Etre étudiant et libertine 2 - Soirée en club féminin

Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Etre étudiant et libertine 2 - Soirée en club féminin
Mélina, m'invite ce soir dans une boîte de nuit pour filles, "Chez Moune" à Pigalle. Ce soir je serai Jane et elle/lui sera mon homme. Cette situation d'inversion de rôles m'amuse. Vite je dois me métamorphoser. Mes bonnes relations avec le coiffeur et l'esthéticienne me permettent de "me faire belle" dans l'après-midi.
De retour chez moi, j'ai encore une heure pour me préparer. Tout d'abord je m'habille de mon parfum fétiche puis j'enferme mon rat sans patte dans sa cage. Mon corset et ma brassière garnie de mes prothèses mammaires me donnent ma silhouette féminine. Là dessus j'enfile des bas couture et mon shorty gris perle assorti. Enfin je m'habille d'un chemisier blanc très chic, d'une jupe courte plissée et d'une veste cintrée en jersey bleu roi qui souligne mes formes. Ah ! mes chaussures, de jolis escarpins, un dernier regard dans le miroir je me sens hyper sexy mais... Je risque d'être plus grande que mon homme et j'essaie mes mocassins vernis noirs... Voilà c'est mieux ainsi et beaucoup plus confortable. Je pars avec un petit sac pour mes papiers, un mouchoir, mon rouge à lèvre, les clés de ma chambre et de ma cage au cas où...
J'ai rendez-vous dans un bar au milieu de la rue Pigalle. En la remontant à pied je passe devant une porte cochère, celle où il y a deux ans, un soir j'ai sucé Gaby alors qu'un couple passait près de nous (Être John et Jane chap 2) Ce souvenir me fait sourire et m'émoustille tout à la fois. J'arrive enfin au bar.
Mel est assis sur un haut tabouret, il parle au comptoir avec la serveuse en la tenant par la main. Il est à peine maquillé, juste les yeux d'une ombre noire, en chemise blanche col Mao, pantalon et veste de velours noir, très masculin. Il s'est coiffé avec une raie... La veste ouverte ne laisse rien voir de sa poitrine. Il s'écrie en me voyant
— Jane, ma chérie, te voilà enfin, je t'attendais !
Il vient à ma rencontre, me prend par la main et me plaque contre lui en remontant mon bras dans mon dos comme pour danser un tango, ses yeux brillent d'envie et me pétrifient. Il murmure :
— Tu es ravissante ! Il m'embrasse du bout des lèvres, respire à pleins poumons. Tu sens divinement bon ! Puis en s'écartant me demande, que prends-tu ma chérie ?
— Un schweppes nature, l'alcool ne fait pas bon ménage avec le sexe.
— Coquine et prévoyante... Un schweppes pour mademoiselle, s'il te plaît.
— Oui bien sûr Mel !... Tu es divinement accompagné ce soir. Visiblement il est habitué au lieu.
Il y a autour de nous des tables plongées dans une semi-obscurité. Je m'habitue à la faible lumière et je vois trois couples qui se bécotent sur des banquettes.
— Installe-toi ... Il me tient la main pour m'aider à m'asseoir, perchée sur le tabouret de bar Attention de ne pas froisser ta jupe, tu dois apprendre à bien t'assoir, toujours cul nu sur les sièges !
— Pardon, je'n savais pas.
Assis face à moi, il pose sa main à l'intérieur de mon genou et remonte sur le bas jusqu'à rencontrer ma peau nue et la soie de mon shorty sur l'entrejambe.
— C'est très bien ma chérie. Élégante et sexy comme je désire. J'ai réservé une table pour dîner à 21 heures. Nous rencontrerons peut-être mes deux copines, on aime beaucoup s'amuser ensemble, elles seront heureuses de te rencontrer.
On parle longuement du plaisir au féminin, de son habitude d'être dominant avec les filles et je lui apprends qu'au contraire j'aime me laisser conduire. On pouffe longuement de rire.
La barmaid nous fait de sages bisous au moment de partir et s'adressant à moi :
— Mademoiselle ?
