Douceur à trois.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Douceur à trois. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2024 dans la catégorie Plus on est
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Douceur à trois.
Suite à mon épisode avec ma belle-sœur veuve Marianne et la collègue de ma femme, j’ai voulu remettre le couvert. Alors je me suis décidé de lui rendre une visite chez elle. Sachant que je la retrouverais seule, et donc ? Je vous laisse deviner.
En stationnant devant son portail, je remarque qu’une voiture inconnue à ma mémoire, y est garée. En prenant soin de ne pas me faire remarquer, je file le long de sa clôture jusqu’à trouver une ouverture pour passer de l’autre côté.
A l’abri derrière une haie, je scrute du côté de chez Marianne. Il se trouve qu’elle se trouve seins nus assise sur le divan dans le salon. Tout de suite mon esprit me dicte des choses très coquines à faire avec elle. Soudain, tout est devenu moins intéressant. Sorti de nulle part, une brune au teint mâte, émerge. Elle prend place derrière le divan, là même est où installée ma belle-sœur. Là elle prend les seins de Marianne en coupe à travers le textile de son chandail. Les caresses doucement, les mamelons entre les pouces et l’index. Je ne suis pas surpris plus que ça. Surtout venant de ma chère belle-sœur.
Je sens comme un bouleversement dans mon slip. Je masse ma queue à travers l’étoffe de mon pantalon. La brune se penche à son cou pour que leurs visages s’effleurent. Et doucement, plante un baiser sur les lèvres de la veuve joyeuse. C’est une scène des plus excitante.
J’adore être voyeur !
Là-bas, elles continuent à s’embrasser, la brune est maintenant accroupie et commence à caresser le ventre de Marianne. Pour atteindre la fourche de ses cuisses. Ma belle-sœur ouvre ses cuisses. Après quelques instants, alors qu’elle se frotte entre les jambes de Marianne, elle se lève de sa position. Et rampe jusqu’à s’allongée sur la veuve. Ma belle-sœur écarte plus largement ses jambes pour qu’elle puisse s’allonger dessus. Elles s’embrassent et commencent à se frotter l’une contre l’autre.
J’ai une vue de premier choix sur le fessier de la brune. Rond, athlétique. La scène m’échauffe à chaque instant. Leurs sexes se frottent ensemble, à travers leurs habits, leurs hanches et leurs culs bougent à un rythme régulier.
La brune soulève son cul, et prend place sur un côté. Elle glisse sa main dans le slip de Marianne. Cette dernière gémit, appréciant clairement la caresse. Je devine que la brune doigte ma belle-sœur. Marianne se tord et passe ses doigts dans les cheveux de la brune. Je n’en peux plus.
La brune retire ses doigts et les porte à ses lèvres. Elle les prend au fond de sa bouche. Les sucent avec un plaisir évident. Je ne peux entendre les doux gémissements qu’elles lâchent, mais les devinent.
Je reste sans réaction devant le spectacle offert. Je me sens tout de même un peu idiot. Alors je prends la décision de m’approcher de la baie. Et oui !
Elles se roulent un long patin qui me parait monotone, alors que je prends l’initiative de faire mon entrée à l’intérieur du salon.
Bon, je me dois maintenant de mettre la main à la pâte. Je les débarrasse de leurs chaussures et de leurs culottes. Je me jette sur leurs petites chattes qui se frottent l’une contre l’autre. Celle de Marianne d’abord, que je n’ai pas touchée depuis longtemps. Je me régale. Elle est inondée d’un suc visqueux et sens fort. Marianne doit attendre ça depuis longtemps car elle commence à se plaindre et roule sur le dos pour me laisser la voie libre.
Je la suce bruyamment. Les femmes continuent à se bécoter sans s’occuper de ma présence. J’en profite pour préparer mon coup. Je m’enduis la queue de vaseline et amène la brune sur le côté en me couchant derrière elle.
-Marianne, tiens-la un peu. Je vais la prendre par-derrière.
-Ça ne va pas ! Je n’y tiens pas ! Lâche la brune.
Cette situation ne fait qu’accroître ma dureté et je trouve facilement l’orée du petit trou. La brune au nom de Sarah est moins large que ma belle-sœur.
J’engage mes cuisses entre les siennes pour qu’elle ne les serre pas trop, c’est que la garce est musclée. Marianne l’enlace et m’aide à arrivé à mes fins. Je serre le bassin de Sarah entre les mains comme avec un étau. Je n’ai plus qu’à pousser en avant. Après deux glissades fructueuses, dues à la vaseline, je pointe dans le mille et sens que j’avance déjà dans les premiers millimètres de la zone interdite.
Je maintiens la pression. Il faut franchir le sphincter anal. Mon gland l’élargit lentement, la vaseline fait son office, aucun frottement ne me gêne dans ma progression.
Le cul de Sarah s’ouvre, en dépit de ses protestations. Je ne parle plus, sa révolte m’excite ainsi que le bruit des baisers que Marianne pose sur sa bouche entre deux injures qu’elle nous envoie à l’un ou à l’autre.
-C’est ? Me demande Marianne.
-OOOOUUUUUIIII, fais-je, ça va rentrer…
Je franchis l’anneau étroit, à présent mon gland est de l’autre côté, dans le conduit chaud et soyeux. Millimètre après millimètre je m’enfonce. Puis je commence à voyager très doucement en elle. Je la sens terriblement bien serrée, chaude. Je grogne d’extase !
