Du désert du Negev à l’Himalaya 5

Récit érotique écrit par Marcel1001 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Du désert du Negev à l’Himalaya 5
Chapitre V - Aube sur les toits
L’air était frais quand Avigaïl ouvrit les yeux. Le ciel pâlissait à l’est, les montagnes dessinaient encore des ombres noires. Sur le toit, tout sentait la nuit écoulée : le tapis humide de rosée, les draps froissés, la peau séchée par le vent.
L’Espagnol et Lila dormaient, enroulés l’un contre l’autre. Le Danois, lui, était déjà réveillé. Il était assis, nu, contre le parapet, observant la vallée encore endormie.
Avigaïl se leva, le corps marqué par la veille. Elle marcha vers lui, ses pieds nus effleurant les tapis. Il la regarda approcher, un sourire discret aux lèvres. Sans un mot, elle s’agenouilla face à lui, ses mains glissant sur ses cuisses froides.
Le frisson du matin fit durcir ses tétons, mais elle n’y prêta pas attention. Elle se concentra sur sa main qui s’enroulait autour de sa verge encore molle, la réchauffant par des caresses lentes. Le Danois soupira, ses doigts se perdant dans ses cheveux.
Elle le prit en bouche, d’abord doucement, pour sentir le sang revenir, puis plus profond, le goût salé du matin. Chaque va-et-vient était accompagné du bruit lointain du village qui s’éveillait.
Le Danois se tendit rapidement. Elle s’arrêta, le regarda, puis tourna le dos, s’agenouilla à quatre pattes devant le parapet. Derrière elle, la vallée s’ouvrait, silencieuse. Il vint se placer, posa ses mains larges sur ses hanches, et entra en elle d’un seul geste.
Le contraste entre la morsure de l’air et la chaleur en elle la fit gémir. Elle savait qu’ils étaient visibles, peut-être, depuis les maisons les plus hautes, mais cette idée lui donna une excitation nouvelle.
Le Danois accéléra, ses coups résonnant dans son bassin. Elle se pencha plus, les coudes au sol, le dos cambré. Le soleil commençait à pointer, colorant leurs peaux d’or pâle.
Elle sentit sa jouissance monter vite, comme une vague glacée et brûlante à la fois. Lorsqu’elle se libéra, elle mordit le tapis pour étouffer un cri. Lui se retira, jouit sur ses fesses, le sperme chaud coulant sur sa peau froide.
Ils restèrent là, immobiles, à reprendre leur souffle. Plus bas, le village s’éveillait complètement.
L’air était frais quand Avigaïl ouvrit les yeux. Le ciel pâlissait à l’est, les montagnes dessinaient encore des ombres noires. Sur le toit, tout sentait la nuit écoulée : le tapis humide de rosée, les draps froissés, la peau séchée par le vent.
L’Espagnol et Lila dormaient, enroulés l’un contre l’autre. Le Danois, lui, était déjà réveillé. Il était assis, nu, contre le parapet, observant la vallée encore endormie.
Avigaïl se leva, le corps marqué par la veille. Elle marcha vers lui, ses pieds nus effleurant les tapis. Il la regarda approcher, un sourire discret aux lèvres. Sans un mot, elle s’agenouilla face à lui, ses mains glissant sur ses cuisses froides.
Le frisson du matin fit durcir ses tétons, mais elle n’y prêta pas attention. Elle se concentra sur sa main qui s’enroulait autour de sa verge encore molle, la réchauffant par des caresses lentes. Le Danois soupira, ses doigts se perdant dans ses cheveux.
Elle le prit en bouche, d’abord doucement, pour sentir le sang revenir, puis plus profond, le goût salé du matin. Chaque va-et-vient était accompagné du bruit lointain du village qui s’éveillait.
Le Danois se tendit rapidement. Elle s’arrêta, le regarda, puis tourna le dos, s’agenouilla à quatre pattes devant le parapet. Derrière elle, la vallée s’ouvrait, silencieuse. Il vint se placer, posa ses mains larges sur ses hanches, et entra en elle d’un seul geste.
Le contraste entre la morsure de l’air et la chaleur en elle la fit gémir. Elle savait qu’ils étaient visibles, peut-être, depuis les maisons les plus hautes, mais cette idée lui donna une excitation nouvelle.
Le Danois accéléra, ses coups résonnant dans son bassin. Elle se pencha plus, les coudes au sol, le dos cambré. Le soleil commençait à pointer, colorant leurs peaux d’or pâle.
Elle sentit sa jouissance monter vite, comme une vague glacée et brûlante à la fois. Lorsqu’elle se libéra, elle mordit le tapis pour étouffer un cri. Lui se retira, jouit sur ses fesses, le sperme chaud coulant sur sa peau froide.
Ils restèrent là, immobiles, à reprendre leur souffle. Plus bas, le village s’éveillait complètement.
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