— Jane !
— Jane revenez quand vous voulez, les amies de Mél sont mes amies et je serais heureuse de mieux vous connaître !
Ça démarre fort, loin est le temps où je craignais qu'on découvre mon identité. "Chez Moune" n'est pas très loin de la place Pigalle : à l'extérieur "Le cabaret au féminin" annonce la couleur aux non-avertis.
A l'intérieur tout est feutré et tamisé, la musique, la lumière, l'épaisse moquette assourdit les déplacements, la dame de l'accueil en costume et cravate nous souhaite le "Bonsoir" d'une voix de basse, les vibrations des cordes d'une basse se mélangent à un léger brouhaha, il y a du monde, les rires sont étouffés, les paroles sont des murmures. Le rouge et le noir sont les couleurs dominantes. Mél est connu ici pour être le mâle, ce sont des embrassades sur les joues, des mots doux,
— Quel plaisir Mel... Ça fait longtemps, que nous t'avons vu...
— C'est vrai, j'ai eu pas mal de boulot ces derniers temps, c'est de la faute de Jane justement... D'un signe de main elle me présente
— Bonsoir Jane ! Malgré tout vous êtes la bienvenue et j'ai le droit au bisou d'accueil de l'hôtesse... Ainsi vous mobilisez Mel ! Je n'ai pas besoin de répondre que mon "homme" reprend la parole
— Colette et Nicole sont-elles là ce soir ?
— Non pas ce soir ! Mais il y a du monde, vous rencontrerez certainement des gens agréables. Venez... Elle nous conduit entre les tables dans un coin de la salle. Ça vous convient, ici vous serez tranquilles tous les deux.
Mélina se glisse sur la banquette dans le coin et m'invite à côté d'elle. Le voisin tout proche me regarde avec insistance et me sourit. Un type bon vivant avec sa bouille ronde, ses cheveux en brosse. Il arbore fièrement sa bedaine avec sa veste largement ouverte, à son côté sa femme en robe rouge très élégante parle avec une serveuse.
Mon "gars" remarque les regards du voisin et se penche pour le saluer, en échangeant un sourire et me provoquant
— Ça va Jane, tu es bien installée ? Tu dragues déjà ?
— Oh Mel, ma... Mon chéri !
Il quitte sa veste de velours, son téton plus que sa poitrine pointe sous a chemise de soie blanche. Je lui caresse la poitrine à la recherche d'un sous-vêtement.
— Que cherches-tu Jane ? As-tu déjà vu un homme avec un soutif ?
— Rien... Tu es beau et j'adore les hommes comme toi !
Le coquin me serre contre lui en me tenant par l'épaule et s'impose, il me caresse, remonte sous ma jupe, il dépasse les bas, atteint ma peau nue et à ajoute voix basse :
— J'aime la douceur de ta peau, le soyeux de ton linge... Enlève-le ! dit-il en élevant la voix
— Mel !... que je gémis offusquée mais son regard n'admet pas de contradiction. Je me lève en murmurant, OK j'y vais !. Mais son bras me bloque sur la banquette
— NON ICI ! M'ordonne-t-il en attirant l'attention du voisin
Je ne peux faire autrement que de me balancer d'une fesse sur l'autre, les mains sous la jupe, je fais glisser mon shorty sous l'œil attentif du voisin. Je me prends au jeu et termine en remontant de mes chaussures le linge bien visible avant de le passer à mon "homme". Ostensiblement il le sent avant de le mettre dans sa poche. Il remet sa main sous ma jupe et va directement à mon entrejambe. Sans qu'il me le demande, j'ouvre mes cuisses et le laisse libre de tous mouvements. Il m'embrasse dans l'oreille et à voix à peine audible :
— Oh Jane ! Ton pubis nu et ton escargot dans sa coquille j'adore... Tu aimes comme je te caresse ? Il saisit mon sexe et le tire comme pour l'arracher. Instinctivement j'écarte les cuisses au risque de découvrir ma nudité. Sa tête sur mon épaule, il chuchote. Tu aimes comme je te prends ?... Glisse-toi sur la banquette. Sans hésiter sa main passe sous mes couilles prisonnières, deux doigts suivent le périnée jusqu'à mon petit trou que d'un coup sec il force. Je m'offre mieux et vais à sa rencontre dans un petit gémissement. Il titille ma rondelle avant de retirer sa main et de sentir ses doigts... Humm tu sens divinement bon, j'adore ton parfum.
