Femme BCBG, escorte, non pute…. (15) - histoire érotique

Après l’accord de Véronique pour que nous nous rendions à Chantilly, je lui explique tout ce qui m’est arrivé depuis quelques semaines et qu’elle ignore encore.

Ma rupture avec Pierre, mon mari. Elle en sait quelque chose. Elle ma remplacé.
Ma rencontre avec Virginie et mon acceptation de devenir escorte girl.
Je lui explique que je pensais qu’une escorte était une accompagnatrice d’hommes à des congrès ou soirées.
Je rappelle le voyage à Bordeaux où j’ai craqué sur le mâle que j’accompagnais et avec lequel pour la première fois depuis ma rupture, j’ai cédé.
Je lui raconte qu’après le départ de l’homme le matin, j’avais découvert une liasse de billets en euros sur la table de nuit.
Comment je suis allé voir Virginie qui s’est gentiment moquée de ma naïveté ?
Elle m’a révélé qu’elle m’avait volontairement caché que les clients nous faisaient venir pour nous baiser discrètement ayant peur d’une réaction négative de ma part étant une vraie oie blanche.
Et qu’ainsi ils avaient la certitude d’avoir le soir dans leur lit, une jolie fille.
Ils évitent ainsi de prendre des risques étant souvent de bons pères de famille.
Je lui explique comment à ce moment-là, j’étais passée du statut de « femme B.C.B.G. » à « femme escorte girl » mais en réalité à « femme pute… »

Je lui parle de notre voyage à Moscou et tous ce que nous avons fait Virginie et moi. De mon dépucelage de mon anus par Igor moyennant dix mille euros.
J’insiste sur le paquet d’argent que l’organisation est en train de nous rapatrier sur nos comptes.
Pour finir, je lui rapporte la soirée passée avec Frédéric et Frédérique dans l’auberge du jeu de paume à Chantilly.

Le mercredi soir le travail terminé, Magali et Séverine, noms comme escorte dont nous nous servons quand nous allons remplir un contrat prennent la route de Chantilly.

Dans la voiture, je donne les derniers renseignements à Séverine sur nos clients. Je lui dis que ce couple est très connu dans le monde artistique. Ils sont libertins, mais évitent d’aller en boîte spécialisée à cause des paparazzis.

Nous arrivons à l’hôtel et nous faisons accompagner chambre vingt-deux.
Séverine a endossé une tenue qui met sa crinière rousse en valeur.
Sitôt entrée Frédérique entre dans notre chambre.
Est-ce que c’est parce qu’elle me connaît ayant déjà passé une nuit avec le couple ?
La femme en tailleur B.C.B.G. de notre première visite à fait place à une femme fatale en guêpière avec balconnet laissant les seins nus, porte jarretelle, bas résille et chatte épilé dévoilée.
Veut-elle ressembler à ce que j’aie déjà vu d’elle, une salope ?
Je me rappelle ce que m’a expliqué mon bouchon Anne lorsque la responsable de la boîte échangiste les a reçus. Elle devait porter la même tenue.
Frédérique est étonnée de voir Séverine.

• Valérie à une grosse grippe et se soigne au fond de son lit. Séverine a accepté de la remplacer pour une première expérience dans notre milieu.

Frédéric vient nous voir. Regarde comme Séverine est belle.
Toujours très prévenant, il entraîne mon amie dans leur chambre où comme la dernière fois un repas est servi.
Il nous donne notre enveloppe prix de notre labeur. Je la prends et la range dans mon sac.

• Puis-je vous déshabiller belle Séverine ?
• Bien sûr, Monsieur, j’aime être nue.
• Pas de monsieur Séverine, appelle-moi Frédéric, et ma femme Frédérique.
• D’accord Frédéric.

Il lui enlève prestement toutes ses affaires et délicatement lui passe la main dans sa toison rouge.
La perverse Frédérique, pour éviter d’être sur la touche me, déshabille.

J’avance jusqu'à la grande. J’ai apporté sa laisse. Prestement j’attrape le mousqueton et l’entraîne loin du mâle qui voit son jouet lui échappé, est triste.
Je la dirige vers Frédérique.

