Double jeu
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Double jeu
La matérialisation successive du double jeu sexuel de Léopold ne m’avait pas vraiment étonné. Dès le début de notre rencontre il m’avait demandé de le dominer et de le sodomiser. M’offrant rapidement tout le matériel de la dominatrice : ensemble en cuir noir, menottes, martinet et surtout un ensemble de double godemiché noir avec lequel il aimait que je le prenne. Je n’y prenais pas un plaisir particulier, ni à le dominer, ni à le sodomiser et nous abandonnâmes rapidement ces pratiques. Mais je ne fus guère surprise de le voir sucer et se faire prendre rapidement pas de plus en plus d’hommes au fur et à mesure de nos performances érotiques. Je me demandais même si, au fond, ce n’était pas la véritable raison de son intérêt soudain pour le libertinage.
Ce soir là je l’admirais dans une nouvelle performance. Il se faisait prendre non par une femme, non par un homme, mais par une machine à baiser. Son petit cul encaissait fièrement un bon 18 x 6 propulsé par une machine implacable. Et je l’entendais gémir à chaque intromission tout en le branlant. Il en aurait bien été incapable mon chéri, attaché par les mains et les pieds qu’il était. En position de levrette. Entièrement nu. Son mètre 80 tout mince de jeune trentenaire au corps glabre exposé au regard de dizaines de convives.
Oui j’oubliais. Nous étions au sein d’une grande maison apparemment abandonnée dans la banlieue parisienne. Au sein d’un immense parc où devait avoir lieu plus tard une « chasse aux salopes » à laquelle je devais participer. Laissez-moi aussi me présenter à ceux qui ne connaissent pas nos aventures : je suis Chrystèle, la compagne de Léopold – vous savez, celui qui en prend plein le cul en ce moment – j’approche la trentaine et je suis ce qu’on appelle une « belle plante » : 1 m 80 (talons compris) très sexy avec mes longues jambes, mes seins parfaits (95C), ma peau satinée. Depuis un an nous faisons partie des couples qu’on invite dans toutes les soirées. Plutôt pour que ces messieurs me prennent que pour profiter des services de Léopold il faut le dire. La plupart du temps Léopold n’assume guère sa bisexualité et nous n’en faisons d’ailleurs pas mention sur notre fiche sur le site libertin bien connu que nous fréquentons. Donc chut s’il vous plait…Bon me ce soir là il aurait été impossible de le nier : Léopold aime en prendre plein le cul. Pas forcément des calibres de compétition comme je les aime mais de belles bites quand même. Là il s’est fait vite convaincre par un couple de nos amis, elle jolie Africaine toujours hyper lookée, lui au physique assez banal mais très entreprenant, d’essayer leur mystérieuse machine en attendant le « lâcher de salopes » qui doit être l’acmé de cette soirée d’un début octobre en mode été indien.
Nous ces dames avons respecté un dress code très précis : tenue de camouflage militaire en haut, uniquement un short en bas. Ni culottes, ni soutien gorge. J’apprécie le regard insistant des hommes quand je me balade et qu’ils regardent mes fesses, quand je me balade et qu’ils plongent dans mon décolleté que ne dépare pas une veste militaire très ajustée sur le haut de mes seins. Mais il est temps de sortir Léopold de son expérience. « Ca t’a plu ? » lui demande Wilena, la belle Noire, pendant que son compagnon détache Léopold et lui laisse reprendre son souffle. Il a l’air de sortir d’un marathon, vaguement hébété, je l’aide à se rhabiller. Ah oui les hommes également respectent le dress code : pantalon militaire et torses nus. Heureusement que ce début d’automne est particulièrement chaud.
« Bon maintenant nous allons passer à la chasse. » Julius, le compagnon de Wilena, présente les termes du jeu : « Nous avons un grand jardin dans lequel ces dames peuvent se cacher. Les hommes vont les chercher par groupes de trois – il y a trois femmes pour un homme ce soir y compris leur mari -, une fois attrapées ils ont le droit de se faire sucer. Pas plus. Pour le reste il faut leur demander leur accord. Mesdames si ces hommes, ou l’un deux, ne vous plait pas vous le dites et tout s’arrête. C’est comme dans n’importe quelle soirée. Nous y veillerons en passant autour de vous. Si certains essayent d’aller plus loin ils ne seront jamais plus invités. Tout le monde comprend ? » Chasseurs et chassés acquiescent. Nous devons être quatre-vingts : vingt femmes, soixante hommes. Je les regarde. Elles ont entre 20 et 60 ans. Petites, grandes, un peu grosses parfois, j’en connais beaucoup. Même chose pour les hommes : en un an de libertinage nombreux sont ceux qu’elle reconnaît et qui l’ont prise. Sans compter ceux qu’elle a oubliés ou… ceux qui l’ont prise sans même qu’elle puisse les voir.
