Femme BCBG, escorte, non, pute… (114)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (114)
Je viens de me réveiller par un appel de l’organisation.
Je récupère un contrat de 5 000 € qui me fait penser que je vais découvrir une situation insolite car sinon pourquoi me donner presque le double de mon tarif habituel et la moitié de ce que mon dépucelage de mon anus m’a rapporté.
J’ai l’habitude depuis que j’ai basculé grâce à ma marraine dans le monde des courtisanes comme le dit Nadia une escorte du sud de la France préférant ce terme à celui plus commun de pute que j’ai l’habitude d’employer même si voire des clients moyennant finance arrivent au même résultat.
Je vois Valérie qui se lève me faisant signe discrètement qu’elle rejoint la queue de Vladimir.
Son avant-bras le point tendu montrant la chambre est bien assez explicite.
Ophélie ouvre les yeux et viens m’embrasser quant à Katia elle dort certainement peut habituer à jouir aussi fort simplement en se faisant sucer.
Je fais signe à mon amie et je l’entraîne vers la piscine.
Le toit fermé a permis à l’atmosphère de se réchauffer et il fait chaud comme le jour ou j’ai fêté mon anniversaire et ou j’ai fait la connaissance de Tof que j’ai eu le plaisir de retrouver pendant nos vacances pour qu’il nous fasse tourner un film porno sur la plage de Saint-Palais sur mer.
Johnny Biroute m’a promis qu’il m’amènera une centaine de CD après le montage qu’il aura fait des différentes scènes semblant être un remake de « Noyade interdite » avec Philippe Noiret et Guy Marchand.
Après avoir plongé je retrouve le plaisir de faire des longueurs avec Ophélie qui a un crawl aussi puissant que le mien.
J’essaye de la prendre sur la longueur mais la grande a du répondant alors je tente mon va-tout sur la vitesse et je dois me laisser glisser vers les marches lieux de nombre de nos ébats le souffle court.
Comme je l’ai souvent fait pour éviter de montrer la vieille femme que je suis devenue avec d’autres partenaires elle fait deux longueurs de plus avant de me rejoindre ce qui me permet de retrouver mon souffle.
Je monte les marches et je m’allonge sur un tapis de piscine que Madeleine a ressorti de la réserve et qui m’est bien utile.
La belle nageuse me rejoint et nos bouches continuent leur sarabande me montrant la petite nageuse que je suis en comparaison avec elle car elle me montre qu’elle aurait pu continuer pendant de longues minutes dans la piscine.
Si grâce à ma marraine je suis devenue une bonne amante avec les femmes, Ophélie grâce à moi atteint elle aussi cette perfection.
Dans un 69 qui me permet d’admirer la chatte béante de la jeune fille ma langue une nouvelle fois titille son clito.
Je sens sa langue au même endroit sur mon propre sexe m’apportant rapidement une montée de cyprine qui coule sur la langue qui vient d’entrer dans mon tabernacle.
Une bonne partie de jambe en l’air lesbien est un bon départ pour cette dernière journée de vacances car demain matin mardi Valérie doit ouvrir l’institue de beauté et ou Alain doit entamer les travaux avec les différents corps de métiers.
S’envoyer en l’air, comme Ophélie le fait sur ma dernière attaque qui me fait glisser de son clito à son anus partie de son corps aussi vierge que le mien il y a encore peu de temps et qui représente pour elle aussi un joli pactole.
Nos corps repus d’amour nous retournons dans la maison où une bonne odeur de café se fait sentir passée la porte de la cuisine.
Madeleine est là, avec comme elle en a pris l’habitude un livre en main où je la vois lire quelques lignes quand je passe à sa portée.
Sa main est portée sur son intimité elle doit lire un livre érotique.
Sans bruit nous l’observons dans sa nudité qui est la règle chez marraine et nous signalons notre présence par un grand éclat de rire quand le lait profite d’un de ces moments d’inattention pour sauter hors de la casserole.
• Rigolez les copines c’est facile de se donner du bon temps dans la piscine pendant que la pauvre Causette s’acharne à entretenir la maison.
En passant près de la table je prends le livre qu’elle lit, bien sûr les misérables de Victor Hugo, ou a-t-elle trouvé des moments d’érotismes dans ces lignes.
Je m’approche et je la prends dans mes bras.
• Ma pauvre Causette, le lait est ton ennemi, on va essayer de nous rattraper dans les jours prochains, en attendant sert nous un café avec la bonne brioche que tu as mise au four.
• S’il te plait Madeleine je prends du thé le matin.
• Tu vois Christine c’est bien ce que je disais jusqu’à ce matin l’eau à faire bouillir était exempt de mon plan de travail.
• L’eau pour deux thés, moi aussi je déjeune à l’anglaise.
C’est Vladimir qui vient de prendre la parole arrivant de la chambre de Valérie, drapé dans la robe de chambre rose de ma maîtresse préférée.
• Bonjour mademoiselle vous êtes nouvelle dans la maison.
• Rigole Christine, je suis venue à l’appel de Valérie sans penser que je déjeunerais avec trois jolies femmes, je suis venue avec une simple valise.
• Fait comme nous dans cette maison, le nu est de rigueur enlève ce peignoir qui te rend ridicule.
• Je vais aller mettre un slip.
• Taratata, à poil qu’en pensez-vous les filles.
• À poil.
C’est dans un grand élan que les filles me suivent dans ma demande et arrachent littéralement ce vêtement de femme.
Je comprends pourquoi le seul homme présent dans cette pièce est couvert, la verge que je sors de l’enveloppe rose qui la couvre est à l’opposé de celle de Pierre mon ex.
Au repos il mesure au moins 35 centimètres mais avec un diamètre tout à fait normal, je comprends que Valérie après l’avoir sucé dans les toilettes du restaurant à Moscou contre un paquet de rouble est souhaitée en connaître plus et la recevoir dans son sexe.
Je sais que mon amie a atteint avec le sexe la limite de l’overdose et aspire à retrouver une vie plus tranquille.