Je te présente mon esclave entièrement soumise à nos volontés sexuelles. Ma chérie, une esclave digne de ce nom avec de l’éducation, commence toujours par honorer la maîtresse de maison en premier.

Tu as raison reine de mon cœur.
Elle entraîne notre amie sur le lit et commence à lui brouter la chatte.
Au bout de quelques minutes, elle commence à sentir le plaisir monté en elle. Séverine redouble d’ardeur.
Ce que j’espère arrive, Frédérique qui est une femme fontaine nettoie carrément le visage de la grande avec ses jets. Étonnée, elle est inondée sans boire cette divine cyprine.

• Nettoie la dame afin qu’elle soit propre pour passer à table !

Elle suce consciencieusement sa nouvelle amie de jeux érotiques.
Bingo, la dame recommence à gicler, mais Séverine prévenue avale ce bon breuvage.
Frédérique me demande si j’accepte de lui prêter la laisse.

• Séverine acceptes-tu que je te confie à ta nouvelle amie ?
• Oui, bien sûr, je suis venue pour cela.

La laisse change de main.

• Séverine broute la chatte de Magali !

Je m’assieds les fesses sur la table et Séverine me broute comme j’aime que l’on me le fasse.

• Séverine, masturbez-vous. Aller sur le lit, je vous conduis.

La grande se dirige vers le lit faisant tendre la laisse et se couche les jambes pendantes.
Elle s’enfile des deux puits trois doigts dans la vulve. De temps en temps, elle les sort et les lèches consciencieusement avant de les enfourner dans son chaton. La toison rouge de ma salope fait bander Frédéric.

• Frédéric met lui ta queue dans la bouche.

Il monte sur le lit et enfourne la bouche qui s’ouvre à son arrivée. Il la fait entrer jusqu'à la glotte. Elle le pompe si vigoureusement qu’il finit par lui envoyer des jets directement dans l’œsophage.

• Nettoie-lui la queue !

En bonne professionnelle, elle ne laisse aucune trace sur la queue de notre ami qui semble énormément apprécier.

• Christine reprend la laisse ! Quelle jouissance de commander, et immédiatement être écouté !

Nous passons à table. Comme l’autre fois, nous mangeons rapidement !
Je reprends l’initiative.

• Frédéric, avez-vous quelques billets supplémentaires à nous faire gagner ?
Voulez-vous jouer avec vos trois femelles ?

Aucun problème. Il se lève et va dans sa veste et sort une liasse forte épaisse.
Le jeu est tout simple Frédéric, nous sommes toutes à ta disposition et chaque fois que tu déchargeras la chatte que tu enfileras à ce moment recevra mille euros.

Frédéric malin sort de la chatte ou le cul de celle qui baise au moment où il sent son sperme arrivé au bord de sa verge.
Voyant sa tactite trop visible, je durcis le jeu.
Obligation pour lui de rester cinq minutes dans le trou qu’il choisit.
Au bout d’une demi-heure toutes nos chattes ont été remplies par sa verge, le cul de Séverine est le seul qu’il a investi faisant chanter la belle.
Il vient de prendre sa femme lorsqu’il se soulage.

Bravo Frédérique à vous la prime de mille euros.

• Partagez-vous cet argent ?

J’aurai l’impression d’avoir fait partir mon mari pour gagner mille euros.

• Non, lorsque l’on joue avec son sexe pour de l’argent même celui de son mari, on est une pute. Tu dois l’assumer et tu n’as pas le droit de refuser le prix de ton labeur.
• Séverine a compris qu’elle est devenue une prostituée et l’admet !
• Bien sûr, mon cœur, nous sommes des putes et je suis bien contente d’avoir gagné les billets que j’ai en main surtout en les soustrayant au maquereau qu’est mon mari.

Frédérique a l’air malheureuse ses billets à la main. Elle part vers la salle de bain et nous l’entendons prendre une douche.
Lorsqu’elle revient à notre tour, nous allons, nous rafraîchir. Lorsque nous réintégrons la chambre, Frédéric a préparé des boissons rafraîchissant sortie du frigo.
Nous buvons tranquillement entre vieux amis.