Je ne suis pas pressé. Je suis très bien, surtout que mon sexe dur ne réclame pas une éjaculation imminente. Comme souvent avec une nouvelle partenaire. Je peux donc, rester longtemps ainsi à la limer par-derrière. J’ai envie que cela dur le plus longtemps possible.
Elle cesse les plaintes pour se contenter de gémissements aiguës et prolongées. Je note cependant que leur intensité diminue.
Je vais alors plus loin et un peu plus vite. J’accélère pour cela le mouvement. Sarah ne bouge pas, ne proteste plus. Je me dis que ça ne doit pas trop lui déplaire mon enculade. Je voyage à fond entre ses fesses. Le désir de jouir m’assaille, alors. Je la roule sur le ventre et me penche en haut de sa croupe. Marianne se met sur le côté et l’embrasse de force en lui agrippant les cheveux. Mon plaisir arrive lentement. Je le déverse par petits coups dans le cul de la brune. Je reste sur elle et en elle, lui couvrant le cou de baisers.
Pour fêter notre rencontre Marianne propose d’ouvrir une bouteille de champagne. Une fois après avoir trinqué, une idée me vient en observant la bouteille. Je m’en empare, et pivote du côté de ma belle-sœur. Je place le goulot entre les grandes lèvres de son sexe. Je veille à ne pas lui faire mal. Je veux seulement la surprendre, sachant qu’elle en serait mortifiée.
Je me penche à mon tour au-dessus de Marianne et je laisse couler un filet de champagne sur son sexe.
-Waouh ! C’est froid ! Lâche-t-elle à l’intention de Sarah, impatiente de voir la suite.
Je m’agenouille sur le divan et la seconde goulée éclabousse le gros clitoris avant de ruisseler à l’intérieur de sa chatte. Le champagne forme une petite flaque sur le cuir juste sous les fesses.
-Mais dis-moi, laisse tomber Marianne, tu as de drôle de mœurs, beau-frère ?
-Et tu n’as rien vue encore !
Je fais coulisser le verre de la bouteille, après l’avoir introduis dans l’orifice vaginal. Et lentement, je verse tout le restant de champagne dans le vagin de Marianne, qui pousse des petits cris aigus.
-Ça pique et c’est froid !
Son vagin se contracte. Les petites lèvres trempées de champagne et de mouille, se recroquevillent quelques secondes avant de se relâcher comme une bouche qui éructe. Crachouillant une coulée de champagne qui s’écoule.
Je me jette sur la vulve dégoulinante. Je suce les lèvres, aspirant le champagne que le vagin continue à recracher spasmodiquement, la léchant avec avidité.
Marianne me regarde faire, en se passant la langue sur ses lèvres. Sarah se saisit de la bouteille de champagne. Elle lèche le goulot, sans quitté le tableau qu’on offre à ses yeux. Puis la voilà qui à son tour s’auto-enfonce le goulot dans sa chatte. Le fait aller et venir entre ses lèvres. Sa mouille suinte sur le goulot, avec des reflets irisés. Son cul se dandine comme s’il quémandait que la bouteille s’enfonce au plus profond du con.
-Tu veux que je baise ta copine devant toi, Marianne ?
-Non, j’ai mieux !
Là elle, sans attendre, la voilà qui se lève pour aller rejoindre sa chambre. Elle en revient munie d’un appendice énorme. Un godemiché de caoutchouc couleur chair qui se dresse à l’horizontale. Ajusté par des sangles autour de la taille. Cette dernière s’approche les mains aux hanches. La queue en latex oscille à quelques centimètres de mon visage.
- Tu me fais une pipe ?
Pris dans le jeu, je lui suce la prothèse. Aussi bien que je l’aurais fait avec une vraie queue.
-Un vrai expert à ce que je vois ! Laisse tomber ma belle-sœur.
Puis, Marianne se place entre les jambes de Sarah. Elle fléchit les genoux, guide le gros gland en latex vers la fente à la place de la bouteille, pousse avec les hanches pour que la queue rentre à moitié. Sarah se relâche en laissant échapper une plainte veule. Marianne accentue sa poussée et la barres de latex pénètre bien au fond de la matrice qui l’accueille.
Je vois la queue artificielle ressortir puis rentrer à nouveau, avant d’adopter un rythme de piston bien huilé. Le fessier de ma belle-sœur se contracte à chacun de ses déhanchements. Elle adopte le même rythme que j’aurais fait pendant le coït.
- Viens donc Alain, la cochonne est capable d’accueillir deux queues, crois-moi !
Sans déloger son godemiché de la chatte de Sarah, Marianne lui soulève le buste et la tourne de côté. La position ne doit pas être très confortable, mais je comprends l’utilité. Mais je choisis la facilité en enfonçant ma que dans sa bouche. Centralisée par les coups de boutoir qui lui élargissent la chatte, Sarah a du mal à se canaliser à me satisfaire avec ses lèvres.
Alors j’ai pris les choses en mains en me masturbant. Profitant de cette opportunité, Marianne, décidément coquine, tout en baisant sa copine entreprend de me masturber. Elle parvient à ses fins sans grande difficulté. Dû à son savoir faire en la matière. Je me répands sur le sol, Mes yeux ne quittant pas les siens.

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