Et pourquoi pas?
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Et pourquoi pas?
Je taille la haie quand mon regard se dérobe pour tomber sur un séchoir à linge. Où ne sont étendu que des sous-vêtements. Je profite de l’absence des voisins pour fouiller leur jardin du regard. Je m’aperçois très vite qu’un spa y est installé. Dès lors une idée me vient en tête. Je descends de mon escabeau et fonce dans la maison pour revenir avec en main une caméra espion. Que je m’empresse d’installer sur une branche de l’arbre au-dessus de notre clôture. L’objectif pointé du côté du spa.
Il ne me faut pas moins de trois essais avant de tomber sur quelque chose d’intéressant. Où la voisine fait son apparition, s’avançant jusqu’à son bain de soleil pose près du spa. Mon sixième sens me met en alerte, il va se passer quelque chose !
Alors je reste esclave, devant l’ordi qui diffuse les images en direct. Je salive sur les courbes de la voisine. Je devine le galbe des fesses charnues sous son maillot de bain en nylon. L’air chaud dans ma chambre deviens tout à coup électrique. Je détaille chaque parcelle de son corps à peine dissimulé par le maillot. Mon regard serpente depuis sa chevelure châtain clair, jusqu’au long de sa nuque, jusque sur ses épaules étroites. Je scrute les épais buissons sombres qui apparaissaient sous les aisselles, parfaitement accordés avec sa crinière.
Je m’arrête sur le contour des seins sous son maillot. À seulement quelques mètres de la caméra, la voisine se met à préparer son espace près du bain de soleil. Je ne peux m’empêcher de porter mon attention sur la forme gironde des hanches. Et plus particulièrement sur l’objet de toutes mes convoitises que constitue son entrejambe au niveau duquel je peux deviner ce sexe féminin mystérieux qui forme une boursouflure sous le nylon.
Je suis dans un état d’hystérie. Prêt à me branler devant l’écran de l’ordinateur. Mon trouble grimpe d’un cran lorsqu’elle se retourne pour faire face à l’objectif. Par réflexe, je me fige. Mais très vite, je me réconforte, en me maudissant. Pauvre con, elle ne peut pas de voir !
Cela me fait sourire. Devant l’objectif, la voisine continue à s’affairer, loin de deviner que je suis en train de l’espionner. Voilà que d’un geste naturel, elle se sépare de son haut et aussitôt ses seins m’apparaissent. Putain de vraies mamelles de vache !
Putain, le voisin ne doit pas s’ennuyer ?
Je ne sais où donner de la tête. Pas le temps de tergiverser que déjà la voisine s’installe sur son bain de soleil. Là, j’aperçois distinctement le tissu du maillot se tendre sur la forme de sa vulve. J’espère qu’elle ne va pas en rester là. C’est mon jour de chance, puisque la voilà qu’elle se décide de faire glisser une de ses mains, le long de son corps pour la placer à hauteur de son ventre.
Je scrute avec intérêt les manœuvres qui se mettent en œuvre sous mes yeux. Centimètre après centimètre, la pulpe des doigts de la voisine glisse du nombril vers le bas du ventre avant d’escalader l’élastique du slip de bain. Et de fendre la bosse que forme son pubis sous le tissu pour les faire dévaler.
Mes yeux sont comme scotchés sur les doigts, que je devine, être en train d’exciter lentement la chair la plus sensible chez elle, sous l’étoffe. Un point que je devine être le bout du majeur, monte et descend délicatement. Parfois en côtoyant simplement, parfois en s’enfonçant dans le profond sillon. De légers soupirs se dessinent sur les lèvres de la femme. Alors la voilà qu’elle fléchit les genoux. Ramenant ainsi ses pieds vers ses fesses. Le tout en écartant les jambes pour faciliter la farandole de ses mains.
Les doigts de la voisine, se mettent à accélérer doucement à mesure que le mouvement de va-et-vient se transforme en petits gestes circulaires. Je regarde les jambes qui paraissent s’ouvrir et se refermer en cadence. Cela provoque chez moi une bouffée d’excitation. Aussi élevé que je le suis devant un film porno !
Tout son corps paraît entrer en vibration à mesure que la main fouille l’intérieur des cuisses. Sa grosse poitrine monte et descend. Je suis dans tous mes états lorsque la coquine passe ses pouces sous l’élastique de la ceinture de son slip de bain. Qu’elle fait glisser jusqu’à mi-cuisses. Mon regard est comme aimanté sur son pubis fourni. Une majestueuse toison bouclée. La chorégraphie de ses doigts devient plus frénétique à mesure que le corps s’arque et ondule. Pas besoin de tendre l’oreille pour entendre les soupirs sortir de sa bouche.
