Erotisme et cinéma (11) : « Romance » de Catherine Breillat (1999)
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Erotisme et cinéma (11) : « Romance » de Catherine Breillat (1999)
LA REALISATRICE
Catherine Breillat, née en 1948, est une réalisatrice, scénariste et romancière française.
Fille d’un médecin, Catherine Breillat a pour sœur l'actrice Marie-Hélène Breillat. Elle publie en 1968 son premier roman « L'Homme facile », interdit aux moins de 18 ans. Elle a été mariée quelques années avec François Wimille, cousin d'Inès de La Fressange et futur éditeur.
En 1972, elle joue aux côtés de sa sœur dans « Le Dernier Tango à Paris » de Bernardo Bertolucci.
En 1976, Catherine Breillat fait la rencontre d'André Génovès, un producteur qui cherche à monter un film érotique sous caution littéraire. Il lui propose alors d'adapter son dernier livre « Le soupirail », qui deviendra au cinéma « Une vraie jeune fille ». Celui-ci traite de l'éveil à la sexualité d'une adolescente. Le film fait scandale et ne sortira finalement sur grand écran qu'en 2000, en raison de la faillite de son producteur et du blocage de son distributeur pendant vingt ans.
La sulfureuse romancière écrit les scénarios de ses films mais écrit également pour d'autres réalisateurs, notamment Federico Fellini, avec qui elle planche sur le scénario de « Et vogue le navire », en 1984 ou Maurice Pialat et son « Police » dont elle écrit l'histoire en 1985. De 1979 à 1988, Catherine Breillat se consacre exclusivement à l'écriture.
En 1988 elle revient à la réalisation, avec l'adaptation d'un autre de ses romans, « 36 fillette », puis, en 1991, avec « Sale comme un ange », un scénario refusé par Maurice Pialat.
Appréciée par la critique mais peu connue du grand public, la réalisatrice accède au succès en 1996 avec « Parfait amour ! ».
En 1999, le film « Romance » la rend célèbre mais crée la polémique, la présence de Rocco Siffredi au casting réduisant encore la frontière entre le cinéma de Breillat et la pornographie.
En 2004, la réalisatrice renouvelle l'expérience avec « Anatomie de l'enfer » adapté de son roman Pornocratie avant d'être victime, la même année, d'une attaque cérébrale. Après 5 mois d'hospitalisation et une lente rééducation, Catherine Breillat se remet au travail.
Son film « Une vieille maîtresse », avec Asia Argento, est le film le plus cher qu'elle ait jamais réalisé mais également son premier film en costume. En 2007 la consécration semble arriver puisque « Une vieille maîtresse » est présenté en Compétition au 60ème Festival de Cannes.
En 2019 elle préside le jury de la compétition internationale du 72e Festival de Locarno.
SYNOPSIS
Une jeune femme, Marie (Caroline Ducey), vit avec son compagnon, Paul (Sagamore Stévenin), une relation frustrante sur les plans émotionnel et sexuel. Paul aime tellement sa compagne qu'il a décidé de ne plus lui faire l'amour, ni même de la toucher, afin de mieux la respecter, dit-il. Marie pourtant est incapable de le quitter.
Marie veut qu'on l'aime, qu'on la prenne. Alors, elle se lance dans une quête éperdue de plaisir, sans tabou ni retenue. Elle a une relation sexuelle avec Paolo (Rocco Siffredi), un inconnu rencontré dans un bar. Paolo, ne pense qu'à honorer la jeune femme, bien qu'il n'éprouve aucun sentiment à son égard. Marie semble se satisfaire de cette situation qui la conduit d'un monde à l'autre, d'un romantisme platonique à la frénésie sexuelle.
Son désir d'apaiser sa frustration la conduit ensuite à une série de relations, souvent éphémères, jusqu'à entamer un rapport sadomasochiste avec un homme plus âgé. Entre chacune de ces expériences, Marie retourne auprès de Paul comme si de rien n'était.
