Diane : « Frottée dans le métro… Un mal pour un bien ? » Le fantasme du train

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Diane : « Frottée dans le métro… Un mal pour un bien ? » Le fantasme du train Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Diane : « Frottée dans le métro… Un mal pour un bien ? » Le fantasme du train
D’être frottée dans le métro m'est arrivé des dizaines de fois mais mes réactions furent toutefois différentes à chaque fois. Ma première expérience de frotteur, j'étais en première au lycée, j’avais à peine 17 ans. Je me trouvais dans le métro, et tous les soirs à la sortie de l’école, toutes les rames étaient bondées, nous étions tous serrés l’un contre l’autre.

Je me tenais par la poignée suspendue au plafond, l’homme placé derrière se collait à moi et resserrait la pression car à chaque station, un flux de voyageurs plus important qui montaient que de personnes en descendaient. Au fur et à mesure, je sentais dans mon dos quelque chose de dur, juste sur mes reins. J’étais pétrifiée, je n’osais pas me retourner et cet individu appuyait son engin de plus en plus en bougeant son bassin. J’étais prise entre deux sentiments, j’étais gênée et pétrifiée de honte mais cette situation, je ne saurais dire pourquoi, m’avais quelque peu excitée.

La deuxième fois, quelques jours plus tard, j’avais aperçu l’homme se trouvant derrière moi, il était gros et assez répugnant et ses manières furent identiques à la première fois. Je sentais son odeur nauséabonde et de ressentir sa verge en érection sur mes reins, me donnait envie de vomir. Comme la fois précédente, je n’avais pas osé me retourner et ne pouvais dire quoique ce soit, pourtant cet homme me dégoutait. J’ai attendu coincée, dans cette position inconfortable, le temps n’en finissait pas, voyant qu’il ne descendait toujours pas, j’étais ressortie pour prendre le métro suivant.

Un jour, sur le même trajet, le métro n’était pas très bondé. J’étais debout simplement me tenant à une barre verticale. À nouveau, un homme tout à fait normal s’était doucement approché de moi. Soudain, il avait mis rapidement sa main entre mes cuisses pour essayer de toucher mon intimité. Il avait fait cela tout naturellement comme si c’était totalement normal. Un genre de jeu pour lui. Je ne pouvais même pas imaginer que cela puisse m’arriver, devant tout le monde. Je croyais rêver, je passais un nouveau cap. J’étais sans voix, bloquée sur place, profondément gênée. Je ne pouvais et ne voulais rien dire. Néanmoins, je m’étais brusquement écartée et comme la fois précédente, j’étais descendue afin de prendre le prochain métro comme si j’étais la fautive.

Pour la quatrième expérience, l’homme derrière moi étant de la même taille que moi, j’avais senti sa main redressant son pénis qu’il plaça directement entre la raie de mes fesses. J’imaginais sa verge, c'était dingue, elle devait être très grosse. Lorsqu’une nouvelle vague de passagers étaient montée, il se plaqua un peu plus contre moi en me mettant sa main sur mon ventre en pressant son sexe contre mon fessier, je fermais les yeux, je ressentais son érection et je mouillais ma petite culotte. Une nouvelle fois, je ne m’étais pas retournée, voulant garder en mémoire, dans mon esprit un bel homme me désirant. Le plaisir qui montait en moi redescendit aussi vite que le type qui sortit de la rame à la station suivante, j’étais frustrée et déçue de ne pas en avoir profité plus longtemps.

Je me souviens d'une fois en particulier, le 15 novembre, je devais avoir 18 ans. Sur le quai, j’aperçu un jeune homme que je voyais tous les jours et nos regards se croisaient et nous nous sourions avant de monter dans une voiture différente. Ce jeune homme, d’une vingtaine d’année, me plaisait mais semblait timide car j’avais l’impression que c’était réciproque mais il n’osait pas m’approcher. Ce soir-là, j’avais pris la décision de monter dans le même wagon que lui et comme certains hommes faisait avec moi, j’attendais la première occasion pour me coller à lui, je me retrouvais dans son dos, une femme forte placée derrière moi me poussait.

C’était l’occasion rêvée, je me pressais contre lui et n’ayant plus de poignée pour me retenir, je m’accrochais à son bras en m’excusant. Il avait une odeur agréable malgré que l’on soit en fin après-midi. Nos regards s’étaient croisés, et je levai les yeux lui indiquant que ce n’était pas ma faute :— Ce n’est pas grave mademoiselle, j’ai l’habitude c’est tous les jours ainsi. Et vous sentir contre moi, est assez agréable.

Je vous avoue que j’en avais profité, mes mains n’étaient plus après ses bras mais directement sur son ventre. Je n’avais pas trop parlé, hormis quelques banalités et il me répondait à peine, absorbé par sa lecture. Je suis descendue avant lui mais ce voyage fut pour moi une révélation. Nous nous retrouvions tous les soirs de la semaine sur le quai, échangions quelques mots gentils puis montions dans le même wagon.

J’avais pris l’habitude de me placer derrière lui et m’agrippant à lui, ainsi personne ne venait placer son sexe contre moi, croyant que j’étais accompagnée. Je ressentais du plaisir à me trouver contre lui, je ne savais pas l’effet que je lui faisais mais comme il se laissait faire et qu’il acceptait la situation, je continuais. Ce soir-là, ma tête vint se poser sur son épaule, à la station suivante, il s’était retourné et me colla à lui et m’embrassa à pleine bouche sans dire le moindre mot.