Je suis au bord de l’apoplexie. Comme je suis fasciné par le mouvement des petites lèvres qui dessinent une délicate collerette de chair autour de l’objet de mes convoitises. Les doigts de la voisine dessinent tantôt des cercles, tantôt des va-et-vient de haut en bas, variant les rythmes et les sens. La cadence paraît s’accélérer avec la montée du plaisir qui envahisse très visiblement tout le corps. Les cuisses se serrent et se desserrent en cadence, emprisonnant la main dans l’étau de ses jambes.
Toute la paume de sa main se met à masser et à pétrir son sexe. Je vois le corps ondulant se tordre et se crisper dans une posture recroquevillée autour de sa main.
J’ai tellement été ébahi par ce que je venais de voir que j’en avais oublié mon travail, mais aussi mon propre état d’excitation ainsi que la colossale érection qui déforme le devant de mon pantalon.
Quand plus tard, j’ai vu dans le quartier, la même voisine en couple avec son mari, en train de promener son chien, je me suis permis de faire un petit bout de chemin derrière eux, mon regard fixé sur le cul de Magdalena. C’est avec regret que je les ai délaissées de peur de me faire repérer. Au retour, je me suis permis de me rendre devant leur portail, sans risquer de me faire surprendre. Le nom inscrit sur la boite aux lettres. Je n’ai pas retenu celui du mari, je pense que vous devinez pourquoi ?
Le lendemain, je m’arrange pour me trouver dans les parages de la clôture qui me sépare de la voisine. Et c’est avec plaisir que je l’entends farfouiller derrière la palissade. Ni une ni deux, j’approche mon escabeau de la haie et fait semblant de m’intéresser à elle. La chance étant au rendez-vous, il se trouve qu’elle étend son linge. Et parmi tous les vêtements quelques slips. Il ne m’en faut pas plus pour lancer une bravade.
- Jolie culotte voisine…
- Je vous remercie.
Je m’attendais à tout, mais pas à ces mots et encore moins à ce qui allait suivre :
- Vous en désirez une ?
- Vous voulez plaisanter ?
- Pourquoi, j’en ai l’air ? Me lance-t-elle en m’exhibant les quatre étendues sur leurs perchoirs.
- Alors je vous écoute ? Fait-elle impatienter.
- Si cela ne vous dérange pas, j’ôterai pour celle que vous portez sous votre jupe.
- Oh le goujat. Celle que je porte ? Il est fou ! Mais pourquoi pas ?
- Je vous entends bien là, vous êtes d’accord ?
- Cela ne reste qu’une culotte.
- Oui, mais quand même.
- Vous la voulez, oui ou non…
- Là, vous m’épatez. Jamais, mais alors jamais, je n’aurais imaginé que vous accepterez.
- Comme quoi, qui ne tente rien n’a rien.
- Parfaitement !
Voilà qu’elle s’en sépare et me la jette par-dessus les troènes.
- Je vois que Madame est forte au lancer.
- Pas que ! Si vous savez tout ce que je sais faire…
- Je ne demande qu’à voir !
- Oui, c’est ça !
Je scrute la culotte. Une tache de mouille est formée sous ses fesses, on aurait dit qu’elle avait pissé. Un cercle douloureux enserre mon front et mes tempes. Devant ses yeux témoins, je la hume.
- Wouah ! Lâche-t-elle de surprise.
- Merci… Vous me gâtez la voisine !
- Pas autant que ce que vous avez pu voir grâce à votre caméra.
Et là, dans un sang-froid qui m’est accoutumé, je lui sors.
- Parce ce que vous savez ça, Madame !
- Oui, grâce à cela, fait-elle en me désignant la caméra du doigt sur la branche de l’arbre mitoyen. Que je n’avais jusqu’alors, jamais détecter.
- Vous m’avez bien eu sur le coup !
- Non, vous vous êtes fait avoir tout seul, voilà tout.
- Bien sûr, je compte sur vous que pour cela reste entre nous.
- Oui… Enfin peut-être.
- C’est-à-dire.
- Après réflexion, je ne serais pas contre pour que vous veniez tailler mon arbre.
- Ce serait avec plaisir, Madame.
- Arrêtez avec votre Madame, moi, c’est Magdalena.
- Vous avez un jour préféré ?
- Un jour où je serais seule de préférence.
