Du désert du Negev à l’Himalaya 2

Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Du désert du Negev à l’Himalaya 2
Chapitre II - Le matin d’après
La lumière était déjà forte quand elle s’éveilla. Les matelas avait glissé un peu pendant la nuit. Un pied nu dépassait de la couverture. Avigaïl ouvrit les yeux lentement.
À côté d’elle, seul restait le Danois. Elle observa l’homme endormi. Ses cheveux blonds en bataille, sa peau fine, presque translucide sous la lumière d’altitude. Il respirait lentement, paisiblement. Un reste de sourire flottait sur ses lèvres.
Elle se leva sans bruit, s’enroula dans un châle, traversa le couloir en bois et redescendit chercher deux chai brûlants. Elle revint, les posa à même le sol. Puis elle se glissa sous les couvertures. Son corps effleurait déjà le sien, mais elle décida de le réveiller autrement.
Sa main descendit lentement, cherchant la chaleur au creux de ses reins. Il gémit à peine, encore entre veille et sommeil. Elle embrassa son cou, puis son épaule. Ses doigts glissaient maintenant vers son sexe, qu’elle caressa doucement, longuement. Il devint dur, tendu, réactif sous ses caresses.
Il ouvrit les yeux.
— « Bonjour, » murmura-t-il, dans un anglais pâteux.
— « Chut, » souffla-t-elle en posant un doigt sur ses lèvres.
Elle se mit à califourchon sur lui, mais sans le laisser entrer. Leurs bassins se frottaient lentement, leurs sexes se frôlaient sans se confondre.
Elle guida sa verge entre ses lèvres, sans la prendre en elle. Elle le coinça contre son clitoris, puis ondula doucement, le regard dans le sien. Il respirait fort maintenant, les mains sur ses hanches, la tenant sans la presser. Elle le chevaucha ainsi, longtemps, jusqu’à sentir son propre plaisir naître, se tendre, s’accumuler. Puis, d’un geste, elle s’abaissa et l’engloba tout entier. Leur gémissement fut presque synchronisé.
Il la prit par les seins. Elle se cambra. Le rythme s’accélérait. Il la regardait fasciné. Elle sentait sa verge taper contre son col, l’emplir de manière douce mais intense, comme un écho à sa propre vacuité.
Lorsqu’elle jouit, ce fut discret, mais profond. Elle se laissa retomber contre son torse, et il la serra fort. Puis il la suivit, quelques secondes plus tard, les reins arqués, les jambes tendues. Elle sentit sa semence couler, chaude, s’étaler au fond d’elle.
La lumière était déjà forte quand elle s’éveilla. Les matelas avait glissé un peu pendant la nuit. Un pied nu dépassait de la couverture. Avigaïl ouvrit les yeux lentement.
À côté d’elle, seul restait le Danois. Elle observa l’homme endormi. Ses cheveux blonds en bataille, sa peau fine, presque translucide sous la lumière d’altitude. Il respirait lentement, paisiblement. Un reste de sourire flottait sur ses lèvres.
Elle se leva sans bruit, s’enroula dans un châle, traversa le couloir en bois et redescendit chercher deux chai brûlants. Elle revint, les posa à même le sol. Puis elle se glissa sous les couvertures. Son corps effleurait déjà le sien, mais elle décida de le réveiller autrement.
Sa main descendit lentement, cherchant la chaleur au creux de ses reins. Il gémit à peine, encore entre veille et sommeil. Elle embrassa son cou, puis son épaule. Ses doigts glissaient maintenant vers son sexe, qu’elle caressa doucement, longuement. Il devint dur, tendu, réactif sous ses caresses.
Il ouvrit les yeux.
— « Bonjour, » murmura-t-il, dans un anglais pâteux.
— « Chut, » souffla-t-elle en posant un doigt sur ses lèvres.
Elle se mit à califourchon sur lui, mais sans le laisser entrer. Leurs bassins se frottaient lentement, leurs sexes se frôlaient sans se confondre.
Elle guida sa verge entre ses lèvres, sans la prendre en elle. Elle le coinça contre son clitoris, puis ondula doucement, le regard dans le sien. Il respirait fort maintenant, les mains sur ses hanches, la tenant sans la presser. Elle le chevaucha ainsi, longtemps, jusqu’à sentir son propre plaisir naître, se tendre, s’accumuler. Puis, d’un geste, elle s’abaissa et l’engloba tout entier. Leur gémissement fut presque synchronisé.
Il la prit par les seins. Elle se cambra. Le rythme s’accélérait. Il la regardait fasciné. Elle sentait sa verge taper contre son col, l’emplir de manière douce mais intense, comme un écho à sa propre vacuité.
Lorsqu’elle jouit, ce fut discret, mais profond. Elle se laissa retomber contre son torse, et il la serra fort. Puis il la suivit, quelques secondes plus tard, les reins arqués, les jambes tendues. Elle sentit sa semence couler, chaude, s’étaler au fond d’elle.
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