Double jeu (2ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Double jeu (2ème partie)
Mais comment m’étais-je retrouvé en train de me faire sodomiser par une fucking machine, ma compagne Chrystèle me masturbant gentiment, sous l’œil amusé des 80 invités de cette soirée ? Comment mon petit cul de trentenaire hétéro-bi s’était-il retrouvé sous les regards de ceux qui étaient venus ici pour la « chasse aux salopes » annuelle de nos amis Wilena, belle Africaine très dominatrice, et son compagnon, Julius, assez quelconque d’aspect mais très dominant aussi (si ce sont bien leurs prénoms).
Reprenons depuis le début : l’invitation à la « chasse aux salopes » : « Ces dames fuiront dans le parc et seront poursuivies par les hommes. Aucune brutalité ne sera tolérée. S’ils les rattrapent, elles accepteront de leur faire une fellation. Ni plus ni moins. Signez ici : bon pour accord. » Chrystèle et moi avions signé. La situation l’excitait prodigieusement. Son mètre 75, ses seins lourds, son prodigieux fessier en feraient une proie de choix me disais-je en la voyant se préparer. Pour l’occasion nous devions porter des tenues militaires : short et haut de treillis pour elle, pantalon de treillis et torse nu pour lui. « Tu crois que je mets une culotte… Non ce n’est pas nécessaire », me dit-elle en ajustant le haut de treillis – bien trop petit – sur le haut de ses seins.
Bon nous voilà arrivés dans la propriété en ce mois d’octobre très chaud pour la région parisienne. Elle est quasi abandonné, pas d’électricité mais beaucoup d’invités n’en sont pas moins là. Je compte bien une quarantaine de voitures. Je me mets torse nu pour sortir et je frissonne un peu. D’autant que Chrystèle en profite pour me titiller adroitement les seins. A peine entrons nous que j’entends Wilena dire : « Nous vous attendions. Julius veut vous absolument faire découvrir la maison. Attendez là sagement ». Nous en profitons quand même pour boire une coupe de champagne. Julius arrive. Nous prend dans ses bras. Derrière Wilena suit : « La chasse c’est pour plus tard ». Montez déjà avec nous.
Parce qu’il veut Chrystèle pour lui seul, Julius nous emmène dans une salle de bain dont il ferme la porte. Sans trop de cérémonie il la penche sur le lavabo, lui enlève son short et la pénètre. Dans le même temps Wilena a commencé à me masturber et à me mettre à poil. Elle me penche de l’autre côté, vers la baignoire, se munit d’un gode ceinture et me prends à son tour. « C’est sympa de les baiser tous les deux. Hein Julius ? » Il ne répond pas. J’entends Chrystèle haleter. « Oui je crois qu’ils sont prêts pour la suite de la soirée. Toi Léopold laisse tes affaires ici. On a une surprise pour toi en bas. » Ils me mettent un collier, une laisse, me descendent nu et je vois la fucking machine. « Installe toi. » Je prends place, les mains et les pieds attachés sur uen sorte de banc en cuir noir. Wilena positionne le sexe contre mon anus. Actionne un peu la machine. Bien préparé par une première sodomie j’absorbe le phallus. Un peu, beaucoup, toujours plus je suis pénétré. La sensation est incroyable, d’autant qu’ils ont demandé à Chrystèle de me masturber en même temps. Ce qu’elle fait avec application.
Heureusement la séance ne durera que quelques minutes. Déjà Wilena et Julius amènent une autre « volontaire ». Le temps de me relever, d’enlever le préservatif et l’instrument est de nouveau actif. Toujours totalement nue je vois une grande fille très mince goûter aux charmes de la machine. « Ce n’est pas aussi bon qu’une bite mais ça ne débande jamais », rit Julius en m’enlevant collier et laisse.
A peine suis-je allé me rhabiller que Wilena presse la foule de venir participer à sa grande « chasse aux salopes » annuelle. Nous les hommes, une soixantaine par groupes de trois, devont rattraper les vingt femmes présentes. Elles s’égayent comme des moineaux dans le parc alors que nous nous préparons.
Dix minutes passent. Nous y allons. La chasse n’est pas très difficile. Ines se cache à peine derrière un arbre et fait à peine semblant d’être malheureuse de nous voir. Sans trop de dépit elle se met à genoux dans les feuilles mortes qui commencent à tomber des arbres et nous demande de « sortir nos engins ». Epatée par celui d’un petit noir nommé Henri, moins par le mien et encore moins par celui d’un mec très balaise mais très peu doté, elle nous administre des fellations assez moyennes. Mais tout de suite après enlève son short et se colle contre un arbre : « Prenez-moi. Dans l’ordre de la taille de vos bites. Henri tu me finis ».