Après deux rencontres avec Paolo, pour lequel elle ne semble éprouver aucun sentiment, Marie s’initie au bondage avec le directeur de l’école privée dans laquelle elle enseigne. Découvrant les limites de la jouissance et de la douleur, elle prend goût à se faire dominer. Marie prend du plaisir à sentir son corps attaché, alors même qu’elle reste attachée à Paul, cette fois-ci par ses sentiments.
COMMENTAIRES SUR UN FILM QUI FIT POLEMIQUE
Le film, bien que non classé en catégorie « X », contient un certain nombre d'actes sexuels non simulés. Ainsi, lorsque Marie prend le sexe de Paul dans sa bouche, pour une fellation non complète, ou encore lorsqu’elle masturbe le sexe en érection de Paulo à pleines mains.
En dépit des apparences, de ces gros plans sans fards, ni artifices, ni retenues, de la présence affichée et clamée de Rocco le Eros, et du battage médiatique entretenu, avec ses mots crus, par la réalisatrice elle-même, « Romance» n'est ni un film pornographique, ni même un film érotique.
La véracité de la pénétration de Paulo sur Marie a par ailleurs été contestée par la réalisatrice Catherine Breillat et l’actrice Caroline Ducey, mais elle a été confirmée par Rocco Siffredi. Des actes sexuels non simulés (pénétrations, éjaculations) sont aussi effectués par des acteurs pornographiques dans une scène.
La présence dans le casting du hardeur Rocco Siffredi a suffi pour que le film « Romance » soit précédé, longtemps avant sa sortie, d'une réputation sulfureuse.
A sa sortie, ce film connut un le bouillonnement médiatique, avec le X rouge de l’affiche, la prestation de Rocco Siffredi qui serait presque passé pour la star du film quand il n’apparaît en réalité que quelques minutes. On a occulté l’essentiel :
• La quête initiatique de Marie à la recherche de son identité sexuelle, sa réconciliation avec un sexe qu’elle fait sien, et non plus l’objet des hommes, et qui lui permet, enfin, d’avoir accès à la jouissance.
• Des images d’une extrême beauté, refoulant Marie dans une négation d’elle-même qu’elle consumera jusqu’à l’épuisement,
• Les scènes de bondage, passage initiatique qui la rendra à la vie, au désir, pour retourner, dans une dernière partie, à la salle de travail où la jeune femme donne à son tour la vie, qui ne peut être que ce tourbillon d’amour, de violence, de sueur et de sang.
Breillat pousse ses personnages aux limites d’eux-mêmes, à la recherche du moment de grâce. Elle filme l’abandon de la jouissance, cette faiblesse lumineuse, elle filme les rêves et les espoirs, elle filme l’amour tel qu’il est, dans le corps des femmes et le regard des hommes.
Le film de Breillat est cru, mais jamais vulgaire. « Romance » est film sur l'amour, le désir et la profondeur des âmes. Il est sans doute le film de Breillat le plus abouti car entièrement consacré au désir féminin. Romance est en effet un véritable film à thèse : à travers l’histoire de Marie, la réalisatrice revendique pour les femmes un droit à la jouissance. Comme le dit Catherine Breillat dans une interview citée dans la bibliographie : « la jouissance féminine tient du sacré »
Dans « Romance », la réalisatrice a voulu montrer la face cachée de l'amour et la fureur du désir.
CE FILM ET MOI
Ma curiosité avait été attirée par la réputation sulfureuse de ce film et les réactions épidermiques qu’il avait provoquées.
Dans quelle mesure le personnage de Marie m’interpelle-t-il ? A quel degré puis-je m’identifier à elle ?
Il y a évidemment en commun la recherche effrénée du plaisir et de la jouissance et l’attrait pour les mâles vigoureux. Une hypersexuelle ne peut que fantasmer sur « l’outil » de Rocco Siffredi, « Monsieur 26 centimètres ». Il y a aussi un attrait pour certaines pratiques de soumission, même si le bondage ne m’a jamais tenté. Des situations comme celles que Marie vit avec Paolo, à savoir s’offrir à un inconnu, j’en ai évidemment connues beaucoup.