Cela me fait sourire.
- Je vois ! Fais-je.
- Vous ne voyez rien, Cher Voisin. Mardi prochain, vous irez ?
- Va pour mardi.
Donc ce fameux mardi, je débarque chez elle, ma tronçonneuse en main.
- Vous prendrez bien un café pour commencer ?
- Je ne dis pas non.
Et c’est comme ça que je me retrouve dans son entrée, en sa compagnie. Je m’attends qu’elle m’entraîne dans la cuisine, mais elle reste immobile. L’air pensif. Alors je lui demande si elle sait comment je dois tailler son arbre.
- Pardon ? Me lâche-t-elle.
- Je me demandais si vous avez vu avec votre époux pour la taille de l’arbre.
- Non, et à vrai dire je m’en fou complètement de cet arbre. Ce que je voulais moi, c’était juste vous attirez jusque chez moi.
- Et pourquoi, si cela n’est pas indiscret.
- Tu ne devines pas pourquoi ? Lâche-t-elle. Tu es si naïf que ça ? Pourtant, ce n’est pas l’impression que tu donnes.
- Je serais bien curieux de savoir l’impression que je donne ?
- À un mec qui s’est s’occuper à faire plaisir une femme.
- Tout ça ?
- Et que tu ne serais pas contre de jouer au cochon, la cochonne avec moi, laisse-t-elle tomber, en commençant à se déshabiller, avec une lenteur savamment contrôlée.
Elle est debout, tout à côté de moi. Sa poitrine, libérée me fascine décidément, mais je prends soin de réprimer le moindre geste pour savourer mieux cet instant. En un geste élégant, elle dégage sa jupe étroite de la main. Dessous elle porte une culotte en tulle, dont j’aperçois nettement la forme de son pubis qui enfle le devant du tulle.
Penchée vers moi, alors que ses mamelles caressent par instant mon torse, elle s’affaire à me déshabiller avec la même sûreté de gestes et la même lenteur, toute de sensualité.
- J’adore découvrir un homme !
- Faites-donc... Magdalena, je vous en plie !
Je découvre alors la finesse et la douceur de ses mains. Ses ongles, effilés sont parés d’un ravissant vernis grenat. Je suis en érection. Elle fait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine. Elle m’effleure à peine. Ce sont plutôt les poils de mon torse qu’elle caresse en de petits mouvements circulaires. Et peu à peu s’agenouille à mes pieds. Je passe ma main dans ses cheveux et masse doucement sa nuque. Je contemple son dos, les courbes de ses reins et de ses fesses. Alors qu’elle dépose de petits baisers sur mes cuisses, je caresse maintenant ses épaules et son dos. Mes doigts se laissent glisser sans effort sur toute la longueur de son échine, que je ressens parcourue d’un léger frisson.
Elle me regarde de ses yeux azur. Ses lèvres esquissent un sourire complice. J’avance mes mains vers elle comme pour enfin saisir le fruit défendu. Elle me dit alors d’une voix douce et maternelle :
- Je suis impatiente que tu me touches. Surtout ma poitrine, tu vas voir, ils sont très sensibles.
À l’instant où mes doigts effleurent le dessous de ses énormes globes laiteux et souples, elle entrouvre sa bouche pour laisser échapper d’un tendre soupir. Mais je n’ai plus d’yeux que pour ses magnifiques mamelles qui palpitent sous mes doigts comme deux délicieux fruits mûrs gorgés de jus. Je malaxe la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites.
Bientôt, je frotte et pince ses tétines brunes et gonflées. Elle pousse un cri aigu. Cela décuple ma frénésie sexuelle. Rageusement, follement, je m’acharne sur ses mamelles, les malaxant avec tendresse.
- Oh oui, caresse-les bien. Enfin des mains d'homme sur mes nichons ! Tu ne peux pas savoir comme ça me manquait.
Mon enthousiasme est décuplé, après avoir entendu ses mots.
- Il serait mieux, enfin si cela te dit, qu’on aille dans un endroit plus confortable.
Elle m’entraîne pour cela jusqu’à sa chambre. Où j’y trouve la photo de son mec sur la table de nuit.
- Il ne te dérange pas au moins ?
- J’adore quand me regarde…
Elle me fait m’allonger sur le lit. Elle m’enjambe pour s’asseoir sur ma poitrine. Elle est plutôt lourde. Elle écarte les cuisses au maximum pour que son entrejambe soit en contact avec moi. Je perçois la chaleur de son sexe. Je la sens ouverte, coulante. Elle est lente et douce, calme et appliquée.