L’envie d’enfant est aussi là et sans le lui dire je me doute que Vladimir pourrait être celui qui l’arrachera à notre vie de débauche surtout elle qui a commencé à travailler en tant qu’escorte depuis le jour de sa majorité.
Quand je vois les biens qu’elle possède et la difficulté de la gestion de notre groupe d’escorte, se consacrer à un seul homme est compréhensive.
J’ai fait beaucoup pour trouver de nouvelles courtisanes augmentant par ricochet la charge de travail de celle qui gère d’une main ferme tout notre groupe mais aussi notre chiffre d’affaires en bonne gestionnaire garante de notre avenir et de celle de nos filles.
• Vladimir, Virginie est-elle encore couchée ?
• Non elle est avec Katia ta jeune amie, j’ai voulu les rejoindre mais je me suis fait reconduire à la porte, un peu penaud.
Je les rejoins mais avant le regard que me lance Madeleine me faisant comprendre que je dois laver ma tasse me faisant comprendre qu’elle est autre chose qu’une bonne et que cette petite tâche ménagère que je fais lui permet de lire quelques lignes de plus.
Je m’exécute bien contente de l’harmonie dans notre groupe.
Arrivé dans ma chambre le spectacle que me présentent les deux femmes me comble de joie.
Katia est a genoux aux pieds de marraine qui a les cuisses ouvertes donnant son vagin offert à la bouche de la petite qui se dépêche de manger cette mangue qui comme à son habitude dans les moments d’exaltation intense lui envoie de grandes quantités de liquide sorti de son corps.
Katia me semble apprécier ces flots car je l’entends déglutire sous la puissance de l’un d’eux entraînant les cris de jouissance de ma belle cochonne.
Je pourrais prendre ombrage des cris de joie de Valérie car au plus loin de mon souvenir qui pourtant est proche jamais au grand jamais avec moi la grande a exprimé autant de plaisir à mes attaques par ma langue.
J’aurais mauvaise grâce à m’offusquer de cette situation ayant moi-même il y a quelques minutes empli les abords de la piscine de mes brames de plaisir sous la langue d’Ophélie.
Je peux simplement constater que j’ai fait le bon choix en prenant sous mon aile ces deux belles jeunes filles qui semblent montrer de bonnes dispositions pour les jeux du sexe et qui si je sais les intéresser sauront aussi satisfaire les femmes que les hommes à moins que la nature profonde de l’une d’elles s’arrête au plaisir saphique oubliant le côté pénétration que peut apporter un homme et qui me serait impossible de m’en passer malgré que j’adore brouter les chattes de ces dames.
Un bruit de moto se fait entendre et nos deux amies repris de justice font leurs entrées.
• Bonjour les filles, je vois que Madeleine vous a préparé du thé, j’en prendrais bien une petite tasse cela me rappellera la fin de notre nuit.
• Notre nuit, mais tu étais seul avec le client malgré le retard.
• Non, Livia a voulu monter avec moi et le client a été content de voir arriver deux belles pouliches croyant qu’il allait nous baiser pour pas un rond toute les deux.
• Et que s’est-il passé ?
• Dès qu’il a essayé de mettre la main à la chatte de notre copine j’ai cru que nous allions perdre définitivement ce lord anglais qui a semblé choqué de la baffe qu’il a failli se prendre et que j’ai miraculeusement réussi à intercepter.
• Tu me connais Christine moi et les bites.
• Que trop et que lui as-tu fait comme cochonnerie pour le rassurer.
• Je me suis agenouillée prestement et j’ai ouvert son peignoir pour le sucer.
• Bonne réaction et ton Lord bandait.
• Peu, il s’est excusé me donnant comme explication que l’attente en était la cause.
• Je te connais, tu as réussi à lui faire redresser la tête lui montrant que les femmes françaises sont plus douées que les femmes de la perfide Albion.
• Non, il s’est assis sur une chaise et comprenant que Livia était une gouine il nous a demandé d’aller sur le lit pour que nous sucions les chattes.
• Et il s’est contenté de regarder.
• Oui en se masturbant.
• As-tu aimé ce que ta fait Livia ?
Elle me regarde d’un air penaud et lâche cette phrase.
• Tu es doué mais Livia a trois longueurs d’avance, heureusement que je suis marié avec Christian que j’aurais du mal à quitter sinon je monterais habité dans l’appartement-terrasse où elle réside et où nous sommes passés tout à l’heure regarder le lever de soleil derrière le sacré cœur dans les bras l’une l’autre.
• Et le client a-t-il été satisfait ?
• Oui, je l’ai vu envoyer son sperme sur la moquette et se lever pour aller chercher dans sa poche une liasse de billets de 500 et nous en donner deux chacune.
• Alors qu’il avait simplement regardé.
• Oui car après il est parti vers la salle d’eau en nous disant Good bye.
• Nous sommes passés chez moi car Fabienne m’a tellement fait mouillé que ma combinaison était trempée.
• Tu l’avais gardé.
• Le lord a voulu que j’enlève que la partie haute gardant la partie basse et mes bottes.
Pour la première fois je léchais une copine dans ces conditions et même si pour l’homme la vue que nous lui donnions moi en cuire et Fabienne en tenue d’Éve a semblé le ravir à la manière dont il s’astiquait sa putain de queue.
• Évite d’être grossière, une queue est loin d’être une putain, tu le deviens quand elle te baise en te donnant du pognon.
• Et ce qu’il nous a donné à la fin et que j’ai oublié dans mon autre combinaison qui sèche.
• Ça c’est un pourboire Livia. Et de retour chez toi qu’avez-vous fait alors que vous vous étiez amusé toute la nuit ?
• Nous avons pris une douche.
• Crapuleuse ?
• Oui.
• Et après avez-vous été dans ta chambre ?
• Non, après nous êtres mutuellement essuyés nous sommes allées sur la terrasse à l’endroit où le soleil commençait à darder ses rayons et nous avons profité de la pelouse pour récupérer.
• Vous vous êtes un petit peu paluché.
• Oui bien sur, nous étions libres de toute entrave et nos corps demandaient que nous leur donnions du plaisir.
