Et nous organisons notre première soirée privée - histoire érotique

A force d’être invités ici et là, à Paris et dans toute la région parisienne, Chrystèle et Léopold ont un jour eu envie d’organiser notre propre soirée. Pas chez eux, c’était beaucoup trop petit, 50 m2 près de la place de la République, mais chez un ami qu’ils s’étaient faits lors de soirées libertines. Marc était un beau mec brun, 1m80 de muscles, une belle bite que Chrystèle adorait avoir en bouche et dans le sexe. Et surtout en l’occurrence un bel appartement en face de la Maison de la radio qu’il s’apprêtait à abandonner pour aller habiter au Luxembourg ou l’attendait son nouveau boulot. « Je vous prête l’appart pour une soirée juste après mon déménagement. Comme ça il y aura de la place. Nous mettrons des matelas un peu partout. Un buffet et c’est gagné. » Son enthousiasme les avait convaincu et ils s’étaient mis à inviter tous leurs amis libertins. La soirée avait lieu le premier vendredi de novembre. Mais le lundi ils ne savaient toujours pas s’ils seraient dix ou quatre-vingts. Le vendredi ils étaient quatre-vingts. Comme quand ils étaient lycéens puis étudiants et organisaient des soirées les amis d’amis finissaient par arriver. Une pizza et une bouteille de champagne à la main. Mumm Cordon Rouge pour les généreux, Veuve Clément pour les fans de Leader Price. Des femmes sexys et des hommes élégants. On aurait pu se croire dans une soirée tout ce qu’il y a de classique. Seulement là Chrystèle se faisait prendre debout contre le mur par Ethan, un autre beau mec qui organisait lui-même des soirées. Perchés sur ses talons qui la montait à un bon mètre 80, un corset qui soulignait son cul, son 95 C pris à pleines mains par Ethan elle prenait son pied.
Juste à côté une Thaïlandaise plantureuse – si si il y en a – aux seins énormes suçait Marc. Quant à Léopold, il était bien trop stressé pour profiter de l’occasion qu’il avait enfin de pénétrer la belle Nathalie qu’il lorgnait pourtant depuis longtemps et qui avait enfin fait le voyage vers Paris de son Limousin natal. Non Léopold vivait le drame de l’organisateur de soirée qui passe son temps à se demander si tout va bien.
Mais justement tout va bien. Les couples s’éclatent et Chrystèle est la reine de la soirée. Le reine d’Ethan qui l’a mise en levrette dans la chambre du fond et la prend encore et encore. Puis se fait sucer, elle toujours à quatre pattes, le sexe à dispo. Un homme qu’elle ne voit pas, plutôt pas mal, assez poilu, la bite à l’air, demande à Ethan l’autorisation de la prendre à son tour. D’un signe il lui dit d’avancer. Chrystèle ne dit rien. Elle aime qu’on la prenne ainsi. Sans lui demander son avis. Etre à quatre pattes, montrer son si joli sexe, sentir l’homme qui approche, son sexe contre sa vulve, parfois l’aider à la pénétrer de la main. Ses mains qui lui tiennent solidement les hanches. Parfois ces petits claques qui ponctuent la pénétration.
Des injures, « salope, pute, prends ça », pourquoi pas. Elle aime aussi participer à la pénétration en donnant elle aussi des furieux coups de fesse. Une bite à sucer en plus. Pourquoi pas mais ça la déconcentre et elle préfère ne penser qu’à celui qui la pénètre.
Une grosse bite ? Elle préfère ça c’est sur mais certains mecs très bien membrés ne l’ont pas du tout fait jouir quand d’autres aux attributs pourtant modestes lui ont procuré de fabuleux orgasmes.
C’est le cas en ce moment. Mais il se retire. Il n’a toujours pas vu qui c’était mais c’était un artiste. « Tu me diras qui m’a prise », demande-t-elle à Ethan.
- Bien sûr. Tu es une sacrée salope tu sais », lui dit-il alors qu’elle vient de s’asseoir sur lui et qu’il la pénètre, droit dans les yeux, sur une chaise pas forcément très confortable. « Tais toi. Prends-moi. » Et il obéit. Il aime la prendre, l’a déjà souvent baisée dans les soirées qu’il organise et livrée à un ami qui lui a donné ses premiers orgasmes libertins. Un grand mec très balèze que Chrystèle espérait qu’il amènerait ce soir là : « Ton ami n’a pas pu venir », l’interroge-t-elle alors qu’ils fument une cigarette sur un matelas enfin libre. « Eh non, mais je te promets que tu le reverras. Pour le Nouvel An on va faire une superbe soirée. Vous serez des nôtres ?
- Demande à Léopold. C’est mon impresario.
- J’ai un peu l’impression qu’il fait effectivement moins le spectacle que toi », susurre Ethan en lui caressant le sein gauche, le plus érectile des deux. « Oui il a moins de succès.
- Et ça ne le rend pas jaloux de te voir te faire prendre pendant que lui est beaucoup moins actif ?
- Sans doute mais il me dit qu’il adore me voir jouir même si c’est avec d’autres. »
A quelque mètres de là, dans une autre chambre, Léopold a une conversation similaire avec une femme qu’ils connaissent bien maintenant et qu’il a souvent honorée, mais moins souvent – et surtout moins longtemps – que son mari a baisé Chrystèle : « Elle prend son pied ta femme.
- Nous ne sommes pas mariés.
- Ta compagne. Ca ne te rend pas jaloux parfois ?
- Non tant que j’ai l’impression que c’est purement sexuel. »Elle joue avec le sexe de Léopold, qui bande enfin, il la pénètre également de ses doigts. C’est une femme assez petite sans forme particulière mais très charmante. Et surtout elle a une conversation intéressante. Avec Léopold ils partagent cet handicap d’avoir des compagnons très actifs pendant qu’eux le sont nettement moins. « Et toi tu n’en as pas marre de le voir baiser toute la soirée ?
- Non, je trouve ça mignon. Et puis moi aussi j’y trouve mon compte. » Deux secondes plus tard Léopold la prend enfin et s’applique à bien la baiser. Curiosité dans ces soirées, elle n’a pas la chatte rasée et cela en étonne plus d’uns.

