Double effet baise cool (1ère partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Double effet baise cool (1ère partie)
« Tu veux vraiment qu’on le voit avant la soirée ?
- Oui. Il me plait. Dans une soirée tu ne sais jamais sur qui tu vas tomber. Si ça se trouve je vais m’emmerder ou me faire draguer uniquement par un vieux moche. Sans parler de Sabin, si elle est là il n’y en aura que pour elle. Tu sais comme tous les mecs sont dès qu’ils la voient. »Sabin. Une Danoise qui a été mannequin. Immense. Blonde. Extrêmement mince. Extrêmement belle. Elle fascine les mâles. Son mec est très beau aussi mais doté d’un sexe dont les proportions sont inversement proportionnelles à son physique. Elle vient donc chercher dans de multiples soirées – dont certaines qu’ils organisent – un dérivatif puissant. Au grand dam de ces dames qui, comme Chrystèle, redoutent sa concurrence. Non que Chrystèle soit repoussante. Elle est même très belle. Un peu moins de trente ans, 1m75 et un 95C à se damner mais, la nature humaine, masculine, est ainsi faite : face à Sabin elle ne fait pas le poids.
« OK on y va. On le retrouve à son hôtel ton beau gosse bien monté. Mais après on va à la soirée. Moi aussi je veux m’amuser.
- Mais bien sûr mon lapinou. » Elle l’appelle « mon lapinou » quand elle a obtenu ce qu’elle veut de Léopold. Lui aussi est pas mal. Plutôt le mec mignon, un peu plus de 30 ans, mince, glabre, qui plait aux filles comme aux mecs – il préfère notamment les filles mais fait parfois des extras -, 1m80 bien propre sur lui mais pas le mâle dont elles rêvent…
Mâle Stephan l’est lui. Il les attend au bar. Pas immense, 1 m 80 aussi, pas baraqué non plus mais le sourire du mec sûr de lui, 35 ans ou un peu plus. Il embrasse Chrystèle à la commissure des lèvres, lui flatte la croupe, la fait asseoir en face de lui sur un fauteuil – il occupe un large canapé de velour bleu – pendant que Léopold prend un autre fauteuil. Ils sont au fond du bar d’un grand hôtel de la rive droite. Lumière tamisée. « Champagne ? » Stephan fait venir une bouteille de Roederer et les sert. Il porte un costume bleu sur une chemise bleue. Pas de cravate. « Je suis à Paris pour affaire comme je vous le disais dans mon message. J’habite à Anvers sinon. »
Le message ils se le sont échangé par le biais d’un ami commun : « Léopold je sais que tu cherches un beau mec, bien monté, pour baiser Chrystèle. J’ai un pote qui passe par Paris. Il peut t’appeler ? » Et Stephan a appelé Léopold : « Alors tu aimes qu’un mec baise ta copine ?
- Je ne sais pas trop. En fait on n’a encore jamais rencontré de mec comme cela. A chaque fois qu’elle s’est fait prendre par d’autres mecs devant moi c’était dans des soirées.
- Et ça t’excitait ?
- Tu n’imagines pas comment.
- Et elle veut tenter le coup avec un mec que tu lui choisis ?
- S’il lui plait oui.
- Je lui plais. Tu as eu mes photos.
- Tu lui plais.
- Et qu’est-ce qui lui plait particulièrement chez moi ?
- Devine. »
« Et si tu venais avec moi sur le canapé. Léopold ça ne te dérange pas qu’elle vienne avec moi sur le canapé. J’ai envie de voir de plus près ses jambes. » Directif Stephan fait asseoir Chrystèle à ses côtés. Le champagne fait déjà son petit effet et Stephan profite de la voir s’asseoir pour admirer ses seins qui dépassent de sa robe noire qui lui laisse les épaules nues, ses longues jambes, ses talons haut. Une superbe femelle qui essaye quant à elle de percer le mystère que se posent toutes les femmes : comment savoir s’il en a vraiment une grosse. Stefan doit lire dans sa pensée car il lui susurre dans l’oreille : « En allant la toucher ma belle. » Chrystèle regarde Léopold : « Ca te choque si je tâte le matériel. Je ne voudrais pas être déçue… - Mais vas-y ma chérie », répond un Léopold passablement estomaqué.