Là ils sont par groupes de trois sans cible absolue et nous espérons que ce sera plutôt le grand black à l’air si doux que ce petit gros au regard lubrique qui nous attrapera. « Un deux, trois, partez. » Nous avons dix minutes pour se répartir dans le parc de la propriété et se cacher. J’ai repéré en arrivant une grange et c’est là que je vais. Après un détour dans la forêt je m’y introduis en espérant que ce sera plus confortable que de rester dehors. A l’intérieur se trouve une voiture depuis longtemps abandonnée. Malheureusement il n’y a pas d’échelles pour monter et je me contente de m’installer dans un réduit près de la porte. Dix minutes ont sans doute passé car j’entends les hommes crier. Sans doute dix autres minutes passent encore – je n’ai ni montre ni portable - avant que des hommes entrent dans la grange. « Quelqu’un ? Montrez-vous on est là pour vous faire du bien. » Je joue le jeu, je ne bouge pas. Je les entends fouiller à la lueur d’un portable. Enfin un ouvre la porte de mon réduit. « Regardez qui va là. Et regardez, on est tombés sur la plus belle. » `Le compliment me touche. Galamment l’homme me sort de ma cachette. Pas de bol c’est le petit gros à l’air lubrique. Il est accompagné d’un grand mec que j’ai déjà essayé… et apprécié et d’un troisième qui ne me plait vraiment pas. Une espèce de bellâtre qui se balade souvent la bite à l’air dans les soirées tant il en est fier. « Tu nous suces ici ou ailleurs », demande Karl, que je connais bien, la cinquantaine, beau mec, musclé, dont la femme est une belle blonde aux seins opulents. « Ici, allez montrez vos bites les garçons. » Ce qu’ils font et là j’écarquille les yeux. Le petit gros est doté d’un engin digne des plus grands éloges. Encore au repos il arbore un boudin qui ne tarde pas à prendre des proportions éléphantesques. Même les mecs ont ébahis. « Eh Louis, tu nous avais caché ça ! » Je le prends en main et il prend des dimensions de plus en plus hallucinantes. J’en ai vu des bites cette année mais cela dépasse tout ce que j’imaginais. Louis est très doux. Je me mets à genou devant lui. Je lui fait un baiser sur le gland déjà découvert, je le lèche, je tente de le prendre en bouche mais j’y arrive à peine. Très doux il n’insiste pas. Les deux autres hommes n’exigent pas leur du. « Rentrons, il commence à faire froid », me dit Karl.
Dans la maison la plupart des femmes sont rentrées, accompagnées de leurs chasseurs. Les miens me proposent de nous retrouver à l’étage. En montant je croise Léopold occupé à baiser la femme de Karl debout dans l’escalier. Je suis un peu jalouse. J’ai hâte d’en faire autant. Au premier étage les quatre chambres sont déjà bien occupées. Nous continuons. Les hommes flattent mes fesses. Une femme est attachée le long de la rampe. Un homme veille sur elle et ses liens.
Au second nous entrons dans une petite pièce inoccupée. L’impression d’être dans un autre univers est accentué par l’absence d’électricité. La lumière vient de petites lampes à pile qui ne donnent qu’une faible luminosité.
Je m’installe sur un fin matelas et les trois hommes viennent prendre leur du. L’un me déshabille complétement pendant que l’autre me pénètre de ses doigts, puis deux me lèchent les seins. Je me sens partir. J’oublie tout. Quelle sensation exquise d’être la proie de ces trois mâles. Dont Louis dont je me demande si je suis à même de l’absorber. D’ailleurs les deux autres lui disent : « Louis tu passes en dernier. On veut sentir sa chatte avant que tu l’élargisses », rigole Karl : « Ca ne vous dérange pas que je passe en premier ? » Mais vas-y, prends-moi. Oui, je te sens. Tu cherches le chemin. Je te prends ta bite – ma foi de belle facture – pour t’aider. Oui. C’est bon. Prends ton temps mais vas-y fort. J’aime me sentir chienne. Il le sait le salop puisqu’il le dit : « Prends ca petite chienne. Un tu aimes ça. Quand je vais te retourner tu seras encore plus chienne ».