• Livia est la reine du 69, elle m’a sucé et mes cris ont dû réveiller tout l’immeuble, c’est là où je t’ai dit qu’elle avait une longueur d’avance sur toi sans vouloir te vexer.
Toi on sent que tu aimes faire l’amour avec les femmes mais dans notre tête nous savons que tu aimes les hommes ce qui est le cas aussi pour moi alors quelle j’ai ressenti que seule la femme était son centre d’intérêt et qu’elle était née pour les satisfaire.
• C’est normal je suis une vraie lesbienne et pas bi comme vous.
Fin de cette conversation, je sais que je vais faire fuir Livia quand j’annonce qu’il faut passer nos maillots car la femme de l’agence avec qui je vais signer le contrat d’achat de la maison mitoyenne va arriver dans 10 minutes.
• Non, pas elle, c’est aussi une vraie lesbienne mais monogame qui veut impérativement l’exclusivité de ma chatte alors que si je suis lesbienne c’est comme vous les bis ou hétéro qui aimé avoir différents partenaires.
Sur ces paroles elle enfile son casque et ses gants et cour récupérer sa moto rangée sur le trottoir avant de démarrer en faisant décoller sa roue avant.
Elle a bien fait car moins de cinq minutes après bien mise dans son tailleur très professionnel sa maîtresse arrête sa voiture devant ce qui va être ma maison.
• Bonjour Christine tu permets que je te tutoie et que je t’appelle par ton prénom, Livia est absente.
• Pas de chance à cinq minutes près tu l’as loupée, elle avait une course urgente à faire.
• Ça va, j’ai compris, c’est tout moi, dès que je trouve une fille qui me plait je vais trop vite et tout de suite je l’accapare et toi Christine tu es libre ?
• Pas vraiment, tu sais moi en amour je déteste l’exclusivité et j’aime me prendre une bite dans l’anus.
• Quelle horreur, j’ai essayée une fois et j’ai failli vomir, ou est la petite qui lisait des livres hier.
• Elle est dans la chambre avec Vladimir l’amant de Valérie la propriétaire de la maison mitoyenne à celle qui va être la mienne, Vladimir doit lui mettre une bite là ou tu refuses d’en prendre, bien assez parlé de sexe ou je signe.
• Pas si vite Christine, nous allons refaire le tour de la propriété pour voir si aucun vice de forme pourrait annuler la vente…
Je récupère un contrat de 5 000 € qui me fait penser que je vais découvrir une situation insolite car sinon pourquoi me donner presque le double de mon tarif habituel et la moitié de ce que mon dépucelage de mon anus m’a rapporté.
J’ai l’habitude depuis que j’ai basculé grâce à ma marraine dans le monde des courtisanes comme le dit Nadia une escorte du sud de la France préférant ce terme à celui plus commun de pute que j’ai l’habitude d’employer même si voire des clients moyennant finance arrivent au même résultat.
Je vois Valérie qui se lève me faisant signe discrètement qu’elle rejoint la queue de Vladimir.
Son avant-bras le point tendu montrant la chambre est bien assez explicite.
Ophélie ouvre les yeux et viens m’embrasser quant à Katia elle dort certainement peut habituer à jouir aussi fort simplement en se faisant sucer.
Je fais signe à mon amie et je l’entraîne vers la piscine.
Le toit fermé a permis à l’atmosphère de se réchauffer et il fait chaud comme le jour ou j’ai fêté mon anniversaire et ou j’ai fait la connaissance de Tof que j’ai eu le plaisir de retrouver pendant nos vacances pour qu’il nous fasse tourner un film porno sur la plage de Saint-Palais sur mer.
Johnny Biroute m’a promis qu’il m’amènera une centaine de CD après le montage qu’il aura fait des différentes scènes semblant être un remake de « Noyade interdite » avec Philippe Noiret et Guy Marchand.
Après avoir plongé je retrouve le plaisir de faire des longueurs avec Ophélie qui a un crawl aussi puissant que le mien.
J’essaye de la prendre sur la longueur mais la grande a du répondant alors je tente mon va-tout sur la vitesse et je dois me laisser glisser vers les marches lieux de nombre de nos ébats le souffle court.
Comme je l’ai souvent fait pour éviter de montrer la vieille femme que je suis devenue avec d’autres partenaires elle fait deux longueurs de plus avant de me rejoindre ce qui me permet de retrouver mon souffle.
Je monte les marches et je m’allonge sur un tapis de piscine que Madeleine a ressorti de la réserve et qui m’est bien utile.
La belle nageuse me rejoint et nos bouches continuent leur sarabande me montrant la petite nageuse que je suis en comparaison avec elle car elle me montre qu’elle aurait pu continuer pendant de longues minutes dans la piscine.
Si grâce à ma marraine je suis devenue une bonne amante avec les femmes, Ophélie grâce à moi atteint elle aussi cette perfection.
Dans un 69 qui me permet d’admirer la chatte béante de la jeune fille ma langue une nouvelle fois titille son clito.
Je sens sa langue au même endroit sur mon propre sexe m’apportant rapidement une montée de cyprine qui coule sur la langue qui vient d’entrer dans mon tabernacle.
Une bonne partie de jambe en l’air lesbien est un bon départ pour cette dernière journée de vacances car demain matin mardi Valérie doit ouvrir l’institue de beauté et ou Alain doit entamer les travaux avec les différents corps de métiers.
S’envoyer en l’air, comme Ophélie le fait sur ma dernière attaque qui me fait glisser de son clito à son anus partie de son corps aussi vierge que le mien il y a encore peu de temps et qui représente pour elle aussi un joli pactole.
Nos corps repus d’amour nous retournons dans la maison où une bonne odeur de café se fait sentir passée la porte de la cuisine.
Madeleine est là, avec comme elle en a pris l’habitude un livre en main où je la vois lire quelques lignes quand je passe à sa portée.
Sa main est portée sur son intimité elle doit lire un livre érotique.
Sans bruit nous l’observons dans sa nudité qui est la règle chez marraine et nous signalons notre présence par un grand éclat de rire quand le lait profite d’un de ces moments d’inattention pour sauter hors de la casserole.
