Femme BCBG, escorte, non, pute… (113) - histoire érotique

Fabienne sur la moto de Livia partie vers un hôtel de Bercy pour que ma grande salope rejoigne un client pour un remplacement de dernière minute, une de nos filles ayant eu un problème, se fait flasher en excès de vitesse dans le bois et se retrouve au commissariat de police de Vincennes.

• Je prends ma voiture et je les rejoins, Christian tu viens avec moi.
• Non Christine, tu restes là, j’ai appelé qui de droit Fabienne sera à l’heure à son rendez-vous et le client prévenu de ce qui est arrivé est prêt à attendre car elle finira la nuit avec lui sans avoir un sou à débourser.

L’arrestation de nos copines a refroidi les ardeurs de nos amis.
À part Ophélie et Katia extérieur à notre monde du moins avant le voyage en Russie nagent côte à côte finissant assise sur les marches.
Je plonge pour les rejoindre frissonnant tellement le changement de température est important ce soir.
Je vois Valérie se diriger vers le local technique et pour la première fois depuis que je m’éclate ici le toit de la piscine se ferme.
Une soufflerie démarre et lorsque je rejoins mes petites l’air chaud touche mon corps.

• Puis-je m’insinuer dans votre conversation sans vous déranger, de quoi parlez-vous ?
• De notre voyage en Russie.
• Avez-vous peur ?
• Oui de l’avion.
• J’ai eu peur, j’ai cru que c’est d’avoir des rapports avec des hommes inconnus surtout toi Katia qui recevra un homme en toi pour la première fois.
• Il est vrai que je me suis interrogé mais quand je vois la vie que vous menez et les moyens que cela vous rapporte mes doutes s’estompent.
Toute l’année dernière j’avais une copine qui se faisait des mecs pour 100 €, voir des pipes pour moins que cela pour payer ses études et je préfère choisir ta méthode à la sienne, sans compter le risque de tomber sur de petits cons, au moins avec toi ce sera des hommes d’expériences.

Ophélie y va de sa remarque allant dans le même sens.

• Je la confirmais dans cette idée et quand je vois la quiétude de tous tes amis je suis contente d’être de votre voyage.
• Aller les filles venez dans ma chambre je tiens à vous avoir près de moi pour éviter un impair de votre part.
• Christine, j’ai bien compris que mon pucelage était une source de revenus pour moi et tu peux être certaine que tu seras entièrement satisfaite.
Je te remercie de l’harmonie apportée entre mes parents, car quand nous sommes parties j’ai bien vu que l’amour qu’ils se portaient depuis le début de leur mariage était reparti comme au premier jour alors que j’avais peur d’un divorce.
• Je te remercie mais comme pour les autres amis Fabienne en tête ce sont eux qui ont pris conscience de leur vie qui avait mal tourné et qui a eu le courage de la changer.
Fabienne et Christian ont démissionné et vont changer d’orientation, car l’un que l’autre avait des difficultés chaque année à entamer la rentrée scolaire devant des élèves irascibles.

Nous prenons le chemin de ma chambre et je m’aperçois que nous sommes les seules à être près de la piscine, nos amis sont retournés dans leurs pénates.
Dans ma chambre la porte de la salle de bain est ouverte et je me garde bien de déranger Valérie qui chante son plaisir malgré la porte de communication fermée certainement sous les coups de boutoir de notre ami Vladimir.
Je sens depuis quelque temps ma marraine moins encline à aller voir des clients et je pense que Vladimir est pour quelque chose dans cette évolution.

• Venez que je vous douche, vous empestez le clore.
• Au oui toutes les trois et après tu me feras ce que tu as fait à Ophélie dans sa maison le soir où j’ai eu mes règles si douloureuses, car je me suis réveillé et je l’ai entendu jouir, j’aimerais que vous me fassiez jouir avec vos bouches et comme cela je serais toujours vierge.
Tu vois Christine, je prends soin de mon petit capital.

La douche dans la baignoire à trois est un peu exiguë mais j’ai le plaisir de caresser la chatte de ma petite protégée pour la première fois sans oublier celle d’Ophélie tout aussi existante.
Je suis placé dans la baignoire au milieu de deux filles et il me suffit de tourner à ma droite et à ma gauche pour embrasser nos deux amies.
Cette soirée est première car Katia met sa main sur ma chatte et un doigt inquisiteur vient me pénétrer.
J’ai tellement attendu ce moment chaque fois que la jeune fille est près de moi que je jouis immédiatement et que je plie les genoux sous la décharge émettant un cri roque.

• Christine, Ophélie m’a dit que tu jouissais très vite, c’est extraordinaire, tu pars avec un seul doigt, moi depuis que j’ai trouvé mon clitoris il me faut beaucoup de temps pour arriver au même résultat.
• Comment as-tu trouvé ton bouton et quand as-tu joui la première fois ?
• Vous allez rire, Ophélie surtout, à l’école nous avons eu un cours de sciences sur les appareils génitaux des garçons et des filles, le professeur qui nous a fait le cours était beau comme un dieu et nous en étions tout amoureuses.
Quand il a parlé du clitoris des filles Véronique la grande gueule de la classe lui à demander s’il aimait sucer des clitos et surtout s’il voulait sucer le sien.
Elle a eu droit à 2 heures de colle mais le soir dans mon lit, j’ai pris une glace pour voir s’il était là et pour la première fois je l’ai sorti de sa capuche et caressé jusqu’à le faire exploser.
Depuis je m’en occupe tous les soirs et j’ai nettement l’impression qu’il a pris beaucoup de proportion.
Voulez-vous le voir ?