Quelques instants après c’est ce qu’il fait. Me voilà dans ma position préférée. Je mets la tête sur le matelas et d’une main je me touche pendant qu’il me prend. Je sens bien ses mains sur mes hanches. J’adore ça. Très excité il ne tarde pas à jouir en me flattant mes seins que je sens ballotter de toute part. Même avec le préservatif je le sens bien. Ni une ni deux le bellâtre prend sa suite. Il me baise bien ce con. Est-ce l’effet de la répétition ou qu’il est vraiment bon baiseur mais je jouis intensément. Lui ne jouis pas. « A toi Louis. Montre-nous ». Mais je demande un peu de repos. Ils m’entourent. Toujours aussi gentil Louis me dit : « Ne t’en fais pas si tu ne veux pas. Je comprendrai. » Mais en fait oui j’ai envie d’essayer. Cette bite monstrueuse qu’il garde vivante en se masturbant devant moi m’excite. Et en plus je suis absolument trempée. « Si tu veux je m’étends et tu viens au-dessus de moi ? » Ce n’est pas ma position préférée mais cela me permet effectivement de garder le contrôle.
Je me positionne donc au-dessus de son monstrueux gland et je me baisse peu à peu. La sensation est indescriptible. J’ai l’impression de m’empaler sur un fer brulant. Les deux autres hommes admirent le spectacle. Je descends peu à peu. Ca y est il est totalement en moi. Je m’appuie sur son torse. Je monte et je descends. Il suit le mouvement. Mais je m’arrête pour prendre conscience de la chose. C’est là que le bellâtre fait ce que je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’il fasse. Il me pousse en avant et tente de me sodomiser. Je crie « non, je ne veux pas » mais il est motivé « Tu ne l’oublieras jamais ». Karl me regarder : « Dis le et on arrête ». Je ne dis rien. Il s’introduit peu à peu. D’indescriptible la sensation devient hors du temps. Les deux hommes commencent à me pénétrer en double. Enfin seul celui qui s’est enfoncé dans mon orifice le moins usité bouge. De plus en plus vite. Il jouit ce salop et j’en lâche la bite de Karl qui a eu la bonne idée de le demander de le sucer. Trois bites en moi. Une première.
Quand je sors de mon délire érotique c’est pour voir Léopold qui me regarde au bord de la porte. Qu’a-t-il vu ? Louis m’embrasse. Karl me caresse les fesses. Le bellâtre est déjà parti. Nous faisons encore un petit tour au buffet avant de nous éclipser.
« Ca t’a plu ?
- Je n’avais jamais vécu ça ?
- Moi non plus. »
Ce soir là je l’admirais dans une nouvelle performance. Il se faisait prendre non par une femme, non par un homme, mais par une machine à baiser. Son petit cul encaissait fièrement un bon 18 x 6 propulsé par une machine implacable. Et je l’entendais gémir à chaque intromission tout en le branlant. Il en aurait bien été incapable mon chéri, attaché par les mains et les pieds qu’il était. En position de levrette. Entièrement nu. Son mètre 80 tout mince de jeune trentenaire au corps glabre exposé au regard de dizaines de convives.
Oui j’oubliais. Nous étions au sein d’une grande maison apparemment abandonnée dans la banlieue parisienne. Au sein d’un immense parc où devait avoir lieu plus tard une « chasse aux salopes » à laquelle je devais participer. Laissez-moi aussi me présenter à ceux qui ne connaissent pas nos aventures : je suis Chrystèle, la compagne de Léopold – vous savez, celui qui en prend plein le cul en ce moment – j’approche la trentaine et je suis ce qu’on appelle une « belle plante » : 1 m 80 (talons compris) très sexy avec mes longues jambes, mes seins parfaits (95C), ma peau satinée. Depuis un an nous faisons partie des couples qu’on invite dans toutes les soirées. Plutôt pour que ces messieurs me prennent que pour profiter des services de Léopold il faut le dire. La plupart du temps Léopold n’assume guère sa bisexualité et nous n’en faisons d’ailleurs pas mention sur notre fiche sur le site libertin bien connu que nous fréquentons. Donc chut s’il vous plait…Bon me ce soir là il aurait été impossible de le nier : Léopold aime en prendre plein le cul. Pas forcément des calibres de compétition comme je les aime mais de belles bites quand même. Là il s’est fait vite convaincre par un couple de nos amis, elle jolie Africaine toujours hyper lookée, lui au physique assez banal mais très entreprenant, d’essayer leur mystérieuse machine en attendant le « lâcher de salopes » qui doit être l’acmé de cette soirée d’un début octobre en mode été indien.
