Dimanche 17 juin 1986 – Matilde
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dimanche 17 juin 1986 – Matilde
Après le petit déjeuner, alors que nous étions au lit en train de nous des câlineries, le téléphone sonna. Surprise. Matilde réagit rapidement et sortant du lit dans le plus simple appareil, elle décrocha l’appareil et un doigt sur les lèvres me fit signe de me taire. C’est à sa première phrase que je réalisais que c’était son mari qui appelait. Si Matilde faisait attention à sa conversation, elle ne faisait pas attention à sa tenue, enfin, je crois, le téléphone à la main, elle s’était assise sur le petit bureau un pied sur la chaise, l’autre à terre position agréable à voir.
« Oui, … je l’ai vu hier soir, … oui, il m’a invité à diner, … naturellement, nous avons parlé de toi, et il m’a dit de te transmettre ses amitiés, … » Et la conversation se poursuivant, je me levais sans bruit et m’approchais de Matilde, assez prêt pour qu’elle ne pousse pas un cri de surprise et doucement, je posais ma main sur sa cuisse, aussitôt elle posa la sienne sur la mienne, semblant vouloir me retenir, mais j’étais bien décidé à aller au-delà et je continuais ma progression vers le haut de la cuisse. Tout à sa conversation, elle ne pouvait pas faire grand-chose sans se trahir, je continuais à progresser et me tenant toujours la main j’arrivais à sa fourrure, que je caressais doucement et aussi doucement j’écartais la chaise de façon à augmenter le compas de ses cuisses, elle ne put pas résister, longtemps à cet écart, à cette ouverture sur son minou. Alors que la conversation se prolongeait, et j’eus comme impression, impression peut être fausse, que Matilde la prolongeait volontairement. Enfin je posais ma main sur sa chatte, et là, elle repoussa la chaise et posant ses deux pieds au sol s’appuya sur la table, ses cuisses s’étaient légèrement écartées, mais, … là, un doigt curieux parcourut le passage d’entre ses grosses lèvres la petite raie humide, très humide, y avait-il une corrélation entre le coup téléphone à son mari et la caresse que je lui pratiquais pour un tel résultat. Le compas de ses cuisses s’était largement ouvert, et la tentation était trop grande, je posais mes lèvres sur les siennes, enfin celles du bas, il y eut une espèce de mouvement et s’assit un peu plus sur la table et j’entendis : « Non, ne t’inquiète pas, … oui, j’ai failli glisser, … oui, … d’accord, … oui je t’embrasse, … » et elle raccrocha alors que, assis sur la chaise abandonnée, j’étais bien entre ses cuisses à lui lécher la chatte. Elle posa sa main sur ma tête en appuyant : « Horrible monstre, … tu es complétement fou, … j’espère qu’il n’a rien soupçonné, …OH, … continues, … oui, … viens, … je suis excitée, … tu m’as excitée, … je suis toute chaude de partout, … viens, … »Moi : « Je suis certainement un monstre, …. mais tu aimes qu’il s’occupe de toi, … j’oserais dire que tu as tout fait pour que je continue, …tu sais ce que tu es, … »Matilde : « Oui, … une salope, … une garce, … au choix, … » et se laissant glisser de la table elle aperçut mon engin qui se dressait fièrement, elle se mit à cheval sur mes genoux et guida ma bite dans sa grotte d’amour, en fait s’empala dessus avec un soupir de satisfaction : « Mais tu es en moi, … je te sens, …prends-moi, … c’est ce que tu veux, … je suis toute chaude, … non brulante, … tu as réussi à m’exciter avec ce que tu as fait,…» et elle commença à s’activer, montant, descendant à son rythme, j’étais son sex-toy : « Oui, … c’est bon de te sentir là, …occupes de toi de mes seins, … j’aime que tu les lèches, les suces, … pendant que tu me prends, … » Bien que m’en occupant déjà, j’obéissais aux ordres, et alors qu’elle se cramponnait à mon cou je pouvais jouer avec ses beaux nénés, les triturant avec une douce énergie, puis les suçant et quand les tétons pointèrent durs, les faire rouler entre mes doigts : « OH, … OUI, … pinces moi les seins, … j’aime ça, quand tu me prends, … oui, … baises moi, … baises ta salope, … oui, fort, … ne t’arrêtes pas, … je vais, … je sens, ... » S’étant soulevée, et ayant remonté ses jambes, elle s’empala brutalement sur ma tige, alors que je me vidais dans sa chatte, elle se mit à jouir, plaisir manifesté brutalement par un puissant spasme qui la fit vibrer : « OOOOOHHHH, … JE JOUIS, … OUI, … », puis elle se laissa aller contre moi, le souffle court. Sa position, jambes écartées, sur mes genoux, fit que, horrible détail, et gravité oblige, ce dont je l’avais rempli, se mit à couler. Elle le sentit et glissant sa main sur son minou, elle récupéra ce qui s’écoulait de sa chatte et les doigts pleins de sperme, elle les porta à sa bouche pour les sucer en souriant et en disant : « Je suis peut-être uns salope, … mais Je ne veux rien perdre de mon plaisir, … mais mon petit chéri, il va falloir penser à libérer la chambre, ... » C’était vrai, le temps passait, on prit une douche, elle refit son bagage et moi mon sac et on se retrouva dehors. Il était vers les 10,00 heures, je lui proposais de passer chez moi, pour attendre son départ. Elle refusa, disant qu’il lui restait de la route et qu’elle voulait ne pas arriver trop tard à Lyon. Mais je te rappellerais quand je serais installée et je repasserais dans un mois. Une partie de lèche museau et collage avec un bon frotti frotta et elle était partie.
