Echange de plaisirs...

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 178 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 1 213 567 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 188 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Echange de plaisirs...
Ce matin du mois de mai, je me donne pour mission de terminer les travaux dans ma maison secondaire. Je dois fixer une gouttière, ainsi que d’installer une lumière extérieure devant la porte d'entrée. La caisse d’outils en main, je m’avance jusqu’à l’abri. C’est alors que je l’ai vu. Oui, la vieille voisine désherbant son allée. Le cul haut perché dans un pantalon noir qui lui moule le fessier comme une seconde peau. Mon excitation est à son comble.
Je suis convaincu que, sans cette apparition, je n’aurais jamais eu l’idée que j’ai eue. Ni une, ni deux, je sors de mon terrain. Je m’engage sur le chemin, jusqu’à arriver devant son portail. D’un coup d’œil, je m’aperçois que la voiture du mari n’est pas gérée comme à son habitude devant le garage. Une aubaine pour moi. Sans m’annoncer, je pousse le portillon et fonce jusqu’au jardin où se trouve Claudine, toujours en train s’affairer à désherber. J’ai là devant moi, la vision de son cul, épanoui dans un pantalon en tergal noir. Un drôle de tenue pour désherber !
Cela lui fait, un large et bien rond fessier. Ne pouvant pas me contrôler, je suis submergé par un réflexe pervers. Celui de poser ma main sur son derrière et de la palper. Me foutant comme de l’an mil, du risque que je prenais, mais surtout des retomber qui aller s’en écouler. Mais, à ma grande surprise, Claudine tourne lentement sa tête, elle me contemple de ses yeux perçant bleus azure derrière sa paire de lunettes. Elle me sourit dans un état d’euphorie. Comme si elle s’attendait, ou espérait cette caresse de ma part. Elle va jusqu’à m’encourager à continuer. Enfin, c’est comme ça que je l’ai pris ! Puisqu’elle n’a posé aucune résistance.
Juste elle se redresse avec une souplesse inouïe pour son âge. On parle là, d’une femme qui a passé les soixante-dix ans tout de même ! Elle m’attrape par le poignée et m’entraîne avec elle à l’intérieur de chez elle. à peine la porte d’entrée fermé, sans réfléchir emporté par mon excitation, je glisse un doigt dans le sillon, en essayant de le creuser le plus loin possible. Me rendant bien compte que le tissu est doux, mais également élastique. Que je peux le faire s’infiltrer dans la raie. Je fais passer son chandail rouge par-dessus sa tête, et dans l’élan dégrafe son soutien-gorge. Je me suis dit que je devenais de plus en plus pervers. Et que surtout, j’allais de plus en plus loin ! Cela ne m’empêche pas de me mettre à lui pétrir les seins.
- Ça à l’air de te plaire, dis-moi ?
- C’est que je me demandais jusqu’alors, si un jour, j’aurai la chance qu’un homme, un vrai s’intéresse à moi !
- Et bien ton vœu vient de se réaliser !
Ma main abandonne sa poitrine pour glisser jusqu’à son ventre dodu, dévalant jusqu’au bas de ses hanches. J’appuie mes doigts sur la saillie de son pubis. Je suis surpris par l’impact que ça a eu sur elle. Elle délire complètement, alors que je ne suis même pas encore sur son sexe, mais simplement sur le renflement de sa motte. Elle a une sorte de spasme très violent.
L’espace d’un instant, dans une sorte de test, je m’écarte d’elle. Voilà qu’elle me jette un regard suppliant. Je ne suis pas vraiment surpris.
- Tu n’as pas peur que ton mari débarque ?
- Il est parti à la chasse pour la journée.
- Qui part à la chasse perd sa place !
- Aller voisin, donne-moi du plaisir, j’en ai tant besoin !
Grâce au tergal, la fente de la voisine est particulièrement marquée. On aurait dit que sa vulve cherche désespérément à en happer le tissu. Ça lui rentre bien au milieu, et ça fait quelque chose de tout à fait obscène. Qui en tout cas, me donne envie de voir ce qui se passe dessous.
- Elle est de quelle couleur la culotte que tu portes ?
- Elle est rouge.
- En quelle matière ?
- En tulle…
- Cela te dit de me la montrer ?
- Ce serait avec plaisir, fait-elle en se défaisant.