Il y a aussi des différences évidentes de situation, puisque Marie s’adonne au départ à ses pratiques du fait de la frustration créée par le comportement de son compagnon. Je reconnais toutefois que, dans nos premières années de vie commune, la frustration que j’ai connue avec Philippe dans nos relations intimes avait fini par peser lourdement dans ma rechute vers l’hypersexualité. Mais depuis, et notamment à partir du moment où Philippe avait réussi à me reconquérir de haute lutte sur Hassan, les choses ont bien changé et heureusement.
En définitive, je retiens surtout de ce film le plaidoyer que je partage pour le droit au plaisir féminin. Il s’agit que ce droit, longtemps réprimé, soit reconnu. Ca ne veut pas dire que, comme tout droit, il soit absolu. La construction d’un couple, l’amour sur lequel il est bâti, voilà l’autre pilier nécessaire. Je mesure combien j’ai la chance, que j’ai failli détruire, de pouvoir combiner tout cela, grâce à l’amour d’un homme d’exception, dont le candaulisme a cimenté notre union. J’ai même le privilège de vivre doublement ce bonheur, par mon couple avec Agun.
Je conclurai cet article consacré à « Romance » par un cri d’amour, celui qui m’unit à Philippe et à Agun.
BIBLIOGRAPHIE :
Outre les articles de Wikipédia sur Catherine Breillat et son film, je recommande la lecture des liens suivants :
• Une courte biographie : https://www.gala.fr/stars_et_gotha/catherine_breillat
• Une autre fiche biographique : https://www.voici.fr/bios-people/catherine-breillat
• Sur le film : https://www.liberation.fr/culture/1999/04/14/jouissance-contre-romance-le-cul-version-feminine-pari-reussi-pour-catherine-breillat-romance-de-cat_271168/
• https://www.lexpress.fr/informations/catherine-breillat-la-jouissance-feminine-tient-du-sacre_633185.html
• https://voir.ca/cinema/1999/09/29/catherine-breillat-lempire-du-sens/
• http://www.jerome-segal.de/romance.html
Catherine Breillat, née en 1948, est une réalisatrice, scénariste et romancière française.
Fille d’un médecin, Catherine Breillat a pour sœur l'actrice Marie-Hélène Breillat. Elle publie en 1968 son premier roman « L'Homme facile », interdit aux moins de 18 ans. Elle a été mariée quelques années avec François Wimille, cousin d'Inès de La Fressange et futur éditeur.
En 1972, elle joue aux côtés de sa sœur dans « Le Dernier Tango à Paris » de Bernardo Bertolucci.
En 1976, Catherine Breillat fait la rencontre d'André Génovès, un producteur qui cherche à monter un film érotique sous caution littéraire. Il lui propose alors d'adapter son dernier livre « Le soupirail », qui deviendra au cinéma « Une vraie jeune fille ». Celui-ci traite de l'éveil à la sexualité d'une adolescente. Le film fait scandale et ne sortira finalement sur grand écran qu'en 2000, en raison de la faillite de son producteur et du blocage de son distributeur pendant vingt ans.
La sulfureuse romancière écrit les scénarios de ses films mais écrit également pour d'autres réalisateurs, notamment Federico Fellini, avec qui elle planche sur le scénario de « Et vogue le navire », en 1984 ou Maurice Pialat et son « Police » dont elle écrit l'histoire en 1985. De 1979 à 1988, Catherine Breillat se consacre exclusivement à l'écriture.
En 1988 elle revient à la réalisation, avec l'adaptation d'un autre de ses romans, « 36 fillette », puis, en 1991, avec « Sale comme un ange », un scénario refusé par Maurice Pialat.
Appréciée par la critique mais peu connue du grand public, la réalisatrice accède au succès en 1996 avec « Parfait amour ! ».
En 1999, le film « Romance » la rend célèbre mais crée la polémique, la présence de Rocco Siffredi au casting réduisant encore la frontière entre le cinéma de Breillat et la pornographie.