Nous ces dames avons respecté un dress code très précis : tenue de camouflage militaire en haut, uniquement un short en bas. Ni culottes, ni soutien gorge. J’apprécie le regard insistant des hommes quand je me balade et qu’ils regardent mes fesses, quand je me balade et qu’ils plongent dans mon décolleté que ne dépare pas une veste militaire très ajustée sur le haut de mes seins. Mais il est temps de sortir Léopold de son expérience. « Ca t’a plu ? » lui demande Wilena, la belle Noire, pendant que son compagnon détache Léopold et lui laisse reprendre son souffle. Il a l’air de sortir d’un marathon, vaguement hébété, je l’aide à se rhabiller. Ah oui les hommes également respectent le dress code : pantalon militaire et torses nus. Heureusement que ce début d’automne est particulièrement chaud.
« Bon maintenant nous allons passer à la chasse. » Julius, le compagnon de Wilena, présente les termes du jeu : « Nous avons un grand jardin dans lequel ces dames peuvent se cacher. Les hommes vont les chercher par groupes de trois – il y a trois femmes pour un homme ce soir y compris leur mari -, une fois attrapées ils ont le droit de se faire sucer. Pas plus. Pour le reste il faut leur demander leur accord. Mesdames si ces hommes, ou l’un deux, ne vous plait pas vous le dites et tout s’arrête. C’est comme dans n’importe quelle soirée. Nous y veillerons en passant autour de vous. Si certains essayent d’aller plus loin ils ne seront jamais plus invités. Tout le monde comprend ? » Chasseurs et chassés acquiescent. Nous devons être quatre-vingts : vingt femmes, soixante hommes. Je les regarde. Elles ont entre 20 et 60 ans. Petites, grandes, un peu grosses parfois, j’en connais beaucoup. Même chose pour les hommes : en un an de libertinage nombreux sont ceux qu’elle reconnaît et qui l’ont prise. Sans compter ceux qu’elle a oubliés ou… ceux qui l’ont prise sans même qu’elle puisse les voir.
Là ils sont par groupes de trois sans cible absolue et nous espérons que ce sera plutôt le grand black à l’air si doux que ce petit gros au regard lubrique qui nous attrapera. « Un deux, trois, partez. » Nous avons dix minutes pour se répartir dans le parc de la propriété et se cacher. J’ai repéré en arrivant une grange et c’est là que je vais. Après un détour dans la forêt je m’y introduis en espérant que ce sera plus confortable que de rester dehors. A l’intérieur se trouve une voiture depuis longtemps abandonnée. Malheureusement il n’y a pas d’échelles pour monter et je me contente de m’installer dans un réduit près de la porte. Dix minutes ont sans doute passé car j’entends les hommes crier. Sans doute dix autres minutes passent encore – je n’ai ni montre ni portable - avant que des hommes entrent dans la grange. « Quelqu’un ? Montrez-vous on est là pour vous faire du bien. » Je joue le jeu, je ne bouge pas. Je les entends fouiller à la lueur d’un portable. Enfin un ouvre la porte de mon réduit. « Regardez qui va là. Et regardez, on est tombés sur la plus belle. » `Le compliment me touche. Galamment l’homme me sort de ma cachette. Pas de bol c’est le petit gros à l’air lubrique. Il est accompagné d’un grand mec que j’ai déjà essayé… et apprécié et d’un troisième qui ne me plait vraiment pas. Une espèce de bellâtre qui se balade souvent la bite à l’air dans les soirées tant il en est fier. « Tu nous suces ici ou ailleurs », demande Karl, que je connais bien, la cinquantaine, beau mec, musclé, dont la femme est une belle blonde aux seins opulents. « Ici, allez montrez vos bites les garçons. » Ce qu’ils font et là j’écarquille les yeux. Le petit gros est doté d’un engin digne des plus grands éloges. Encore au repos il arbore un boudin qui ne tarde pas à prendre des proportions éléphantesques. Même les mecs ont ébahis. « Eh Louis, tu nous avais caché ça ! » Je le prends en main et il prend des dimensions de plus en plus hallucinantes. J’en ai vu des bites cette année mais cela dépasse tout ce que j’imaginais. Louis est très doux. Je me mets à genou devant lui. Je lui fait un baiser sur le gland déjà découvert, je le lèche, je tente de le prendre en bouche mais j’y arrive à peine. Très doux il n’insiste pas. Les deux autres hommes n’exigent pas leur du. « Rentrons, il commence à faire froid », me dit Karl.