Je profite que son pantalon soit à ses chevilles, pour amener mes doigts a effleuré le devant de son slip. Je savais que ce que je lui avais fait, l’avais excitée, mais je ne m’attendais pas pour trouver une culotte était autant maculée. Elle a de plus en plus de mal à garder le contrôle d’elle-même. Je ne reconnaissais jusqu’alors pas très bien cette femme. Seulement qu’elle était la gentille voisine, que j’apercevais toute timide à souhait dans son jardin au côté de son mari.
Je glisse ma main entre sa peau et l’élastique de sa culotte. Tout de suite, je suis émerveillé par sa forte pilosité, mais aussi, par sa fente mouillée. La violence de sa réaction m’a pris de court. Elle a ouvert la bouche et elle a poussé des gémissements, et des sortes de cris brefs, rauques, inarticulés, en même temps que ses yeux se révulsaient.
- Oui… Oui, touche-moi… Je ne tiens plus… baise-moi…
Je tire sa culotte vers le bas. Elle est collante. Voir sa forte pilosité décuple mon désir. Puis elle laisse échapper une sorte de lente et longue plainte. L’indice le plus troublant, cependant, est le fait que sa fente s’humidifie à vue d’œil. J’ai même pensé un instant qu’elle s’est pissée dessus. Une odeur forte me monte au nez. Un relent que je connais bien, celle des sécrétions. Je plante mes doigts dans la fente. Les enfonçant aussi profond que je le pouvais. Elle se fige, bouche ouverte.
- Que c’est bon les doigts d’un homme !
Elle me tend son derrière. Je parcours sa croupe. Elle est rattrapée encore une fois par des spasmes, se met à hurler.
- Ça se passe quand je suis très excitée…
Je la travaille dans cette position très longtemps. J’amène mes doigts sur la boursouflure de son sexe, appuyant, creusant. Je me penche, pour mettre ma bouche à hauteur de son sexe. Je lape ses sécrétions. Elle libère une rasade de ses sécrétions mousseuses et blanches. Je plonge de la bouche et de la langue dessus avec l’idée de tout avaler. Le goût est succulent. Dans une sorte de contradiction, ma langue sur elle, la fouille, la travaille.
J’ai comme souvent à cet instant, renoncé à me poser des questions, arrivant à ce qui est mon envie ultime. Mon regard trouve le sien. Dans lequel je lis une sorte de provocation. Un appel qui me dit clairement « Oui je veux que tu me baise, à présent ».
Mais il n’est pas question, ma queue est propriété privée. Alors je continue à stimuler sa chatte avec ma langue. C’est comme ça pendant plusieurs dizaines de secondes. Le temps que je réalise qu’elle pisse une fois encore.
Un jet plus puissant qui sort d’entre ses lèvres. Sous mon regard fasciné, Claudine se vide. De ce même jet régulier. Avant d’envoyer, au terme de sa miction, des giclées plus puissantes pour venir se perdre sur mon visage.
- Oh… Oh ! Quelle honte, je m'excuse. Ça se produit quand je suis en transe !
- Tu sais, ce n’est rien du tout !
- Tu vas me dire que ce n’est pas la première fois ?
- Ni la dernière, si tu veux savoir !
À ce moment, la coquine empoigne mon sexe à travers mon jean et le presse fortement.
- En voilà des manières ?
- Cela te dérange qu’une vieille femme comme moi te touche ?
- Tout le contraire !
Mon sexe prisonnier de sa main a un sursaut. Je la dévore d’un regard fiévreux pendant qu’elle me caresse au travers l’étoffe.
- Je peux ? Me fait-elle.
- Tu as envie de la voir.
- Tu sais ces derniers temps, j’ai eu droit à celle de mon mari.
- Oui, je vois…
D’un geste sûr, elle fait jaillir ma verge et l’enferme entre ses doigts. Elle commence très doucement à me branler. Je vois briller un éclat dans les braqués sur les miens. Avant que je ne comprenne, elle descend à mes pieds. Sa langue humide parcourt mon gland.
Puis tranquillement, visite chaque millimètre de ma queue raide. Elle se penche un peu plus et applique le même traitement à mes couilles. Sa langue remonte jusque sur mon gland. Ses lèvres s’ouvrent et sa bouche emprisonne très lentement ma queue. Je me vois progressivement disparaître. Elle enserre la base de mon pénis et me branle au même rythme qu’elle me suce. Je suis étonné par son savoir-faire. J’ai même la lucidité de me poser la question à savoir si son mari avait droit au même traitement ?