Pendant tout le voyage, je me frottais à lui, je sentais son érection prendre forme et au fur et à me mesure, je me serrais et jouais un peu du bassin pour lui procurer également du désir. Simon, c’était son prénom mit ses mains sur mes fesses et me plaqua encore un peu plus contre lui en simulant la pénétration, j’étais tellement excitée que je mouillais fortement mais je pense que ce jour-là, il avait éjaculé car il s’était penché sur moi et reposait sa tête sur mon épaule et quelques râles sortirent de sa bouche. Nous nous sommes embrassés une nouvelle fois avant que je descende de la rame.

Pendant quelques jours, nous nous placions face à face se tenant par les hanches et nous restions ainsi l’un contre l’autre en simulant l’acte d’amour, en nous embrassant pendant cette vingtaine de minutes, la durée du trajet. Sans que nous nous soyons rencontrés à l’extérieur, nous avions une relation sexuelle dans le métro et nous nous en amusions.

Malheureusement, sans m’avertir, du jour au lendemain, je ne l’ai plus revu, je n’avais même pas pensé à prendre son numéro de portable, je m’insultais d’être aussi naïve et imbécile. Je m’étais résignée et m’étais rassurée en me disant qu’il devait avoir une petite amie, que notre jeu érotique du métro n’était qu’une aventure sans lendemain.

N’ayant pas de petit copain, à cette époque, cette relation me manqua rapidement, tous les soirs sur le quai, j’étais à la recherche d’une proie, j’étais comme en manque. Malheureusement, je ne trouvais pas le bon garçon qui pouvait me faire rêver. J’étais retournée à mes anciennes habitudes de ressentir les hommes pressés contre moi sans qu’ils ne soient tous des pervers.

Pourtant, une fois encore, ce soir-là j'étais en jupe, pas si courte que cela et portait des collants. Un homme avait clairement mis sa main sur mon entrejambe, bien en dessous de ma jupe. J’étais restée bouleversée, je m’étais retournée pour gifler l’individu mais je n'avais pu le faire, je n’avais même pas dit un mot. L’homme osa me sourire, j’avais tellement honte que je me retournasse dans la position initiale.

Ce genre de frottage, n’arrive pas tous les jours, tous les hommes n’étaient pas des vicieux irrespectueux et dépravés, heureusement. Une des situations la plus incongrue que je connus dans le métro, se passa un matin. Je partais à l'université en prenant la ligne directe partant de chez moi. J’étais assise dans un carré où se trouvait une dame à mes côtés discutant avec sa voisine d’en face et un monsieur d’un certain âge, la cinquantaine peut-être, en face de moi.

J’étais donc contre la fenêtre dans le sens contraire de la marche et lisais un thriller. Après quelques minutes, je sentais le regard du quinquagénaire posé sur moi, Je me sentais mal à l'aise, je ne quittais pas mon livre des yeux, j’essayais de me convaincre que je me trompais. Vu l’étroitesse du lieu, nos genoux se touchaient, je ressentais toujours son regard insistant, je venais de me rendre compte que mes jambes n’étaient pas serrées l’une contre l’autre, étant en jupe courte, il devait voir le haut de mes cuisses et je le sentais gesticuler devant moi.

Comme les deux femmes discutaient entre elles et qu’il cachait son bas ventre avec le pan de sa veste, en regardant sur le côté de mon livre, j’avais aperçu qu’il astiquait de sa main droite, sa verge en érection, sortie de sa braguette. Placée ainsi, j'étais la seule à pouvoir le voir. Je n'osais plus regarder, j’avais honte d’avoir laissé mon entrejambe à la vue d’un inconnu. Pendant le restant du trajet, je n’avais plus levé les yeux de mon livre. Lorsque que je m’étais levé pour quitter le métro, à la station de destination, il avait remis son sexe à sa place. Je m’étais retrouvée sur le quai, quand je m’aperçus que mes chaussures avaient reçu un liquide poisseux et gluant. Cet homme était parvenu à éjaculer en ma présence sans que personne s’en aperçoive.

Néanmoins l’expérience la plus excitante s’était produite cette année. Je partais pour l’Université en plein cœur de Paris. Comme chaque jour, je prenais cette ligne, j’étais debout contre la porte côté voie, je regardais dehors. Le métro était de plus en plus bondé, la pression des gens derrière moi était de plus en plus forte. À chaque arrêt, les voyageurs s’entassaient un peu plus, tout le monde reculait.

L’homme derrière moi était très beau, la trentaine et très bien habillé. Au départ, il ne voulait pas me comprimer contre la fenêtre, il mettait ses bras contre la vitre de chaque côté de ma tête afin d’éviter le contact avec moi. L’air de rien, je tendais de plus en plus mon arrière train vers lui, ce qui eut pour effet que mes fesses se trouvaient contre son pantalon. Je pense qu’il avait compris car très vite, j’ai ressenti son sexe grossir au contact de mes fesses. Lui poussait si fort que je ne pouvais plus bouger.

Là, dans la station, possédant chacune deux voies encadrant un quai central, le métro s’était arrêté et la porte face à moi s’était ouverte, je me retrouvais comme par magie du côté quai. Je suis sortie un instant de la voiture pour laisser les passagers sortir. Je l’ai regardé, nous nous sommes souris, il désirait que je remonte, il me tendit la main que je pris volontiers et nous nous étions retrouvés l’un contre l’autre face à face. Il avait visiblement le sexe en érection. Après m’avoir invitée à descendre avec lui deux stations plus tard, nous avions pris un verre en terrasse et je m’étais retrouvé dans son lit dans un hôtel du centre-ville. Aujourd’hui, je vis avec Mario et nous avons décidé de nous mariés après mes études.
Le fantasme de « faire l’amour dans un train » est toujours ancré au plus profond de moi-même.

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