— Terre d'Hermes, mon chéri !
— Très sensuel.
Son inspection s'arrête avec l'arrivée de la serveuse, une fille de café au nœud pap et à la poitrine dégagée. On nous apporte le champagne et les amuse-gueule pour débuter le repas. Je rentre dans le jeu de Mélina :
— Mon chéri, notre voisin ne cesse de nous regarder, il a vu que j'ai enlevé ma culotte et peut-être plus.
— Un beau mâle... J'espère qu'il aura l'amabilité de t'inviter à danser.
— Oui mais, s'il me drague ?
— Sa femme est mignonne... Tu lui réponds gentiment, ça ne te dirait de repartir à quatre, tu n'as rien contre le pluralisme, ta tante t'a bien éduquée ?
— Oui mon chéri !
Comme pour signer notre accord, il m'embrasse dans le cou tout en regardant notre voisin et lui souhaite "Bonne santé" quand il lève son verre. Il n'en faut pas plus pour échanger deux paroles et trinquer tous les quatre. Le dîner se poursuit en discutant tous les quatre. L'ambiance de la salle s'échauffe, Aux vibrations du violoncelle s'ajoute le piano et une voix profonde qui invitent à danser. Deux couples entrent en piste et tout de suite se frottent plus qu'ils ne dansent.
Mon voisin ne tarde pas à poser sa main sur mon genou et m'invite à le suivre. Il n'est pas très grand mais costaud. Avec autorité il me presse contre sa bedaine d'une main sur les fesses de l'autre au milieu des omoplates. Je m'écrase contre sa poitrine, m'accroche à son cou en lui caressant la nuque rasée. La tête emboîtée dans son épaule, je suis lascivement le rythme du slow. D'une voix grave, il me murmure à l'oreille :
— Vous êtes ravissante... Moi c'est Claude.
— ... Jane !
— Vous connaissez ici ?
— Non c'est la première fois que mon ami m'y amène.
Au creux de mon cou, sa bouche fouille ma chevelure, il m'embrasse longuement, sa respiration est celle d'une forge « J'aime beaucoup ton parfum... » Il devient rapidement entreprenant, sa caresse sur mes fesses se transforme en véritable pétrissage de cul. Involontairement, pour éviter de mettre ma cage sur son ventre, je le provoque en relevant mes fesses .
Claude, femme ou homme ? Certainement femme dans le milieu où nous sommes et pourtant tellement homme dans son comportement, son attitude, sa voix.
— T'as enlevé ta culotte... T'aimes être cul nu ?
— C'est mon compagnon qui me l'a demandé... Toujours fermement tenue contre lui, une main découvre le laçage de mon serre-taille, l'autre sur le bord de ma jupe touche délibérément mes fesses nues.
— Tu as un p'tit cul bien ferme et j'adore ton corset... D'une pression de sa main et d'un coup de reins, son pubis est contre le mien. D'un petit rire sarcastique il ajoute, petite cachotière...T'as un escargot ? Je ne réponds que d'un soupir et d'un vague grognement... J'adore les filles de ton genre, soumise et pas de problème, je préfère le cul à la chatte !... A côté de nous je vois Mel embrasser à pleine bouche la femme de mon danseur.