Je commence à divaguer. Grommelant des oui encore, à tout-va. Elle cesse parfois de me pomper pour me lécher de nouveau. Puis elle reprend un peu plus vite. Son autre main se porte à mes couilles qu’elle pétrit délicatement. Comme j’aime. Je suis parcouru d’une décharge électrique qui me tétanise. J’ouvre mes yeux affolés pour la voir avaler ma semence dont je me vide jusqu’à la dernière goutte dans sa bouche.
Le lendemain j’ai le plaisir de voir Claudine me rejoindre, mais là chez moi.
- Je te dérange ?
- Pas du tout. Je devine que ton mari est absent ?
- Non, il est à la maison. Je lui es dit que j’allais en course.
- Tu aimes que je te branle, hein ? Dis-le, Claudine !
- Oui… Oui, avec ta bouche !
Je soulève l’ourlet de la robe qu’elle porte et m’aperçois qu’elle a omis de se mettre une culotte.
-C’est pour aller plus vite…
Je ‘accroupis à ses pieds. J’écarte les lèvres grasses de mes doigts. Son clitoris et ses petites lèvres sont gonflés.
- Tu veux que je te mange la chatte ?
Je pose sa jambe droite en appuis sur mon épaule. Je place ma bouche contre sa fourche. Claudine a la vulve détrempée. Ce qui dise que les vieilles ne mouillent pas, ont bien tort !
Je bois à sa source. Aux soupirs que j’entends, je comprends que je suis sur le bon chemin. D’une main, je caresse voluptueusement ses fesses, et de l’autre, je joue avec ses seins lourds, après l’avoir enfouis sous son chandail. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je titille ses tétons érigés, soupesant ses savoureuses masses charnelles. Elle accompagne par divers mouvements de bassin les gâteries de ma langue. C’est un véritable plaisir de la boire. Ses doigts dans mes cheveux se font plus rapaces. Son souffle de plus en plus court. Le nez enfoui dans ses poils rêches, je lape, je lèche sans relâche, je suçote vicieusement son petit bourgeon. Comme la veille, elle explose de nouveau. M’arrose de sa pisse tiède. Dans un long gémissement, tandis que son mouvement de bassin devient plus pressant encore. Je continue à jouer de la langue dans son intimité. Je bois sa pisse. D’un geste brusque, elle repousse ma tête tandis qu’elle continue vocalement de jouir. Toujours debout, son corps tremblant de plaisir, son ventre frémissant, ses seins lourds agités de soubresauts, sa tête lancée vers le plafond.
Elle s’apaise peu à peu. Elle prend appui contre mon établi. Les bras le long du corps. Je me contente de la regarder.
- Merci ! Me fait-elle. Tu m’as donné en deux fois tout ce que j’ai reçu en une année.
- Par ton mari ?
- Non… Par mes propres soins…
- Aide-toi, et le ciel te viendra en aide !
- Oui… C’est un peu cela, oui !
Amusée, elle soupire, et lâche :
- Mais pourquoi ?
- Tu veux dire avec toi ?
- Oui !
- Une subite envie.
- Mais je ne suis pas de la première fraîcheur !
- J’ai toujours été incité par cette catégorie d’âge là.
- Et je peux savoir pourquoi ?
- Elles font l’amour comme si c’était pour elles, la dernière fois.
- Ce n’est pas faux. C’est ce que j’ai ressenti avec toi. Déclare-t-elle, avec un grand sourire, tout en pressant ses seins comme pour me les présenter.
- Tu m’aguiches là !
- Viens la mettre entre mes seins.
Je place chacun de mes genoux de part et d’autre d’elle, et j’enfouis ma queue bien dure entre ses douces masses molles. C’est divinement bon, de faire glisser mon pénis entre ses seins. C’est exquis, pour ceux qui ne connaissent pas ! Il y a quelque chose d’insolite et sensuel à faire branler sa queue entre deux blocs de chair accueillante et chaude, d’une adorable vieille salope qui aime visiblement le sexe.
De se nicher dedans, puis de ressortir afin de mieux renouveler la manœuvre l’instant d’après. Bien sûr, les premiers picotements annonciateurs d’un plaisir proche se font retentir. Je ne cherche même pas à me retenir. Je me déleste, expulsant ma jouissance sur le buste de Claudine. Entre ses seins, sa gorge, son cou, son menton.
- Oh oui, arrose-moi de ton sperme…c’est si bon… Très bon… Trop bon !
Quelques minutes plus tard, une fois notre soif sexuelle tombée, voilà qu’elle laisse tomber :
- Tu es un gros cochon !