Elle s’arrange pour caler mon gland dans l’ouverture de sa fente. Elle entame une danse qui a fait monter de ma gorge un cri que j’ai eu grand-peine à maîtriser. Elle se soulève au moment où j’allais concrétiser.
Elle se place finalement à mes côtés. Glisse une main entre ses cuisses. Elle se caresse. Elle tend le majeur d’une manière obscène et l’introduit dans la fente. Elle le fait aller et venir plusieurs fois jusqu’à ce qu’il s’enfonce au plus profond.
- Regarde comme je mouille !
Elle retire son doigt et me le passe sous le nez. Je retrouve le fumet âcre que j’ai senti dans sa culotte. Je la regarde dans les yeux.
- Tu sens bon le plaisir !
- Tu dois me prendre pour une salope ?
- Oui, je confirme, tu es une grosse salope qui a besoin qu’on éteint le feu qu’elle a au cul.
À ces mots, elle rougit. Cette fois, c’est moi qui introduis mon doigt dans sa fente moite. Elle gémit. Je me place entre ses cuisses. Je la soulage de sa petite lingerie. Sa moule odorante dégouline de plaisir, je lape toute la surface des nymphes. Je fais entrer ma langue dans son con. Je la fais frétiller un moment avec un bruit de succion. La voisine se mort. Je relève la tête, j’ouvre la chatte avec mes doigts et je laisse couler un long filet de salive à l’intérieur. Puis je masse toute la vulve en faisant rouler les muqueuses du bout des doigts. Magdalena pousse de petits gémissements saccadés. Se tord dans tous les sens.
Elle se mord les lèvres jusqu’au sang propulsant son bassin vers le haut. Elle est rattrapée par un orgasme très bref, très violent. Elle se cache le visage avec son avant-bras, humiliée et honteuse d’avoir joui si rapidement. Je continue à la caresser sur tout le corps pour entretenir son excitation. Prêt à découvrir toutes les façons de la faire vibrer. La voir ronronner sous mon pelotage me fait bander à bloc.
Je la bascule en arrière. Plaquant ses genoux contre sa poitrine pour réaliser mon désir. Celui de nicher mon nez au-dessus de son anus. Pour y sentir son effluve. Une odeur très forte et très entêtante pour un vicelard comme je le suis.
D’ailleurs sans aucune hésitation, je colle ma bouche, et aspire le trou pour le sucer. Un goût amer se diffuse très vite dans ma bouche. Ma langue va et vient de plus en plus vite dans l’anus élargi. Son visage est cramoisi. De honte, ou sous l’effet du plaisir qui monte.
Léchage après léchage, l’anus se dilate et bâille autour du puits sombre et gluant. Puis-je le branler ? Avec deux doigts avec une sorte de rage. Faisant claquer ses fesses lorsque sa main y bute. Je pousse le vice à y associer l’annulaire. Enrageant de ne pouvoir les enfoncer plus loin encore, au fond de son cul. Toutes les dix ou quinze allés et retour, je les retire brutalement et les portais à ma bouche. Les léchant, les suçant sous ses grimaces avides.
Sans aucune défense. Me donnant droit à tout. Je la pénètre lentement à petits coups de reins. Sa bague s’ouvrant à mon passage. Je ne rencontre aucune résistance. Au contraire, elle n’attendait visiblement que ça.
Et bientôt, je sens autour de mon gland, puis de ma verge, une tension annulaire qui coulisse facilement le long de ma verge. Et me voilà entièrement introduit dans son anus, ne pouvant aller plus loin.
Je la tiens bien. Bien emmanchée. Elle halète, prononce des insanités, même des grossièretés. Elle n’a plus aucune retenue. J’entame un va-et-vient long et profond. Elle se cale contre moi en soulevant légèrement le bassin en enroulèrent ses jambes autour de ma taille.
J’effectue de brutaux mouvements de va-et-vient. Mon excitation monte vite. Je me sens devenir vraiment comme une bête. Elle se donne corps et âme à ce rapide et brutal ramonage. Elle hurle son plaisir, hurle son enthousiasme de se faire enculer.
- Le salaud ! Il m’a enculée… Oh, que c’est bon ! … Je suis enculée… Pour la première fois ! … Oh, que c’est bon…
J’essaye bien de retenir ce moment sublime, intense, fort, renversant. Mais c’est plus fort que tout et je ne peux résister à la tentation de me laisser jouir. Je me déverse en pleine puissance. Cette éjaculation lui provoque un délire verbal insensé, ainsi que son orgasme. Je sens ses muscles internes compresser ma verge comme pour en essorer tous le jus.
