Interdits d’été: sur la route des vacances 3
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Interdits d’été: sur la route des vacances 3
4 nouvelles de nos expériences en bord de route sur la route des vacances (épisode 3).
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Ils s’étaient arrêtés sur une petite aire vide, à peine une table de pique-nique et une poubelle rouillée. Le soleil avait un peu décliné, mais la chaleur restait accrochée à la tôle, à la peau, à l’intérieur de la voiture. Elle avait dit :
Tu veux que je conduise un peu ?
Il avait hoché la tête sans répondre. Ils avaient échangé de place. Elle s’était installée au volant, attachant ses cheveux d’un geste sec. Lui s’était assis côté passager, les jambes tendues.
La voiture reprit la route. Elle conduisait bien, avec assurance, un peu plus vite que lui. Il la regardait, le profil découpé dans la lumière rasante, la main gauche sur le volant, l’autre posée sur le levier de vitesse.
Un silence flotta. Puis il dit, presque sans y penser :
Tu te souviens… la première fois, dans la clairière ?
Elle sourit sans le regarder.
Oui. Bien sûr que je m’en souviens.
Tu étais belle. Et un peu tremblante.
Toi aussi, murmura-t-elle. Et maladroit.
Ils rirent doucement. Un rire discret, tendre, comme s’ils touchaient un souvenir encore chaud. Le silence revint, mais cette fois chargé d’un autre souffle. Une tension douce, électrique. Il la regardait. Sa cuisse nue contre le tissu du siège. Sa nuque. Le mouvement de sa jambe en appuyant sur l’embrayage.
Il posa sa main sur sa propre cuisse. Hésita. Puis, sans un mot, ouvrit sa braguette. Elle ne tourna pas la tête. Mais elle savait. Il le vit dans le coin de son sourire.
Il sortit son sexe, dur déjà, et se masturba lentement, la tête tournée vers elle. Elle ne disait rien. Elle conduisait, droite, concentrée. Mais ses joues rosirent légèrement. Sa respiration changea.
Il accéléra le rythme. Il pensait à elle. À son corps offert. À sa bouche. À sa vulve entrouverte dans la lumière du matin. À ses jambes autour de lui. A ses seins qui ballottaient sous ses coups de boutoir.
Elle jeta un coup d’œil furtif vers son entrejambe. Puis replanta son regard sur la route.
Si on a un accident maintenant, on n’aura vraiment aucune excuse.
Il sourit.
Je suis presque là.
Elle mordit sa lèvre, plus amusée que troublée. Il accéléra encore. Son bassin bougeait à peine. Mais sa main était vive, précise. Il ferma les yeux une seconde. Puis jouit en silence, une respiration coupée, le dos un peu arqué, le sperme chaud coulant sur son ventre et sur ses doigts.
Elle tendit un mouchoir sans un mot. Il s’essuya vite, remit son short. Puis s’enfonça dans le siège. Silence encore.
Tu sais, dit-elle après quelques kilomètres. C’est presque indécent comme ça me plaît, quand tu me regardes en le faisant.
La route continua, longue, brûlante, belle. Chargée de ce fil invisible qui les liait plus fort à chaque halte. Chaque écart. Chaque silence.
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Ils s’étaient arrêtés sur une petite aire vide, à peine une table de pique-nique et une poubelle rouillée. Le soleil avait un peu décliné, mais la chaleur restait accrochée à la tôle, à la peau, à l’intérieur de la voiture. Elle avait dit :
Tu veux que je conduise un peu ?
Il avait hoché la tête sans répondre. Ils avaient échangé de place. Elle s’était installée au volant, attachant ses cheveux d’un geste sec. Lui s’était assis côté passager, les jambes tendues.
La voiture reprit la route. Elle conduisait bien, avec assurance, un peu plus vite que lui. Il la regardait, le profil découpé dans la lumière rasante, la main gauche sur le volant, l’autre posée sur le levier de vitesse.
Un silence flotta. Puis il dit, presque sans y penser :
Tu te souviens… la première fois, dans la clairière ?
Elle sourit sans le regarder.
Oui. Bien sûr que je m’en souviens.
Tu étais belle. Et un peu tremblante.
Toi aussi, murmura-t-elle. Et maladroit.
Ils rirent doucement. Un rire discret, tendre, comme s’ils touchaient un souvenir encore chaud. Le silence revint, mais cette fois chargé d’un autre souffle. Une tension douce, électrique. Il la regardait. Sa cuisse nue contre le tissu du siège. Sa nuque. Le mouvement de sa jambe en appuyant sur l’embrayage.
Il posa sa main sur sa propre cuisse. Hésita. Puis, sans un mot, ouvrit sa braguette. Elle ne tourna pas la tête. Mais elle savait. Il le vit dans le coin de son sourire.
Il sortit son sexe, dur déjà, et se masturba lentement, la tête tournée vers elle. Elle ne disait rien. Elle conduisait, droite, concentrée. Mais ses joues rosirent légèrement. Sa respiration changea.
Il accéléra le rythme. Il pensait à elle. À son corps offert. À sa bouche. À sa vulve entrouverte dans la lumière du matin. À ses jambes autour de lui. A ses seins qui ballottaient sous ses coups de boutoir.
Elle jeta un coup d’œil furtif vers son entrejambe. Puis replanta son regard sur la route.
Si on a un accident maintenant, on n’aura vraiment aucune excuse.
Il sourit.
Je suis presque là.
Elle mordit sa lèvre, plus amusée que troublée. Il accéléra encore. Son bassin bougeait à peine. Mais sa main était vive, précise. Il ferma les yeux une seconde. Puis jouit en silence, une respiration coupée, le dos un peu arqué, le sperme chaud coulant sur son ventre et sur ses doigts.
Elle tendit un mouchoir sans un mot. Il s’essuya vite, remit son short. Puis s’enfonça dans le siège. Silence encore.
Tu sais, dit-elle après quelques kilomètres. C’est presque indécent comme ça me plaît, quand tu me regardes en le faisant.
La route continua, longue, brûlante, belle. Chargée de ce fil invisible qui les liait plus fort à chaque halte. Chaque écart. Chaque silence.
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