Et tant mieux...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Et tant mieux... Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Et tant mieux...
J’étais en train d’emplir les verres des convives réunis cette nuit autour d’une piscine pour fêter un anniversaire, quand une blonde souriante, qui porte une robe qui la gaine bien, dont le décolleté très chaste laisse entrevoir une paire de seins assez généreuse.
Christine, est son prénom, elle est de taille moyenne, avec une silhouette fine, dont sa robe fendue assez haut met en valeur de très jolies jambes, portées sur des escarpins à talons aiguilles. Son visage était ovale, sous une chevelure châtain clair, aux yeux bleus, qu’elle plante fixement dans les miens et me demande d’emplir sa coupe de champagne.
Et malgré, qu’elle tient en main un verre plein, elle ne me décollée pas d’un centimètre. N’arrêtant pas à me poser des questions. Ma première pensée est, que ce soir, Christine est d’une humeur allumeuse. Il a fallu qu’une convive vienne, la prendre par le poignée pour la tirer jusqu’à la piste de danse pour qu’enfin, elle m’abandonne. Elle ponctue son départ d’un clin d’œil.
Mais ce fut de courte durée, puisque la voilà de nouveau de retour. Elle me surprend de coller sa bouche à mon oreille, à cause de la musique assez forte, me demandant si je n’ai pas vue son chien. Etant du genre serviable, je me propose d’aller le chercher. Nous sortons pour ça avec Christine, du cercle festif, pour voir si nous trouvons le toutou dans les abords. Et cela tout en discutant. A un moment, elle me demande même l’autorisation de s’appuyer sur moi à cause des escarpins qu’elle porte sur les pieds. Elle passe un bras autour de mon cou. Je n’arrive pas à savoir si c’est une provocatrice ou si elle a une idée derrière la tête. Elle m’ôte ce doute en m’embrassant, au détour d’une phrase.
Le premier baiser atterrit sur le coin des lèvres, le suivant sur la bouche. Nous passons les secondes suivant dans le bras l’un de l’autre à nous embrasser, mêlant nos langues en nous caressant. Ses mains descendent très vite sur mes fesses, puis elle s’amuse à effleurer mon sexe. Ma seule préoccupation est de ne pas me faire surprendre par un convive, surtout que parmi eux il y a son mari.
Je pose ma main sur la jambe gauche et déjà, cela me procure des sensations tout à fait agréables. Christine commence à gémir. Des gémissements chuchotés à mon oreille, qui est absolument délicieux à entendre.
-C’est bon !
-Ce n’est que des caresses…
-Oui, mais je pense que tu feras mieux dans les minutes qui vont suivre.
Je me sens rapidement pousser des ailes. Et plus ça va, plus je progresse le long de cette jambe qui se rapproche du sexe. Et plus je monte, plus je prends de l’assurance et moins je suis angoissé à l’idée qu’on nous surprenne. C’est un peu comme si une forte fièvre est en train de s’emparer de moi. Une chose qui ne peut pas être arrêté et qui me fait faire des folies à quelques mètres du mari.
Et ceci atteint mon paroxysme lorsque je sens enfin, sous mes doigts le tissu de sa culotte. Je découvre qu’elle porte un string, en aventurant ma main sur les petites fesses douces et fermes de Christine.
-Tu m rends dingue ! Me fait-elle.
Je ramène ma main sur le devant et la déplace délicatement vers son entrejambe. Tout de suite je sens Christine frémir alors que je commence à cajoler sa chatte à travers le nylon de sa lingerie. Je suis envahi par de très agréables frissons. Mes caresses deviennent rapidement plus langoureuses et plus appuyées ? Mais je caresse toujours à travers le string. Alors que ce dernier est petit à petit avalé par la fente de sa petite moule.
-C’est absolument fabuleux ! Lâche-t-elle. Aller vas-y, ajoute-t-elle.
-Quoi ?
-Mets tes doigts… j’en peux plus…
J’obtempère immédiatement. J’écarte le string et me met à caresser directement la chatte de Christine. Sans toutefois pénétrer les doigts dans un premier temps, me contentant de les faire glisser le long de la fente grasse.
Elle lâche d’ailleurs un petit cri, tout de suite étouffée par la musique, et cela, en cherchant à tâtons ma queue bandée, qu’elle se met à masser énergiquement, à travers la toile du pantalon.
Pour ma part, je me contente de faire glisser mon doigt le long de la fente et remonte ainsi jusqu’au clitoris. Et à nouveau, cela fait manifestement beaucoup d’effet à Christine lorsque je titille son bouton tout dressé de désir. Puis je pénètre le vagin, me contentant de faire de petits cercles avec mon doigt. Christine commence à se raidir alors que le rythme de sa respiration s’accélère.
Je fais alors s’insérer deux doigts dans le vagin de Christine. Et ils s’y enfoncent comme dans du beurre. Les lèvres s’écartant sans aucune difficulté et l’endroit étant très bien lubrifié par l’abondante mouille.
Je les enfonce jusqu’au bout de mes doigts et trouve absolument délicieux de les sentir glisser à l’intérieur. Elle se met à respirer encore plus fort et se raidit encore davantage. Je déploie alors un troisième, le pouce que je positionne sur le clito. Je caresse ainsi son bouton tout en faisant bouger mes doigts à l’intérieur de sa chatte. Et à entendre ses gémissements, je sais que j’ai atteins parfaitement mon objectif, celui de donner beaucoup de plaisir à ma partenaire.