Nous obéissons crânement. Officiant en deuxième je ne peux que constater qu’elle n’est que moyennement excitée. Tout en lui prenant les seins, qu’elle a conséquents, je me fais la réflexion que, grâce à moi, elle sera bien plus ouverte pour Henri et son sexe qu’il prépare en se masturbant puis en demandant à la belle de le préparer. Je jouis. Je ne suis pas très endurant. Henri me pousse gentiment. Problème il est un peu petit pour elle. Elle se met donc à quatre pattes et là il s’introduit. Beau spectacle. La belle à quatre pattes, ses seins qui ballotent, les deux autres hommes qui les caressent. Henri qui lui donne – beaucoup – de plaisir. La forêt toute entière semble être prise de folie avec des râles, des « oh oui », des « vas y fort » qui résonnent de partout. Seulement il commence à faire un peu frais – il est plus de 23 heures -, et nous nous décidons à rentrer.
A l’intérieur de la maison on baise de partout. Au rez-de-chaussée. Au premier. Au second où je monte chercher Chrystèle. Et quand j’arrive c’est pour la voir se faire prendre en double tout en suçant notre ami Karl, mari de la belle que je viens de prendre. Encore un superbe spectacle qui m’étonnera encore plus en visualisant l’incroyable taille du sexe du deuxième homme. Une largeur vraiment hors norme dont je me demanderai toujours quel effet il a pu faire à Chrystèle. Comme d’habitude discrète sur ce sujet sauf quand elle me dit : « Tu devrais d’autant plus m’aider dans les tâches ménagères que tu as une bite tout à fait moyenne ».
Je me dépêche donc de la relever sous le regard toujours aussi sympa de Karl : « Ca va ?
- Oui. Je suis épuisée. Si tu savais.
- Je sais un peu quand même. »Nous descendons boire un verre et discuter un peu avec les convives. Qui parlent essentiellement de leur été au Cap d’Agde et des soirées à venir. Ici nous sommes un peu dans ce qui se fait de plus torride en termes de soirée. Tous les hommes sont bi, toutes les femmes sont bi, le BDSM est une pratique courante. Beaucoup de nos amis libertins trembleraient d’être ici. Nous apprécions ce côté transgressif tout en restant respectueux. Un sens de la fête qu’ont beaucoup de personnes dans le BDSM. Mais d’autres sont beaucoup plus sérieux. Et moins amusants. Nous en reparlerons…« Ça t’a plu ?
- Je n’avais jamais vécu ça ?
- Moi non plus. »
Reprenons depuis le début : l’invitation à la « chasse aux salopes » : « Ces dames fuiront dans le parc et seront poursuivies par les hommes. Aucune brutalité ne sera tolérée. S’ils les rattrapent, elles accepteront de leur faire une fellation. Ni plus ni moins. Signez ici : bon pour accord. » Chrystèle et moi avions signé. La situation l’excitait prodigieusement. Son mètre 75, ses seins lourds, son prodigieux fessier en feraient une proie de choix me disais-je en la voyant se préparer. Pour l’occasion nous devions porter des tenues militaires : short et haut de treillis pour elle, pantalon de treillis et torse nu pour lui. « Tu crois que je mets une culotte… Non ce n’est pas nécessaire », me dit-elle en ajustant le haut de treillis – bien trop petit – sur le haut de ses seins.
Bon nous voilà arrivés dans la propriété en ce mois d’octobre très chaud pour la région parisienne. Elle est quasi abandonné, pas d’électricité mais beaucoup d’invités n’en sont pas moins là. Je compte bien une quarantaine de voitures. Je me mets torse nu pour sortir et je frissonne un peu. D’autant que Chrystèle en profite pour me titiller adroitement les seins. A peine entrons nous que j’entends Wilena dire : « Nous vous attendions. Julius veut vous absolument faire découvrir la maison. Attendez là sagement ». Nous en profitons quand même pour boire une coupe de champagne. Julius arrive. Nous prend dans ses bras. Derrière Wilena suit : « La chasse c’est pour plus tard ». Montez déjà avec nous.