Je me retire difficilement, tant elle me retient dans ses entrailles comme si elle désirait refaire une partie.
Il ne me faut pas moins de trois essais avant de tomber sur quelque chose d’intéressant. Où la voisine fait son apparition, s’avançant jusqu’à son bain de soleil pose près du spa. Mon sixième sens me met en alerte, il va se passer quelque chose !
Alors je reste esclave, devant l’ordi qui diffuse les images en direct. Je salive sur les courbes de la voisine. Je devine le galbe des fesses charnues sous son maillot de bain en nylon. L’air chaud dans ma chambre deviens tout à coup électrique. Je détaille chaque parcelle de son corps à peine dissimulé par le maillot. Mon regard serpente depuis sa chevelure châtain clair, jusqu’au long de sa nuque, jusque sur ses épaules étroites. Je scrute les épais buissons sombres qui apparaissaient sous les aisselles, parfaitement accordés avec sa crinière.
Je m’arrête sur le contour des seins sous son maillot. À seulement quelques mètres de la caméra, la voisine se met à préparer son espace près du bain de soleil. Je ne peux m’empêcher de porter mon attention sur la forme gironde des hanches. Et plus particulièrement sur l’objet de toutes mes convoitises que constitue son entrejambe au niveau duquel je peux deviner ce sexe féminin mystérieux qui forme une boursouflure sous le nylon.
Je suis dans un état d’hystérie. Prêt à me branler devant l’écran de l’ordinateur. Mon trouble grimpe d’un cran lorsqu’elle se retourne pour faire face à l’objectif. Par réflexe, je me fige. Mais très vite, je me réconforte, en me maudissant. Pauvre con, elle ne peut pas de voir !
Cela me fait sourire. Devant l’objectif, la voisine continue à s’affairer, loin de deviner que je suis en train de l’espionner. Voilà que d’un geste naturel, elle se sépare de son haut et aussitôt ses seins m’apparaissent. Putain de vraies mamelles de vache !
Putain, le voisin ne doit pas s’ennuyer ?
Je ne sais où donner de la tête. Pas le temps de tergiverser que déjà la voisine s’installe sur son bain de soleil. Là, j’aperçois distinctement le tissu du maillot se tendre sur la forme de sa vulve. J’espère qu’elle ne va pas en rester là. C’est mon jour de chance, puisque la voilà qu’elle se décide de faire glisser une de ses mains, le long de son corps pour la placer à hauteur de son ventre.
Je scrute avec intérêt les manœuvres qui se mettent en œuvre sous mes yeux. Centimètre après centimètre, la pulpe des doigts de la voisine glisse du nombril vers le bas du ventre avant d’escalader l’élastique du slip de bain. Et de fendre la bosse que forme son pubis sous le tissu pour les faire dévaler.
Mes yeux sont comme scotchés sur les doigts, que je devine, être en train d’exciter lentement la chair la plus sensible chez elle, sous l’étoffe. Un point que je devine être le bout du majeur, monte et descend délicatement. Parfois en côtoyant simplement, parfois en s’enfonçant dans le profond sillon. De légers soupirs se dessinent sur les lèvres de la femme. Alors la voilà qu’elle fléchit les genoux. Ramenant ainsi ses pieds vers ses fesses. Le tout en écartant les jambes pour faciliter la farandole de ses mains.
Les doigts de la voisine, se mettent à accélérer doucement à mesure que le mouvement de va-et-vient se transforme en petits gestes circulaires. Je regarde les jambes qui paraissent s’ouvrir et se refermer en cadence. Cela provoque chez moi une bouffée d’excitation. Aussi élevé que je le suis devant un film porno !
Tout son corps paraît entrer en vibration à mesure que la main fouille l’intérieur des cuisses. Sa grosse poitrine monte et descend. Je suis dans tous mes états lorsque la coquine passe ses pouces sous l’élastique de la ceinture de son slip de bain. Qu’elle fait glisser jusqu’à mi-cuisses. Mon regard est comme aimanté sur son pubis fourni. Une majestueuse toison bouclée. La chorégraphie de ses doigts devient plus frénétique à mesure que le corps s’arque et ondule. Pas besoin de tendre l’oreille pour entendre les soupirs sortir de sa bouche.
