Du désert du Negev à l’Himalaya 4
Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Du désert du Negev à l’Himalaya 4
Chapitre IV - Sous les étoiles
La guest house avait un toit plat, recouvert de tapis élimés et de quelques matelas posés à même le ciment. Le soir, des guirlandes de petites ampoules vacillaient au vent. Plus loin, on voyait les lumières rares de la vallée, et, au-dessus, une voûte d’étoiles dense, comme un drap piqué de braises.
Ils étaient montés tous les quatre après minuit. Le bruit des basses montait faiblement depuis la fête en contrebas.
Avigaïl s’était allongée sur le dos, les bras ouverts, les yeux plongés dans le ciel. La nuit lui donnait l’impression d’être minuscule. Lila s’était approchée, avait posé sa tête sur son ventre. L’Espagnol était assis à côté d’elles, caressant les jambes de Avigaïl du bout des doigts, tandis que le Danois s’installait à genoux, entre ses cuisses.
L’air était frais, mais les corps brûlaient.
Le Danois se pencha et, sans un mot, commença à lécher lentement, méthodiquement, savourant chaque frisson qui la parcourait. Avigaïl laissa échapper un soupir, sa main glissant dans les cheveux blonds. Lila, elle, se redressa et embrassa la bouche de Avigaïl, leur souffle se mêlant.
L’Espagnol se pencha sur Lila, caressa son dos, puis la tira doucement vers lui. Il souleva sa jupe, glissa ses doigts entre ses cuisses, les sentit humides et prêtes. Lila, à genoux maintenant, se cambra contre lui, et il entra en elle dans un mouvement lent, presque cérémoniel.
Les rythmes se superposaient : la langue du Danois sur Avigaïl, les coups de reins de l’Espagnol dans Lila, les bouches des deux femmes qui continuaient de se chercher malgré l’écart, se frôlant, se mordillant.
Avigaïl sentait la fraîcheur de la nuit sur ses seins, contrastant avec la chaleur intense à l’intérieur de son sexe. Le plaisir montait, tendu, irrésistible. Ses hanches se soulevaient d’elles-mêmes, cherchant plus de contact.
Le Danois, sans cesser de la lécher, introduisit deux doigts en elle, croisa son regard, et accéléra juste ce qu’il fallait. Avigaïl cria, un son bref, animal, qui se perdit dans l’immensité du ciel.
L’Espagnol, derrière Lila, augmenta le rythme, la tenant fermement contre lui. Les gémissements de Lila se mêlaient à ceux de Avigaïl. Les deux femmes se touchèrent encore, leurs doigts explorant à l’aveugle.
Puis tout se déchaîna. Avigaïl jouit, les cuisses tremblantes, agrippée aux cheveux du Danois. Lila suivit, le corps secoué de spasmes, enserrant l’Espagnol qui se libéra dans un râle.
Ils restèrent immobiles un moment, étendus sur les tapis, le souffle court. L’air frais venait sécher la sueur sur leurs peaux.
Avigaïl ouvrit les yeux. Au-dessus, les étoiles semblaient plus proches, comme si elles avaient glissé pendant l’étreinte. Elle se dit qu’aucune arme, aucune caserne, aucun ordre ne pourrait lui reprendre cet instant.
La guest house avait un toit plat, recouvert de tapis élimés et de quelques matelas posés à même le ciment. Le soir, des guirlandes de petites ampoules vacillaient au vent. Plus loin, on voyait les lumières rares de la vallée, et, au-dessus, une voûte d’étoiles dense, comme un drap piqué de braises.
Ils étaient montés tous les quatre après minuit. Le bruit des basses montait faiblement depuis la fête en contrebas.
Avigaïl s’était allongée sur le dos, les bras ouverts, les yeux plongés dans le ciel. La nuit lui donnait l’impression d’être minuscule. Lila s’était approchée, avait posé sa tête sur son ventre. L’Espagnol était assis à côté d’elles, caressant les jambes de Avigaïl du bout des doigts, tandis que le Danois s’installait à genoux, entre ses cuisses.
L’air était frais, mais les corps brûlaient.
Le Danois se pencha et, sans un mot, commença à lécher lentement, méthodiquement, savourant chaque frisson qui la parcourait. Avigaïl laissa échapper un soupir, sa main glissant dans les cheveux blonds. Lila, elle, se redressa et embrassa la bouche de Avigaïl, leur souffle se mêlant.
L’Espagnol se pencha sur Lila, caressa son dos, puis la tira doucement vers lui. Il souleva sa jupe, glissa ses doigts entre ses cuisses, les sentit humides et prêtes. Lila, à genoux maintenant, se cambra contre lui, et il entra en elle dans un mouvement lent, presque cérémoniel.
Les rythmes se superposaient : la langue du Danois sur Avigaïl, les coups de reins de l’Espagnol dans Lila, les bouches des deux femmes qui continuaient de se chercher malgré l’écart, se frôlant, se mordillant.
Avigaïl sentait la fraîcheur de la nuit sur ses seins, contrastant avec la chaleur intense à l’intérieur de son sexe. Le plaisir montait, tendu, irrésistible. Ses hanches se soulevaient d’elles-mêmes, cherchant plus de contact.
Le Danois, sans cesser de la lécher, introduisit deux doigts en elle, croisa son regard, et accéléra juste ce qu’il fallait. Avigaïl cria, un son bref, animal, qui se perdit dans l’immensité du ciel.
L’Espagnol, derrière Lila, augmenta le rythme, la tenant fermement contre lui. Les gémissements de Lila se mêlaient à ceux de Avigaïl. Les deux femmes se touchèrent encore, leurs doigts explorant à l’aveugle.
Puis tout se déchaîna. Avigaïl jouit, les cuisses tremblantes, agrippée aux cheveux du Danois. Lila suivit, le corps secoué de spasmes, enserrant l’Espagnol qui se libéra dans un râle.
Ils restèrent immobiles un moment, étendus sur les tapis, le souffle court. L’air frais venait sécher la sueur sur leurs peaux.
Avigaïl ouvrit les yeux. Au-dessus, les étoiles semblaient plus proches, comme si elles avaient glissé pendant l’étreinte. Elle se dit qu’aucune arme, aucune caserne, aucun ordre ne pourrait lui reprendre cet instant.
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