Parce qu’il veut Chrystèle pour lui seul, Julius nous emmène dans une salle de bain dont il ferme la porte. Sans trop de cérémonie il la penche sur le lavabo, lui enlève son short et la pénètre. Dans le même temps Wilena a commencé à me masturber et à me mettre à poil. Elle me penche de l’autre côté, vers la baignoire, se munit d’un gode ceinture et me prends à son tour. « C’est sympa de les baiser tous les deux. Hein Julius ? » Il ne répond pas. J’entends Chrystèle haleter. « Oui je crois qu’ils sont prêts pour la suite de la soirée. Toi Léopold laisse tes affaires ici. On a une surprise pour toi en bas. » Ils me mettent un collier, une laisse, me descendent nu et je vois la fucking machine. « Installe toi. » Je prends place, les mains et les pieds attachés sur uen sorte de banc en cuir noir. Wilena positionne le sexe contre mon anus. Actionne un peu la machine. Bien préparé par une première sodomie j’absorbe le phallus. Un peu, beaucoup, toujours plus je suis pénétré. La sensation est incroyable, d’autant qu’ils ont demandé à Chrystèle de me masturber en même temps. Ce qu’elle fait avec application.
Heureusement la séance ne durera que quelques minutes. Déjà Wilena et Julius amènent une autre « volontaire ». Le temps de me relever, d’enlever le préservatif et l’instrument est de nouveau actif. Toujours totalement nue je vois une grande fille très mince goûter aux charmes de la machine. « Ce n’est pas aussi bon qu’une bite mais ça ne débande jamais », rit Julius en m’enlevant collier et laisse.
A peine suis-je allé me rhabiller que Wilena presse la foule de venir participer à sa grande « chasse aux salopes » annuelle. Nous les hommes, une soixantaine par groupes de trois, devont rattraper les vingt femmes présentes. Elles s’égayent comme des moineaux dans le parc alors que nous nous préparons.
Dix minutes passent. Nous y allons. La chasse n’est pas très difficile. Ines se cache à peine derrière un arbre et fait à peine semblant d’être malheureuse de nous voir. Sans trop de dépit elle se met à genoux dans les feuilles mortes qui commencent à tomber des arbres et nous demande de « sortir nos engins ». Epatée par celui d’un petit noir nommé Henri, moins par le mien et encore moins par celui d’un mec très balaise mais très peu doté, elle nous administre des fellations assez moyennes. Mais tout de suite après enlève son short et se colle contre un arbre : « Prenez-moi. Dans l’ordre de la taille de vos bites. Henri tu me finis ».
Nous obéissons crânement. Officiant en deuxième je ne peux que constater qu’elle n’est que moyennement excitée. Tout en lui prenant les seins, qu’elle a conséquents, je me fais la réflexion que, grâce à moi, elle sera bien plus ouverte pour Henri et son sexe qu’il prépare en se masturbant puis en demandant à la belle de le préparer. Je jouis. Je ne suis pas très endurant. Henri me pousse gentiment. Problème il est un peu petit pour elle. Elle se met donc à quatre pattes et là il s’introduit. Beau spectacle. La belle à quatre pattes, ses seins qui ballotent, les deux autres hommes qui les caressent. Henri qui lui donne – beaucoup – de plaisir. La forêt toute entière semble être prise de folie avec des râles, des « oh oui », des « vas y fort » qui résonnent de partout. Seulement il commence à faire un peu frais – il est plus de 23 heures -, et nous nous décidons à rentrer.
A l’intérieur de la maison on baise de partout. Au rez-de-chaussée. Au premier. Au second où je monte chercher Chrystèle. Et quand j’arrive c’est pour la voir se faire prendre en double tout en suçant notre ami Karl, mari de la belle que je viens de prendre. Encore un superbe spectacle qui m’étonnera encore plus en visualisant l’incroyable taille du sexe du deuxième homme. Une largeur vraiment hors norme dont je me demanderai toujours quel effet il a pu faire à Chrystèle. Comme d’habitude discrète sur ce sujet sauf quand elle me dit : « Tu devrais d’autant plus m’aider dans les tâches ménagères que tu as une bite tout à fait moyenne ».
Je me dépêche donc de la relever sous le regard toujours aussi sympa de Karl : « Ca va ?
- Oui. Je suis épuisée. Si tu savais.
- Je sais un peu quand même. »Nous descendons boire un verre et discuter un peu avec les convives. Qui parlent essentiellement de leur été au Cap d’Agde et des soirées à venir. Ici nous sommes un peu dans ce qui se fait de plus torride en termes de soirée. Tous les hommes sont bi, toutes les femmes sont bi, le BDSM est une pratique courante. Beaucoup de nos amis libertins trembleraient d’être ici. Nous apprécions ce côté transgressif tout en restant respectueux. Un sens de la fête qu’ont beaucoup de personnes dans le BDSM. Mais d’autres sont beaucoup plus sérieux. Et moins amusants. Nous en reparlerons…« Ça t’a plu ?
- Je n’avais jamais vécu ça ?
- Moi non plus. »
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