Je suis au bord de l’apoplexie. Comme je suis fasciné par le mouvement des petites lèvres qui dessinent une délicate collerette de chair autour de l’objet de mes convoitises. Les doigts de la voisine dessinent tantôt des cercles, tantôt des va-et-vient de haut en bas, variant les rythmes et les sens. La cadence paraît s’accélérer avec la montée du plaisir qui envahisse très visiblement tout le corps. Les cuisses se serrent et se desserrent en cadence, emprisonnant la main dans l’étau de ses jambes.
Toute la paume de sa main se met à masser et à pétrir son sexe. Je vois le corps ondulant se tordre et se crisper dans une posture recroquevillée autour de sa main.
J’ai tellement été ébahi par ce que je venais de voir que j’en avais oublié mon travail, mais aussi mon propre état d’excitation ainsi que la colossale érection qui déforme le devant de mon pantalon.
Quand plus tard, j’ai vu dans le quartier, la même voisine en couple avec son mari, en train de promener son chien, je me suis permis de faire un petit bout de chemin derrière eux, mon regard fixé sur le cul de Magdalena. C’est avec regret que je les ai délaissées de peur de me faire repérer. Au retour, je me suis permis de me rendre devant leur portail, sans risquer de me faire surprendre. Le nom inscrit sur la boite aux lettres. Je n’ai pas retenu celui du mari, je pense que vous devinez pourquoi ?
Le lendemain, je m’arrange pour me trouver dans les parages de la clôture qui me sépare de la voisine. Et c’est avec plaisir que je l’entends farfouiller derrière la palissade. Ni une ni deux, j’approche mon escabeau de la haie et fait semblant de m’intéresser à elle. La chance étant au rendez-vous, il se trouve qu’elle étend son linge. Et parmi tous les vêtements quelques slips. Il ne m’en faut pas plus pour lancer une bravade.
- Jolie culotte voisine…
- Je vous remercie.
Je m’attendais à tout, mais pas à ces mots et encore moins à ce qui allait suivre :
- Vous en désirez une ?
- Vous voulez plaisanter ?
- Pourquoi, j’en ai l’air ? Me lance-t-elle en m’exhibant les quatre étendues sur leurs perchoirs.
- Alors je vous écoute ? Fait-elle impatienter.
- Si cela ne vous dérange pas, j’ôterai pour celle que vous portez sous votre jupe.
- Oh le goujat. Celle que je porte ? Il est fou ! Mais pourquoi pas ?
- Je vous entends bien là, vous êtes d’accord ?
- Cela ne reste qu’une culotte.
- Oui, mais quand même.
- Vous la voulez, oui ou non…
- Là, vous m’épatez. Jamais, mais alors jamais, je n’aurais imaginé que vous accepterez.
- Comme quoi, qui ne tente rien n’a rien.
- Parfaitement !
Voilà qu’elle s’en sépare et me la jette par-dessus les troènes.
- Je vois que Madame est forte au lancer.
- Pas que ! Si vous savez tout ce que je sais faire…
- Je ne demande qu’à voir !
- Oui, c’est ça !
Je scrute la culotte. Une tache de mouille est formée sous ses fesses, on aurait dit qu’elle avait pissé. Un cercle douloureux enserre mon front et mes tempes. Devant ses yeux témoins, je la hume.
- Wouah ! Lâche-t-elle de surprise.
- Merci… Vous me gâtez la voisine !
- Pas autant que ce que vous avez pu voir grâce à votre caméra.
Et là, dans un sang-froid qui m’est accoutumé, je lui sors.
- Parce ce que vous savez ça, Madame !
- Oui, grâce à cela, fait-elle en me désignant la caméra du doigt sur la branche de l’arbre mitoyen. Que je n’avais jusqu’alors, jamais détecter.
- Vous m’avez bien eu sur le coup !
- Non, vous vous êtes fait avoir tout seul, voilà tout.
- Bien sûr, je compte sur vous que pour cela reste entre nous.
- Oui… Enfin peut-être.
- C’est-à-dire.
- Après réflexion, je ne serais pas contre pour que vous veniez tailler mon arbre.
- Ce serait avec plaisir, Madame.
- Arrêtez avec votre Madame, moi, c’est Magdalena.
- Vous avez un jour préféré ?
- Un jour où je serais seule de préférence.
Cela me fait sourire.
- Je vois ! Fais-je.
- Vous ne voyez rien, Cher Voisin. Mardi prochain, vous irez ?
- Va pour mardi.
Donc ce fameux mardi, je débarque chez elle, ma tronçonneuse en main.