En 2004, la réalisatrice renouvelle l'expérience avec « Anatomie de l'enfer » adapté de son roman Pornocratie avant d'être victime, la même année, d'une attaque cérébrale. Après 5 mois d'hospitalisation et une lente rééducation, Catherine Breillat se remet au travail.
Son film « Une vieille maîtresse », avec Asia Argento, est le film le plus cher qu'elle ait jamais réalisé mais également son premier film en costume. En 2007 la consécration semble arriver puisque « Une vieille maîtresse » est présenté en Compétition au 60ème Festival de Cannes.
En 2019 elle préside le jury de la compétition internationale du 72e Festival de Locarno.
SYNOPSIS
Une jeune femme, Marie (Caroline Ducey), vit avec son compagnon, Paul (Sagamore Stévenin), une relation frustrante sur les plans émotionnel et sexuel. Paul aime tellement sa compagne qu'il a décidé de ne plus lui faire l'amour, ni même de la toucher, afin de mieux la respecter, dit-il. Marie pourtant est incapable de le quitter.
Marie veut qu'on l'aime, qu'on la prenne. Alors, elle se lance dans une quête éperdue de plaisir, sans tabou ni retenue. Elle a une relation sexuelle avec Paolo (Rocco Siffredi), un inconnu rencontré dans un bar. Paolo, ne pense qu'à honorer la jeune femme, bien qu'il n'éprouve aucun sentiment à son égard. Marie semble se satisfaire de cette situation qui la conduit d'un monde à l'autre, d'un romantisme platonique à la frénésie sexuelle.
Son désir d'apaiser sa frustration la conduit ensuite à une série de relations, souvent éphémères, jusqu'à entamer un rapport sadomasochiste avec un homme plus âgé. Entre chacune de ces expériences, Marie retourne auprès de Paul comme si de rien n'était.
Après deux rencontres avec Paolo, pour lequel elle ne semble éprouver aucun sentiment, Marie s’initie au bondage avec le directeur de l’école privée dans laquelle elle enseigne. Découvrant les limites de la jouissance et de la douleur, elle prend goût à se faire dominer. Marie prend du plaisir à sentir son corps attaché, alors même qu’elle reste attachée à Paul, cette fois-ci par ses sentiments.
COMMENTAIRES SUR UN FILM QUI FIT POLEMIQUE
Le film, bien que non classé en catégorie « X », contient un certain nombre d'actes sexuels non simulés. Ainsi, lorsque Marie prend le sexe de Paul dans sa bouche, pour une fellation non complète, ou encore lorsqu’elle masturbe le sexe en érection de Paulo à pleines mains.
En dépit des apparences, de ces gros plans sans fards, ni artifices, ni retenues, de la présence affichée et clamée de Rocco le Eros, et du battage médiatique entretenu, avec ses mots crus, par la réalisatrice elle-même, « Romance» n'est ni un film pornographique, ni même un film érotique.
La véracité de la pénétration de Paulo sur Marie a par ailleurs été contestée par la réalisatrice Catherine Breillat et l’actrice Caroline Ducey, mais elle a été confirmée par Rocco Siffredi. Des actes sexuels non simulés (pénétrations, éjaculations) sont aussi effectués par des acteurs pornographiques dans une scène.
La présence dans le casting du hardeur Rocco Siffredi a suffi pour que le film « Romance » soit précédé, longtemps avant sa sortie, d'une réputation sulfureuse.
A sa sortie, ce film connut un le bouillonnement médiatique, avec le X rouge de l’affiche, la prestation de Rocco Siffredi qui serait presque passé pour la star du film quand il n’apparaît en réalité que quelques minutes. On a occulté l’essentiel :
• La quête initiatique de Marie à la recherche de son identité sexuelle, sa réconciliation avec un sexe qu’elle fait sien, et non plus l’objet des hommes, et qui lui permet, enfin, d’avoir accès à la jouissance.
