Du désert du Negev à l’Himalaya 1
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Du désert du Negev à l’Himalaya 1
Chapitre I - La guesthouse
C’était sa première nuit sans cauchemar depuis longtemps. Le vacarme de la rave s’était éloigné, en contrebas, quelque part dans une vallée de l’Himalaya, où les corps peints en fluo se mouvaient encore au rythme lancinant du beat tribal. Ici, dans la guest house perchée à flanc de montagne, les draps étaient rêches, les murs fins, les fenêtres ouvertes sur les senteurs de feu de bois et d’encens rance.
Avigaïl s’était installée là quelques jours plus tôt. L’Inde avait été sa fuite. Elle disait parfois à voix basse que le désert du Néguev ne quitterait jamais sa peau, qu’elle avait appris à tirer, mais pas à aimer. Elle avait vingt ans. Le service militaire derrière elle.
Ce soir-là, elle les avait repérés à la cuisine commune. Un Espagnol au rire grave et un Danois plus réservé, à la barbe claire. Tous deux beaux comme des dieux. Les regards s’étaient croisés et elle avait pris l’initiative. Une main sur le bras de l’un, quelques mots en anglais, une invitation simple : « upstairs, chai? ». Ils s’étaient laissés faire.
La chambre était nue. Deux grands matelas rassemblés au sol et une bougie. Avigaïl avait fermé la porte et elle s’était approchée. Leurs corps étaient chauds de la danse, musclés des randonnées. Elle les avait déshabillés l’un après l’autre. Elle-même avait retiré son t-shirt. Ses seins fermes, libérés, avaient capté leurs regards. Elle les avait laissés l’approcher, les mains curieuses, les bouches tremblantes puis elle s’était allongée, nue, entre eux.
Leurs doigts s’égaraient, descendaient le long de ses hanches, dessinaient ses cuisses. Elle écartait les jambes comme offerte. Le Danois la léchait doucement, attentif à ses réactions. Sa langue glissait contre les lèvres de son sexe, remontait jusqu’au clitoris. Avigaïl gémit. Pendant ce temps, l’Espagnol l’embrassait, ses doigts explorant son ventre, caressant ses seins, roulant les mamelons dans ses paumes calleuses.
Elle tendit la main et saisit leurs verges. Elles étaient toutes les deux dures, bien vivantes. Elle les tenait ensemble, les comparait du bout des doigts, comme si elle jaugeait leur chaleur, leur densité.
Le Danois se redressa, sa verge glissa contre sa vulve déjà mouillée. Elle le guida en elle, le bassin soulevé. Elle ferma les yeux et il entra lentement.
Pendant qu’il la pénétrait, l’Espagnol s’approcha. Elle lui ouvrit la bouche. Il y glissa sa verge, doucement d’abord, puis avec une ardeur croissante. Ses mains caressant ses cheveux. Elle suçait pendant qu’on la pénétrait. Les gémissements se mêlaient au frottement des peaux.
Puis les corps changèrent de place. Elle se retrouva au-dessus du Danois, le chevauchant, tandis que l’Espagnol se plaça derrière elle. Il écartait ses fesses, glissant ses doigts entre elles, la lubrifiant lentement. Elle ne dit rien. Le regard vers le plafond, elle souriait et respirait profondément comme en transe.
Quand elle sentit la double pénétration, elle crispa les cuisses et serra les dents. Le plaisir montait. Elle n’avait jamais ressenti cela: une chaleur mystique, un déferlement de sensations, une perte totale de repères. Leurs verges frottaient l’une contre l’autre à travers la mince cloison de chair. Son corps tremblait, secoué par des spasmes puissants.
Quand elle jouit, elle cria longuement et un silence religieux suivit. Les deux hommes se retirèrent. Le sperme coulait le long de sa cuisse. Elle se laissa retomber sur le matelas, haletante, et rit d’un petit rire cristallin.
- I think I needed that, dit-elle joyeuse.
Ils ne répondirent pas. Le Danois lui caressa doucement le bras. L’Espagnol lui tendit une cigarette qu’elle refusa. Elle se leva, nue, alla s’asseoir au bord de la fenêtre. Au loin, les premières lueurs de l’aube baignaient les sommets himalayens.
