Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit

- Par l'auteur HDS Marcel1001 -
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit
Nous voyagions en groupe d’une dizaine de potes depuis plusieurs jours, sacs au dos, billets de seconde classe, nuits blanches dans des wagons couchettes trop étroits.

Avec Marie, ma copine de l’époque, nous avions trouvé notre rythme. Notre relation était essentiellement charnelle. Le sexe, entre deux gares, était devenu notre refuge: une habitude, un rituel presque mécanique qui nous ramenait l’un à l’autre sans effort.

Ce soir-là, nous nous étions retrouvés dans la couchette du bas. Le drap rêche collait à nos peaux. J’étais en elle depuis un moment déjà. Marie s’ouvrait à moi avec cette aisance tranquille qu’elle avait toujours : cuisses écartées, vulve offerte qu’elle préparait en se masturbant, seins lourds, tétons durs sous la lampe blafarde. Ma verge disparaissait entre ses lèvres, réapparaissait luisante, avalée encore et encore par sa chaleur humide et dense. Nous nous connaissions par cœur. Le rythme était lent, profond, sûr.

Je me penchai pour l’embrasser. Elle me mordit doucement la lèvre.

— Allez, Julien, baise-moi plus fort, s’te plait, souffla-t-elle.

J’obéis, mes hanches claquant contre son bassin. Ses gémissements emplirent le compartiment. C’est alors que la porte s’ouvrit brusquement.

Léa entra, sans prévenir. Dix-huit ans tout juste. Dans le groupe, elle passait pour la plus sage. Mais là, elle resta figée, incapable de détourner les yeux. Ses joues s’empourprèrent, ses lèvres s’entrouvrirent. Son regard se posa sur nos corps collés, sur ma verge qui disparaissait entre les cuisses de Marie, puis réapparaissait.

Je ralentis, hésitant. Marie, elle, planta ses yeux dans ceux de Léa. Un sourire franc au coin des lèvres. Elle lui tendit une main, nue, humide.

— Viens. Tu veux juste regarder ?

Léa fit deux pas, tremblante. Elle s’assit en tailleur au pied de la couchette. Marie l’attrapa par la nuque et l’embrassa. La bouche de Léa s’ouvrit aussitôt, timide d’abord, puis gourmande. Ses joues rouges la trahissaient.

J’interrompis notre étreinte, ma verge dressée et palpitante semblait la regarder déjà impatiente de ce qui allait se produire. Marie descendit de la couchette et s’approcha de Léa. Les courbes de son corps ressortaient mises en valeur par l’éclairage trop faible. Elle lui défit le haut. Ses seins apparurent : jeunes, fermes, hauts, les tétons roses clairs durs comme deux perles. Je tendis la main, les caressai, sentis combien ils étaient fermes et chauds. Elle gémit, surprise, souriante, mais ne recula pas.

Marie descendit ses mains sur son short, le fit glisser. Quand Léa retira sa culotte, je découvris son sexe : un pubis fourni, sombre, épais, et déjà luisant. Ses lèvres dépassaient légèrement, gonflées, prêtes. Elle voulut se couvrir. Marie écarta ses mains.

— Laisse-toi voir, dit-elle d’une voix basse. Tu es magnifique.

Je passai mes doigts sur son sexe, la caressant avec une phalange de mon index. Ses lèvres s’ouvrirent aussitôt, chaudes, humides, son clitoris palpitant sous mon pouce. Léa gémit plus fort, la tête renversée.

— Oh c’est bon…Julien… continue…

Marie s’allongea contre elle, lui prit un sein dans la bouche, le suçotant avec lenteur. Je pénétrai Léa de deux doigts. Son bassin se souleva, incontrôlable. Ses fluides coulaient déjà le long de ma main.

Marie me regarda, sourire aux lèvres.

— Baise-la, Julien. Tu vois bien qu’elle n’attend que ça.

Je sortis ma verge, tendue, luisante du plaisir de Marie. Je me masturbais un peu pour l’affermir. Je la posai contre la fente luisante de Léa. Elle écarquilla les yeux, surprise par la taille, la chaleur, mais avec un sourire joyeux. C’est son bassin qui vint de lui-même s’aligner.

— Oh… mais doucement s’il te plaît, souffla-t-elle.

Je poussai lentement. Ses lèvres s’ouvrirent, son sexe m’aspira. Elle cria, fort, sans retenue, et referma ses jambes autour de moi. J’étais serré à en perdre le souffle, pris dans une chaleur incroyable. Léa s’abandonna aussitôt, ses gémissements emplissant le compartiment.

— Oh oui… prends-moi… encore… plus fort !

Je tenais ses hanches, frappant plus profondément .