Dans la maison la plupart des femmes sont rentrées, accompagnées de leurs chasseurs. Les miens me proposent de nous retrouver à l’étage. En montant je croise Léopold occupé à baiser la femme de Karl debout dans l’escalier. Je suis un peu jalouse. J’ai hâte d’en faire autant. Au premier étage les quatre chambres sont déjà bien occupées. Nous continuons. Les hommes flattent mes fesses. Une femme est attachée le long de la rampe. Un homme veille sur elle et ses liens.
Au second nous entrons dans une petite pièce inoccupée. L’impression d’être dans un autre univers est accentué par l’absence d’électricité. La lumière vient de petites lampes à pile qui ne donnent qu’une faible luminosité.
Je m’installe sur un fin matelas et les trois hommes viennent prendre leur du. L’un me déshabille complétement pendant que l’autre me pénètre de ses doigts, puis deux me lèchent les seins. Je me sens partir. J’oublie tout. Quelle sensation exquise d’être la proie de ces trois mâles. Dont Louis dont je me demande si je suis à même de l’absorber. D’ailleurs les deux autres lui disent : « Louis tu passes en dernier. On veut sentir sa chatte avant que tu l’élargisses », rigole Karl : « Ca ne vous dérange pas que je passe en premier ? » Mais vas-y, prends-moi. Oui, je te sens. Tu cherches le chemin. Je te prends ta bite – ma foi de belle facture – pour t’aider. Oui. C’est bon. Prends ton temps mais vas-y fort. J’aime me sentir chienne. Il le sait le salop puisqu’il le dit : « Prends ca petite chienne. Un tu aimes ça. Quand je vais te retourner tu seras encore plus chienne ».
Quelques instants après c’est ce qu’il fait. Me voilà dans ma position préférée. Je mets la tête sur le matelas et d’une main je me touche pendant qu’il me prend. Je sens bien ses mains sur mes hanches. J’adore ça. Très excité il ne tarde pas à jouir en me flattant mes seins que je sens ballotter de toute part. Même avec le préservatif je le sens bien. Ni une ni deux le bellâtre prend sa suite. Il me baise bien ce con. Est-ce l’effet de la répétition ou qu’il est vraiment bon baiseur mais je jouis intensément. Lui ne jouis pas. « A toi Louis. Montre-nous ». Mais je demande un peu de repos. Ils m’entourent. Toujours aussi gentil Louis me dit : « Ne t’en fais pas si tu ne veux pas. Je comprendrai. » Mais en fait oui j’ai envie d’essayer. Cette bite monstrueuse qu’il garde vivante en se masturbant devant moi m’excite. Et en plus je suis absolument trempée. « Si tu veux je m’étends et tu viens au-dessus de moi ? » Ce n’est pas ma position préférée mais cela me permet effectivement de garder le contrôle.
Je me positionne donc au-dessus de son monstrueux gland et je me baisse peu à peu. La sensation est indescriptible. J’ai l’impression de m’empaler sur un fer brulant. Les deux autres hommes admirent le spectacle. Je descends peu à peu. Ca y est il est totalement en moi. Je m’appuie sur son torse. Je monte et je descends. Il suit le mouvement. Mais je m’arrête pour prendre conscience de la chose. C’est là que le bellâtre fait ce que je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’il fasse. Il me pousse en avant et tente de me sodomiser. Je crie « non, je ne veux pas » mais il est motivé « Tu ne l’oublieras jamais ». Karl me regarder : « Dis le et on arrête ». Je ne dis rien. Il s’introduit peu à peu. D’indescriptible la sensation devient hors du temps. Les deux hommes commencent à me pénétrer en double. Enfin seul celui qui s’est enfoncé dans mon orifice le moins usité bouge. De plus en plus vite. Il jouit ce salop et j’en lâche la bite de Karl qui a eu la bonne idée de le demander de le sucer. Trois bites en moi. Une première.
Quand je sors de mon délire érotique c’est pour voir Léopold qui me regarde au bord de la porte. Qu’a-t-il vu ? Louis m’embrasse. Karl me caresse les fesses. Le bellâtre est déjà parti. Nous faisons encore un petit tour au buffet avant de nous éclipser.
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- Je n’avais jamais vécu ça ?
- Moi non plus. »
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