C’était sa première nuit sans cauchemar depuis longtemps. Le vacarme de la rave s’était éloigné, en contrebas, quelque part dans une vallée de l’Himalaya, où les corps peints en fluo se mouvaient encore au rythme lancinant du beat tribal. Ici, dans la guest house perchée à flanc de montagne, les draps étaient rêches, les murs fins, les fenêtres ouvertes sur les senteurs de feu de bois et d’encens rance.
Avigaïl s’était installée là quelques jours plus tôt. L’Inde avait été sa fuite. Elle disait parfois à voix basse que le désert du Néguev ne quitterait jamais sa peau, qu’elle avait appris à tirer, mais pas à aimer. Elle avait vingt ans. Le service militaire derrière elle.
Ce soir-là, elle les avait repérés à la cuisine commune. Un Espagnol au rire grave et un Danois plus réservé, à la barbe claire. Tous deux beaux comme des dieux. Les regards s’étaient croisés et elle avait pris l’initiative. Une main sur le bras de l’un, quelques mots en anglais, une invitation simple : « upstairs, chai? ». Ils s’étaient laissés faire.
La chambre était nue. Deux grands matelas rassemblés au sol et une bougie. Avigaïl avait fermé la porte et elle s’était approchée. Leurs corps étaient chauds de la danse, musclés des randonnées. Elle les avait déshabillés l’un après l’autre. Elle-même avait retiré son t-shirt. Ses seins fermes, libérés, avaient capté leurs regards. Elle les avait laissés l’approcher, les mains curieuses, les bouches tremblantes puis elle s’était allongée, nue, entre eux.
Leurs doigts s’égaraient, descendaient le long de ses hanches, dessinaient ses cuisses. Elle écartait les jambes comme offerte. Le Danois la léchait doucement, attentif à ses réactions. Sa langue glissait contre les lèvres de son sexe, remontait jusqu’au clitoris. Avigaïl gémit. Pendant ce temps, l’Espagnol l’embrassait, ses doigts explorant son ventre, caressant ses seins, roulant les mamelons dans ses paumes calleuses.
Elle tendit la main et saisit leurs verges. Elles étaient toutes les deux dures, bien vivantes. Elle les tenait ensemble, les comparait du bout des doigts, comme si elle jaugeait leur chaleur, leur densité.
Le Danois se redressa, sa verge glissa contre sa vulve déjà mouillée. Elle le guida en elle, le bassin soulevé. Elle ferma les yeux et il entra lentement.
Pendant qu’il la pénétrait, l’Espagnol s’approcha. Elle lui ouvrit la bouche. Il y glissa sa verge, doucement d’abord, puis avec une ardeur croissante. Ses mains caressant ses cheveux. Elle suçait pendant qu’on la pénétrait. Les gémissements se mêlaient au frottement des peaux.
Puis les corps changèrent de place. Elle se retrouva au-dessus du Danois, le chevauchant, tandis que l’Espagnol se plaça derrière elle. Il écartait ses fesses, glissant ses doigts entre elles, la lubrifiant lentement. Elle ne dit rien. Le regard vers le plafond, elle souriait et respirait profondément comme en transe.
Quand elle sentit la double pénétration, elle crispa les cuisses et serra les dents. Le plaisir montait. Elle n’avait jamais ressenti cela: une chaleur mystique, un déferlement de sensations, une perte totale de repères. Leurs verges frottaient l’une contre l’autre à travers la mince cloison de chair. Son corps tremblait, secoué par des spasmes puissants.
Quand elle jouit, elle cria longuement et un silence religieux suivit. Les deux hommes se retirèrent. Le sperme coulait le long de sa cuisse. Elle se laissa retomber sur le matelas, haletante, et rit d’un petit rire cristallin.
- I think I needed that, dit-elle joyeuse.
Ils ne répondirent pas. Le Danois lui caressa doucement le bras. L’Espagnol lui tendit une cigarette qu’elle refusa. Elle se leva, nue, alla s’asseoir au bord de la fenêtre. Au loin, les premières lueurs de l’aube baignaient les sommets himalayens.
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