o Une semaine plus tard – MatildeC’était un vendredi en début d’après-midi et J’étais au bureau, quand mon téléphone personnel sonna. Peu de gens avait de numéro et en général c’était des ennuis à la clé. Mais là, non, c’était Matilde : « Bonjour Jean, … comment vas-tu ? … »Moi : « Bien et toi, comment se passe cette première semaine, … comment es-tu installée, …»Matilde : « Bien. On est dans une aile de l’hôpital, il y a ce qu’il faut, y compris une ligne personnelle, c’est pour ça que je peux t’appeler, … je m’ennuie de toi, … »Moi : « Wouah, … c’est une déclaration, … »Matilde : « Prends ça comme tu veux, …qu’est-ce que tu fais le week-end prochain, … »Moi : « Pourquoi, … c’est une demande intéressée, … ou une proposition, … »Matilde : « Dans le cadre des cours, on est de permanence le week-end, … le week-end en quinze, je serais libre, … alors j’ai pensé, … »Moi ; « A quoi, as-tu pensé ? … est-ce que par hasard tu aimerais que je vienne pour ton week-end de libre, … »Matilde : « Je dirais que j’y ai pensé un peu, … tu pourrais arriver le samedi soir et repartir le dimanche, enfin c’est une suggestion … et puis je trouve que l’on s’est quitté trop rapidement la dernière fois, … »Moi : « C’est une invitation sérieuse, … et quoi, … »Matilde : « Oui, … pourquoi pas, …et je serais gentille, très gentille, … très obéissante, … comme tu aimes, … j’aimerais tant que tu viennes, … si tu savais, … j’y pense beaucoup, …»Moi : « Tu es où actuellement, … »Matilde : « Je te l’ai dit dans ma chambre, … sur mon lit, … à penser à toi, … »Moi : « Laisses moi imaginer comment tu es habillée, … »Matilde : « C’est facile, … je rentre du service, … »Moi : « Tu as ta blouse d’infirmière, … »Matilde : « Tu es perspicace, … et après, … »Moi : « Je rêve, … adossée sur tes oreillers, … la blouse légèrement ouverte, … »Matilde : « Hum, … tu me donnes des idées, … »Moi : « Non, je ne te donne pas d’idées, … si tu me téléphones, … je suis presque certain que ta blouse est entièrement ouverte, … et même que, … »Matilde : « Même que, quoi … »Moi : « C’est parce que tu es entièrement nue sous ta blouse, … que tu as eu envie de me téléphoner, … pour aller plus loin, … »Matilde : « Tu es un véritable monstre, … OUI, … dis-moi, … »Moi : « Tu as envie de te caresser, … mais ça t’excite plus d’obéir, … écartes largement tes jolies cuisses, … tu es en train de mettre ta main sur ton minou, … »Matilde : « OUUIII, … dis-moi, … encore, … »Moi : « Tu te caresses doucement, … tes cuisses s’écartent encore, … ta chatte commence à mouiller, … tu attends pour rentrer, … t’as envie de te pénétrer, … »Matilde : « OUUIII, … encore, … continues, … » Clic, elle raccrocha, … la garce, … et moi j’avais une trique intéressante et qui ne demandait qu’à servir. Je n’avais plus qu’une solution appeler Stéphanie, elle était de bon service. Je faisais son numéro, espérant qu’elle serait disponible et je me remémorais nos rencontres et oui, elle fallait qu’elle me dise oui, qu’elle était disponible, … :
« Oui, … je l’ai vu hier soir, … oui, il m’a invité à diner, … naturellement, nous avons parlé de toi, et il m’a dit de te transmettre ses amitiés, … » Et la conversation se poursuivant, je me levais sans bruit et m’approchais de Matilde, assez prêt pour qu’elle ne pousse pas un cri de surprise et doucement, je posais ma main sur sa cuisse, aussitôt elle posa la sienne sur la mienne, semblant vouloir me retenir, mais j’étais bien décidé à aller au-delà et je continuais ma progression vers le haut de la cuisse. Tout à sa conversation, elle ne pouvait pas faire grand-chose sans se trahir, je continuais à progresser et me tenant toujours la main j’arrivais à sa fourrure, que je caressais doucement et aussi doucement j’écartais la chaise de façon à augmenter le compas de ses cuisses, elle ne put pas résister, longtemps