• Des images d’une extrême beauté, refoulant Marie dans une négation d’elle-même qu’elle consumera jusqu’à l’épuisement,
• Les scènes de bondage, passage initiatique qui la rendra à la vie, au désir, pour retourner, dans une dernière partie, à la salle de travail où la jeune femme donne à son tour la vie, qui ne peut être que ce tourbillon d’amour, de violence, de sueur et de sang.
Breillat pousse ses personnages aux limites d’eux-mêmes, à la recherche du moment de grâce. Elle filme l’abandon de la jouissance, cette faiblesse lumineuse, elle filme les rêves et les espoirs, elle filme l’amour tel qu’il est, dans le corps des femmes et le regard des hommes.
Le film de Breillat est cru, mais jamais vulgaire. « Romance » est film sur l'amour, le désir et la profondeur des âmes. Il est sans doute le film de Breillat le plus abouti car entièrement consacré au désir féminin. Romance est en effet un véritable film à thèse : à travers l’histoire de Marie, la réalisatrice revendique pour les femmes un droit à la jouissance. Comme le dit Catherine Breillat dans une interview citée dans la bibliographie : « la jouissance féminine tient du sacré »
Dans « Romance », la réalisatrice a voulu montrer la face cachée de l'amour et la fureur du désir.
CE FILM ET MOI
Ma curiosité avait été attirée par la réputation sulfureuse de ce film et les réactions épidermiques qu’il avait provoquées.
Dans quelle mesure le personnage de Marie m’interpelle-t-il ? A quel degré puis-je m’identifier à elle ?
Il y a évidemment en commun la recherche effrénée du plaisir et de la jouissance et l’attrait pour les mâles vigoureux. Une hypersexuelle ne peut que fantasmer sur « l’outil » de Rocco Siffredi, « Monsieur 26 centimètres ». Il y a aussi un attrait pour certaines pratiques de soumission, même si le bondage ne m’a jamais tenté. Des situations comme celles que Marie vit avec Paolo, à savoir s’offrir à un inconnu, j’en ai évidemment connues beaucoup.
Il y a aussi des différences évidentes de situation, puisque Marie s’adonne au départ à ses pratiques du fait de la frustration créée par le comportement de son compagnon. Je reconnais toutefois que, dans nos premières années de vie commune, la frustration que j’ai connue avec Philippe dans nos relations intimes avait fini par peser lourdement dans ma rechute vers l’hypersexualité. Mais depuis, et notamment à partir du moment où Philippe avait réussi à me reconquérir de haute lutte sur Hassan, les choses ont bien changé et heureusement.
En définitive, je retiens surtout de ce film le plaidoyer que je partage pour le droit au plaisir féminin. Il s’agit que ce droit, longtemps réprimé, soit reconnu. Ca ne veut pas dire que, comme tout droit, il soit absolu. La construction d’un couple, l’amour sur lequel il est bâti, voilà l’autre pilier nécessaire. Je mesure combien j’ai la chance, que j’ai failli détruire, de pouvoir combiner tout cela, grâce à l’amour d’un homme d’exception, dont le candaulisme a cimenté notre union. J’ai même le privilège de vivre doublement ce bonheur, par mon couple avec Agun.
Je conclurai cet article consacré à « Romance » par un cri d’amour, celui qui m’unit à Philippe et à Agun.
BIBLIOGRAPHIE :
Outre les articles de Wikipédia sur Catherine Breillat et son film, je recommande la lecture des liens suivants :
• Une courte biographie : https://www.gala.fr/stars_et_gotha/catherine_breillat
• Une autre fiche biographique : https://www.voici.fr/bios-people/catherine-breillat
• Sur le film : https://www.liberation.fr/culture/1999/04/14/jouissance-contre-romance-le-cul-version-feminine-pari-reussi-pour-catherine-breillat-romance-de-cat_271168/
• https://www.lexpress.fr/informations/catherine-breillat-la-jouissance-feminine-tient-du-sacre_633185.html
• https://voir.ca/cinema/1999/09/29/catherine-breillat-lempire-du-sens/
• http://www.jerome-segal.de/romance.html
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