• Comment, as-tu fait pour faire partir son mari ?

Elle éclate de rire.

• Magali, toi, qui viens de me dire que tu es une grande pute, connais-tu l’une des spécificités du sexe des femmes ?

En voyant mon étonnement, elle m’explique que le vagin des femmes est tapissé d’une multitude de petits muscles.
Avec de l’entraînement, il est possible de les contracter jusqu'à empêcher le sexe de l’homme de sortir. Le mouvement répété fait généralement partir l’homme très rapidement. Mon homme peut vous le dire, jamais il n’a résisté à ce massage vaginal.

• Tu peux me faire voir comment ça marche ?
• Venez, je vais vous apprendre ?

Elle s’allonge cuisse écartée.

• La dernière fois tu avais une touffe !
• Et oui mais j’en avais tellement assez de me faire épiler que je suis allé me faire un traitement au laser. Je suis tranquille avec mes poils.
• Encore, quelque chose que j’apprends. Tu nous donneras l’adresse ?
• Sans problème, ce traitement est pratiqué par des médecins spécialisés.
Bon maintenant, allons-y ?
• Mettez-moi deux doigts chacune dans la chatte !
Vos quatre doigts auront le volume d’une bite et vous sentirez ce qui a fait flancher mon mari.

Nous nous exécutons, un peu de concentration et petit à petit, nous sentons la vulve s’ouvrir et se fermer sur nos doigts.
Elle pratique cette gymnastique de longues minutes.

• À vous, maintenant !

Nous nous mettons sur le lit côte à côte. Frédéric et Frédérique nous placent deux doigts chacun dans le vagin.

• Concentré vous dans votre cerveau.
Fermer les yeux ça, aide. Maintenant comme vous le feriez avec votre main que vous pouvez ouvrir ou fermer sans y penser.

Essayé, je me concentre et essaye de faire fonctionner tout cela.

• C’est bien Magali, ça bouge, je commence à sentir des petits mouvements autour des doigts. Bravo Séverine, toi aussi ça bouge, tu vas y arriver.
Vos mouvements mal coordonnés, mais vous verrez qu’avec de l’entraînement, vous arriverez à faire fonctionner tout cela convenablement.
• Avez-vous des godemichés ?

Oui, lui répond Séverine et de bon diamètre.

• C’est parfait, tous les jours, enfilez-vous en un à fond et entraînez-vous. Lorsque vous aurez réussi à faire manœuvrer vos muscles sans interruption, attaquez-vous à une belle bite.
• Merci Frédérique, combien nous vous devons pour la consultation ?
• Pour vous c’est gratuit, heureux de vous avoir appris quelque chose. Chaque fois que vous réussirez à faire jouir un homme avec cette technique, vous penserez à moi.

Nous rejoignons nos lits pour bien récupérer.

Au matin après une bonne douche et un petit déjeuner, nous quittons nos amis en leur disant à bientôt.

Arrivé à l’autoroute, je m’arrête, je récupère l’enveloppe. Ho, surprise, la liasse de billets gagnée par Frédérique est dedans, elle a dû les mettre lorsque nous étions sous la douche.
Je partage, par moitié. Tient ma belle voici ta paye, ta paye de la pute que tu es devenu ce soir. Nous éclatons de rire.

Lorsque tu auras ouvert ton compte et que nous aurons donné les coordonnés à l’organisation, ils te verseront la part que tout client doit payer pour faire venir une escorte girl. L’argent qu’ils nous donnent pour leurs ébats amoureux n’a rien à voir avec l’organisation qui ainsi évite d’être accusée avoir de problème.
Attention comme l’explique Virginie, il faudra déclarer les sommes officielles aux impôts.
Quant à l’argent que nous avons gagné avec notre sexe et notre cul cette nuit, c’est tout bénéfice.
Une autre chose, interdiction de baiser avec les clients sans capote. Nous te fournirons tout ce qu’il te faut à cet effet.
Une dernière chose, je sors le téléphone, j’appelle, on décroche, La personne qui me répond me demande comment cela c’est passé.

