Dimanche 22 novembre 1981 – Le matin
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dimanche 22 novembre 1981 – Le matin
Lundi 23 novembre 1981 au matinA 5 heures par habitude, à mon habitude, je me levais difficilement, mais discrètement, pour mes ablutions matinales, douche, rasage, … AL se levait au moment où l’odeur du café atteignait ses narines, ce qui également fut le cas ce jour. Mais à priori, les yeux pas tout à fait en face des trous. Elle s’était quand même donné un coup de peigne et avait mis un peignoir, qui ne cachait rien, ce qui involontairement ou non me donna des idées. Des idées bien précises, elle me faisait envie, malgré ce que l’on avait fait la veille, je la voulais, j’avais envie de la prendre, de la baiser et je dirais instinctivement je me mis à bander et bander dur.
Alors qu’elle allait récupérer les toasts à la cuisine, je la suivais et par derrière je l’enlaçais.
AL : « Arrêtes, … qu’est ce que tu fais, … » et pendant cette question j’avais ouvert le peignoir et m’occupais de ses seins, sachant que c’était un endroit particulièrement sensible et qui pouvait, bien pris, me permettre de pousser l’avantage.
Moi : « J’aime tes seins,… et je n’en ai pas profité hier soir, … »AL : « Arrêtes, … j’ai cours ce matin, … arrêtes, … » mais pendant ses réflexions j’avais parcouru du bout des lèvres son cou, ce qui immanquablement la faisait frissonner, ce qui était de bonne augure. Je la faisais pivoter et avant qu’elle ne réagisse, je me mettais à sucer et téter ses seins, dont les tétons ne tardèrent pas à réagir et à durcir fièrement. C’est alors, que se laissant faire, elle posa une main sur ma tête la maintenant pour que je continue à m’occuper des ses beaux nénés. Mais ne perdant pas l’avantage de la situation, ma main droite descendit plus bas vers son entrejambe où j’eu juste la place de glisser une main et la poser sur son minou. Une douce caresse sur cette chose douce, chaude et humide, … C’était l’instant où un doigt s’enfonçant doucement dans son fourreau, cette intrusion était acceptée, alors les cuisses s’écartaient et comble de bonheur, le bassin s’avançait pour mieux se planter sur ce doigt curieux. C’était gagné, les cuisses s’écartèrent les jambes se plièrent le bassin s’avança en même temps qu’elle disait : « T’es content de toi, … une fois de plus je cède, …t’es un monstre, … »Déjà appuyée contre le plan de travail de la cuisine, juste un petit effort elle était assise, prête à se laisser prendre, c’est alors que m’abaissant je lui disait : « Sortant du lit, comme ça, … je veux gouter à ta chatte, … elle est toute chaude, …elle sent bon, … » et plongeant entre ses cuisses s’ouvrantes au maximum, et le nez dans sa toison, je humais son odeur chaude et du bout de la langue, je goutais à l’humidité de ses grosses lèvres, la réaction fut rapide :AL : « Arrêtes, … viens prends moi, … fais moi l’amour, … non baises moi, … dépêches toi, …» me redressant, le short, le caleçon furent descendus rapidement. Alors AL guida mon engin dans sa grotte d’amour, ouverte chaude et accueillante et là sans attendre, je ne lui faisais pas l’amour, non, je la baisais avec envie et peut-être avec brutalité, tant et si bien, qu’elle partit vite : « Oui, … c’est bon, … j’aime quand tu me prends comme ça, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … oh c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … OH, … Oui, … encore, … OOOOOHHHH, … OUIIIIIIIII, … » et pendant qu’accroché à sa taille, je me vidais dans son fourreau, elle fut saisi d’un gros et brutal spasme qui la fit se contracter autour de moi, pour enfin se laisser aller contre moi et glisser au sol : « C’est malin, … quelle tête je vais avoir en cours, … » réalisant l’heure, je remontais caleçon et short et filait sur les chantiers.