Marie l’embrassait au coin des lèvres, murmurait :
— Tu aimes ça, hein ? Tu aimes qu’il te remplisse ?
— Oui…oui… je jouis… je jouis…

Léa se cambra, ses yeux roulaient vers le haut, son sexe se contracta autour de moi en vagues puissantes. Elle jouit violemment, ses cris couvraient le roulis du train. Je n’ai pas tenu plus longtemps. Je me suis libéré en elle, en pulsations profondes. Ma semence la remplit, déborda aussitôt, coulant le long de ses cuisses.

Léa s’effondra sur le drap, bouleversée, mais heureuse. Elle haletait encore, la peau moite, son ventre parcouru de soubresauts, son entrejambe battant encore d’ondes de plaisir. J’étais resté en elle jusqu’au dernier instant. Quand je me retirai, un dernier filet blanc plus épais s’échappa aussitôt, glissant le long de ses cuisses jeunes et fermes. Je veillais à vider ma verge des dernières gouttes de semence dans un mouvement masturbatoire. Elle eut un petit gémissement surpris, ses yeux brillants dans la pénombre.

Marie se pencha vers elle, caressa son ventre, puis sa toison sombre encore humide. Elle passa deux doigts sur la vulve brillante de Léa, recueillit un peu du mélange, puis les porta à ses lèvres.

— Tu sens comme on est beaux, tous les trois, murmura-t-elle en la regardant.

Léa tremblait toujours. Marie s’allongea sur elle, l’embrassa avec lenteur, laissa sa langue glisser entre ses lèvres. Je les regardais s’unir, deux corps jeunes et moites, collés, leurs seins fermes qui se frottaient.
Puis Marie descendit. Sa bouche suivit le cou, le ventre, jusqu’au sexe encore ouvert de Léa. Elle écartait ses petites lèvres du bout des doigts, révélant son clitoris gonflé. Marie l’engloutit de sa bouche, l’aspira doucement, puis plus vite, sa langue glissant en cercles précis.

Léa se cambra, la main crispée dans les cheveux de Marie.

— Putain… t’arrête pas… continue… je vais jouir… encore… encore

Marie ne cessa pas. Sa bouche collée à son sexe, ses doigts s’enfonçant lentement en elle. Léa se mit à crier, à se contracter, ses cuisses serrant la tête de Marie. Elle jouit une deuxième fois, plus fort encore, son bassin heurtant le drap dans des secousses incontrôlées. On l’aurait cru possédée.

Je les regardais, fasciné. Mon sexe, que je croyais épuisé, s’était durci à nouveau, lourd, douloureux de désir. Je le pris en main, le serrai, le caressai lentement. Le spectacle suffisait : Marie, nue, occupée à boire le plaisir de Léa, et Léa, perdue dans ses cris, offerte, les cuisses ouvertes, le pubis brillant.

Je me redressais et me plaçais derrière elles. Elles s’étaient allongées sur le ventre, leurs croupes offertes, arrondies, encore marquées par la moiteur de nos ébats. Elles me regardaient d’un regard complice. Je me branlais fort maintenant, le souffle court, fixant la cambrure de leurs reins, la ligne luisante entre leurs fesses.

Marie tourna légèrement la tête, un sourire moqueur.

— Oh oui, vas-y, Julien… donne-nous tout, me dit-elle en imitant une mauvaise actrice porno.

Je grognais, accélérais le mouvement. Ma main serrait ma verge, mes yeux rivés sur leurs croupes alignées. La tension monta, me submergea. Je jouis alors violemment, en longues giclées chaudes qui jaillirent sur leurs fesses, éclaboussant la cambrure de leurs reins. Le sperme glissa en filets lents, brillants, se mélangeant à la sueur et aux traces déjà présentes. Léa sursauta au contact, mais éclata d’un rire bref, haletant. Marie, elle, étala ma semence du bout de ses doigts, dessinant des cercles lents sur leurs peaux luisantes.

Je retombai en arrière, vidé, encore secoué. Elles restèrent côte à côte, allongées, le dos maculé de mon plaisir.

Un silence lourd reprit possession du compartiment. Le train roulait, imperturbable. L’air sentait la sueur, le sexe, le sperme, saturé comme une chambre après l’orage.
Elles étaient restées allongées côte à côte, leurs reins encore maculés de mon sperme. Je les regardais, essoufflé, la main posée sur mon ventre, un sourire incrédule aux lèvres.

Marie étala distraitement les traces blanches sur la peau de Léa, dessinant de petits cercles comme si c’était un jeu. Léa éclata de rire, rougit aussitôt, cacha son visage dans le drap.

— Arrête… tu me rends honteuse… murmura-t-elle.

Marie embrassa son épaule, lui souffla à l’oreille :
— Tu n’as aucune raison d’avoir honte. Tu étais magnifique.

