Esprit de famille

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Esprit de famille Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Esprit de famille
J’entends comme un chantonnement, je me tourne et aperçois Jeanne qui vient à ma rencontre. Elle porte une simple robe de plage qui moule son corps agréablement pour les yeux. Je jouis de la voir habillée ainsi. Son sourire est un concentré de sous-entendus.
- Salut ! Fais-je.
Elle s’approche de ma personne assez pour arriver à me faire la bise. Une bise des plus appuyée.
- Je ne savais pas que tu venais ?
- J’avais comme un besoin de toi pour soulager mes pulsions animales.
- Et ton mari ?
- Laisse-le cela là !
Les bras m'en tombent, elle est déjà contre moi, sa bouche embrassant mon cou d'un baiser tout simplement incendiaire.
- Tu ne crois pas qu’il est sage que nous cachons ?
- Comme tu veux !
Et je l’entraîne jusqu’à un endroit sûr. Là, sans sommation, je lui prends un sein à travers sa tenue légère. Elle gémit. Je continue, jouissant de prendre mes aises. Je passe discrètement la main sous l’ourlet de sa robe. Le regard de Jeanne exprime du plaisir. J’atteins la culotte. Glisse mes doigts dessous. La bouche grande ouverte, elle me fixe, attentive à ne pas faire un geste. Je marque un temps d’arrêt quand mon doigt trouve ses chairs ouvertes qui mouillent d’abondance. Je lui tripote le sexe. Ça coule d’un coup sur mon doigt quand je l’enfonce dedans. Jeanne tremble, bouche ouverte. Je la sais capable de jouir comme ça, d’une simple caresse. Je lui murmure :
- T’aimes ça salope !
Elle articule d’une voix étranglée ;
- Oui !
J’ai deux doigts dans sa tirelire. Je pousse au fonds à petits coups secs. Ça ruisselait sur ma main. Posés. Sa respiration même se fige.
- Tu coules la salope !
J’enfonce un troisième doigt. Le pouce au contact de son bouton. Son bassin est parcouru de frissons. J’agite mes doigts ensemble dans et sur sa chatte. Elle gémit, la bouche ouverte. Mon dernier doigt trifouille sans la raie du cul. Elle ouvre la bouche d’avantage. Se penche en avant.
- Oui, je vais…
J’accentue ma prise sur sa chatte et son entre fesses.
-OOOOOUIUUIIII.
Figée, penchée en avant, elle pousse plusieurs soupirs rauques d’affilée. Je sens une coulée chaude sur mon poignet. Elle vient de lâcher une courte giclée de pisse.
Lentement, je ressors mes doigts de son sexe, et les porte à hauteur de ma bouche pour les lécher.
- Tu aimes toujours autant cela à ce que je vois ?
- C’est bien pour cela que tu te trouves en ma compagnie et pas avec celle de ton mari.
- Cela te tente de lécher la cochonne que je suis. J’en ai tellement envie !
- Je pense que pour cela, il faudrait trouver un endroit plus adéquat, tu ne penses pas ?
- Je le pense aussi. Tu me proposes quoi.
Je m’installe sans attendre sur un bain de soleil poussiéreux. N’écoutant que son envie, elle vient sur moi à califourchon, prend ma figure dans ses mains pour placer sa chatte sur ma bouche. Frottant ainsi son pubis contre mon visage. Elle balance son bassin d’avant en arrière de façon régulière. Collant puis décollant sa chatte de ma bouche. Elle pose les mains sur mon crâne pour mieux me contrôler.
- Oui, tu sais comme j’aime que tu me bouffes la chatte.
- Je devine que c’est pour cela que tu es là ?
Deux orgasmes plus tard, sa main vient empaumer ma verge sur le tissu de mon pantalon. J'essaye de rassembler mes esprits, de puiser en moi les ressources pour la raisonner, lui faire comprendre qu’il serait bien que l’on soit vue !
Mais comment résister, je ne suis qu'un homme ! Lorsqu'elle s'agenouille lascivement, déboutonnant mon jean, pour en sortir une verge dure au point d'en souffrir. Incapable de résister à la tentation, je suis spectateur de sa bouche approché du centre de mon corps. De ses lèvres se refermer sur mon gland. Je sens sa langue, jouer habilement sur le frein sensible. Ses lèvres coulissent sur ma hampe.