Ni une ni deux, profitant de la pénombre et de l’absence d’autres clients, Chrystèle pose sa main sur le sexe de Stephan. Passablement excité il semble répondre à ses attentes : « Ouah, ça c’est de la bite », lui dit-elle dans l’oreille pendant qu’il caresse sans vergogne son sein droit. Approche ses lèvres des siennes et l’embrasse longuement devant un Léopold qui n’en peut plus d’excitation.
« Si on allait dans ma chambre les tourtereaux ? On serait mieux pour parler. » Stephan signe la note et entraine avec lui Chrystèle, l’enlaçant comme s’il en était le légitime mari. Léopold suit et assiste au long baiser que donne encore son amant du soir à Chrystèle dans l’ascenseur tout en lui caressant le sexe – elle a exceptionnellement mis une culotte – et en la félicitant de porter un porte-jarretelles.
La chambre est belle sans être très spacieuse. Au milieu un immense lit. « Assis toi là. Tu seras bien pour regarder », intime Stephan à Léopold en lui indiquant un grand fauteuil de cuir noir. « Avec Chrystèle nous devons discuter. N’est-ce pas ma belle ? »Elle ne pipe mot mais comprend le message et se met à genou devant lui pour le prendre en bouche. Le temps de descendre sa fermeture éclair elle sort un superbe engin, à moitié bandé, dont la vue la fait immédiatement mouiller comme une folle. Elle flatte le gland, défait sa ceinture : « Enlève ton pantalon, je veux bien voir tes couilles. » Stephan ne se fait pas prier et se déshabille complétement. Il est bien comme sur les photos qui ont convaincu Chrystèle de le rencontrer. Un beau mec bien entretenu mais surtout le propriétaire d’une bite de compétition. Un bon 20 comme pas très épais juge Léopold de son fauteuil en regardant Chrystèle le faire grossir dans sa bouche puis aller d’avant en arrière, de plus en plus vite, puis lentement, elle lui lèche les couilles - comme il se faut elles sont rasées -, il la fait se relever, l’étend sur le lit, lui écarte les cuisses, la lèche à son tour. Pour une fois elle trouve ça agréable et se détend.
Soudain il appelle Léopold : « Tu veux bien me chercher la capote s’il te plait. Dans la salle de bain. » La boite est marquée XXL. Il boit le calice jusqu’à la lie en amenant un préservatif à Stephan. Qui s’équipe, relève les cuisses de Chrystèle et la prend devant Léopold toujours au bord du lit qui peut admirer l’intromission en gros plan.
Chrystèle l’apprécie encore plus. Ce n’est certes pas le premier calibre XXL qu’elle prend mais la sensation d’être ainsi prise au plus profond reste fabuleusement bonne. Non que le calibre plus modeste de Léopold ne lui procure aucune sensation, mais voilà quand on a gouté une fois au XXL…Un XXL qu’elle prend maintenant dans sa position préférée. En levrette. Le mâle bien accroché à ses fesses, la tête sur le lit, un doigt sur son clitoris, les couilles qui battent contre ce même clitoris.
Léopold est reparti s’asseoir pour se masturber tranquillement et admire la technique tranquille de Stéphan. Quelques claques sur les fesses pour marquer son territoire, la faire se relever à quatre pattes en lui agrippant ses longs cheveux, lui prendre les seins pour un double effet. Ca y est elle gémit longuement. Elle jouit. Stephan se retire pour ne pas jouir en elle. La fait se retourner. Enlève son préservatif et jouit longuement sur ses seins une quantité de sperme assez hallucinante.
« Ca t’a plu ?
- Oui. Il m’a baisée comme jamais.
- Tu aurais préféré rester avec lui ?
- Il allait voir des amis. Nous notre soirée.
