Deux étudiants au bord du lac
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Deux étudiants au bord du lac
J’étais étudiant, à peine dans ma vingtaine, et comme beaucoup à cet âge-là j’avais soif d’expériences, de liberté, de limites franchies. Cette histoire est vraie. Je l’ai vécue un été, au bord d’un lac, lors d’un camping sauvage avec Charline. Elle reste l’une des nuits les plus intenses et les plus brûlantes de ma jeunesse.
C’était l’été, un de ces soirs où la chaleur ne retombe pas, où l’air reste lourd bien après le coucher du soleil. Nous faisions du camping sauvage, sur une berge reculée d’un lac, loin de toute présence. La tente était plantée à quelques mètres de l’eau. Devant, un petit feu de camp jetait ses flammes orangées et projetait sur nous des ombres dansantes. La lune, pleine, se reflétait dans l’eau sombre, donnant au paysage un air de théâtre secret.
Nous nous sommes assis près du feu, une couverture jetée à même l’herbe. Charline portait une robe légère, froissée par la journée. La lumière des flammes courait sur sa peau hâlée, révélant chaque frisson, chaque éclat de sueur. L’odeur du bois brûlé se mêlait à la sienne: crème solaire, transpiration, donnant déjà à la situation un parfum de bestialité. Je n’avais qu’à tendre la main pour sentir la moiteur de sa cuisse, déjà brûlante sous le tissu.
D’un geste sûr, elle a ôté sa robe. Sa poitrine est apparue, ferme, bronzée, ses tétons durcis dans l’air de la nuit. Elle a ôté sa culotte, révélant le triangle soigné de son pubis, sombre, taillé, qui contrastait avec la blancheur de ses cuisses. Le feu en accentuait les ombres, rendant son sexe encore plus désirable, presque sauvage.
Je me suis penché entre ses cuisses. Sa vulve brillait déjà, offerte, palpitante. Elle s’est allongée sur la couverture, les bras écartés, son dos arqué légèrement, et la lune pleine éclairant sa poitrine qui se soulevait à chaque gémissement.
Puis elle a souri, et dans un geste fluide elle est venue au-dessus de moi, en position 69. Son ventre a glissé sur ma poitrine, son sexe s’est posé contre mon visage, et en même temps, elle a pris ma verge dans sa main, l’a guidée entre ses lèvres. Nous nous sommes retrouvés liés dans ce 69, lent et complice, bercés par le crépitement du feu et le clapotis du lac.
Au début, elle me suçait avec douceur, prenant mon gland dans sa bouche, le caressant de sa langue. Je lui répondais en aspirant doucement son clitoris, en glissant mes doigts dans son vagin trempé. Nos gestes étaient calmes, presque solennels.
Mais peu à peu, la lenteur a cédé. Elle s’est mise à avaler ma verge plus profondément, sa salive coulait, ses suçons devenaient avides, le bruit obscène. Ses hanches écrasaient son sexe contre ma bouche, cherchant plus de pression. De ma main libre, j’ai laissé mon pouce dériver, effleurant l’orifice de son anus, juste au bord. Elle a eu un soubresaut, un gémissement plus aigu, comme si ce contact inattendu ouvrait une porte supplémentaire à son plaisir. Je l’ai caressée doucement, en cercles lents, tantôt insistant, tantôt léger, pendant que ma langue redoublait d’ardeur sur son clitoris.
Je l’ai tenue par les fesses, les écartant d’une main, mon pouce explorant toujours l’arrière, ma bouche dévorant l’avant. Sa vulve vibrait contre ma langue, ses contractions m’inondaient de sa cyprine. Ses cuisses tremblaient autour de ma tête, ses gémissements s’étranglaient dans sa gorge. Elle a joui ainsi, violemment, son bassin plaqué contre mon visage, ses cris bruts, désinhibés, résonnant dans la nuit.
Essoufflée, elle s’est laissée retomber sur le côté. Ses lèvres étaient gonflées, luisantes, encore battantes de plaisir. Ma verge, raide, palpitante, n’attendait qu’elle. Elle m’a tiré contre elle impatiente. Je me suis enfoncé d’un seul coup, glissant dans son vagin débordant d’humidité.
Ses seins rebondissaient sous mes coups de reins, sa peau brillait à la lumière du feu. Elle a replié ses cuisses vers elle, et les a retenues, ce qui accentuait ma vision de sa pénétration : ma verge disparaissant et réapparaissant dans sa vulve grande ouverte, luisante de ses sucs. Le spectacle me rendait fou.
Chaque poussée faisait jaillir un bruit mouillé, amplifié par le silence de la nature. Ses cris fendaient l’air, se répercutaient sur l’eau du lac. Son orgasme est revenu, plus profond, plus violent encore, son corps secoué de spasmes, ses ongles plantés dans mon dos. Je n’ai pas résisté. Dans un dernier coup, mes reins se sont tendus. Je suis sorti précipitamment me retenant d’éjaculer trop vite. J’ai placé rapidement ma verge dans sa bouche qu’elle ouvrait avidement. Mon gland marquait une bosse dans la peau de sa joue. Je me suis abandonné, ma semence jaillissant chaude, dense, incontrôlable. Elle s’est redressée, malicieuse, a levé la tête faisant mine d’avaler ma décharge comme on avale exagérément un shot de Tequila.