- Tu veux toujours arrêter ? Me fait-elle après avoir recraché ma queue.
- Oui, il se serait plus sage !
Pour toute réponse, elle retrousse sa robe me dévoilant sa chatte, avide de sexe et de passion. Pour la seconde fois, elle prend place sur moi, me surplombant largement, empoignant ma queue et posant sa petite chatte poilue dessus. Elle se cambre en arrière. Elle est une amante déterminée.
- Je veux sentir ton foutre gicler, s’est un ordre mon cochon.
Elle choisit ses mots, crus à souhait, presque vulgaires venant de sa bouche. Il ne m'en faut pas plus pour me rendre comme fou. Tenant fermement sa taille, je la cogne de violents coups de reins. Mes va-et-vient sont intenses. La jouissance pointe son nez. Son ventre se crispe sur ma queue. J'ai l'impression de ne pas en finir de jouir.
Elle sort la première du local, j’attends cinq minutes pour sortir à mon tour. Et le hasard ne faisant pas toujours de bonnes choses, voilà que je tombe nez à nez avec le cher époux de Jeanne, Gabin.
- Salut me fait-il chaleureusement comme si nous étions de vieux amis.
Je lui rends le salut et nous nous mettons à discuter de tout et de rien.
- Tu n’as pas vu Jeanne ?
- Non, il faut dire que ça ne fait pas très longtemps que je suis dans les parages. Pourquoi ?
- Je ne la trouve pas.
- Elle doit être en train de marcher dans le coin. Surtout avec son goût immodéré de la nature.
- Tu as peut-être raison. Il faut dire avec tout ce qu’il se passe autour de nous il y a de quoi avoir peur.
- Enfin pas ici, nous sommes à la campagne mon cher ami. Pas dans ton monde de désespérer.
- Ce n'est pas faux ! Mais ce qui m’étonne s’est évaporé sans rien dire et sans emmener une de ses sœurs.
- Parce qu’elles aussi sont là ?
- Oui, comme tu le sais bien elles aiment venir ici.
À cet instant, je pense que je vais devoir recharger mes batteries si je veux satisfaire toutes les quatre. Mais cela, je me garde bien de lui dire. Bien que !
- Mais dis-moi, de toi à moi, tu as une chance de cocu d’être tombé dans une famille avec autant de belles-filles ?
- Qu’est-ce que tu peux être con des fois !
- Ça ! je n’ai pas besoin que tu me le dis pour le savoir, mais tu ne réponds pas à ma question.
- Oui, je le reconnais, je suis un favorisé. Dis-moi pour changer de sujet, il y a un problème avec un flexible de douche dans notre salle de bains.
- Comment tu sais ça toi ?
- C’est Eve qu’il me la dit après avoir pris sa douche.
- Parce que tu l’accompagnais sous la douche ?
- Non… Pas ça chez moi. Je te rappelle que je suis marié si tu l’as oublié.
- L’un n’empêche pas l’autre, je réponds en prenant la route menant à la grande maison.
Une fois un flexible neuf en main récupérer dans ma réserve, je grimpe les escaliers Gabin à mes Basques. Arrivé devant la porte du dortoir, je m’annonce.
- Pas la peine, me fait Gabin, elles sont toutes parties.
- Tant mieux ce sera plus facile !
Il se trouve qu’arriver dans la salle de bains mon regard se porte sur la petite lingerie délaissée sur le sol près du meuble de l’évier.
- Oh, regarde-moi ça ? Fais-je en désignant du doigt la petite chose enroulée sur elle-même.
Je me penche et me saisis du sous-vêtement. Que je me mets à scruter sous toutes les coutures, sous les yeux ébahis de Gabin.
- Qu’est-ce que tu cherches ? Me lâche-t-il.
- Cela va peut-être te faire rire, mais j’éprouve beaucoup de passion pour les sous-vêtements féminins. Tu vois les femmes, sont inattendu et se soustraient quand cela devient trop engageant. Et bien pas les culottes. Au moins, elles, elles se laissent faire.
- J’ai du mal à te suivre là !