- Tu as encore envie ?
- Oui. Je ne me sens pas repue. »
- Oui. Il me plait. Dans une soirée tu ne sais jamais sur qui tu vas tomber. Si ça se trouve je vais m’emmerder ou me faire draguer uniquement par un vieux moche. Sans parler de Sabin, si elle est là il n’y en aura que pour elle. Tu sais comme tous les mecs sont dès qu’ils la voient. »Sabin. Une Danoise qui a été mannequin. Immense. Blonde. Extrêmement mince. Extrêmement belle. Elle fascine les mâles. Son mec est très beau aussi mais doté d’un sexe dont les proportions sont inversement proportionnelles à son physique. Elle vient donc chercher dans de multiples soirées – dont certaines qu’ils organisent – un dérivatif puissant. Au grand dam de ces dames qui, comme Chrystèle, redoutent sa concurrence. Non que Chrystèle soit repoussante. Elle est même très belle. Un peu moins de trente ans, 1m75 et un 95C à se damner mais, la nature humaine, masculine, est ainsi faite : face à Sabin elle ne fait pas le poids.
« OK on y va. On le retrouve à son hôtel ton beau gosse bien monté. Mais après on va à la soirée. Moi aussi je veux m’amuser.
- Mais bien sûr mon lapinou. » Elle l’appelle « mon lapinou » quand elle a obtenu ce qu’elle veut de Léopold. Lui aussi est pas mal. Plutôt le mec mignon, un peu plus de 30 ans, mince, glabre, qui plait aux filles comme aux mecs – il préfère notamment les filles mais fait parfois des extras -, 1m80 bien propre sur lui mais pas le mâle dont elles rêvent…
Mâle Stephan l’est lui. Il les attend au bar. Pas immense, 1 m 80 aussi, pas baraqué non plus mais le sourire du mec sûr de lui, 35 ans ou un peu plus. Il embrasse Chrystèle à la commissure des lèvres, lui flatte la croupe, la fait asseoir en face de lui sur un fauteuil – il occupe un large canapé de velour bleu – pendant que Léopold prend un autre fauteuil. Ils sont au fond du bar d’un grand hôtel de la rive droite. Lumière tamisée. « Champagne ? » Stephan fait venir une bouteille de Roederer et les sert. Il porte un costume bleu sur une chemise bleue. Pas de cravate. « Je suis à Paris pour affaire comme je vous le disais dans mon message. J’habite à Anvers sinon. »
Le message ils se le sont échangé par le biais d’un ami commun : « Léopold je sais que tu cherches un beau mec, bien monté, pour baiser Chrystèle. J’ai un pote qui passe par Paris. Il peut t’appeler ? » Et Stephan a appelé Léopold : « Alors tu aimes qu’un mec baise ta copine ?
- Je ne sais pas trop. En fait on n’a encore jamais rencontré de mec comme cela. A chaque fois qu’elle s’est fait prendre par d’autres mecs devant moi c’était dans des soirées.
- Et ça t’excitait ?
- Tu n’imagines pas comment.
- Et elle veut tenter le coup avec un mec que tu lui choisis ?
- S’il lui plait oui.
- Je lui plais. Tu as eu mes photos.
- Tu lui plais.
- Et qu’est-ce qui lui plait particulièrement chez moi ?
- Devine. »
« Et si tu venais avec moi sur le canapé. Léopold ça ne te dérange pas qu’elle vienne avec moi sur le canapé. J’ai envie de voir de plus près ses jambes. » Directif Stephan fait asseoir Chrystèle à ses côtés. Le champagne fait déjà son petit effet et Stephan profite de la voir s’asseoir pour admirer ses seins qui dépassent de sa robe noire qui lui laisse les épaules nues, ses longues jambes, ses talons haut. Une superbe femelle qui essaye quant à elle de percer le mystère que se posent toutes les femmes : comment savoir s’il en a vraiment une grosse. Stefan doit lire dans sa pensée car il lui susurre dans l’oreille : « En allant la toucher ma belle. » Chrystèle regarde Léopold : « Ca te choque si je tâte le matériel. Je ne voudrais pas être déçue… - Mais vas-y ma chérie », répond un Léopold passablement estomaqué.