à cet écart, à cette ouverture sur son minou. Alors que la conversation se prolongeait, et j’eus comme impression, impression peut être fausse, que Matilde la prolongeait volontairement. Enfin je posais ma main sur sa chatte, et là, elle repoussa la chaise et posant ses deux pieds au sol s’appuya sur la table, ses cuisses s’étaient légèrement écartées, mais, … là, un doigt curieux parcourut le passage d’entre ses grosses lèvres la petite raie humide, très humide, y avait-il une corrélation entre le coup téléphone à son mari et la caresse que je lui pratiquais pour un tel résultat. Le compas de ses cuisses s’était largement ouvert, et la tentation était trop grande, je posais mes lèvres sur les siennes, enfin celles du bas, il y eut une espèce de mouvement et s’assit un peu plus sur la table et j’entendis : « Non, ne t’inquiète pas, … oui, j’ai failli glisser, … oui, … d’accord, … oui je t’embrasse, … » et elle raccrocha alors que, assis sur la chaise abandonnée, j’étais bien entre ses cuisses à lui lécher la chatte. Elle posa sa main sur ma tête en appuyant : « Horrible monstre, … tu es complétement fou, … j’espère qu’il n’a rien soupçonné, …OH, … continues, … oui, … viens, … je suis excitée, … tu m’as excitée, … je suis toute chaude de partout, … viens, … »Moi : « Je suis certainement un monstre, …. mais tu aimes qu’il s’occupe de toi, … j’oserais dire que tu as tout fait pour que je continue, …tu sais ce que tu es, … »Matilde : « Oui, … une salope, … une garce, … au choix, … » et se laissant glisser de la table elle aperçut mon engin qui se dressait fièrement, elle se mit à cheval sur mes genoux et guida ma bite dans sa grotte d’amour, en fait s’empala dessus avec un soupir de satisfaction : « Mais tu es en moi, … je te sens, …prends-moi, … c’est ce que tu veux, … je suis toute chaude, … non brulante, … tu as réussi à m’exciter avec ce que tu as fait,…» et elle commença à s’activer, montant, descendant à son rythme, j’étais son sex-toy : « Oui, … c’est bon de te sentir là, …occupes de toi de mes seins, … j’aime que tu les lèches, les suces, … pendant que tu me prends, … » Bien que m’en occupant déjà, j’obéissais aux ordres, et alors qu’elle se cramponnait à mon cou je pouvais jouer avec ses beaux nénés, les triturant avec une douce énergie, puis les suçant et quand les tétons pointèrent durs, les faire rouler entre mes doigts : « OH, … OUI, … pinces moi les seins, … j’aime ça, quand tu me prends, … oui, … baises moi, … baises ta salope, … oui, fort, … ne t’arrêtes pas, … je vais, … je sens, ... » S’étant soulevée, et ayant remonté ses jambes, elle s’empala brutalement sur ma tige, alors que je me vidais dans sa chatte, elle se mit à jouir, plaisir manifesté brutalement par un puissant spasme qui la fit vibrer : « OOOOOHHHH, … JE JOUIS, … OUI, … », puis elle se laissa aller contre moi, le souffle court. Sa position, jambes écartées, sur mes genoux, fit que, horrible détail, et gravité oblige, ce dont je l’avais rempli, se mit à couler. Elle le sentit et glissant sa main sur son minou, elle récupéra ce qui s’écoulait de sa chatte et les doigts pleins de sperme, elle les porta à sa bouche pour les sucer en souriant et en disant : « Je suis peut-être uns salope, … mais Je ne veux rien perdre de mon plaisir, … mais mon petit chéri, il va falloir penser à libérer la chambre, ... » C’était vrai, le temps passait, on prit une douche, elle refit son bagage et moi mon sac et on se retrouva dehors. Il était vers les 10,00 heures, je lui proposais de passer chez moi, pour attendre son départ. Elle refusa, disant qu’il lui restait de la route et qu’elle voulait ne pas arriver trop tard à Lyon. Mais je te rappellerais quand je serais installée et je repasserais dans un mois. Une partie de lèche museau et collage avec un bon frotti frotta et elle était partie.