- Oui, je comprends !
Le tissu intérieur est brillant. Là-même où la culotte a collé l’entrejambe. Il y a des traînées tout humides. Comme si la coquine avait mouillé. Et à côté, des marques plus sèches. Dont une espèce d’auréole blanche. Je renifle l’empiècement. L’odeur de pisse se mélange à celle beaucoup plus âcre, plus envoûtante des sécrétions vaginales.
- Putain ! Lâche Gabin, qu’est-ce que tu fais ?
- Ça ne se voit pas ? Je hume la culotte de ta belle-sœur.


- Ça, je le vois bien, mais pourquoi faire cela ?
- Je te l’ai expliqué plus tôt. Et je reconnais que ta belle-sœur sent fort. Je pense qu’elle ne s’épile pas la chatte.
-Juste en sentant la culotte, tu sais ça, toi !
- Quand on est expert comme moi, oui. Ça fait des années que les chattes n’ont plus de secret pour moi. Tu aimes bouffer la chatte de Jeanne.
- Mais… mais ça ne te regarde pas !
- Aller dis-le-moi.
- Non, je ne te dirais rien.
- Ce n’est pas grave, je questionnerais ta femme.
- Pas question !
- Pourquoi tu as peur ?
- Pas du tout, c’est que cela ne se fait pas.
- C’est bien pour cela que je te pose la question, c’est comme tu peux le voir, je suis différent des autres.
- Pas besoin de me le dire, je le vois de mes propres yeux.
Sa réaction me fait me pouffer de rire.
- Tu sais que les femmes ont un faible pour les cochons ?
- Tu entends quoi par cochon ?
- Elles aiment que tu leur mange-tout ce qu’elles n’ont pas l’habitude d’être dégusté.
- Exemple ?
- La chatte, le trou du cul, les pieds…
- Arrête, tu vas me faire gerber…
- Prenant l’exemple de l’anus. Tu lui bouffes à ta belle ?
- Mais c’est répugnant ce que tu me dis là. Tu es conscient à ce quoi ce trou sert.
- Évidemment que je le sais, et bien, sache que moi le gros cochon de service, je nettoie cet orifice avec la langue.
- Tu es vraiment repoussant…
- Pour toi, peut-être, bien que le jour où quelqu’un te fera un annulingus tu repenseras à ce que je viens de te dire. Maintenant à savoir si toi Gabin, tu pourras lui rendre la monnaie, là, tu vois j’en doute fortement. Ce qui n’est pas normal, non ?
- C’est une question de voir les choses !
- Oui, tu as raison, c’est plus simple comme ça. Et après, on s’étonne qu’il y a autant de cocus sur terre ?
- Tu veux dire par-là que si je ne suis pas cochon, je risque d’être ce que tu dis là ?
- Non !
- Ah… Tu me réconfortes là !
- Tant que ta femme n’aille pas goûter ailleurs !
- C’est malin ! Tu me donnes le doute !
- Tiens, regarde la culotte de ta belle-sœur. Tu vois l’emplacement où son anus s’est posé alors qu’elle portait cette culotte. Tu vois comme moi la tache brunie. Je pense que je n’ai pas besoin de quoi il s’agit.
- Parfaitement clair dans mon esprit.
- Alors vas-y colle s-y ton nez.
- Pas question, merci pour moi.
Dans un geste de dépit, j’amène la lingerie jusqu’à mes narines et respire bruyamment.
- Putain, un vrai régal.
- Mais il faut vraiment que tu ailles voir un spy.
- Merci pour le conseil, mais tu vois je n’en pas besoin. Par contre toi, tu vas avoir besoin d’un avocat dans les prochaines années qui suivent. Autrefois pour pouvez faire l’impasse de ce genre de relation. La baise à la papa maman. Mais à présent, il faut se surpasser sexuellement pour garder sa compagne ou son compagnon.
- Tu cherches vraiment à me faire peur ?
Si ce con savait qu’il y a encore peu de temps, je suçais la chatte de sa femme. Et qu’elle était la femme la plus heureuse du monde. Je regrette à présent de ne m'être pas intéressé à savoir s’il pouvait encore avoir des traces de sperme de ce con.