- Vous prendrez bien un café pour commencer ?
- Je ne dis pas non.
Et c’est comme ça que je me retrouve dans son entrée, en sa compagnie. Je m’attends qu’elle m’entraîne dans la cuisine, mais elle reste immobile. L’air pensif. Alors je lui demande si elle sait comment je dois tailler son arbre.
- Pardon ? Me lâche-t-elle.
- Je me demandais si vous avez vu avec votre époux pour la taille de l’arbre.
- Non, et à vrai dire je m’en fou complètement de cet arbre. Ce que je voulais moi, c’était juste vous attirez jusque chez moi.
- Et pourquoi, si cela n’est pas indiscret.
- Tu ne devines pas pourquoi ? Lâche-t-elle. Tu es si naïf que ça ? Pourtant, ce n’est pas l’impression que tu donnes.
- Je serais bien curieux de savoir l’impression que je donne ?
- À un mec qui s’est s’occuper à faire plaisir une femme.
- Tout ça ?
- Et que tu ne serais pas contre de jouer au cochon, la cochonne avec moi, laisse-t-elle tomber, en commençant à se déshabiller, avec une lenteur savamment contrôlée.
Elle est debout, tout à côté de moi. Sa poitrine, libérée me fascine décidément, mais je prends soin de réprimer le moindre geste pour savourer mieux cet instant. En un geste élégant, elle dégage sa jupe étroite de la main. Dessous elle porte une culotte en tulle, dont j’aperçois nettement la forme de son pubis qui enfle le devant du tulle.
Penchée vers moi, alors que ses mamelles caressent par instant mon torse, elle s’affaire à me déshabiller avec la même sûreté de gestes et la même lenteur, toute de sensualité.
- J’adore découvrir un homme !
- Faites-donc... Magdalena, je vous en plie !
Je découvre alors la finesse et la douceur de ses mains. Ses ongles, effilés sont parés d’un ravissant vernis grenat. Je suis en érection. Elle fait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine. Elle m’effleure à peine. Ce sont plutôt les poils de mon torse qu’elle caresse en de petits mouvements circulaires. Et peu à peu s’agenouille à mes pieds. Je passe ma main dans ses cheveux et masse doucement sa nuque. Je contemple son dos, les courbes de ses reins et de ses fesses. Alors qu’elle dépose de petits baisers sur mes cuisses, je caresse maintenant ses épaules et son dos. Mes doigts se laissent glisser sans effort sur toute la longueur de son échine, que je ressens parcourue d’un léger frisson.
Elle me regarde de ses yeux azur. Ses lèvres esquissent un sourire complice. J’avance mes mains vers elle comme pour enfin saisir le fruit défendu. Elle me dit alors d’une voix douce et maternelle :
- Je suis impatiente que tu me touches. Surtout ma poitrine, tu vas voir, ils sont très sensibles.
À l’instant où mes doigts effleurent le dessous de ses énormes globes laiteux et souples, elle entrouvre sa bouche pour laisser échapper d’un tendre soupir. Mais je n’ai plus d’yeux que pour ses magnifiques mamelles qui palpitent sous mes doigts comme deux délicieux fruits mûrs gorgés de jus. Je malaxe la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites.
Bientôt, je frotte et pince ses tétines brunes et gonflées. Elle pousse un cri aigu. Cela décuple ma frénésie sexuelle. Rageusement, follement, je m’acharne sur ses mamelles, les malaxant avec tendresse.
- Oh oui, caresse-les bien. Enfin des mains d'homme sur mes nichons ! Tu ne peux pas savoir comme ça me manquait.
Mon enthousiasme est décuplé, après avoir entendu ses mots.
- Il serait mieux, enfin si cela te dit, qu’on aille dans un endroit plus confortable.
Elle m’entraîne pour cela jusqu’à sa chambre. Où j’y trouve la photo de son mec sur la table de nuit.
- Il ne te dérange pas au moins ?
- J’adore quand me regarde…
Elle me fait m’allonger sur le lit. Elle m’enjambe pour s’asseoir sur ma poitrine. Elle est plutôt lourde. Elle écarte les cuisses au maximum pour que son entrejambe soit en contact avec moi. Je perçois la chaleur de son sexe. Je la sens ouverte, coulante. Elle est lente et douce, calme et appliquée.
Elle s’arrange pour caler mon gland dans l’ouverture de sa fente. Elle entame une danse qui a fait monter de ma gorge un cri que j’ai eu grand-peine à maîtriser. Elle se soulève au moment où j’allais concrétiser.
