée. Chloé lui caressait les cheveux, lui murmurant :
— Laisse-le entrer…
Je me redressai, ma verge gonflée, luisante de désir. Je la plaçai entre ses cuisses ouvertes. Le gland effleura son sexe, et un soupir rauque monta de sa gorge. J’avançai lentement. Ses lèvres s’écartèrent, l’humidité m’engloutit, serrée, brûlante. Elle cria, bascula la tête en arrière, ses cuisses se repliant vers elle dans un réflexe incontrôlé.
Chloé, derrière, les retint fermement, lui ouvrant le bassin, accentuant la vue : ma verge disparaissant et réapparaissant dans cette vulve luisante, l’air saturé de chaleur, d’odeurs de musc et de peau chauffée par le chauffage d’appoint.
Je pénétrai plus profond, chaque poussée faisant grincer le lit. Lily se cambrait, ses doigts crispés sur le drap. Chloé murmurait, sa bouche contre son oreille :
— Regarde comme tu l’avales… tu le prends tout entier.
Je frappai plus fort. Son sexe se contracta, ses gémissements devinrent des cris. Elle bascula, jouissant une nouvelle fois, ses cuisses tremblantes dans les mains de Chloé, des filets abondants de cyprine coulaient le longs de ses lèvres. À mon tour, je sentis l’orgasme monter, irrépressible. Je me tendis, mon souffle se brisa, et j’éjaculai en elle, profond, mes pulsations brûlantes emplissant sa vulve.
Je restai un instant en elle, crispé, puis me retirai. Sa vulve apparut alors, encore entrouverte, rougie, luisante. Ses lèvres gonflées palpitaient, l’humidité dense se mêlait à ma semence qui s’écoulait lentement, épaisse, en filets brillants jusque sur ses cuisses. Elle haletait, les yeux clos, le bassin encore agité de frissons, abandonnée dans les bras de Chloé.
Je la contemplai, fasciné, troublé par cette vision d’après : une vulve offerte, marquée de plaisir, vivante jusqu’après l’orgasme.
Le silence retomba dans la chambre, seulement troublé par le ronronnement irrégulier du chauffage d’appoint. Le froid revenait peu à peu aux vitres, mais sous les couvertures, nous étions encore brûlants.
Lily haletait toujours, son corps secoué de petits frissons. Elle se blottit contre Chloé, la tête posée sur son épaule, ses cheveux collés par la sueur. Chloé l’entourait de ses bras, la berçant doucement, une main glissée dans son dos.
Je me rapprochais, glissais une couverture sur nous trois, posais la main sur un sein. Nos respirations finirent par se caler, lentes, profondes, presque endormies. Le monde extérieur s’effaçait. Il ne restait que la moiteur des draps, le parfum dense de nos ébats, et le silence dense de nos corps apaisés, noués dans la même chaleur.
Riant encore de l’alcool et de la fatigue, nous avions entassé couvertures et plaids sur le lit étroit. Par défi autant que par recherche de chaleur, nous avions jeté nos vêtements, peau nue contre peau nue, pour lutter ensemble contre le froid. La chambre sentait déjà la laine humide et les corps réchauffés.
Chloé s’était assise contre le mur, ses genoux repliés, jambes légèrement écartées, la couette autour d’elle. Lily s’était glissée entre ses jambes, blottie, mais il n’y avait rien d’enfantin dans la manière dont les mains de Chloé s’aventuraient déjà sur sa peau. Ses seins fermes pointaient, rosés par le froid. Chloé les caressait, les serrait, faisait rouler ses tétons entre ses doigts. Lily gémit, basculant la tête en arrière contre l’épaule de Chloé.
Dans un coin de la chambre, un petit chauffage d’appoint ronronnait, poussif. D’abord inutile, il commençait à diffuser une chaleur sèche qui contrastait avec le froid collé aux vitres. L’air se chargeait de nos odeurs : laine humide, sueur, parfum musqué de désir.