- C’est ce que les femmes cherchent chez les hommes, non ? Qu’ils soient le plus cochon que possible ! Sache qu’avec toi, je voudrais l’être encore plus.
- Ah oui ? Et qu’est-ce qui t’en empêche ?
Je suis convaincu que, sans cette apparition, je n’aurais jamais eu l’idée que j’ai eue. Ni une, ni deux, je sors de mon terrain. Je m’engage sur le chemin, jusqu’à arriver devant son portail. D’un coup d’œil, je m’aperçois que la voiture du mari n’est pas gérée comme à son habitude devant le garage. Une aubaine pour moi. Sans m’annoncer, je pousse le portillon et fonce jusqu’au jardin où se trouve Claudine, toujours en train s’affairer à désherber. J’ai là devant moi, la vision de son cul, épanoui dans un pantalon en tergal noir. Un drôle de tenue pour désherber !
Cela lui fait, un large et bien rond fessier. Ne pouvant pas me contrôler, je suis submergé par un réflexe pervers. Celui de poser ma main sur son derrière et de la palper. Me foutant comme de l’an mil, du risque que je prenais, mais surtout des retomber qui aller s’en écouler. Mais, à ma grande surprise, Claudine tourne lentement sa tête, elle me contemple de ses yeux perçant bleus azure derrière sa paire de lunettes. Elle me sourit dans un état d’euphorie. Comme si elle s’attendait, ou espérait cette caresse de ma part. Elle va jusqu’à m’encourager à continuer. Enfin, c’est comme ça que je l’ai pris ! Puisqu’elle n’a posé aucune résistance.
Juste elle se redresse avec une souplesse inouïe pour son âge. On parle là, d’une femme qui a passé les soixante-dix ans tout de même ! Elle m’attrape par le poignée et m’entraîne avec elle à l’intérieur de chez elle. à peine la porte d’entrée fermé, sans réfléchir emporté par mon excitation, je glisse un doigt dans le sillon, en essayant de le creuser le plus loin possible. Me rendant bien compte que le tissu est doux, mais également élastique. Que je peux le faire s’infiltrer dans la raie. Je fais passer son chandail rouge par-dessus sa tête, et dans l’élan dégrafe son soutien-gorge. Je me suis dit que je devenais de plus en plus pervers. Et que surtout, j’allais de plus en plus loin ! Cela ne m’empêche pas de me mettre à lui pétrir les seins.
- Ça à l’air de te plaire, dis-moi ?
- C’est que je me demandais jusqu’alors, si un jour, j’aurai la chance qu’un homme, un vrai s’intéresse à moi !
- Et bien ton vœu vient de se réaliser !
Ma main abandonne sa poitrine pour glisser jusqu’à son ventre dodu, dévalant jusqu’au bas de ses hanches. J’appuie mes doigts sur la saillie de son pubis. Je suis surpris par l’impact que ça a eu sur elle. Elle délire complètement, alors que je ne suis même pas encore sur son sexe, mais simplement sur le renflement de sa motte. Elle a une sorte de spasme très violent.
L’espace d’un instant, dans une sorte de test, je m’écarte d’elle. Voilà qu’elle me jette un regard suppliant. Je ne suis pas vraiment surpris.
- Tu n’as pas peur que ton mari débarque ?
- Il est parti à la chasse pour la journée.
- Qui part à la chasse perd sa place !
- Aller voisin, donne-moi du plaisir, j’en ai tant besoin !
Grâce au tergal, la fente de la voisine est particulièrement marquée. On aurait dit que sa vulve cherche désespérément à en happer le tissu. Ça lui rentre bien au milieu, et ça fait quelque chose de tout à fait obscène. Qui en tout cas, me donne envie de voir ce qui se passe dessous.
- Elle est de quelle couleur la culotte que tu portes ?
- Elle est rouge.
- En quelle matière ?
- En tulle…
- Cela te dit de me la montrer ?
- Ce serait avec plaisir, fait-elle en se défaisant.
Je profite que son pantalon soit à ses chevilles, pour amener mes doigts a effleuré le devant de son slip. Je savais que ce que je lui avais fait, l’avais excitée, mais je ne m’attendais pas pour trouver une culotte était autant maculée. Elle a de plus en plus de mal à garder le contrôle d’elle-même. Je ne reconnaissais jusqu’alors pas très bien cette femme. Seulement qu’elle était la gentille voisine, que j’apercevais toute timide à souhait dans son jardin au côté de son mari.