• Rigolez les copines c’est facile de se donner du bon temps dans la piscine pendant que la pauvre Causette s’acharne à entretenir la maison.
En passant près de la table je prends le livre qu’elle lit, bien sûr les misérables de Victor Hugo, ou a-t-elle trouvé des moments d’érotismes dans ces lignes.
Je m’approche et je la prends dans mes bras.
• Ma pauvre Causette, le lait est ton ennemi, on va essayer de nous rattraper dans les jours prochains, en attendant sert nous un café avec la bonne brioche que tu as mise au four.
• S’il te plait Madeleine je prends du thé le matin.
• Tu vois Christine c’est bien ce que je disais jusqu’à ce matin l’eau à faire bouillir était exempt de mon plan de travail.
• L’eau pour deux thés, moi aussi je déjeune à l’anglaise.
C’est Vladimir qui vient de prendre la parole arrivant de la chambre de Valérie, drapé dans la robe de chambre rose de ma maîtresse préférée.
• Bonjour mademoiselle vous êtes nouvelle dans la maison.
• Rigole Christine, je suis venue à l’appel de Valérie sans penser que je déjeunerais avec trois jolies femmes, je suis venue avec une simple valise.
• Fait comme nous dans cette maison, le nu est de rigueur enlève ce peignoir qui te rend ridicule.
• Je vais aller mettre un slip.
• Taratata, à poil qu’en pensez-vous les filles.
• À poil.
C’est dans un grand élan que les filles me suivent dans ma demande et arrachent littéralement ce vêtement de femme.
Je comprends pourquoi le seul homme présent dans cette pièce est couvert, la verge que je sors de l’enveloppe rose qui la couvre est à l’opposé de celle de Pierre mon ex.
Au repos il mesure au moins 35 centimètres mais avec un diamètre tout à fait normal, je comprends que Valérie après l’avoir sucé dans les toilettes du restaurant à Moscou contre un paquet de rouble est souhaitée en connaître plus et la recevoir dans son sexe.
Je sais que mon amie a atteint avec le sexe la limite de l’overdose et aspire à retrouver une vie plus tranquille.
L’envie d’enfant est aussi là et sans le lui dire je me doute que Vladimir pourrait être celui qui l’arrachera à notre vie de débauche surtout elle qui a commencé à travailler en tant qu’escorte depuis le jour de sa majorité.
Quand je vois les biens qu’elle possède et la difficulté de la gestion de notre groupe d’escorte, se consacrer à un seul homme est compréhensive.
J’ai fait beaucoup pour trouver de nouvelles courtisanes augmentant par ricochet la charge de travail de celle qui gère d’une main ferme tout notre groupe mais aussi notre chiffre d’affaires en bonne gestionnaire garante de notre avenir et de celle de nos filles.
• Vladimir, Virginie est-elle encore couchée ?
• Non elle est avec Katia ta jeune amie, j’ai voulu les rejoindre mais je me suis fait reconduire à la porte, un peu penaud.
Je les rejoins mais avant le regard que me lance Madeleine me faisant comprendre que je dois laver ma tasse me faisant comprendre qu’elle est autre chose qu’une bonne et que cette petite tâche ménagère que je fais lui permet de lire quelques lignes de plus.
Je m’exécute bien contente de l’harmonie dans notre groupe.
Arrivé dans ma chambre le spectacle que me présentent les deux femmes me comble de joie.
Katia est a genoux aux pieds de marraine qui a les cuisses ouvertes donnant son vagin offert à la bouche de la petite qui se dépêche de manger cette mangue qui comme à son habitude dans les moments d’exaltation intense lui envoie de grandes quantités de liquide sorti de son corps.
Katia me semble apprécier ces flots car je l’entends déglutire sous la puissance de l’un d’eux entraînant les cris de jouissance de ma belle cochonne.
Je pourrais prendre ombrage des cris de joie de Valérie car au plus loin de mon souvenir qui pourtant est proche jamais au grand jamais avec moi la grande a exprimé autant de plaisir à mes attaques par ma langue.
J’aurais mauvaise grâce à m’offusquer de cette situation ayant moi-même il y a quelques minutes empli les abords de la piscine de mes brames de plaisir sous la langue d’Ophélie.
Je peux simplement constater que j’ai fait le bon choix en prenant sous mon aile ces deux belles jeunes filles qui semblent montrer de bonnes dispositions pour les jeux du sexe et qui si je sais les intéresser sauront aussi satisfaire les femmes que les hommes à moins que la nature profonde de l’une d’elles s’arrête au plaisir saphique oubliant le côté pénétration que peut apporter un homme et qui me serait impossible de m’en passer malgré que j’adore brouter les chattes de ces dames.
Un bruit de moto se fait entendre et nos deux amies repris de justice font leurs entrées.
• Bonjour les filles, je vois que Madeleine vous a préparé du thé, j’en prendrais bien une petite tasse cela me rappellera la fin de notre nuit.
• Notre nuit, mais tu étais seul avec le client malgré le retard.
• Non, Livia a voulu monter avec moi et le client a été content de voir arriver deux belles pouliches croyant qu’il allait nous baiser pour pas un rond toute les deux.
• Et que s’est-il passé ?
• Dès qu’il a essayé de mettre la main à la chatte de notre copine j’ai cru que nous allions perdre définitivement ce lord anglais qui a semblé choqué de la baffe qu’il a failli se prendre et que j’ai miraculeusement réussi à intercepter.
• Tu me connais Christine moi et les bites.
• Que trop et que lui as-tu fait comme cochonnerie pour le rassurer.
• Je me suis agenouillée prestement et j’ai ouvert son peignoir pour le sucer.
• Bonne réaction et ton Lord bandait.
• Peu, il s’est excusé me donnant comme explication que l’attente en était la cause.
• Je te connais, tu as réussi à lui faire redresser la tête lui montrant que les femmes françaises sont plus douées que les femmes de la perfide Albion.
• Non, il s’est assis sur une chaise et comprenant que Livia était une gouine il nous a demandé d’aller sur le lit pour que nous sucions les chattes.