Je m’étais assis de l’autre côté du lit, adossé, la verge dressée dans ma main. Je me caressais lentement, captivé. Les couvertures avaient glissé : Lily ouvrait les cuisses. La main de Chloé descendit sur son ventre, puis sur sa vulve nue. Sa peau était lisse, intégralement épilée, ses lèvres gonflées brillaient déjà. Chloé écarta doucement, effleurant son clitoris du bout des doigts.
— Tu es trempée, souffla-t-elle à son oreille.
Lily gémissait, son bassin cherchant la main de Chloé. De mon côté, je me branlais plus fort, fasciné par sa poitrine serrée dans les mains de Chloé, son ventre agité, sa vulve offerte et caressée.
Je me penchai, me glissai entre ses cuisses. Chloé écartait toujours les lèvres de Lily, et je plongeai ma langue dans cette vulve ouverte, brûlante malgré l’air glacé. Lily cria, renversant la tête, ses seins écrasés dans les mains de Chloé. Je la léchai, aspirant son clitoris, goûtant son jus, jusqu’à ce que son bassin se soulève et qu’elle jouisse, convulsée, ses cris étouffés contre le cou de Chloé.
Je relevai la tête, ma bouche humide, et posai mes mains sur ses hanches. Elle avait les joues rouges, la respiration heurtée. Chloé lui caressait les cheveux, lui murmurant :
— Laisse-le entrer…
Je me redressai, ma verge gonflée, luisante de désir. Je la plaçai entre ses cuisses ouvertes. Le gland effleura son sexe, et un soupir rauque monta de sa gorge. J’avançai lentement. Ses lèvres s’écartèrent, l’humidité m’engloutit, serrée, brûlante. Elle cria, bascula la tête en arrière, ses cuisses se repliant vers elle dans un réflexe incontrôlé.
Chloé, derrière, les retint fermement, lui ouvrant le bassin, accentuant la vue : ma verge disparaissant et réapparaissant dans cette vulve luisante, l’air saturé de chaleur, d’odeurs de musc et de peau chauffée par le chauffage d’appoint.
Je pénétrai plus profond, chaque poussée faisant grincer le lit. Lily se cambrait, ses doigts crispés sur le drap. Chloé murmurait, sa bouche contre son oreille :
— Regarde comme tu l’avales… tu le prends tout entier.
Je frappai plus fort. Son sexe se contracta, ses gémissements devinrent des cris. Elle bascula, jouissant une nouvelle fois, ses cuisses tremblantes dans les mains de Chloé, des filets abondants de cyprine coulaient le longs de ses lèvres. À mon tour, je sentis l’orgasme monter, irrépressible. Je me tendis, mon souffle se brisa, et j’éjaculai en elle, profond, mes pulsations brûlantes emplissant sa vulve.
Je restai un instant en elle, crispé, puis me retirai. Sa vulve apparut alors, encore entrouverte, rougie, luisante. Ses lèvres gonflées palpitaient, l’humidité dense se mêlait à ma semence qui s’écoulait lentement, épaisse, en filets brillants jusque sur ses cuisses. Elle haletait, les yeux clos, le bassin encore agité de frissons, abandonnée dans les bras de Chloé.
Je la contemplai, fasciné, troublé par cette vision d’après : une vulve offerte, marquée de plaisir, vivante jusqu’après l’orgasme.
Le silence retomba dans la chambre, seulement troublé par le ronronnement irrégulier du chauffage d’appoint. Le froid revenait peu à peu aux vitres, mais sous les couvertures, nous étions encore brûlants.
Lily haletait toujours, son corps secoué de petits frissons. Elle se blottit contre Chloé, la tête posée sur son épaule, ses cheveux collés par la sueur. Chloé l’entourait de ses bras, la berçant doucement, une main glissée dans son dos.
Je me rapprochais, glissais une couverture sur nous trois, posais la main sur un sein. Nos respirations finirent par se caler, lentes, profondes, presque endormies. Le monde extérieur s’effaçait. Il ne restait que la moiteur des draps, le parfum dense de nos ébats, et le silence dense de nos corps apaisés, noués dans la même chaleur.
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