Et alors qu’elle se fait divinement caresser, Christine s’occupe toujours de ma queue. Et toujours à travers le tissu, mais elle y met du cœur. Elle prend son premier orgasme tout en me branlant.
Je retire alors délicatement ma main de son entrejambe et la porte à ma bouche te la lèche bruyamment.
-Cochon ! Lâche-t-elle.
Elle rit de bon cœur, et ajoute par la suite :
-J’ai plein d’idées…
Sans même attendre ma réponse, elle fait glisser ma braguette vers le bas et en extirpe ma queue. L’instant suivant, elle l’enfonce profondément dans la bouche, donne des coups de langue et fait même en sorte de beaucoup baver. Elle se déchaine sur ma queue, qui bande de plus en plus dur. Je n’arrête pas de gémir sous ses coups de langue. Je sens que ma jouissance est proche. C’est tellement bon, que je pousse un cri au moment où mon foutre commence à e déverser dans le gosier de Christine. Cet orgasme je m’en souviendrais longtemps tant je pris du plaisir. Un plaisir très particulier car à l’extraordinaire sensation si difficile à définir. Composé d’un mélange de peur et de satisfaction. Quelque chose qui donne la chair de poule et qui fait de cette expérience une des plus incroyable.
Je pense qu’après cela, Christine va se redresser, mais ce n’est pas le cas, elle me nettoie la queue. Une charmante attention ! Quand elle l’abandonne, je suis toujours dur.
-On fait quoi maintenant ? Me fait-elle.
-Comment ça ?
-Tu veux qu’on aille jusqu’au bout ?
-C’est-à-dire ?
Après cette réplique prononcée avec beaucoup de passion je la vois malgré la pénombre, glisser ses mains sous sa robe. Elle retire son string d’un geste ample avant de me le jeter à la figure. Je m’en saisis au vol et passe quelque secondes à l’humer. Puis je la range dans ma poche, alors que Christine se met à tout doucement faire remonter l’ourlet de sa robe. En un seul mouvement, langoureux, lent et très sensuel. Le haut des jambes de Christine se découvre peu à peu, jusqu’à ce que son entrejambe devienne visible.
J’ai le plaisir d’admirer sa chatte. Je me mets à genoux devant elle, glisse mes mains sous ses fesse et me jette sur sa chatte odorante. Ce qui fait lâcher un petit cri à cette dernière. Un cri de surprise mis aussi de plaisir.
Je bouffe sa chatte, arrachant à Christine ne nombreux gémissements. Je pénètre ma langue à l’intérieur et peux ainsi me délecter de l’abondante mouille. je lèche l’intérieur de la chatte, mais m’occupe également de son bouton, le titillant avec la langue et le tétant avec la bouche. Christine me saisit la tête afin de m’attirer vers elle. M’invitant par ce geste à continuer ce que je faisais. Elle aime ça et souhaite que je continue, c’est une évidence ! Et je n’aime pas décevoir mes partenaires.
Alors je continue de lécher la chatte, la faisant gémir à chaque coup de langue. La situation devient vraiment complètement dingue j’ai vraiment du mal à croire que tout est réel. Je me demande même si je ne suis pas victime d’un canular tant tout cela me parait surréaliste.
J’entreprends de faire tomber pantalon et slip. Je me colle contre elle. Je me saisis de ma queue et dépose le gland juste au niveau de l’entrejambe de Christine. Il me suffit de pousser légèrement et ma queue s’enfonce sans aucun problème à l’intérieur de sa chatte. Elle s’enfonce comme dans du beurre dans la moule trempée de désir. Une fois en elle, je saisis à pleine main ses fesses et me mets à donner de puissants coups de reins, faisant ainsi aller et venir ma queue à l’intérieur du vagin chaud et humide. nous nous dévorons la bouche, enfonçant profondément nos langues tout en bavant autant qu’en peut. Je me déchaîne sans retenue. Je lui agrippe les fesses comme un sauvage.
Je pénètre ma queue tout au fond de la chatte trempée à un rythme effréné. C’est bon et bestial et c’est tout ce que j’ai envie. Tout cela se poursuit de cette façon pendant quelques minutes. Le fait qu’on est joui tous les deux nous permet cette fois de retenir la survenue de nos plaisirs. Mais la situation fait que cela ne peut pas non plus durer éternellement. J’accélère le rythme de mes coups de reins, défonce littéralement la chatte de Christine. Et cela pour le plus grand plaisir de Christine. Plaisir qu’elle extériorise en gémissant et même en criant parfois. Je me rapproche du plaisir. La voilà pour sa part, qu’elle s’agrippe aussi fort qu’elle peut à moi, comme pour me signaler qu’il est temps pour moi de se laisser allé. Ce que je fais. Nous jouissons ensemble et cela est absolument merveilleux. Je me délecte des derniers allées et retours de ma queue dans son antre avant que nos corps finissent par s’embraser et explosent simultanément. Une immense vague de plaisir prend possession de mon corps.
Elle retrouve ses esprits très vite. Un large sourire béat illumine son visage. Je suis pour ma part en sueur. Suite à quoi nous nous embrassons tendrement et restons ainsi lovés l’un contre l’autre pendant quels secondes, de pure plénitude.
Je rejoins tout de suite après mon poste de travail. Mon première réaction est de sourire. Jamais je n’aurai imaginé ce matin en me levant, vivre un tel épisode ! Et tant mieux…

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