o Une semaine plus tard – MatildeC’était un vendredi en début d’après-midi et J’étais au bureau, quand mon téléphone personnel sonna. Peu de gens avait de numéro et en général c’était des ennuis à la clé. Mais là, non, c’était Matilde : « Bonjour Jean, … comment vas-tu ? … »Moi : « Bien et toi, comment se passe cette première semaine, … comment es-tu installée, …»Matilde : « Bien. On est dans une aile de l’hôpital, il y a ce qu’il faut, y compris une ligne personnelle, c’est pour ça que je peux t’appeler, … je m’ennuie de toi, … »Moi : « Wouah, … c’est une déclaration, … »Matilde : « Prends ça comme tu veux, …qu’est-ce que tu fais le week-end prochain, … »Moi : « Pourquoi, … c’est une demande intéressée, … ou une proposition, … »Matilde : « Dans le cadre des cours, on est de permanence le week-end, … le week-end en quinze, je serais libre, … alors j’ai pensé, … »Moi ; « A quoi, as-tu pensé ? … est-ce que par hasard tu aimerais que je vienne pour ton week-end de libre, … »Matilde : « Je dirais que j’y ai pensé un peu, … tu pourrais arriver le samedi soir et repartir le dimanche, enfin c’est une suggestion … et puis je trouve que l’on s’est quitté trop rapidement la dernière fois, … »Moi : « C’est une invitation sérieuse, … et quoi, … »Matilde : « Oui, … pourquoi pas, …et je serais gentille, très gentille, … très obéissante, … comme tu aimes, … j’aimerais tant que tu viennes, … si tu savais, … j’y pense beaucoup, …»Moi : « Tu es où actuellement, … »Matilde : « Je te l’ai dit dans ma chambre, … sur mon lit, … à penser à toi, … »Moi : « Laisses moi imaginer comment tu es habillée, … »Matilde : « C’est facile, … je rentre du service, … »Moi : « Tu as ta blouse d’infirmière, … »Matilde : « Tu es perspicace, … et après, … »Moi : « Je rêve, … adossée sur tes oreillers, … la blouse légèrement ouverte, … »Matilde : « Hum, … tu me donnes des idées, … »Moi : « Non, je ne te donne pas d’idées, … si tu me téléphones, … je suis presque certain que ta blouse est entièrement ouverte, … et même que, … »Matilde : « Même que, quoi … »Moi : « C’est parce que tu es entièrement nue sous ta blouse, … que tu as eu envie de me téléphoner, … pour aller plus loin, … »Matilde : « Tu es un véritable monstre, … OUI, … dis-moi, … »Moi : « Tu as envie de te caresser, … mais ça t’excite plus d’obéir, … écartes largement tes jolies cuisses, … tu es en train de mettre ta main sur ton minou, … »Matilde : « OUUIII, … dis-moi, … encore, … »Moi : « Tu te caresses doucement, … tes cuisses s’écartent encore, … ta chatte commence à mouiller, … tu attends pour rentrer, … t’as envie de te pénétrer, … »Matilde : « OUUIII, … encore, … continues, … » Clic, elle raccrocha, … la garce, … et moi j’avais une trique intéressante et qui ne demandait qu’à servir. Je n’avais plus qu’une solution appeler Stéphanie, elle était de bon service. Je faisais son numéro, espérant qu’elle serait disponible et je me remémorais nos rencontres et oui, elle fallait qu’elle me dise oui, qu’elle était disponible, … :
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