• Et il s’est contenté de regarder.
• Oui en se masturbant.
• As-tu aimé ce que ta fait Livia ?
Elle me regarde d’un air penaud et lâche cette phrase.
• Tu es doué mais Livia a trois longueurs d’avance, heureusement que je suis marié avec Christian que j’aurais du mal à quitter sinon je monterais habité dans l’appartement-terrasse où elle réside et où nous sommes passés tout à l’heure regarder le lever de soleil derrière le sacré cœur dans les bras l’une l’autre.
• Et le client a-t-il été satisfait ?
• Oui, je l’ai vu envoyer son sperme sur la moquette et se lever pour aller chercher dans sa poche une liasse de billets de 500 et nous en donner deux chacune.
• Alors qu’il avait simplement regardé.
• Oui car après il est parti vers la salle d’eau en nous disant Good bye.
• Nous sommes passés chez moi car Fabienne m’a tellement fait mouillé que ma combinaison était trempée.
• Tu l’avais gardé.
• Le lord a voulu que j’enlève que la partie haute gardant la partie basse et mes bottes.
Pour la première fois je léchais une copine dans ces conditions et même si pour l’homme la vue que nous lui donnions moi en cuire et Fabienne en tenue d’Éve a semblé le ravir à la manière dont il s’astiquait sa putain de queue.
• Évite d’être grossière, une queue est loin d’être une putain, tu le deviens quand elle te baise en te donnant du pognon.
• Et ce qu’il nous a donné à la fin et que j’ai oublié dans mon autre combinaison qui sèche.
• Ça c’est un pourboire Livia. Et de retour chez toi qu’avez-vous fait alors que vous vous étiez amusé toute la nuit ?
• Nous avons pris une douche.
• Crapuleuse ?
• Oui.
• Et après avez-vous été dans ta chambre ?
• Non, après nous êtres mutuellement essuyés nous sommes allées sur la terrasse à l’endroit où le soleil commençait à darder ses rayons et nous avons profité de la pelouse pour récupérer.
• Vous vous êtes un petit peu paluché.
• Oui bien sur, nous étions libres de toute entrave et nos corps demandaient que nous leur donnions du plaisir.
• Livia est la reine du 69, elle m’a sucé et mes cris ont dû réveiller tout l’immeuble, c’est là où je t’ai dit qu’elle avait une longueur d’avance sur toi sans vouloir te vexer.
Toi on sent que tu aimes faire l’amour avec les femmes mais dans notre tête nous savons que tu aimes les hommes ce qui est le cas aussi pour moi alors quelle j’ai ressenti que seule la femme était son centre d’intérêt et qu’elle était née pour les satisfaire.
• C’est normal je suis une vraie lesbienne et pas bi comme vous.
Fin de cette conversation, je sais que je vais faire fuir Livia quand j’annonce qu’il faut passer nos maillots car la femme de l’agence avec qui je vais signer le contrat d’achat de la maison mitoyenne va arriver dans 10 minutes.
• Non, pas elle, c’est aussi une vraie lesbienne mais monogame qui veut impérativement l’exclusivité de ma chatte alors que si je suis lesbienne c’est comme vous les bis ou hétéro qui aimé avoir différents partenaires.
Sur ces paroles elle enfile son casque et ses gants et cour récupérer sa moto rangée sur le trottoir avant de démarrer en faisant décoller sa roue avant.
Elle a bien fait car moins de cinq minutes après bien mise dans son tailleur très professionnel sa maîtresse arrête sa voiture devant ce qui va être ma maison.
• Bonjour Christine tu permets que je te tutoie et que je t’appelle par ton prénom, Livia est absente.
• Pas de chance à cinq minutes près tu l’as loupée, elle avait une course urgente à faire.
• Ça va, j’ai compris, c’est tout moi, dès que je trouve une fille qui me plait je vais trop vite et tout de suite je l’accapare et toi Christine tu es libre ?
• Pas vraiment, tu sais moi en amour je déteste l’exclusivité et j’aime me prendre une bite dans l’anus.
• Quelle horreur, j’ai essayée une fois et j’ai failli vomir, ou est la petite qui lisait des livres hier.
• Elle est dans la chambre avec Vladimir l’amant de Valérie la propriétaire de la maison mitoyenne à celle qui va être la mienne, Vladimir doit lui mettre une bite là ou tu refuses d’en prendre, bien assez parlé de sexe ou je signe.
• Pas si vite Christine, nous allons refaire le tour de la propriété pour voir si aucun vice de forme pourrait annuler la vente…
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Les avis des lecteurs
Après il y a tout jusqu'à la nouvelle saison...
Voici le 115
Femme BCBG, escorte, non, pute… (115)
Je suis rentrée prématurément de mes vacances dans ma maison au bord de la mer et je suis en ce moment avec Illy responsable de la vente du pavillon mitoyenne à celui de Valérie.
Illy est jolie mais lesbienne possessive, Livia l’a appris à ses dépens car dès qu’elle a été chez elle, elle lui a parlé de relation exclusive entre elles alors que ma copine si elle refuse les hommes aime papillonner entre de nombreuses femmes dont je fais partie.
Nous entamons le tour de la propriété avant de signer le compromis pour voir s’il faut noter des réserves avant signatures chez le notaire.
• Je vois qu’un mur est tombé, il va falloir que je repasse à l’agence avant que nous puissions signer pour le signaler sur le protocole.
Je garde mon calme attendant la fin de son inspection pour lui dire ma manière bien à moi de ce qu’elle va faire pour la signature.
Le mur abattu par nos hommes quand je leur ai annoncé que j’achetais la maison voisine n’a aucune importance pour signer le compromis aussi dès la visite terminée alors que nous sommes dans la salle où seule une cheminée en marbre est présente, je plaque Illy contre le mur avant qu’elle ait le temps de protester.
• Illy tu es belle mais arrêtes de nous emmerder.