Mais très vite, je me réconforte, c’est vrai qu’ils ne baisent pas !
- Ah t’entendre, je sens des doutes sur ton couple.
- Où vas-tu chercher cela ?
- Nulle part, je m’interrogeais seulement.
- Tout va bien crois-moi de ce côté-là.
- Tant mieux pour toi. Bon si je changeais le flexible.
Et alors que je dévisse le percer, voilà qu’il revient à la charge.
- Tu penses que mes beaux-parents sont heureux en couple.
- Je suis gardien, pas psychologue de relation de couple.
Surtout que sa belle-mère, et bien elle aussi, je me la suis tapée.
- Mais de toi à moi, je me la ferais bien !
- Ah oui, laisse-t-il tomber avec sa gueule d’ahurie ?
- Pas toi ?
- Quand même, c’est ma belle-maman.
- Ça reste tout de même une femme !
- Approfondie, veux-tu ?
- Qu’elle a besoin de feu d’artifice et que ton beau-père est loin d’avoir trouvé la mèche pour le faire exploser.
- Comme tu y vas toi !
- Je suis conscient moi… Du monde où nous vivons…
- Alors comme ça, tu te taperais bien ma belle-mère.
- Comme je me suis tapé pendant des années la mère de mon ex femme.
- Non !
- Oui !
- Comment c’est possible ?
- Elle était plus créative au lit que sa fille voilà tout !
- Putain, tu m’en bouches un coin-là !
Alors que je suis en train de contrôler si le nouveau flexible ne fuit pas, Gabin ajoute :
- C’est irréel ce que tu viens de me dire.
- Mais pourtant vrai.
Et c’est sur ses derniers mots que nous nous sommes séparés.
Le lendemain je ne suis plus surpris que ça de le voir rappliquer dans mon atelier.
- Salut Alain !
- Comment tu vas, Gabin ce matin ?
- Pas la forme si tu veux savoir.
- Tu as rattrapé le temps perdu avec ta belle ?
- Même pas, tu vois !
- Tant pis pour toi, je t’aurais prévenu.
- Non, j’ai pensé à ce que tu m’as dit.
- Je n’en ai pas tant dis, hier.
- À propos de ta belle-mère.
- Elle se nommait Colette.
- Oui, avec Colette.
- Et toi, elle se nomme comment, ta belle-mère ?
- Hélène, tu le sais bien.
- Comme je te l’ai dit hier, j’aimerais la faire crier de plaisir.
- Et bien, c'est cela qui a fait que j’ai du mal à trouver le sommeil.
- À cause de moi alors.
- Oui, on peut le dire comme ça.
- D’ailleurs, ça tombe bien que tu m’en parles.
- Ah oui, et pourquoi ?
- J’aurais un drôle de service à te demander pour un drôle de mec comme moi !
- Je t’écoute ?
- J’aimerais que tu me rapportes la culotte qu’elle portait hier.
- Je veux bien, mais je vais la trouver où.
- Soit dans la salle de bains, par terre, soit dans sa valise.
- Je ne sais pas si je pourrais me permettre de fouiller ses affaires.
- Aller, je t’attends, prends ton courage à deux mains et fonce me ramener ce que je te demande…
La plus surprise de ma semaine est qu’il est venu avec en main une culotte. Qu’il me tend :
- Voilà, elle était dans une pochette de sa valise.
- Elle a été portée au moins.
- Oui, cela se voit…
- Tu la sentis ?
- Même pas en rêve.
- J’espère que tu n'es pas en train de me filer celle de ta femme.
Et là, je la porte à mon nez et inspire fortement. L’odeur me saoule.
- Non ! Fais-je, tu as raison, ce n’est pas celle de ta femme.
- Tu déconnes là au moins ?
- Bien sûr ! Elle sent bon de la chatte ta belle-maman, tient fais-toi plaisir.
Gabin saisit la culotte. Il la tient d’une main en renifle l’entrejambe, la flaire avec l’air d’un paumé, les yeux à demi révulsés, les paupières lourdes. Le slip est baigné d’odeur intime d’Hélène. Surtout où le nez de Gabin ne cesse de s’attarder. Avec quelques traces marron au fond, ce qui ne gêne nullement ce con.