• Très bien, Valérie a très bien assuré.
• Bien à la prochaine !

Nous sommes à l’heure pour l’ouverture, et retrouvons nos amies. Je prends ma place à l’accueil. Comme tous les jours tous se mettent en place. Les clientes arrivent, je les installe, quelques coups de fil pour des rendez-vous.
Vers dix heures, pour me donner un petit coup de fouet, je vais en salle de repos prendre un café. Odile qui a une coupure entre deux clientes vient me voir.

• Comment c’est passé votre soirée hier avec Véronique, a-t-elle assumé ?

Je la regarde avec étonnement, elle sourit, et m’explique.

• J’ai été la première employée engagée par Virginie à l’ouverture de son institut de beauté. J’en suis même devenu son bras droit et celle qui gère tous, je devrais dire qui gérait tout avant ton arrivée.
• Mais je ne veux surtout pas prendre ta place !
• Pas de problème, c’est moi qui la première ai demandée de l’aide surtout à l’accueil.
J’ai même eu le choix entre m’en occuper ou continué en cabine, mais j’aime trop mes clientes pour les abandonner.
C’est à ce moment-là que tu es entré dans la vie de Virginie. Te proposer ton poste est devenue une évidence. Et tu es là !
Au moment où elle m’a embauché, j’étais déjà marié avec Alain.
Rapidement ces départs pour des destinations à travers le monde m’a intrigué.
Petit à petit, j’ai compris qu’elle avait une vie parallèle. J’avais repéré la venue fréquente d’un coursier casqué déposant des enveloppes à lui remettre lorsqu’elle s’absentait.
Nous étions tellement devenues complices dans notre travail, qu’un jour j’ai pris mon courage à demain, je lui ai demandé ce qu’elle faisait lors de ses déplacements.
D’une façon très naturelle, elle m’a expliqué qu’elle est escorte girl et qu’a chaque fois qu’elle s’absente, elle rencontre des clients principalement des hommes. Elle m’a même expliqué que ces soirées généralement se finissent dans le lit des messieurs voire des dames ou les deux contre de fortes rémunérations.
Elle m’a même un jour proposé comme à toi, de l’accompagner dans un déplacement où il lui fallait un acolyte.
Avec regret j’ai décliné son offre, non pas par pudibonderie, mais parce que j’aime Alain plus que tout au monde.
Comme tu as pu le constater et qu’Anne a dû te le dire, nous sommes libertins, notre plaisir même si l’on baise avec de nombreuses personnes, ç’aient de le faire toujours ensemble.
Lorsque je fais l’amour avec d’autres que lui, il est à côté de moi et soit participe soit me regarde ou l’inverse lorsqu’il honore une dame.
Tu le remarqueras dans les prochains jours Alain et moi pendant nos vacances que nous allons passer ensemble à Saint-Palais, il a déjà repéré un club à quelques kilomètres de là par Internet.
Il a appelé un copain libertin avec son épouse comme nous et qui vont en vacances dans la région, ils nous ont dit du bien de ce club où ils vont à chaque séjour là-bas.

Le temps a filé, la sonnette de la porte d’entrée nous rappelle à nos devoirs.
Une cliente arrive, je l’installe. Au moment d’entrer pour s’en occuper Odile me propose d’assumer.

• Entre à Chennevières voir comment notre amie Virginie va.

Je fais le tour des cabines pour embrasser Anne et Véronique.

• Je reviens ce soir, nous passerons la soirée chez Véro, mais avant j’aurais des courses à faire.

Je prends ma voiture et je me dirige vers l’est de Paris.

Sur mon parcours, je repère près de la mairie de Champigny, une boutique de parfums. J’arrive à me garer et j’entre acheter un flacon que je vais offrir à Virginie.
J’achète un beau flacon de cinq de Chanel. La serveuse me fait un joli paquet.
La grande a-t-elle récupéré ?