Je glisse ma main entre sa peau et l’élastique de sa culotte. Tout de suite, je suis émerveillé par sa forte pilosité, mais aussi, par sa fente mouillée. La violence de sa réaction m’a pris de court. Elle a ouvert la bouche et elle a poussé des gémissements, et des sortes de cris brefs, rauques, inarticulés, en même temps que ses yeux se révulsaient.
- Oui… Oui, touche-moi… Je ne tiens plus… baise-moi…
Je tire sa culotte vers le bas. Elle est collante. Voir sa forte pilosité décuple mon désir. Puis elle laisse échapper une sorte de lente et longue plainte. L’indice le plus troublant, cependant, est le fait que sa fente s’humidifie à vue d’œil. J’ai même pensé un instant qu’elle s’est pissée dessus. Une odeur forte me monte au nez. Un relent que je connais bien, celle des sécrétions. Je plante mes doigts dans la fente. Les enfonçant aussi profond que je le pouvais. Elle se fige, bouche ouverte.
- Que c’est bon les doigts d’un homme !
Elle me tend son derrière. Je parcours sa croupe. Elle est rattrapée encore une fois par des spasmes, se met à hurler.
- Ça se passe quand je suis très excitée…
Je la travaille dans cette position très longtemps. J’amène mes doigts sur la boursouflure de son sexe, appuyant, creusant. Je me penche, pour mettre ma bouche à hauteur de son sexe. Je lape ses sécrétions. Elle libère une rasade de ses sécrétions mousseuses et blanches. Je plonge de la bouche et de la langue dessus avec l’idée de tout avaler. Le goût est succulent. Dans une sorte de contradiction, ma langue sur elle, la fouille, la travaille.
J’ai comme souvent à cet instant, renoncé à me poser des questions, arrivant à ce qui est mon envie ultime. Mon regard trouve le sien. Dans lequel je lis une sorte de provocation. Un appel qui me dit clairement « Oui je veux que tu me baise, à présent ».
Mais il n’est pas question, ma queue est propriété privée. Alors je continue à stimuler sa chatte avec ma langue. C’est comme ça pendant plusieurs dizaines de secondes. Le temps que je réalise qu’elle pisse une fois encore.
Un jet plus puissant qui sort d’entre ses lèvres. Sous mon regard fasciné, Claudine se vide. De ce même jet régulier. Avant d’envoyer, au terme de sa miction, des giclées plus puissantes pour venir se perdre sur mon visage.
- Oh… Oh ! Quelle honte, je m'excuse. Ça se produit quand je suis en transe !
- Tu sais, ce n’est rien du tout !
- Tu vas me dire que ce n’est pas la première fois ?
- Ni la dernière, si tu veux savoir !
À ce moment, la coquine empoigne mon sexe à travers mon jean et le presse fortement.
- En voilà des manières ?
- Cela te dérange qu’une vieille femme comme moi te touche ?
- Tout le contraire !
Mon sexe prisonnier de sa main a un sursaut. Je la dévore d’un regard fiévreux pendant qu’elle me caresse au travers l’étoffe.
- Je peux ? Me fait-elle.
- Tu as envie de la voir.
- Tu sais ces derniers temps, j’ai eu droit à celle de mon mari.
- Oui, je vois…
D’un geste sûr, elle fait jaillir ma verge et l’enferme entre ses doigts. Elle commence très doucement à me branler. Je vois briller un éclat dans les braqués sur les miens. Avant que je ne comprenne, elle descend à mes pieds. Sa langue humide parcourt mon gland.
Puis tranquillement, visite chaque millimètre de ma queue raide. Elle se penche un peu plus et applique le même traitement à mes couilles. Sa langue remonte jusque sur mon gland. Ses lèvres s’ouvrent et sa bouche emprisonne très lentement ma queue. Je me vois progressivement disparaître. Elle enserre la base de mon pénis et me branle au même rythme qu’elle me suce. Je suis étonné par son savoir-faire. J’ai même la lucidité de me poser la question à savoir si son mari avait droit au même traitement ?
Je commence à divaguer. Grommelant des oui encore, à tout-va. Elle cesse parfois de me pomper pour me lécher de nouveau. Puis elle reprend un peu plus vite. Son autre main se porte à mes couilles qu’elle pétrit délicatement. Comme j’aime. Je suis parcouru d’une décharge électrique qui me tétanise. J’ouvre mes yeux affolés pour la voir avaler ma semence dont je me vide jusqu’à la dernière goutte dans sa bouche.