- Et bien, tu m’avais caché cela mon cochon. Fais-je.
- Tu parles de quoi ?
- Que ta belle-mère ne te laisse pas indifférent pardi !
- Comme je crois que je ne la laisse pas indifférente aussi.
- Approfondis !
- Je dis ça, je ne dis rien.
- Ce n’est pas du concret, juste du fantasme à ce que je vois.
- C’est pour moi aussi difficile que de gravir la lune.
- Peut-être moins pire qu’en même !
- Je n’exagère pas.
- Non, juste un peu. Tiens je te propose un deal. Je t’arrange un coup avec ta belle-mère et toi avec ta femme.
Je m’attendais qu’il explose. Et bien même pas. Il est en plein réflexion.
- Je suis d’accord.
- Même pour ta femme ?
- Oui.
Je n’ai plus qu’à deviner un scénario pour attirer Hélène dans mes filets.
Et comme toujours dans ses moments-là, j’ai une mémoire débordante d’idée. Et c’est sans mal que j’ai trouvé le moment adéquat pour faire part à la chère Hélène qu’il serait bien de donner une suite à notre dernière relation.
- Je ne dis pas non. Aller qu'en et où ?
Vu l’immensité du domaine, ça a été un jeu d’enfant de lui donner rendez-vous. Bien entendu, je fais part de ce rendez-vous galant à Gabin. Lui trouvant même un poste d’observation à la hauteur de son impatience.
- Et tu crois que je pourrais ? Me lâche-t-il.
- Oui, au moment opportun !
- Et comment je le saurais ?
- Je te ferais un signe, d’ailleurs va vite de planquer la voilà qu’elle arrive.
Quand Hélène, passe le pas de la porte, je suis en train de poser un drap sur le vieux divan.
- Tu parles d’un endroit pour accueillir un rendez-vous ? Me fait-elle.
Je profite de la situation, je l’embrasse tout en égarant une main sous sa jupe. Elle ne s’oppose nullement à mon baiser, ni à ma main, écartant même les jambes pour que je puisse mieux remonter. Mes doigts touchent son gros buisson, puis dénichent dans son nid douillet, un mignon bouton que je taquine avant de m’en occuper plus assidûment. Elle soupire d’aise, jambes largement écartées pour me faciliter la tâche.
Son sexe est déjà tout détrempé.
- Tu mouilles bien ?
- Oui depuis l’instant où tu m’as donné rendez-vous !
Je me fais un plaisir de cueillir sa mouille pour mieux agacer son clitoris bien roide. Je m’amuse à décrire de larges cercles taquins autour de cette tour érigée, le frôlant très souvent, sciemment ! Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour qu’elle jouisse. Elle se pelotonne contre moi.
- Et toi ?
- Je t’écoute ?
- Tu n’as pas envie que je te prenne dans ma bouche ?
Je ne réponds rien, je pense à Gabin dans sa cache, me contentant de la fixer, les yeux brillants. Pas mécontent de la tournure que prend ce rendez-vous, je révèle au grand jour ma verge. Écarquillant les yeux, Hélène lâche sans ciller :
- J’adore ta queue, Cher Alain…
Puis d’une main, elle capture la base de ma verge palpitante, ouvre grand la bouche et accueille sans ciller mon gland écarlate. Je soupire d’aise, assez fort pour que Gabin entende. J’apprécie vivement ses lèvres qui s’occupent ainsi de moi. Je la regarde faire avec attention, sans jeter de temps à autre un coup d’œil du côté de Gabin. Hélène câline de la langue ma queue, suivant du bout de la langue diverses veines palpitantes, avant d’aller chapeauter à nouveau un gland qui semble se gonfler encore plus, envahissant sa bouche, déformant ses joues.
C’est l’instant que je choisis pour inviter Gabin à nous rejoindre. Il ose à peine porter son regard sur la bouche de sa belle-mère qui me fait une gâterie, que les yeux clos ne s’est pas encore aperçu de la présence de son gendre.
- Hélène, fais-je, regarde qui est là.
Là, en toute innocence, elle ouvre les yeux et après s’être aperçu que c’était son gendre, elle est comme prise d’électrocution.
- Mais… mais enfin…. Que… ça ne va pas… Bafouille-t-elle ?