La musique s'arrête, une présentatrice, style Barbara annonce le début du spectacle. En revenant à notre table, Claude nous propose de rester ensemble, Mélina accepte d'un grand sourire. Il me pousse dans le coin et s'installe à mon côté laissant Mel et sa compagne ensemble
La salle est plongée dans l'obscurité pour laisser place au spectacle. La présentatrice commence avec quelques chansons de Barbara, sa voix est très basse, chaude et sensuelle. Claude me presse contre lui, pose sa main directement sur mon genou et remonte lentement sur ma cuisse, sans que je puisse m'opposer, il dépasse le liseré du bas et sans détour prend ma cage à pleine main « T'es très bien équipée... » murmure-t-il. L'animal a une poigne terrible, il me tire le paquet et me fait avancer le bassin au bord de la banquette. Deux doigts se positionnent immédiatement sur ma rosace. Il m'avait bien dit qu'il préférait le cul mais tout de même « Bien équipée et très disponible... » Je m'abandonne entre ses bras.
La chanteuse commence avec "Déshabille-moi" alors qu'une jolie fille entre sur scène et au rythme des paroles se met nue. Claude me fouille, je vais à sa rencontre jusqu'à ce qu'il touche ma prostate. Il connait tout du plaisir masculin, je gémis doucement tout en me balançant, je sens sa respiration dans mon cou « T'aime ça … Hein petite cochonne... T'en voudrais plus... » A peine le strip-tease terminé que la lumière se fait et reprennent les slows pour danser. Claude propose alors :
— Ça vous de continuer la soirée à la maison ? J'ai ma voiture à côté.
— Jane, tu es d'accord ?
— Oui, bien sûr mon chéri.
Déjà nous sommes dans la Jaguar de Claude. Mélina et Irène sont à l'arrière. La conduite impose l'attention de Claude, alors qu'à l'arrière ce ne sont que gémissements et gloussements.
Sur la butte Montmartre nous arrivons dans le parking de l'immeuble de Claude.
De retour chez moi, j'ai encore une heure pour me préparer. Tout d'abord je m'habille de mon parfum fétiche puis j'enferme mon rat sans patte dans sa cage. Mon corset et ma brassière garnie de mes prothèses mammaires me donnent ma silhouette féminine. Là dessus j'enfile des bas couture et mon shorty gris perle assorti. Enfin je m'habille d'un chemisier blanc très chic, d'une jupe courte plissée et d'une veste cintrée en jersey bleu roi qui souligne mes formes. Ah ! mes chaussures, de jolis escarpins, un dernier regard dans le miroir je me sens hyper sexy mais... Je risque d'être plus grande que mon homme et j'essaie mes mocassins vernis noirs... Voilà c'est mieux ainsi et beaucoup plus confortable. Je pars avec un petit sac pour mes papiers, un mouchoir, mon rouge à lèvre, les clés de ma chambre et de ma cage au cas où...
J'ai rendez-vous dans un bar au milieu de la rue Pigalle. En la remontant à pied je passe devant une porte cochère, celle où il y a deux ans, un soir j'ai sucé Gaby alors qu'un couple passait près de nous (Être John et Jane chap 2) Ce souvenir me fait sourire et m'émoustille tout à la fois. J'arrive enfin au bar.
Mel est assis sur un haut tabouret, il parle au comptoir avec la serveuse en la tenant par la main. Il est à peine maquillé, juste les yeux d'une ombre noire, en chemise blanche col Mao, pantalon et veste de velours noir, très masculin. Il s'est coiffé avec une raie... La veste ouverte ne laisse rien voir de sa poitrine. Il s'écrie en me voyant
— Jane, ma chérie, te voilà enfin, je t'attendais !
Il vient à ma rencontre, me prend par la main et me plaque contre lui en remontant mon bras dans mon dos comme pour danser un tango, ses yeux brillent d'envie et me pétrifient. Il murmure :
— Tu es ravissante ! Il m'embrasse du bout des lèvres, respire à pleins poumons. Tu sens divinement bon ! Puis en s'écartant me demande, que prends-tu ma chérie ?
— Un schweppes nature, l'alcool ne fait pas bon ménage avec le sexe.
— Coquine et prévoyante... Un schweppes pour mademoiselle, s'il te plaît.
— Oui bien sûr Mel !... Tu es divinement accompagné ce soir. Visiblement il est habitué au lieu.