Le mur ce sont nos copains qui hier l’ont cassé pour relier nos deux maisons comme nous nous fusionnons entre nous, alors fait comme nous, vie ta vie, sautent toutes les filles que tu dois rencontrer dans ton métier et qui ont les mêmes envies, mais je t’en supplie, arrête de toujours en vouloir plus.
La femme que je tiens le long de ce mur semble estomaquée de la situation ou elle se trouve et de la façon dont je la traite surtout quand je passe ma main sous sa jupe et que j’arrache son string.
• Regarde ma belle, je vais te doigter la chatte jusqu’à ce que tu jouisses mais pour autant nous serons deux putes qui s’envoient en l’air sans pour autant aller voir monsieur le maire pour qu’il nous unisse pour la vie car ce soir je vais rencontrer quelqu’un qui me propose 5 000 € pour me baiser ce qui me permet de te donner ta putain de commission pour la putain de vente que tu réalises aujourd’hui.
Finissant ces mots je lui prends la bouche goulûment sans qu’elle ait le temps de reprendre l’initiative.
Elle a du mal à respirer sous ma langue et sous la stupeur que je sens en elle suite à ma soudaine attaque.
C’est une chatte sèche dans laquelle j’introduis deux doigts mais dès que je touche son clito sa grotte s’humidifie et des râles de plaisir me montre qu’elle est à ma merci.
Elle fléchit sur ses genoux et je peux facilement l’attirer sur le sol froid car la maison est fermée depuis plusieurs années.
• Christine, j’ai compris, je ferais attention d’éviter d’être possessive, mais alors tu es une pute.
• Non, une courtisane, une salope qui s’éclate en baisant avec mes clients et Cerise sur le gâteau en touchant du pognon que je place aujourd’hui dans les pierres de cette maison.
Ta commission sur cette vente sera-t-elle suffisante pour te nourrir tous le mois ?
• Non, il faut que je fasse trois ventes pour m’en sortir surtout qu’ici, le propriétaire ait dû baisser le prix drastiquement vu les travaux qu’il va falloir entreprendre pour pouvoir vendre et encore si je comprends c’est la mitoyenneté qui te fait acheter.
• Oui, et bien moi, le client de ce soir même si je dois m’allonger les cuisses écartées pour le satisfaire va me payer presque la totalité de ta paye en un soir ce qui va me permettre de gonfler mon capital bancaire et je suis gagnante en prenant du plaisir.
• Et vous avez des femmes qui font appel à vous ?
• Bien sûr et même des couples ou l’homme est passif aimant voir sa femme se faire gougnotter.
C’est le moment où Madeleine me cherchant nous retrouve dans cette position qui pourrait paraître bizarre à tout autre qu’elle et me tend le téléphone de l’organisation.
• Tu l’as laissé près de la piscine je l’ai entendu sonner quand je débarrassais la table du petit déjeuner, tu dois rappeler l’organisation de toute urgence.
Je m’assieds le long du mur les jambes écartées montrant à Illy que le maillot avec lequel j’ai couvert ma chatte à pénétrer mon intimité dans nos ébats.
• Allos, oui une fille pour ce soir pour rencontrer une femme chez elle place de la Nation.
Attendez.
Madeleine tu es partante pour une cliente Place de la Nation à 22 heures pour la nuit.
• Bien sûr, tu sais que je cherche à me payer ma librairie vers le boulevard Saint-Michel ou Saint Germain.
• C’est une cliente, je peux aller avec Madeleine, je te promets que j’ai compris la leçon.
• Allos, elles seront deux filles pouvez-vous demander à la cliente si elle accepte de payer double, oui j’attends.
Le temps que le modérateur rappelle me semble court mais long pour Illy.
• C’est d’accord, la cliente ignorait qu’elle pouvait faire venir deux filles en même temps, 1 500 pour chacune plus le fixe pour les frais.
Je bouche le combiné.
• 1 500 plus le fixe qui est de combien ?
• Suivant la distance pour ce soir 1 000 € chacune, 2 500 la nuit.
• 2 500 € pour m’éclater à faire jouir une cliente Madeleine tu acceptes de m’emmener.
• Pourquoi refuserais-je, puisque j’ai la même somme dans mon escarcelle ?
Illy me tend le compromis que je signe sans regarder.
• Madeleine emmène Illy chez elle après t’être mis en tenue pour ce soir et va avec elle voir dans sa garde-robe quelle tenue va plaire à ta cliente.
Une dernière chose Illy la cliente a peut-être quatre-vingts ans et commence à être toute fripée, tu seras capable d’assurer, je sais que Madeleine vu son envie d’avoir sa boutique et ce qu’elle a vécu sera à la hauteur, une dernière chose, interdit de boire une goutte d’alcool,
Illy les filles donnent un autre prénom pour les clients, je te présente Diana et pour toi il est dommage de changer le tient, je te propose Iliade.
• C’est joli, Diana, je te présente Iliade.
• Pour les capotes que nous obligeons obligatoirement à nos clients mâles, le sujet est obsolète sauf dans le futur si pour gagner plus tu acceptes comme nous d’être bi comme tu le dis.
• Madeleine pour ta boutique j’ai une copine qui travaille dans une agence immobilière dans le quartier où tu cherches, nous allons aller nous changer après être passé à mon agence déposer le compromis de Christine pour que mon patron joigne rapidement le notaire qui doit établir l’acte de vente.
Je me lève remarquant que toute cette conversation avait eu lieu Illy toujours couchée au sol et la jupe relevée sa chatte épilée offerte à qui voudrait la prendre.
• Madeleine je m’occupe du taxi soyer là à 21 heures prête à partir.
Illy me saute au cou ce qui me fait rire, une fois de plus j’ai réussi à enrôler une femme B.C.B.G. comme moi qui dès ce soir deviendra une pute de plus dans l’organisation de Valérie.
En attendant je vais me préparer car ce soir je dois honorer ce contrat à 5 000 plus le fixe qui m’intrigue un peu.
Le temps est cour quand il faut que je me prépare, le choix de la tenue est important suivant le type de client, le peu de renseignements sauf les 5 000 € me font opter pour un tailleur très mode et très frais avec des bas tenus par un porte-jarretelle bien sûr sans culotte.