Impossible de savoir ce qu’elle voulait dire.
- T’inquiètes ma mignonne, nous sommes là pour te donner du bon temps !
Le message est limpide, pour une victime que je devine toute consentante. D’ailleurs me regarde intensément. Sans un mot se hisse, se saisit de son gendre qu’elle pousse sur le divan pour se positionner à califourchon sur lui.
Je sens le pauvre couillon très gêné, heureusement pour lui, il a une belle-mère qui a une énorme faim sexuelle. Elle lui saisit les mains et les pose sur sa poitrine encore enveloppée. Une sorte de commotion opportune qui lui rend sa raison. Ses mains commencent instantanément à parcourir le corps de sa belle-mère. Un peu gauchement au départ, puis peu à peu, les gestes se font plus sûrs et plus hardis. Après avoir caressé ses fesses, une de ses mains vient ouvrir le décolleté de sa robe, libérant un sein qui ne voulait que ça. Sa bouche se colle dessus et commence à l’embrasser alors que son autre main vient désormais entre ses fesses poursuivre la découverte de ce corps, que je devine si souvent admiré.
D’où je me trouve, le spectacle est des plus plaisants. Les déhanchements d’Hélène me font savoir que le plaisir est lui aussi au rendez-vous. Je pense que dans l’état où elle se trouve tout partenaire ferait l’affaire pour calmer son besoin.
Puis la voilà qu’elle se lève. Ordonne à son Gabin de se défroquer. Je profite de l’instant pour m’avancer jusqu’à Hélène. Elle s’empare de ma queue. J’apprécie une fois encore ses caresses buccales. Elle s’arrête. Son regard passe de la queue de son gendre à mienne. Ni une ni deux, elle enjambe les jambes de son gendre et s’empale sur sa queue. Je vois mon cher Gabin, commencer à s’activer, ses mains emprisonnent les seins pendant que sa queue semble travailler ardemment. Hélène ne boude pas son plaisir. Je l’entends haleter fortement.
Finalement, j’ai bien réussi ma manœuvre. J’en doute que l’un des deux s’en plaignent. Les mains de Gabin fermement agrippées aux fesses de sa belle-mère, il la pilonne désormais fougueusement, sans la moindre retenue. Cela me rappelle les galipettes avec Colette !
Je m’approche du couple en plein coït. Doucement, je fais courir ma bouche sur le corps de la belle-mère. Jusqu’à atteindre son sexe. Je vois ainsi la queue de Gabin aller et venir dans son sexe ruisselant. Je m’approche doucement et ma langue commence sa danse frénétique. Immédiatement, les gémissements d’Hélène s’amplifient. Encouragé, je redouble d’efforts, un peu gêné par la queue de l’autre benêt. Ma langue frétille à un rythme soutenu, tout comme le sexe de Gabin dont la cadence me paraît infernale. Hélène est en train de rendre les armes, je sens son orgasme proche. Son sexe dégouline de partout et je ne me fais pas prier pour le lécher, en me branlant. C’est l’instant que choisit Gabin pour larguer son plaisir.
Des bruits humides se font entendre entre ses jambes. J’aspire son bouton et joue avec. Quand le plaisir me submerge, je me laisse aller à jouir dans ma main en tremblant, aussitôt accompagné par Hélène qui atteint l’orgasme en serrant ses cuisses sur ma tête, la tête basculée en arrière, les yeux regardant le plafond et la bouche grande ouverte dans le plus complet des silences.
Pas un bruit ne s’échappe de nos bouches. Pas un son n’émane de nos deux corps essoufflés. On reste ainsi sans bouger plusieurs secondes à entendre les bruits de la vie de l’autre côté de la porte. Nos orgasmes ont été aussi intenses qu’insensés.
Le regard perdu, Hélène abandonne la bite de son gendre. Tous ses mouvements sont extrêmement lents et je cherche des yeux son regard qui me fuit.
Elle reste assise, quelques secondes, droite immobile à côté de moi, le regard vide, tournée vers moi, les mains sur ses genoux. Puis, elle me pousse gentiment, se lève, et disparaît par la porte de sortie. Me laissant en tête-à-tête avec son gendre.

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