(AL assise à la table de la salle à manger et prenait son café, quand Véro arriva derrière et posa ses mains sur ses épaules. AL sursauta : « Déjà levée, … tu ne commences qu’à 9,00 heures »Véro : « Exact, mais j’ai entendu le départ de Jean, … et quelques bruits avant, … alors, … »AL : « Alors quoi, … ça m’a bien réveillé, … les bruits avant le départ de la voiture, … et j’ai pensé qu’un café me réveillerait, … » Ce faisant AL se leva pour aller chercher un café pendant que Véro continuait « … et que je pourrais profiter de toi, … qu’en penses-tu ? … » AL : « Tu es folle, … qu’imagines tu ? … on n’a pas le temps, … »Véro : « Tu dis pas non, …viens, poses le café, … » alors qu’elle se levait, elle dégagea le peignoir et prit AL dans ses bras en disant : « Je veux te gouter, …gouter de ton plaisir avec Jean, … assieds toi, … » et la poussant contre et sur la table pendant que AL disait : « Tu ne vas pas faire ça, … »Véro lui ferma la bouche d’un baiser, puis descendit, au passage elle s’occupa de ses seins juste un petit coup de langue, pour faire dresser les tétons enfin, pour enfin arriver à sa chatte qui était accessible, les cuisses de AL s’étant ouvertes .
AL : « Tu es folle, …arrêtes, … »Véro: « Mais non, … tu en as envie, … je suis sur que tu mouilles, … et tu aimes m’obéir, … ce n’est plus ta tête qui commande, … c’est ton minou, … et tu aimes, … ouvres toi, … que je te goutes, … » et AL obéit, se laissant aller sur la table, relevant ses jambes et ouvrant largement ses cuisses en disant « Oui, viens, … tu me rends folle, … prends moi, … » et Véro entreprit de lécher avec ardeur, la chatte chaude et trempée de AL qui se laissa faire et même l’encouragea : « Oui, … continues, … c’est bon avec la langue, … encore, … rentres, … tes doigts, … oui, … fais moi jouir, … j’aime que tu me prennes, … OOOOHHH, … continues, … ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIIIIIIIII, … »Et, avec un spasme brutal elle se contracta, bloquant la tête de Véro entre ses cuisses, alors qu’elle continuait à la masturber avec énergie, ce qui entraina une nouvelle série de spasme, qui la laissa affalée sur la table. Enfin ayant récupéré son souffle et ses esprits, son regard tomba sur la pendule sur le buffet : « Bon sang, … je vais être en retard, … » en se précipitant dans la chambre pour s‘habiller. Elle fut rapidement prête et alors qu’elle Véro lui cria : « Mercredi début d’après-midi, … comme tu n’as pas cours… je t’attends, … » )
Alors qu’elle allait récupérer les toasts à la cuisine, je la suivais et par derrière je l’enlaçais.
AL : « Arrêtes, … qu’est ce que tu fais, … » et pendant cette question j’avais ouvert le peignoir et m’occupais de ses seins, sachant que c’était un endroit particulièrement sensible et qui pouvait, bien pris, me permettre de pousser l’avantage.
Moi : « J’aime tes seins,… et je n’en ai pas profité hier soir, … »AL : « Arrêtes, … j’ai cours ce matin, … arrêtes, … » mais pendant ses réflexions j’avais parcouru du bout des lèvres son cou, ce qui immanquablement la faisait frissonner, ce qui était de bonne augure. Je la faisais pivoter et avant qu’elle ne réagisse, je me mettais à sucer et téter ses seins, dont les tétons ne tardèrent pas à réagir et à durcir fièrement. C’est alors, que se laissant faire, elle posa une main sur ma tête la maintenant pour que je continue à m’occuper des ses beaux nénés. Mais ne perdant pas l’avantage de la situation, ma main droite descendit plus bas vers son entrejambe où j’eu juste la place de glisser une main et la poser sur son minou. Une douce caresse sur cette chose douce, chaude et humide, … C’était l’instant où un doigt s’enfonçant doucement dans son fourreau, cette intrusion était acceptée, alors les cuisses s’écartaient et comble de bonheur, le bassin s’avançait pour mieux se planter sur ce doigt curieux. C’était gagné, les cuisses s’écartèrent les jambes se plièrent le bassin s’avança en même temps qu’elle disait : « T’es content de toi, … une