Nous sommes restés allongés sur la couverture, haletants, moites, le souffle mélangé. L’air était saturé d’odeurs de bois brûlé, d’herbe humide, de sueur et de sexe. Le feu projetait ses lueurs orangées sur nos corps nus, constellés de frissons. La lune, pleine, se reflétait dans le lac silencieux. Je savais que ce moment resterait gravé.
C’était l’été, un de ces soirs où la chaleur ne retombe pas, où l’air reste lourd bien après le coucher du soleil. Nous faisions du camping sauvage, sur une berge reculée d’un lac, loin de toute présence. La tente était plantée à quelques mètres de l’eau. Devant, un petit feu de camp jetait ses flammes orangées et projetait sur nous des ombres dansantes. La lune, pleine, se reflétait dans l’eau sombre, donnant au paysage un air de théâtre secret.
Nous nous sommes assis près du feu, une couverture jetée à même l’herbe. Charline portait une robe légère, froissée par la journée. La lumière des flammes courait sur sa peau hâlée, révélant chaque frisson, chaque éclat de sueur. L’odeur du bois brûlé se mêlait à la sienne: crème solaire, transpiration, donnant déjà à la situation un parfum de bestialité. Je n’avais qu’à tendre la main pour sentir la moiteur de sa cuisse, déjà brûlante sous le tissu.
D’un geste sûr, elle a ôté sa robe. Sa poitrine est apparue, ferme, bronzée, ses tétons durcis dans l’air de la nuit. Elle a ôté sa culotte, révélant le triangle soigné de son pubis, sombre, taillé, qui contrastait avec la blancheur de ses cuisses. Le feu en accentuait les ombres, rendant son sexe encore plus désirable, presque sauvage.
Je me suis penché entre ses cuisses. Sa vulve brillait déjà, offerte, palpitante. Elle s’est allongée sur la couverture, les bras écartés, son dos arqué légèrement, et la lune pleine éclairant sa poitrine qui se soulevait à chaque gémissement.
Puis elle a souri, et dans un geste fluide elle est venue au-dessus de moi, en position 69. Son ventre a glissé sur ma poitrine, son sexe s’est posé contre mon visage, et en même temps, elle a pris ma verge dans sa main, l’a guidée entre ses lèvres. Nous nous sommes retrouvés liés dans ce 69, lent et complice, bercés par le crépitement du feu et le clapotis du lac.
Au début, elle me suçait avec douceur, prenant mon gland dans sa bouche, le caressant de sa langue. Je lui répondais en aspirant doucement son clitoris, en glissant mes doigts dans son vagin trempé. Nos gestes étaient calmes, presque solennels.
Mais peu à peu, la lenteur a cédé. Elle s’est mise à avaler ma verge plus profondément, sa salive coulait, ses suçons devenaient avides, le bruit obscène. Ses hanches écrasaient son sexe contre ma bouche, cherchant plus de pression. De ma main libre, j’ai laissé mon pouce dériver, effleurant l’orifice de son anus, juste au bord. Elle a eu un soubresaut, un gémissement plus aigu, comme si ce contact inattendu ouvrait une porte supplémentaire à son plaisir. Je l’ai caressée doucement, en cercles lents, tantôt insistant, tantôt léger, pendant que ma langue redoublait d’ardeur sur son clitoris.
Je l’ai tenue par les fesses, les écartant d’une main, mon pouce explorant toujours l’arrière, ma bouche dévorant l’avant. Sa vulve vibrait contre ma langue, ses contractions m’inondaient de sa cyprine. Ses cuisses tremblaient autour de ma tête, ses gémissements s’étranglaient dans sa gorge. Elle a joui ainsi, violemment, son bassin plaqué contre mon visage, ses cris bruts, désinhibés, résonnant dans la nuit.
Essoufflée, elle s’est laissée retomber sur le côté. Ses lèvres étaient gonflées, luisantes, encore battantes de plaisir. Ma verge, raide, palpitante, n’attendait qu’elle. Elle m’a tiré contre elle impatiente. Je me suis enfoncé d’un seul coup, glissant dans son vagin débordant d’humidité.
Ses seins rebondissaient sous mes coups de reins, sa peau brillait à la lumière du feu. Elle a replié ses cuisses vers elle, et les a retenues, ce qui accentuait ma vision de sa pénétration : ma verge disparaissant et réapparaissant dans sa vulve grande ouverte, luisante de ses sucs. Le spectacle me rendait fou.
Chaque poussée faisait jaillir un bruit mouillé, amplifié par le silence de la nature. Ses cris fendaient l’air, se répercutaient sur l’eau du lac. Son orgasme est revenu, plus profond, plus violent encore, son corps secoué de spasmes, ses ongles plantés dans mon dos. Je n’ai pas résisté. Dans un dernier coup, mes reins se sont tendus. Je suis sorti précipitamment me retenant d’éjaculer trop vite. J’ai placé rapidement ma verge dans sa bouche qu’elle ouvrait avidement. Mon gland marquait une bosse dans la peau de sa joue. Je me suis abandonné, ma semence jaillissant chaude, dense, incontrôlable. Elle s’est redressée, malicieuse, a levé la tête faisant mine d’avaler ma décharge comme on avale exagérément un shot de Tequila.
Nous sommes restés allongés sur la couverture, haletants, moites, le souffle mélangé. L’air était saturé d’odeurs de bois brûlé, d’herbe humide, de sueur et de sexe. Le feu projetait ses lueurs orangées sur nos corps nus, constellés de frissons. La lune, pleine, se reflétait dans le lac silencieux. Je savais que ce moment resterait gravé.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une belle aventure bien racontée et qui rappelle ma jeunesse.