Léa releva un peu la tête, ses cheveux collés à ses joues. Ses yeux clairs brillaient, encore perdus entre l’émotion et la gêne. Elle glissa une main entre ses cuisses, toucha l’humidité qui s’y mêlait, la porta à ses lèvres presque sans réfléchir. Elle eut un sursaut, un sourire timide.

— C’est étrange… mais pas désagréable.

Je me redressai sur un coude, observant la scène. Je me sentais à la fois vidé et apaisé. Une pensée me traversa : nous avions franchi une frontière invisible, et pourtant tout me semblait naturel, comme si cela devait arriver.
Léa se blottit entre nous deux. Sa poitrine ferme se pressait contre le torse de Marie, ses fesses contre ma hanche. Elle passa un doigt sur mes lèvres, comme pour vérifier que j’étais réel, puis chuchota :

— J’avais peur, mais… j’ai adoré. Vous m’avez fait découvrir quelque chose que je ne connaissais pas.
Marie lui caressa les cheveux.

— Tu étais belle à voir, Léa. Si vivante.

Je déposai un baiser sur son front. Elle sourit, un vrai sourire, ingénu et lumineux. Ses joues étaient encore chaudes, ses yeux brillants d’une lueur nouvelle, un mélange d’innocence et de savoir.

Nous sommes restés longtemps ainsi, serrés, nos souffles se calant peu à peu sur le rythme du train. Les gares traversées défilaient en silence derrière les vitres, mais à l’intérieur du compartiment, le temps s’était figé.
Allongé près d’elles, encore moite, j’avais l’impression que mon corps vibrait encore. Pourtant, ma tête revenait sans cesse à ce moment précis, celui où j’ai basculé.
Je repassais la scène dans mon esprit. Je revois leurs croupes offertes, cambrées, luisantes de sueur et de sperme. La lumière blafarde soulignait chaque détail : la rondeur ferme des fesses de Marie, la courbe plus fine mais tout aussi insolente de Léa. Entre leurs cuisses entrouvertes, leurs vulves gonflées luisaient, poisseuses de plaisir, marquées par mes va-et-vient. Cette vision me transpersait.

Je me voyais aussi me branler l’instant d’avant en les fixant, la main serrée sur ma verge dure. Voir ma semence se mêler à la cyprine de Léa, s’écoulant en filets blancs le long de sa cuisse, me rendait fou. Je ressentais la brûlure qui montait dans mon ventre, mes jambes qui se tendaient, mon souffle devenu rauque. Fixé sur leurs fesses cambrées, leurs cuisses entrouvertes, j’avais laissé l’orgasme me submerger. J’avais joui violemment, en longues giclées brûlantes, éclaboussant le creux du dos de Marie puis leurs reins à toutes les deux. Le sperme avait glissé lentement, brillant sur leurs peaux, comme un sceau posé sur elles. Les voir ainsi tachées, offertes à mon plaisir, a prolongé mon orgasme jusqu’au tremblement. J’étais retombé en arrière, vidé, le cœur battant aux tempes, encore électrisé par l’image. Ce n’était pas seulement du sexe. C’était une révélation : leurs odeurs mêlées, leurs fluides, mon plaisir sur elles, tout cela formait un tableau brut qui disait ce qu’aucun mot ne saurait exprimer.

Léa interrompit le film que je me repassais.

— J’ai jamais… enfin… c’était la première fois que je me sentais comme ça.

Sa voix tremblait un peu, mais elle continuait, cherchant ses mots.

— Au début, j’avais peur. Quand je vous ai vus, j’ai cru que j’allais fuir. Et puis… j’ai eu envie. Mon ventre s’est mis à brûler. Quand tu m’as touchée, Julien, j’ai cru que j’allais éclater. Et quand Marie m’a… enfin, quand ta bouche était sur moi… j’ai… j’ai pas pu me retenir.

Elle passa une main entre ses cuisses, comme pour vérifier que son corps vibrait encore.

— J’ai jamais joui comme ça. Pas en me touchant seule. Pas en imaginant. C’était… trop. J’avais honte de crier comme ça, mais je pouvais pas m’arrêter.

Marie sourit, caressa son bras.

— Tu n’as pas à avoir honte. C’était beau.
Léa nous regarda à tour de rôle, hésitante.

— Et toi, Julien… quand tu étais en moi… je croyais que j’allais me briser. Mais j’aimais ça. Je crois que je pourrais recommencer encore et encore.

Elle éclata d’un rire nerveux, puis baissa les yeux. Elle se rallongea entre nous, ses jambes encore moites, son souffle léger. Sa main trouva la mienne. Dans ses yeux brillait cette ingénuité intacte, et déjà la promesse de ce qu’elle voulait découvrir.

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Texte coquin : Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit
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