fois de plus je cède, …t’es un monstre, … »Déjà appuyée contre le plan de travail de la cuisine, juste un petit effort elle était assise, prête à se laisser prendre, c’est alors que m’abaissant je lui disait : « Sortant du lit, comme ça, … je veux gouter à ta chatte, … elle est toute chaude, …elle sent bon, … » et plongeant entre ses cuisses s’ouvrantes au maximum, et le nez dans sa toison, je humais son odeur chaude et du bout de la langue, je goutais à l’humidité de ses grosses lèvres, la réaction fut rapide :AL : « Arrêtes, … viens prends moi, … fais moi l’amour, … non baises moi, … dépêches toi, …» me redressant, le short, le caleçon furent descendus rapidement. Alors AL guida mon engin dans sa grotte d’amour, ouverte chaude et accueillante et là sans attendre, je ne lui faisais pas l’amour, non, je la baisais avec envie et peut-être avec brutalité, tant et si bien, qu’elle partit vite : « Oui, … c’est bon, … j’aime quand tu me prends comme ça, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … oh c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … OH, … Oui, … encore, … OOOOOHHHH, … OUIIIIIIIII, … » et pendant qu’accroché à sa taille, je me vidais dans son fourreau, elle fut saisi d’un gros et brutal spasme qui la fit se contracter autour de moi, pour enfin se laisser aller contre moi et glisser au sol : « C’est malin, … quelle tête je vais avoir en cours, … » réalisant l’heure, je remontais caleçon et short et filait sur les chantiers.
(AL assise à la table de la salle à manger et prenait son café, quand Véro arriva derrière et posa ses mains sur ses épaules. AL sursauta : « Déjà levée, … tu ne commences qu’à 9,00 heures »Véro : « Exact, mais j’ai entendu le départ de Jean, … et quelques bruits avant, … alors, … »AL : « Alors quoi, … ça m’a bien réveillé, … les bruits avant le départ de la voiture, … et j’ai pensé qu’un café me réveillerait, … » Ce faisant AL se leva pour aller chercher un café pendant que Véro continuait « … et que je pourrais profiter de toi, … qu’en penses-tu ? … » AL : « Tu es folle, … qu’imagines tu ? … on n’a pas le temps, … »Véro : « Tu dis pas non, …viens, poses le café, … » alors qu’elle se levait, elle dégagea le peignoir et prit AL dans ses bras en disant : « Je veux te gouter, …gouter de ton plaisir avec Jean, … assieds toi, … » et la poussant contre et sur la table pendant que AL disait : « Tu ne vas pas faire ça, … »Véro lui ferma la bouche d’un baiser, puis descendit, au passage elle s’occupa de ses seins juste un petit coup de langue, pour faire dresser les tétons enfin, pour enfin arriver à sa chatte qui était accessible, les cuisses de AL s’étant ouvertes .
AL : « Tu es folle, …arrêtes, … »Véro: « Mais non, … tu en as envie, … je suis sur que tu mouilles, … et tu aimes m’obéir, … ce n’est plus ta tête qui commande, … c’est ton minou, … et tu aimes, … ouvres toi, … que je te goutes, … » et AL obéit, se laissant aller sur la table, relevant ses jambes et ouvrant largement ses cuisses en disant « Oui, viens, … tu me rends folle, … prends moi, … » et Véro entreprit de lécher avec ardeur, la chatte chaude et trempée de AL qui se laissa faire et même l’encouragea : « Oui, … continues, … c’est bon avec la langue, … encore, … rentres, … tes doigts, … oui, … fais moi jouir, … j’aime que tu me prennes, … OOOOHHH, … continues, … ne t’arrêtes pas, … OUIIIIIIIIIIIII, … »Et, avec un spasme brutal elle se contracta, bloquant la tête de Véro entre ses cuisses, alors qu’elle continuait à la masturber avec énergie, ce qui entraina une nouvelle série de spasme, qui la laissa affalée sur la table. Enfin ayant récupéré son souffle et ses esprits, son regard tomba sur la pendule sur le buffet : « Bon sang, … je vais être en retard, … » en se précipitant dans la chambre pour s‘habiller. Elle fut rapidement prête et alors qu’elle Véro lui cria : « Mercredi début d’après-midi, … comme tu n’as pas cours… je t’attends, … » )
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