J’ai pour la première fois depuis mes débuts une boule qui m’empêche de dîner ce qui est en soi pas mal car souvent les clients offre à manger.
À l’heure prévue je vois arriver une voiture fenêtres entièrement impénétrable
Le chauffeur descend, m’ouvre la porte arrière et nous démarrons.
Nous entrons dans Paris par la porte de Vincennes et je vois que nous nous engageons dans le parking d’une maison près de l’opéra.
• Prenez l’ascenseur 8ème étages vous sonnez à la seule porte devant vous, on vous attend.
• Entrez,
• C’est une femme bien mise, un peu coincée, cheveux coiffés avec un chignon et lunette noire d’intellectuelle qui me reçoit et me fait entrer dans un bureau ou une femme travail à sa table.
• Deux minutes, je finis cette lettre, Jennifer, vous pourrez partir mais déposez cette lettre au planton d’où vous savez et vous pouvez rentrer chez vous je reste seule ce soir avec mon amie.
Mon amie, comme elle y va, j’ai bien vu cette dame de nombreuses fois à la télé vue sa position sociale mais j’ignorais que nous étions amies.
La dame signe sa lettre et la sèche avec un tampon-buvard posé devant elle.
Il y a des lustres qu’écrire au stylo-plume et sécher l’encre au buvard est dépassé mais j’aime d’entrer cette femme qui a gagné de vieille coutume.
• Tenez, bonne soirée, demain je serais à mon bureau vers 11 ou 12 heures, faîte vite pour la lettre.
• Oui madame, à demain.
Elle me regarde.
• Passez une bonne soirée.
Elle quitte la pièce et la dame se lève pour me rejoindre après avoir ouvert un tiroir d’où elle sort une enveloppe.
• Vous m’avez reconnu, voilà pour vous et si vous respectez votre contrat surtout de discrétion il y en aura d’autres.
Elle me tend mon enveloppe, je sens qu’il faut que je m’affirme devant elle aussi, j’ouvre l’enveloppe et je recompte les billets.
• Le compte y est, que souhaitez-vous que je fasse, je me déshabille…
Femme BCBG, escorte, non, pute… (115)
Je suis rentrée prématurément de mes vacances dans ma maison au bord de la mer et je suis en ce moment avec Illy responsable de la vente du pavillon mitoyenne à celui de Valérie.
Illy est jolie mais lesbienne possessive, Livia l’a appris à ses dépens car dès qu’elle a été chez elle, elle lui a parlé de relation exclusive entre elles alors que ma copine si elle refuse les hommes aime papillonner entre de nombreuses femmes dont je fais partie.
Nous entamons le tour de la propriété avant de signer le compromis pour voir s’il faut noter des réserves avant signatures chez le notaire.
• Je vois qu’un mur est tombé, il va falloir que je repasse à l’agence avant que nous puissions signer pour le signaler sur le protocole.
Je garde mon calme attendant la fin de son inspection pour lui dire ma manière bien à moi de ce qu’elle va faire pour la signature.
Le mur abattu par nos hommes quand je leur ai annoncé que j’achetais la maison voisine n’a aucune importance pour signer le compromis aussi dès la visite terminée alors que nous sommes dans la salle où seule une cheminée en marbre est présente, je plaque Illy contre le mur avant qu’elle ait le temps de protester.
• Illy tu es belle mais arrêtes de nous emmerder.
Le mur ce sont nos copains qui hier l’ont cassé pour relier nos deux maisons comme nous nous fusionnons entre nous, alors fait comme nous, vie ta vie, sautent toutes les filles que tu dois rencontrer dans ton métier et qui ont les mêmes envies, mais je t’en supplie, arrête de toujours en vouloir plus.
La femme que je tiens le long de ce mur semble estomaquée de la situation ou elle se trouve et de la façon dont je la traite surtout quand je passe ma main sous sa jupe et que j’arrache son string.
• Regarde ma belle, je vais te doigter la chatte jusqu’à ce que tu jouisses mais pour autant nous serons deux putes qui s’envoient en l’air sans pour autant aller voir monsieur le maire pour qu’il nous unisse pour la vie car ce soir je vais rencontrer quelqu’un qui me propose 5 000 € pour me baiser ce qui me permet de te donner ta putain de commission pour la putain de vente que tu réalises aujourd’hui.
Finissant ces mots je lui prends la bouche goulûment sans qu’elle ait le temps de reprendre l’initiative.
Elle a du mal à respirer sous ma langue et sous la stupeur que je sens en elle suite à ma soudaine attaque.
C’est une chatte sèche dans laquelle j’introduis deux doigts mais dès que je touche son clito sa grotte s’humidifie et des râles de plaisir me montre qu’elle est à ma merci.
Elle fléchit sur ses genoux et je peux facilement l’attirer sur le sol froid car la maison est fermée depuis plusieurs années.
• Christine, j’ai compris, je ferais attention d’éviter d’être possessive, mais alors tu es une pute.
• Non, une courtisane, une salope qui s’éclate en baisant avec mes clients et Cerise sur le gâteau en touchant du pognon que je place aujourd’hui dans les pierres de cette maison.
Ta commission sur cette vente sera-t-elle suffisante pour te nourrir tous le mois ?
• Non, il faut que je fasse trois ventes pour m’en sortir surtout qu’ici, le propriétaire ait dû baisser le prix drastiquement vu les travaux qu’il va falloir entreprendre pour pouvoir vendre et encore si je comprends c’est la mitoyenneté qui te fait acheter.
• Oui, et bien moi, le client de ce soir même si je dois m’allonger les cuisses écartées pour le satisfaire va me payer presque la totalité de ta paye en un soir ce qui va me permettre de gonfler mon capital bancaire et je suis gagnante en prenant du plaisir.
• Et vous avez des femmes qui font appel à vous ?
• Bien sûr et même des couples ou l’homme est passif aimant voir sa femme se faire gougnotter.
C’est le moment où Madeleine me cherchant nous retrouve dans cette position qui pourrait paraître bizarre à tout autre qu’elle et me tend le téléphone de l’organisation.