Il y a autour de nous des tables plongées dans une semi-obscurité. Je m'habitue à la faible lumière et je vois trois couples qui se bécotent sur des banquettes.
— Installe-toi ... Il me tient la main pour m'aider à m'asseoir, perchée sur le tabouret de bar Attention de ne pas froisser ta jupe, tu dois apprendre à bien t'assoir, toujours cul nu sur les sièges !
— Pardon, je'n savais pas.
Assis face à moi, il pose sa main à l'intérieur de mon genou et remonte sur le bas jusqu'à rencontrer ma peau nue et la soie de mon shorty sur l'entrejambe.
— C'est très bien ma chérie. Élégante et sexy comme je désire. J'ai réservé une table pour dîner à 21 heures. Nous rencontrerons peut-être mes deux copines, on aime beaucoup s'amuser ensemble, elles seront heureuses de te rencontrer.
On parle longuement du plaisir au féminin, de son habitude d'être dominant avec les filles et je lui apprends qu'au contraire j'aime me laisser conduire. On pouffe longuement de rire.
La barmaid nous fait de sages bisous au moment de partir et s'adressant à moi :
— Mademoiselle ?
— Jane !
— Jane revenez quand vous voulez, les amies de Mél sont mes amies et je serais heureuse de mieux vous connaître !
Ça démarre fort, loin est le temps où je craignais qu'on découvre mon identité. "Chez Moune" n'est pas très loin de la place Pigalle : à l'extérieur "Le cabaret au féminin" annonce la couleur aux non-avertis.
A l'intérieur tout est feutré et tamisé, la musique, la lumière, l'épaisse moquette assourdit les déplacements, la dame de l'accueil en costume et cravate nous souhaite le "Bonsoir" d'une voix de basse, les vibrations des cordes d'une basse se mélangent à un léger brouhaha, il y a du monde, les rires sont étouffés, les paroles sont des murmures. Le rouge et le noir sont les couleurs dominantes. Mél est connu ici pour être le mâle, ce sont des embrassades sur les joues, des mots doux,
— Quel plaisir Mel... Ça fait longtemps, que nous t'avons vu...
— C'est vrai, j'ai eu pas mal de boulot ces derniers temps, c'est de la faute de Jane justement... D'un signe de main elle me présente
— Bonsoir Jane ! Malgré tout vous êtes la bienvenue et j'ai le droit au bisou d'accueil de l'hôtesse... Ainsi vous mobilisez Mel ! Je n'ai pas besoin de répondre que mon "homme" reprend la parole
— Colette et Nicole sont-elles là ce soir ?
— Non pas ce soir ! Mais il y a du monde, vous rencontrerez certainement des gens agréables. Venez... Elle nous conduit entre les tables dans un coin de la salle. Ça vous convient, ici vous serez tranquilles tous les deux.
Mélina se glisse sur la banquette dans le coin et m'invite à côté d'elle. Le voisin tout proche me regarde avec insistance et me sourit. Un type bon vivant avec sa bouille ronde, ses cheveux en brosse. Il arbore fièrement sa bedaine avec sa veste largement ouverte, à son côté sa femme en robe rouge très élégante parle avec une serveuse.
Mon "gars" remarque les regards du voisin et se penche pour le saluer, en échangeant un sourire et me provoquant
— Ça va Jane, tu es bien installée ? Tu dragues déjà ?
— Oh Mel, ma... Mon chéri !
Il quitte sa veste de velours, son téton plus que sa poitrine pointe sous a chemise de soie blanche. Je lui caresse la poitrine à la recherche d'un sous-vêtement.
— Que cherches-tu Jane ? As-tu déjà vu un homme avec un soutif ?
— Rien... Tu es beau et j'adore les hommes comme toi !