Ni une ni deux, profitant de la pénombre et de l’absence d’autres clients, Chrystèle pose sa main sur le sexe de Stephan. Passablement excité il semble répondre à ses attentes : « Ouah, ça c’est de la bite », lui dit-elle dans l’oreille pendant qu’il caresse sans vergogne son sein droit. Approche ses lèvres des siennes et l’embrasse longuement devant un Léopold qui n’en peut plus d’excitation.
« Si on allait dans ma chambre les tourtereaux ? On serait mieux pour parler. » Stephan signe la note et entraine avec lui Chrystèle, l’enlaçant comme s’il en était le légitime mari. Léopold suit et assiste au long baiser que donne encore son amant du soir à Chrystèle dans l’ascenseur tout en lui caressant le sexe – elle a exceptionnellement mis une culotte – et en la félicitant de porter un porte-jarretelles.
La chambre est belle sans être très spacieuse. Au milieu un immense lit. « Assis toi là. Tu seras bien pour regarder », intime Stephan à Léopold en lui indiquant un grand fauteuil de cuir noir. « Avec Chrystèle nous devons discuter. N’est-ce pas ma belle ? »Elle ne pipe mot mais comprend le message et se met à genou devant lui pour le prendre en bouche. Le temps de descendre sa fermeture éclair elle sort un superbe engin, à moitié bandé, dont la vue la fait immédiatement mouiller comme une folle. Elle flatte le gland, défait sa ceinture : « Enlève ton pantalon, je veux bien voir tes couilles. » Stephan ne se fait pas prier et se déshabille complétement. Il est bien comme sur les photos qui ont convaincu Chrystèle de le rencontrer. Un beau mec bien entretenu mais surtout le propriétaire d’une bite de compétition. Un bon 20 comme pas très épais juge Léopold de son fauteuil en regardant Chrystèle le faire grossir dans sa bouche puis aller d’avant en arrière, de plus en plus vite, puis lentement, elle lui lèche les couilles - comme il se faut elles sont rasées -, il la fait se relever, l’étend sur le lit, lui écarte les cuisses, la lèche à son tour. Pour une fois elle trouve ça agréable et se détend.
Soudain il appelle Léopold : « Tu veux bien me chercher la capote s’il te plait. Dans la salle de bain. » La boite est marquée XXL. Il boit le calice jusqu’à la lie en amenant un préservatif à Stephan. Qui s’équipe, relève les cuisses de Chrystèle et la prend devant Léopold toujours au bord du lit qui peut admirer l’intromission en gros plan.
Chrystèle l’apprécie encore plus. Ce n’est certes pas le premier calibre XXL qu’elle prend mais la sensation d’être ainsi prise au plus profond reste fabuleusement bonne. Non que le calibre plus modeste de Léopold ne lui procure aucune sensation, mais voilà quand on a gouté une fois au XXL…Un XXL qu’elle prend maintenant dans sa position préférée. En levrette. Le mâle bien accroché à ses fesses, la tête sur le lit, un doigt sur son clitoris, les couilles qui battent contre ce même clitoris.
Léopold est reparti s’asseoir pour se masturber tranquillement et admire la technique tranquille de Stéphan. Quelques claques sur les fesses pour marquer son territoire, la faire se relever à quatre pattes en lui agrippant ses longs cheveux, lui prendre les seins pour un double effet. Ca y est elle gémit longuement. Elle jouit. Stephan se retire pour ne pas jouir en elle. La fait se retourner. Enlève son préservatif et jouit longuement sur ses seins une quantité de sperme assez hallucinante.
« Ca t’a plu ?
- Oui. Il m’a baisée comme jamais.
- Tu aurais préféré rester avec lui ?
- Il allait voir des amis. Nous notre soirée.
- Tu as encore envie ?
- Oui. Je ne me sens pas repue. »
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