• Tu l’as laissé près de la piscine je l’ai entendu sonner quand je débarrassais la table du petit déjeuner, tu dois rappeler l’organisation de toute urgence.
Je m’assieds le long du mur les jambes écartées montrant à Illy que le maillot avec lequel j’ai couvert ma chatte à pénétrer mon intimité dans nos ébats.
• Allos, oui une fille pour ce soir pour rencontrer une femme chez elle place de la Nation.
Attendez.
Madeleine tu es partante pour une cliente Place de la Nation à 22 heures pour la nuit.
• Bien sûr, tu sais que je cherche à me payer ma librairie vers le boulevard Saint-Michel ou Saint Germain.
• C’est une cliente, je peux aller avec Madeleine, je te promets que j’ai compris la leçon.
• Allos, elles seront deux filles pouvez-vous demander à la cliente si elle accepte de payer double, oui j’attends.
Le temps que le modérateur rappelle me semble court mais long pour Illy.
• C’est d’accord, la cliente ignorait qu’elle pouvait faire venir deux filles en même temps, 1 500 pour chacune plus le fixe pour les frais.
Je bouche le combiné.
• 1 500 plus le fixe qui est de combien ?
• Suivant la distance pour ce soir 1 000 € chacune, 2 500 la nuit.
• 2 500 € pour m’éclater à faire jouir une cliente Madeleine tu acceptes de m’emmener.
• Pourquoi refuserais-je, puisque j’ai la même somme dans mon escarcelle ?
Illy me tend le compromis que je signe sans regarder.
• Madeleine emmène Illy chez elle après t’être mis en tenue pour ce soir et va avec elle voir dans sa garde-robe quelle tenue va plaire à ta cliente.
Une dernière chose Illy la cliente a peut-être quatre-vingts ans et commence à être toute fripée, tu seras capable d’assurer, je sais que Madeleine vu son envie d’avoir sa boutique et ce qu’elle a vécu sera à la hauteur, une dernière chose, interdit de boire une goutte d’alcool,
Illy les filles donnent un autre prénom pour les clients, je te présente Diana et pour toi il est dommage de changer le tient, je te propose Iliade.
• C’est joli, Diana, je te présente Iliade.
• Pour les capotes que nous obligeons obligatoirement à nos clients mâles, le sujet est obsolète sauf dans le futur si pour gagner plus tu acceptes comme nous d’être bi comme tu le dis.
• Madeleine pour ta boutique j’ai une copine qui travaille dans une agence immobilière dans le quartier où tu cherches, nous allons aller nous changer après être passé à mon agence déposer le compromis de Christine pour que mon patron joigne rapidement le notaire qui doit établir l’acte de vente.
Je me lève remarquant que toute cette conversation avait eu lieu Illy toujours couchée au sol et la jupe relevée sa chatte épilée offerte à qui voudrait la prendre.
• Madeleine je m’occupe du taxi soyer là à 21 heures prête à partir.
Illy me saute au cou ce qui me fait rire, une fois de plus j’ai réussi à enrôler une femme B.C.B.G. comme moi qui dès ce soir deviendra une pute de plus dans l’organisation de Valérie.
En attendant je vais me préparer car ce soir je dois honorer ce contrat à 5 000 plus le fixe qui m’intrigue un peu.
Le temps est cour quand il faut que je me prépare, le choix de la tenue est important suivant le type de client, le peu de renseignements sauf les 5 000 € me font opter pour un tailleur très mode et très frais avec des bas tenus par un porte-jarretelle bien sûr sans culotte.
J’ai pour la première fois depuis mes débuts une boule qui m’empêche de dîner ce qui est en soi pas mal car souvent les clients offre à manger.
À l’heure prévue je vois arriver une voiture fenêtres entièrement impénétrable
Le chauffeur descend, m’ouvre la porte arrière et nous démarrons.
Nous entrons dans Paris par la porte de Vincennes et je vois que nous nous engageons dans le parking d’une maison près de l’opéra.
• Prenez l’ascenseur 8ème étages vous sonnez à la seule porte devant vous, on vous attend.
• Entrez,
• C’est une femme bien mise, un peu coincée, cheveux coiffés avec un chignon et lunette noire d’intellectuelle qui me reçoit et me fait entrer dans un bureau ou une femme travail à sa table.
• Deux minutes, je finis cette lettre, Jennifer, vous pourrez partir mais déposez cette lettre au planton d’où vous savez et vous pouvez rentrer chez vous je reste seule ce soir avec mon amie.
Mon amie, comme elle y va, j’ai bien vu cette dame de nombreuses fois à la télé vue sa position sociale mais j’ignorais que nous étions amies.
La dame signe sa lettre et la sèche avec un tampon-buvard posé devant elle.
Il y a des lustres qu’écrire au stylo-plume et sécher l’encre au buvard est dépassé mais j’aime d’entrer cette femme qui a gagné de vieille coutume.
• Tenez, bonne soirée, demain je serais à mon bureau vers 11 ou 12 heures, faîte vite pour la lettre.
• Oui madame, à demain.
Elle me regarde.
• Passez une bonne soirée.
Elle quitte la pièce et la dame se lève pour me rejoindre après avoir ouvert un tiroir d’où elle sort une enveloppe.
• Vous m’avez reconnu, voilà pour vous et si vous respectez votre contrat surtout de discrétion il y en aura d’autres.
Elle me tend mon enveloppe, je sens qu’il faut que je m’affirme devant elle aussi, j’ouvre l’enveloppe et je recompte les billets.
• Le compte y est, que souhaitez-vous que je fasse, je me déshabille…
Il manque plein d'épisodes...
Là, on a le 114, le suivant en continuant la liste est le 116...
Je n'ai jamais trouvé le 102, le 104, et d'autres encore depuis le début... s'ils sont présents, il sont bien cachés...
C'est vraiment dommage...
Là, on a le 114, le suivant en continuant la liste est le 116...
Je n'ai jamais trouvé le 102, le 104, et d'autres encore depuis le début... s'ils sont présents, il sont bien cachés...
C'est vraiment dommage...