Nous sortons de la baignoire et nous nous essuyons mutuellement.
Quel plaisir de m’occuper de ces deux jeunes filles qui aspirent à apprendre la vie et à la démarrer sous les meilleurs auspices.

• Katia une fille t’a-t-elle déjà sucé le clitoris ?
• Non et connaissant la grande cochonne que tu es je suis sûr que tu vas vouloir être la première.
• Tu as raison fait moi voir.
• Ophélie tu participes, occupe-toi de mes seins, je veux être à vous dans la limite de nos possibilités et de mon pucelage.

Sans fausse pudeur elle s’allonge sur le lit nous montrant ses poils pubiens qu’Odile sous ma surveillance va avoir plaisir à mettre en forme pour que celle qui sera notre mascotte dans notre voyage en Russie se présente sur son meilleur jour.
Quand mes mains et mes yeux s’approchent du centre du monde de Katia je marque un temps d’arrêt conscient de la chance que j’ai d’être la première à profiter de son tabernacle encore fermé.
Mes mains écartent délicatement ses grandes lèvres, ma langue déjà mutine s’approche de la partie du corps de notre amie qui est le centre d’intérêt de millions d’hommes ou de femmes depuis que nous sommes apparus sur terre ?
Quand la pointe de ma langue effleure comme une caresse ce fameux bouton source de plaisir pour les filles rapidement Katia chante son plaisir.

• Au mon cœur ta langue vient de toucher mon clito et j’ai eu un long frisson qui a parcouru mon corps, laboure-moi bien avec ta langue je voudrais être ta salope comme quand j’étais petite j’entendais maman dire à papa qu’elle était sa salope et sa pute.
J’aurais pu être traumatisé de savoir maman être une pute mais j’ai eu la chance d’avoir une amie plus âgée qui m’a expliqué que ces mots étaient souvent échangés entre adulte.
J’avais déjà vu un couple faire l’amour dans les dunes de la grande côte quand je faisais du VTT.
Je m’étais arrêté pour les regarder, la femme a aucun moment n’a senti ma présence et a prononcé des mots identiques à son amant.
J’en ai déduit qu’en amour sexe et propos osés quand on s’aime étaient lié.
Alors salope broute-moi mon vagin et toi Ophélie agresse-moi les seins comme sur la dune où l’homme dévorait ceux de la femme, amplifiant son plaisir.

C’est bien, je suis contente, Katia même pucelle reste loin d’être une oie blanche et je suis sûr qu’elle assumera quand le moment arrivera où elle s’isolera pour la première fois avec un homme qui pour le reste de sa vie restera le premier dans sa mémoire même s’il a monnayé avec son accord son pucelage.
Si j’ai décidé de faire la proposition à Katia de perdre son hymen en devenant par le même temps une courtisane c’est qu’avec du recul quand je repense à la verge de Pierre mon ex j’aurais bien voulu connaître Valérie avant mon mariage et savoir ce que je sais maintenant de la liberté.
Aussi après l’avoir effleuré je lui donne un grand coup de langue partant de son anus pour remonter jusqu’à celui qui espérait cela, son clitoris.
Katia dépasse le stade du frisson et dès le deuxième passage de ma langue, elle crie de plaisir dans de longues onomatopées intraduisibles en langue française ou russe.
Ophélie semble s’ennuyer en s’occupant simplement des seins de notre amie veut prendre ma place ce que je lui concède bien volontiers.
Profitant de la position qu’elle prendre, je retrouve le fondement d’Ophélie et ma langue vient brouter sa chatte sachant facilement comment la faire démarrer aussi bien que Katia vient de le faire elle-même repartant sous la langue d’Ophélie.
Le petit train que nous formons bouches à chattes doit être plaisant pour une personne qui entrerait dans la chambre.

C’est à ce moment que j’entends la voix de Valérie sortant de notre salle de bain aussi nu que nous et qui vient derrière moi apportant un wagon de plus au petit train.
Valérie experte en rapport saphique se tourne de façon à ce que Katia plonge sa tête dans son intimité refermant le cercle.
Chacune d’entre nous s’affairant à sa tache commence à jouir et je m’applique à donner du plaisir à ma partenaire pendant que ma marraine en fait de même avec moi.
Nos cris emplissent tellement la maison que j’ai peur que le train ne s’allonge avec l’arrivée de Madeleine et de noiraud qui risque de plaire à Ophélie qui est une jeune fille déflorée de la chatte mais que je compte bien faire déflorer du cul en Russie comme moi j’ai eu la chance de le faire m’apportant une belle valise de billets.
Quand nous tombons de fatigue nous plongeant dans un sommeil profond sans que j’aie quitté les parties intimes d’Ophélie, je me rends compte que ce voyage devient mon obsession voulant tellement que mes filles car c’est comme cela que je les considère en garde un grand plaisir doublé d’un grand bien être financier.

Le soleil s’est levé quand le téléphone de l’organisation posé sur ma table de nuit se rappelle à mes bons souvenirs.
Comme je suis encore placé dans la chaîne de ces corps dénudés je l’attrape.

• Allô, Magali seriez-vous libre ce soir pour aller chez une cliente qui a signé un contrat pour la nuit moyennant cinq mille euros pour votre part.
Une voiture sera chez vous à Chenevières à 20 heures, vous conduira et vous ramènera.

Comment refusé une telle offre pour une grande salope comme moi, comme sait si bien le dire Katia, même si je pense que pour ce prix-là un dur labeur va émailler ma nuit ?...