Le coquin me serre contre lui en me tenant par l'épaule et s'impose, il me caresse, remonte sous ma jupe, il dépasse les bas, atteint ma peau nue et à ajoute voix basse :
— J'aime la douceur de ta peau, le soyeux de ton linge... Enlève-le ! dit-il en élevant la voix
— Mel !... que je gémis offusquée mais son regard n'admet pas de contradiction. Je me lève en murmurant, OK j'y vais !. Mais son bras me bloque sur la banquette
— NON ICI ! M'ordonne-t-il en attirant l'attention du voisin
Je ne peux faire autrement que de me balancer d'une fesse sur l'autre, les mains sous la jupe, je fais glisser mon shorty sous l'œil attentif du voisin. Je me prends au jeu et termine en remontant de mes chaussures le linge bien visible avant de le passer à mon "homme". Ostensiblement il le sent avant de le mettre dans sa poche. Il remet sa main sous ma jupe et va directement à mon entrejambe. Sans qu'il me le demande, j'ouvre mes cuisses et le laisse libre de tous mouvements. Il m'embrasse dans l'oreille et à voix à peine audible :
— Oh Jane ! Ton pubis nu et ton escargot dans sa coquille j'adore... Tu aimes comme je te caresse ? Il saisit mon sexe et le tire comme pour l'arracher. Instinctivement j'écarte les cuisses au risque de découvrir ma nudité. Sa tête sur mon épaule, il chuchote. Tu aimes comme je te prends ?... Glisse-toi sur la banquette. Sans hésiter sa main passe sous mes couilles prisonnières, deux doigts suivent le périnée jusqu'à mon petit trou que d'un coup sec il force. Je m'offre mieux et vais à sa rencontre dans un petit gémissement. Il titille ma rondelle avant de retirer sa main et de sentir ses doigts... Humm tu sens divinement bon, j'adore ton parfum.
— Terre d'Hermes, mon chéri !
— Très sensuel.
Son inspection s'arrête avec l'arrivée de la serveuse, une fille de café au nœud pap et à la poitrine dégagée. On nous apporte le champagne et les amuse-gueule pour débuter le repas. Je rentre dans le jeu de Mélina :
— Mon chéri, notre voisin ne cesse de nous regarder, il a vu que j'ai enlevé ma culotte et peut-être plus.
— Un beau mâle... J'espère qu'il aura l'amabilité de t'inviter à danser.
— Oui mais, s'il me drague ?
— Sa femme est mignonne... Tu lui réponds gentiment, ça ne te dirait de repartir à quatre, tu n'as rien contre le pluralisme, ta tante t'a bien éduquée ?
— Oui mon chéri !
Comme pour signer notre accord, il m'embrasse dans le cou tout en regardant notre voisin et lui souhaite "Bonne santé" quand il lève son verre. Il n'en faut pas plus pour échanger deux paroles et trinquer tous les quatre. Le dîner se poursuit en discutant tous les quatre. L'ambiance de la salle s'échauffe, Aux vibrations du violoncelle s'ajoute le piano et une voix profonde qui invitent à danser. Deux couples entrent en piste et tout de suite se frottent plus qu'ils ne dansent.
Mon voisin ne tarde pas à poser sa main sur mon genou et m'invite à le suivre. Il n'est pas très grand mais costaud. Avec autorité il me presse contre sa bedaine d'une main sur les fesses de l'autre au milieu des omoplates. Je m'écrase contre sa poitrine, m'accroche à son cou en lui caressant la nuque rasée. La tête emboîtée dans son épaule, je suis lascivement le rythme du slow. D'une voix grave, il me murmure à l'oreille :
— Vous êtes ravissante... Moi c'est Claude.
— ... Jane !
— Vous connaissez ici ?
— Non c'est la première fois que mon ami m'y amène.
Au creux de mon cou, sa bouche fouille ma chevelure, il m'embrasse longuement, sa respiration est celle d'une forge « J'aime beaucoup ton parfum... » Il devient rapidement entreprenant, sa caresse sur mes fesses se transforme en véritable pétrissage de cul. Involontairement, pour éviter de mettre ma cage sur son ventre, je le provoque en relevant mes fesses .
Claude, femme ou homme ? Certainement femme dans le milieu où nous sommes et pourtant tellement homme dans son comportement, son attitude, sa voix.