Elle se place finalement à mes côtés. Glisse une main entre ses cuisses. Elle se caresse. Elle tend le majeur d’une manière obscène et l’introduit dans la fente. Elle le fait aller et venir plusieurs fois jusqu’à ce qu’il s’enfonce au plus profond.
- Regarde comme je mouille !
Elle retire son doigt et me le passe sous le nez. Je retrouve le fumet âcre que j’ai senti dans sa culotte. Je la regarde dans les yeux.
- Tu sens bon le plaisir !
- Tu dois me prendre pour une salope ?
- Oui, je confirme, tu es une grosse salope qui a besoin qu’on éteint le feu qu’elle a au cul.
À ces mots, elle rougit. Cette fois, c’est moi qui introduis mon doigt dans sa fente moite. Elle gémit. Je me place entre ses cuisses. Je la soulage de sa petite lingerie. Sa moule odorante dégouline de plaisir, je lape toute la surface des nymphes. Je fais entrer ma langue dans son con. Je la fais frétiller un moment avec un bruit de succion. La voisine se mort. Je relève la tête, j’ouvre la chatte avec mes doigts et je laisse couler un long filet de salive à l’intérieur. Puis je masse toute la vulve en faisant rouler les muqueuses du bout des doigts. Magdalena pousse de petits gémissements saccadés. Se tord dans tous les sens.
Elle se mord les lèvres jusqu’au sang propulsant son bassin vers le haut. Elle est rattrapée par un orgasme très bref, très violent. Elle se cache le visage avec son avant-bras, humiliée et honteuse d’avoir joui si rapidement. Je continue à la caresser sur tout le corps pour entretenir son excitation. Prêt à découvrir toutes les façons de la faire vibrer. La voir ronronner sous mon pelotage me fait bander à bloc.
Je la bascule en arrière. Plaquant ses genoux contre sa poitrine pour réaliser mon désir. Celui de nicher mon nez au-dessus de son anus. Pour y sentir son effluve. Une odeur très forte et très entêtante pour un vicelard comme je le suis.
D’ailleurs sans aucune hésitation, je colle ma bouche, et aspire le trou pour le sucer. Un goût amer se diffuse très vite dans ma bouche. Ma langue va et vient de plus en plus vite dans l’anus élargi. Son visage est cramoisi. De honte, ou sous l’effet du plaisir qui monte.
Léchage après léchage, l’anus se dilate et bâille autour du puits sombre et gluant. Puis-je le branler ? Avec deux doigts avec une sorte de rage. Faisant claquer ses fesses lorsque sa main y bute. Je pousse le vice à y associer l’annulaire. Enrageant de ne pouvoir les enfoncer plus loin encore, au fond de son cul. Toutes les dix ou quinze allés et retour, je les retire brutalement et les portais à ma bouche. Les léchant, les suçant sous ses grimaces avides.
Sans aucune défense. Me donnant droit à tout. Je la pénètre lentement à petits coups de reins. Sa bague s’ouvrant à mon passage. Je ne rencontre aucune résistance. Au contraire, elle n’attendait visiblement que ça.
Et bientôt, je sens autour de mon gland, puis de ma verge, une tension annulaire qui coulisse facilement le long de ma verge. Et me voilà entièrement introduit dans son anus, ne pouvant aller plus loin.
Je la tiens bien. Bien emmanchée. Elle halète, prononce des insanités, même des grossièretés. Elle n’a plus aucune retenue. J’entame un va-et-vient long et profond. Elle se cale contre moi en soulevant légèrement le bassin en enroulèrent ses jambes autour de ma taille.
J’effectue de brutaux mouvements de va-et-vient. Mon excitation monte vite. Je me sens devenir vraiment comme une bête. Elle se donne corps et âme à ce rapide et brutal ramonage. Elle hurle son plaisir, hurle son enthousiasme de se faire enculer.
- Le salaud ! Il m’a enculée… Oh, que c’est bon ! … Je suis enculée… Pour la première fois ! … Oh, que c’est bon…
J’essaye bien de retenir ce moment sublime, intense, fort, renversant. Mais c’est plus fort que tout et je ne peux résister à la tentation de me laisser jouir. Je me déverse en pleine puissance. Cette éjaculation lui provoque un délire verbal insensé, ainsi que son orgasme. Je sens ses muscles internes compresser ma verge comme pour en essorer tous le jus.
Je me retire difficilement, tant elle me retient dans ses entrailles comme si elle désirait refaire une partie.
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