Chatte totalement glabre, Chrystèle a rejoint le buffet où elle ne tarde pas à être draguée par le compagnon de la Thaïlandaise, un Français bon teint, quelques kilos en trop, la quarantaine, qu’on aurait plutôt imaginé croiser dans un cabinet de notaire qu’en ces lieux. Ne vous y fiez pas, François est un gros baiseur. S’il n’a pas un sexe digne des plus grands, ses prestations sont tout à fait digne d’éloges et Chrystèle serait prête à remettre ça si sa compagne ne revenait pas en glapissant : « On s’en va, j’en ai marre. Allez viens ». Il est deux heures du matin et quelques couples sont déjà partis, rentrés chez eux ou allés dans d’autres soirées ; il doit bien y en avoir sept ou huit ce soir-là sans parler des clubs. La concurrence est rude.
Chrystèle décide donc de se rabattre sur le propriétaire des lieux, en grande discussion dans la cuisine. Elle descend un peu sa robe fourreau pour montrer le haut de ses seins et le rejoint. Ferme la porte de la cuisine. S’approche nonchalamment de lui et de l’ami avec lequel il discute – policier de son état et beau mec également -, les deux hommes l’entourent. L’un l’embrasse et lui palpe les seins pendant que l’autre d’un « l’envers vaut l’endroit » s’empare de ses fesses. Quelques secondes encore et leurs doigts la pénètrent, leurs mains l’excitent, elle se sent livrée une fois de plus.
C’est contre l’évier que le policier la prend. « Décidément ce soir j’aime me faire prendre debout se dit elle. » Il lui prend les seins, elle aime ça. Elle se touche, elle aime ça. Son autre ami se met finalement devant elle et elle l’embrasse pendant que le premier la prend de nouveau par derrière. Jamais elle n’avait encore vécu cette sensation d’être prise en sandwich entre deux hommes. Elle qui embrasse peu adore cette langue qui virevolte dans sa bouche pendant que l’autre la baise de plus en plus vite.

Il est cinq heures quand ils partent enfin. Ils ont dû ranger des dizaines de bouteilles vite et ramasser quelques préservatifs égarés.
« Ca t’a plu ?
- Organiser une soirée c’est vraiment un enfer ! »