— T'as enlevé ta culotte... T'aimes être cul nu ?
— C'est mon compagnon qui me l'a demandé... Toujours fermement tenue contre lui, une main découvre le laçage de mon serre-taille, l'autre sur le bord de ma jupe touche délibérément mes fesses nues.
— Tu as un p'tit cul bien ferme et j'adore ton corset... D'une pression de sa main et d'un coup de reins, son pubis est contre le mien. D'un petit rire sarcastique il ajoute, petite cachotière...T'as un escargot ? Je ne réponds que d'un soupir et d'un vague grognement... J'adore les filles de ton genre, soumise et pas de problème, je préfère le cul à la chatte !... A côté de nous je vois Mel embrasser à pleine bouche la femme de mon danseur.
La musique s'arrête, une présentatrice, style Barbara annonce le début du spectacle. En revenant à notre table, Claude nous propose de rester ensemble, Mélina accepte d'un grand sourire. Il me pousse dans le coin et s'installe à mon côté laissant Mel et sa compagne ensemble
La salle est plongée dans l'obscurité pour laisser place au spectacle. La présentatrice commence avec quelques chansons de Barbara, sa voix est très basse, chaude et sensuelle. Claude me presse contre lui, pose sa main directement sur mon genou et remonte lentement sur ma cuisse, sans que je puisse m'opposer, il dépasse le liseré du bas et sans détour prend ma cage à pleine main « T'es très bien équipée... » murmure-t-il. L'animal a une poigne terrible, il me tire le paquet et me fait avancer le bassin au bord de la banquette. Deux doigts se positionnent immédiatement sur ma rosace. Il m'avait bien dit qu'il préférait le cul mais tout de même « Bien équipée et très disponible... » Je m'abandonne entre ses bras.
La chanteuse commence avec "Déshabille-moi" alors qu'une jolie fille entre sur scène et au rythme des paroles se met nue. Claude me fouille, je vais à sa rencontre jusqu'à ce qu'il touche ma prostate. Il connait tout du plaisir masculin, je gémis doucement tout en me balançant, je sens sa respiration dans mon cou « T'aime ça … Hein petite cochonne... T'en voudrais plus... » A peine le strip-tease terminé que la lumière se fait et reprennent les slows pour danser. Claude propose alors :
— Ça vous de continuer la soirée à la maison ? J'ai ma voiture à côté.
— Jane, tu es d'accord ?
— Oui, bien sûr mon chéri.
Déjà nous sommes dans la Jaguar de Claude. Mélina et Irène sont à l'arrière. La conduite impose l'attention de Claude, alors qu'à l'arrière ce ne sont que gémissements et gloussements.
Sur la butte Montmartre nous arrivons dans le parking de l'immeuble de Claude.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Philippe
La suite ne va pas tarder
Mon souhait est de te garder comme fidèle lecteur
La suite ne va pas tarder
Mon souhait est de te garder comme fidèle lecteur
Merci @Descollages
Très content de te connaître
Mes récits sont à l'image de la tapisserie de Pénélope remis plusieurs fois à l'ouvrage
Très content de te connaître
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Merci @Olga pour ton suivi qui ne peut que m'encourager
Toi auteurs sait mieux que quiconque que le commentaire est le plus bel encouragement qu’on puisse recevoir
Toi auteurs sait mieux que quiconque que le commentaire est le plus bel encouragement qu’on puisse recevoir
Très belle histoire, un érotisme original et sensuel, parfaitement écrit.
Vivement la suite bien sûr...
Bravo à John62 !
Philippe
Vivement la suite bien sûr...
Bravo à John62 !
Philippe
Très très érotique et originale !
Vivement la suite bien sûr!!!
Bravo à toi, John62.
Philippe
Vivement la suite bien sûr!!!
Bravo à toi, John62.
Philippe
C'est très excitant ! Récit bien écrit avec de délicieuses descriptions...
Bonne continuation !
Descollages
Bonne continuation !
Descollages
Toujours très intéressant!