Le lendemain j’ai le plaisir de voir Claudine me rejoindre, mais là chez moi.
- Je te dérange ?
- Pas du tout. Je devine que ton mari est absent ?
- Non, il est à la maison. Je lui es dit que j’allais en course.
- Tu aimes que je te branle, hein ? Dis-le, Claudine !
- Oui… Oui, avec ta bouche !
Je soulève l’ourlet de la robe qu’elle porte et m’aperçois qu’elle a omis de se mettre une culotte.
-C’est pour aller plus vite…
Je ‘accroupis à ses pieds. J’écarte les lèvres grasses de mes doigts. Son clitoris et ses petites lèvres sont gonflés.
- Tu veux que je te mange la chatte ?
Je pose sa jambe droite en appuis sur mon épaule. Je place ma bouche contre sa fourche. Claudine a la vulve détrempée. Ce qui dise que les vieilles ne mouillent pas, ont bien tort !
Je bois à sa source. Aux soupirs que j’entends, je comprends que je suis sur le bon chemin. D’une main, je caresse voluptueusement ses fesses, et de l’autre, je joue avec ses seins lourds, après l’avoir enfouis sous son chandail. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je titille ses tétons érigés, soupesant ses savoureuses masses charnelles. Elle accompagne par divers mouvements de bassin les gâteries de ma langue. C’est un véritable plaisir de la boire. Ses doigts dans mes cheveux se font plus rapaces. Son souffle de plus en plus court. Le nez enfoui dans ses poils rêches, je lape, je lèche sans relâche, je suçote vicieusement son petit bourgeon. Comme la veille, elle explose de nouveau. M’arrose de sa pisse tiède. Dans un long gémissement, tandis que son mouvement de bassin devient plus pressant encore. Je continue à jouer de la langue dans son intimité. Je bois sa pisse. D’un geste brusque, elle repousse ma tête tandis qu’elle continue vocalement de jouir. Toujours debout, son corps tremblant de plaisir, son ventre frémissant, ses seins lourds agités de soubresauts, sa tête lancée vers le plafond.
Elle s’apaise peu à peu. Elle prend appui contre mon établi. Les bras le long du corps. Je me contente de la regarder.
- Merci ! Me fait-elle. Tu m’as donné en deux fois tout ce que j’ai reçu en une année.
- Par ton mari ?
- Non… Par mes propres soins…
- Aide-toi, et le ciel te viendra en aide !
- Oui… C’est un peu cela, oui !
Amusée, elle soupire, et lâche :
- Mais pourquoi ?
- Tu veux dire avec toi ?
- Oui !
- Une subite envie.
- Mais je ne suis pas de la première fraîcheur !
- J’ai toujours été incité par cette catégorie d’âge là.
- Et je peux savoir pourquoi ?
- Elles font l’amour comme si c’était pour elles, la dernière fois.
- Ce n’est pas faux. C’est ce que j’ai ressenti avec toi. Déclare-t-elle, avec un grand sourire, tout en pressant ses seins comme pour me les présenter.
- Tu m’aguiches là !
- Viens la mettre entre mes seins.
Je place chacun de mes genoux de part et d’autre d’elle, et j’enfouis ma queue bien dure entre ses douces masses molles. C’est divinement bon, de faire glisser mon pénis entre ses seins. C’est exquis, pour ceux qui ne connaissent pas ! Il y a quelque chose d’insolite et sensuel à faire branler sa queue entre deux blocs de chair accueillante et chaude, d’une adorable vieille salope qui aime visiblement le sexe.
De se nicher dedans, puis de ressortir afin de mieux renouveler la manœuvre l’instant d’après. Bien sûr, les premiers picotements annonciateurs d’un plaisir proche se font retentir. Je ne cherche même pas à me retenir. Je me déleste, expulsant ma jouissance sur le buste de Claudine. Entre ses seins, sa gorge, son cou, son menton.
- Oh oui, arrose-moi de ton sperme…c’est si bon… Très bon… Trop bon !
Quelques minutes plus tard, une fois notre soif sexuelle tombée, voilà qu’elle laisse tomber :
- Tu es un gros cochon !
- C’est ce que les femmes cherchent chez les hommes, non ? Qu’ils soient le plus cochon que possible ! Sache qu’avec toi, je voudrais l’être encore plus.
- Ah oui ? Et qu’est-ce qui t’en empêche ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

